« Animalia », « L’oreille aveugle », « Le nez dans le soleil ». Les nouveaux livres d’Oskar Freysinger bientôt disponible en librairie !

Ils arrivent ! Les derniers ouvrages d'Oskar Freysinger aux éditions Selena seront en librairie à l’office du 17 mai 2024 en France et dans tous les pays francophones !

Animalia

La lecture de « brave new world » et « 1984 » vous a procuré des angoisses ? Avec « Animalia », vous allez rire jaune à en mourir. Cette « cacatopie » semble être l’oeuvre d’un La Fontaine ayant abusé d’hallucinogènes ou d’un Ésope en plein délire psychédélique. Le résultat est plus décapant, déjanté et délirant que « la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie » (Lautréamont). Bref, c’est du jamais lu ! En ouvrant les pages de ce texte inclassable, vous saurez comment les suceurs d’âme du mont Kibo (Klaus Schwab et le WEF) tentent de transformer la jungle en jardin des délices artificiels, l’ordre naturel en chaos organisé et la relativité en absolu. Leur « grande recette » cherchant à imposer à l’humanité le meilleur des mondes impossibles aura-t-elle raison de l’espoir ? La terre est-elle irrémédiablement condamnée à devenir trop parfaite pour être viable ?

Animalia

L'oreille aveugle / Le nez dans le soleil [double livre recto-verso]

L'oreille aveugle

Ce récit est inspiré par la vie d’un jeune homme sourd-muet, autiste, et condamné à devenir aveugle, qui a choisi une voie inattendue pour affronter la cruauté du sort. Refusant la rassurante quiétude du système psychosocial qui veut lui retirer la responsabilité de sa vie, il décide de partir en voyage et d’affronter tout seul les vicissitudes du vaste monde. Conservant soigneusement les odeurs, les ambiances et les impressions recueillies lors de ses pérégrinations, il constituera une formidable galerie intérieure où son esprit pourra déambuler lorsque ses liens avec le monde extérieur seront à jamais coupés.

L'oreille aveugle

Le nez dans le soleil

Désespéré et désireux de mettre fin à sa vie, Pépé traine les pattes sur les rives d’un bisse* lorsqu’il s’étale de tout son long et fourre le nez dans un pissenlit. Ébahi, il reste longtemps à contempler cette fleur radieuse aux mille pétales qui lui renvoie dans les yeux toute la lumière du monde. Lorsqu’il se relève, Pépé se sent investi d’une mission botanique qu’il va poursuivre avec passion et obstination. Plus question pour lui de voir les pissenlits par la racine avant l’heure.

Le nez dans le soleil

“Inch’allah”, le livre-enquête qui affirme que “l’islamisation” menace la Seine-Saint-Denis

"Qu'il y ait un problème avec l'islam, c'est vrai. Nul n'en doute." Cette phrase de François Hollande, extraite du livre Un président ne devrait pas dire ça..., est le point de départ revendiqué d'une nouvelle enquête signée Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes d'investigation au Monde. Leur livre, intitulé Inch'allah, l'islamisation à visage découvert (Fayard), explore "l'islamisation" d'un département, la Seine-Saint-Denis. Un sujet "inflammable", qui se prête "à tous les raccourcis, à tous les amalgames" et "effraye tous les tenants du politiquement correct", écrivent les deux journalistes dans la préface de l'ouvrage.

Mais contrairement à leurs précédentes enquêtes, les deux journalistes ont cette fois laissé la plume à cinq étudiants. La collaboration inédite qu'ils ont engagée a d'ailleurs fait l'objet d'un documentaire, La plume dans la plaie, diffusé sur LCP le 17 octobre. Que dévoile leur enquête ? Pourquoi fait-elle déjà polémique ? Franceinfo répond à quatre questions sur la démarche des journalistes et les critiques qu'ils rencontrent.

Quel est le sujet du livre ?

Après huit mois de travail et une longue explication de leur démarche en début d'ouvrage, "oui, l'islamisation est à l'œuvre en Seine-Saint-Denis", tranchent les journalistes dans ce livre que franceinfo a lu en intégralité. Un phénomène sur lequel Gérard Davet et Fabrice Lhommerefusent de se prononcer : "Cette propagation constitue-t-elle réellement un problème ? Ne faut-il pas accompagner ce retour du sentiment religieux plutôt que tenter de le freiner ? (...) il ne nous appartient pas, à nous journalistes, de répondre à ces interrogations."

Pour alimenter ce constat, le livre est organisé comme un recueil de témoignages. "Le guide""le père""le flic""le missionnaire""l'imam"... Chaque chapitre correspond à une personnalité, qui témoigne à visage découvert et illustre un sujet : commerces, travail en entreprise, éducation, politique, santé. On y trouve d'abord des témoins de cette "islamisation" : un professeur d'histoire à la retraite, de confession musulmane, qui déplore le développement des commerces islamiques, une préfète à l'égalité des chances stupéfaite par "la masse des foulards et des barbus" à son arrivée dans le département, une gynécologue incrédule face à une patiente qui refuse de retirer son foulard mais accepte d'être examinée, des juifs victimes d'antisémitisme qui quittent le département ou une directrice d'école obligée de mettre au point un plan de table pour mélanger les enfants de différentes confessions à la cantine.

Des "acteurs" du phénomène sont aussi interrogés. On croise à plusieurs reprises M'hammed Henniche, secrétaire général de l'Union des associations musulmanes du 93, présenté comme un lobbyiste, qui se félicite d'avoir permis l'élection du maire de Noisy-le-Sec en échange de la construction d'une mosquée. Les apprentis journalistes se penchent également sur le groupe scolaire Al-Andalus, une école hors contrat de Saint-Denis où les filles sont voilées et où les poupées n'ont pas de visage (conformément aux prescriptions du salafisme, qui interdit toute représentation humaine). L'un d'eux se rend même à une consultation de roqya chariya, une médecine alternative qui aurait le vent en poupe. Le guérisseur lui diagnostique des "symptômes très évidents de sorcellerie"et lui pratique une saignée dans le dos.

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De manière plus ponctuelle, l'ouvrage s'appuie sur des documents inédits et révèle quelques éléments jusque-là inconnus. On y apprend par exemple qu'il n'y avait, avant les attentats de novembre 2015, qu'un seul enquêteur chargé de l'islamisme radical au sein du Service territorial du renseignement du 93. "Mon service départemental avait des moyens de fortune pour suivre la montée de l'islam radical. Ma direction n'en faisait pas une priorité ni même un objectif", confie le commissaire Guillaume Ryckewaert, en charge du service de 2010 à 2013. Le livre révèle aussi qu'une "cellule" réunissant la préfecture, le service de renseignement et les forces de l'ordre a été constituée pour surveiller les salariés d'Aéroports de Paris, classés de vert à rouge en fonction de leur radicalisation supposée. "Plusieurs dizaines"d'individus figureraient dans la dernière catégorie.

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Francetvinfo.fr

 

Rappels :

Dans la police judiciaire de Seine-St-Denis, les musulmans décident de bannir la viande de porc et interdisent aux femmes de préparer les grillades

Les 3/4 des élèves du lycée catholique à St-Denis sont musulmans. Le directeur avoue que les non musulmans subissent des propos haineux. (Vidéo)

 

 

Livret contre les violences sexuelles faites aux enfants : tous les méchants sont Blancs

À l’occasion de la Journée mondiale des droits de l’enfant le 20 novembre, Bayard Jeunesse a réalisé un livret de prévention : « Stop aux violences sexuelles faites aux enfants », destiné aux 7-13 ans. Peut-être avez-vous déjà reçu ce livret posé sur les magazines Astrapi, J’aime lire, Images Doc et J’aime lire Max de novembre. Ce livret sera également diffusé par nos associations partenaires via leurs réseaux. »

 

 

Via Fdesouche.com

 

Rappel :

Le clip antiraciste: Devinez qui est le méchant dans l’histoire?

Dans les clips officiels du gouvernement contre les violences sexuelles, l’homme blanc est l’agresseur. L’homme noir est le protecteur.

« L’Allemagne sens dessus dessous », le livre anti-Merkel: Un signal d’alarme pour ceux qui ne comprennent pas ce qui se passe avec l’immigration et ses conséquences catastrophiques

[Mère de trois enfants, Petra Paulsen est née en 1966 à Hambourg. Elle est mariée et vit au Schleswig-Holstein. Elle enseigne la biologie et la chimie.]

Elle a écrit une lettre pleine d’émotion à la chancelière fédérale Merkel qui fit le tour des journaux. Plus d’un million de personnes ont vu son message sur Youtube. C’est au plus tard depuis sa participation à l’émission « Comment va l’Allemagne » de la ZDF [chaîne publique] qu’un large public a appris à la connaître. […]

 

Petra Paulsen

 

Lorsqu’un nombre incalculable de gens venant du Proche-Orient et d’Afrique du Nord ont soudainement afflué de façon incontrôlée en Allemagne à l’automne 2015, cette professeur de lycée s’est posé la question : « Mais que se passe-t-il donc ici ? » Elle s’est mise à la recherche de ce qui se cache derrière une évolution qui prend de plus en plus la forme d’un désastre, pour l’Allemagne comme pour l’Europe.

L’auteur a commencé à faire des recherches et à collecter des faits. Ce faisant, sa curiosité analytique a embrassé un vaste champ thématique : depuis les conséquences catastrophiques de l’immigration sur la sécurité intérieure en passant par la baisse de niveau de l’éducation et la déformation démographique et mentale de la société, jusqu’à la perte fatale de la conscience historique – mais surtout l’échec lourd de conséquences de la chancelière fédérale Merkel pour qui elle avait naguère voté.

[…] [Ce livre] est un signal d’alarme adressé à tous ceux qui ne comprennent pas ce qui est en train de se passer dans ce pays.

Source

 

Time : « dans ce livre le père Noël est gay et dans une relation interraciale »

Un nouvel album présentera le père Noël comme un homme gay et dans une relation interraciale a confirmé ce mardi l’éditeur Harper Design.

père noël

Le livre, Santa’s Husband, sera en vente le 10 octobre et racontera l’histoire d’un père noël noir de et son mari blanc qui vivent tous deux au pôle Nord. L’époux du père Noël remplace souvent pour son mari dans les centres commerciaux, selon une description du livre Harper Design fourni à TIME. […]

Time (Traduction FDS)

Un livre au vitriol sur l’islam sort en France

Nous parlions déjà de ce livre ici

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L'essai, best-seller en Allemagne où il a été publié en 2014, dresse un parallèle entre l'idéologie fasciste et l'islamisme, en remontant jusqu'aux origines du Coran. Selon Hamed Abdel-Samad «l'idéologie fascisante ne s'est pas introduite dans l'islam avec la montée en puissance des Frères musulmans, mais est ancrée dans les origines historiques mêmes de l'islam».

Il accuse l'islam d'avoir «mis fin à la diversité religieuse sur la péninsule Arabique, d'exiger de ses fidèles une obéissance inconditionnelle, de ne tolérer aucune divergence d'opinion et d'aspirer à dominer le monde». «Le problème de l'islam n'est pas ceux qui le critiquent, mais bien lui-même, ses textes et sa vision du monde».

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Le dernier livre de Wafa Sultan : un souffle de raison et de liberté


 

Par Maurice Vidal, Professeur de philosophie, auteur de La nuit au bout du voyage, La colère d'un Français, et Chutes mortelles.

 

Plus encore que par son contenu – dont l’authenticité est indéniable – le dernier livre de Wafa Sultan vaut par le souffle qu’il transmet à tous les humains qui chérissent la raison et la liberté.

En effet, la raison et la liberté s’opposent à la soumission, et, par suite, au conditionnement des esprits. Or, comme l’homme est enfant avant que d’être homme, ce n’est ni la raison ni la liberté, mais bien la soumission qui, d’abord, le commande en le confrontant aux réalités de l’existence. Il suffit donc d’inculquer à cet enfant qu’Allah a tout prévu, autrement dit qu’Allah est LA boussole, pour que la soumission s’installe et que tout prenne sens. Et cela se fait d’autant plus aisément qu’on apprend au jeune musulman qu’il est la précellence de l’humanité.

De ce fait, la soumission se renforce, car il s’agit, à chaque instant, d’honorer la Parole d’Allah. Cette soumission devient même une évidence obligatoire (!), allant jusqu’à justifier le djihad.

Et ce n’est pas tout ! L’islam, religion du désert, crée le désert autour de lui : même la science est dans le Coran, car Allah est omniscient.

Comment donc sortir de ce que l’auteur appelle le « lavage de cerveau » des musulmans ? Comment remettre sur le droit chemin les candidats au suicide collectif ? Comment enseigner l’amour de la vie plutôt que l’amour de la mort ? Bref, comment guérir les déséquilibrés de l’islam ?

L’islam, fabrique de déséquilibrés, est un livre de colère et d’espoir, qui a le mérite de mettre les pendules à l’heure : l’islam est l’islam, car il n’y a qu’un islam, et cet islam, c’est non seulement ce qu’enseigne le Coran, mais encore ce qu’a dit et fait le Prophète. Or, le Coran, comme les dires et les actes du Prophète, est sacré aux yeux des musulmans. Dès lors, la moindre critique devient sacrilège. Tel est LE problème que les pays libres, et les musulmans eux-mêmes, doivent résoudre.

Maurice Vidal / Riposte Laïque

Pour commander le livre :

Chèque de 19,50 euros à l’ordre de Riposte Laïque, BP 32, 27140 ou Paypal :

Viols en Grande-Bretagne par des Pakistanais : Une fille a eu sa langue clouée à une table…

Extrait du livre « Easy Meat:Inside Britain’s Grooming Gang Scandal » (Viande facile:au coeur du scandale des viols collectif)

 

« Les filles, considérées comme propriété du gang, peuvent subir des violences abominables si elles essayent de fuir ou d’appeler la police pour faire cesser les sévices dont elles sont l'objet. Sarah Swann qui a longuement travaille avec les victimes de ces viols a témoigné d’une victime qui a eue sa langue clouée sur la table parce qu'elle menaçait de se rendre a la police…  »

livre

Christian Hofer: A relever la réponse d'un Pakistanais concernant ces horreurs:

Les filles anglaises sont des souillons, elles méritent d'être violées puisqu’elles ne portent pas de burka. Vous êtes nues donc vous voulez évidemment cela. Devenez musulmanes et gagnez le respect des hommes.

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LGBT: Un conte pour enfants avec deux princes qui s’aiment afin de banaliser l’homosexualité

Pour banaliser l'homosexualité, le Youtubeur et militant LGBT Olly Pike a crée "Prince Henry", une histoire d'amour gay sous forme de conte pour enfants. "La meilleure manière de tordre le cou aux discriminations chez les générations futures est de commencer par s'adresser aux enfants. Nous avons le devoir de leur apprendre la tolérance, l'amour et le respect", explique-t-il sur son site.

La perception de la sexualité chez les plus jeunes est un vieux débat. Aujourd'hui, l'homosexualité reste un sujet tabou à l'école. Pourtant, les insultes et le rejet peuvent en faire une grande source de mal-être, qui conduit parfois jusqu'au suicide. Alors que le racisme est désormais une problématique discutée sans mal en classe, l'amour entre personnes de même sexe semble être encore un thème délicat à aborder.

Suède : des livres pour enfants populaires pourraient être interdits car jugés «racistes»

Deux livres du célèbre auteur pour enfants Jan Lööf pourraient être retirés des ventes après qu'une analyse de leurs contenus a révélé qu'ils faisaient un «portrait stéréotypé d'autres cultures». Edités depuis 1966, ces livres sont adorés en Suède.

«Ils m'ont donné un ultimatum, soit je retirais les illustrations des livres, soit ils ne seraient plus édités» a confié l'auteur au quotidien suédois Dagens Nyheter.

Les deux livres incriminés, Morfar är sjörövare, en français Grand père est un pirate et Ta fast Fabian,Attrapez Fabien ont affolé les éditions Bonnier Carlsen, qui estiment que le choix des personnages nourrit les stéréotypes et fait un lien entre populations du Moyen-Orient et banditisme.

Publié en 1966, Grand père est un pirate a été traduit en plusieurs langues et raconte l'histoire d'un personnage qui rencontre un vendeur de rue appelé Abdullah, ainsi qu'un méchant pirate répondant au nom de Omar. Le tweet ci-dessous montre ces personnages.

 

L’autre livre publié en 1997 contient des images d’un joueur de bongo portant des bracelets, une jupe et des lunettes de soleil alors que le reste du groupe porte des vêtements normaux.

 

Sur les réseaux sociaux suédois, Jan Lööf a reçu un soutien général de la plupart des internautes qui se demandent si la censure n’est pas allée trop loin.

Une porte-parole de Bonnier Carlse, libraire-éditeur suédois, a déclaré à ce sujet : «Cela concerne des représentations stéréotypées d’autres cultures, ce qui n’est pas si bizarre, considérant que toutes les images ont été créé dans un contexte, en son temps, qui évolue. Si vous avez des racines moyen-orientales, par exemple, vous pouvez vous agacer d’être rarement présenté comme quelqu’un de bien dans la littérature.»

Dépité par ces accusations, Jan Lööf refuse de changer ses illustrations. «J'ai 76 ans, je n'ai aucunement l'intention de m'enquiquiner à changer mes livres», plaide-t-il.

Très populaires en Suède, les ouvrages de jan Lööf étaient appréciés au point d’être, à une époque pas si lointaine, distribués dans les restaurants McDonald's.

Mais ce n’est pas la première polémique du genre en Suède qui a déjà connu d’autres précédents de ce style. En 2012, des affiches d’un film pour enfants avaient été retirées, au motif que l'un des personnages noir était présenté de façon caricaturale, avec de grosses lèvres et des cheveux crépus. La même année, plusieurs voix avaient demandé la démission de l'ancienne ministre de la culture pour racisme, après qu'elle ait dessiné une femme noire nue sur un gâteau.

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“Detail”, “Holocauste”, “islam”… Le futur sulfureux livre de Jean-Marie Le Pen

Jean-Marie Le Pen prépare un ouvrage qui pourrait sortir dès 2016, révèle ce dimanche l'émission de Canal+ Le Supplément. Dans un abécédaire politique, le fondateur du Front national commentera des termes comme "Algérie", "Israël" et "étranger".

Un ouvrage pour remettre une couche sur les sujets qui fâchent? Jean-Marie Le Pen, président d'honneur déchu du Front national, prépare un livre qui pourrait sortir courant 2016, révèle ce dimanche l'émission Le Supplément, diffusé sur Canal+. "Un travail d'édition qu'on m'a demandé", précise à la chaîne le député européen.

L'ouvrage en question est un abécédaire politique, pour l'instant baptisé 24 convictions. Jean-Marie Le Pen y délivre ses analyses sur des thèmes chers à l'extrême droite: "A comme Algérie, Arabe, Afriques", énumère le menhir. "B comme bicamérisme, bible ou bibliothèque. C comme combat, chômage et Chirac".

Les chambres à gaz, point de départ de la guérilla avec sa fille 

Selon un document de travail révélé par Canal+, Jean-Marie Le Pen revient aussi sur les termes "Holocauste et "détail". En avril 2015, le leader du FN avait réaffirmé sur BFMTV - il avait déjà tenu des propos similaires en 1987 - que les chambres à gaz étaient un "détail" de la Seconde Guerre mondiale, ce qui avait entraîné son exclusion du Front national et une guérilla judiciaire avec Marine Le Pen.

Avec ce livre, Jean-Marie Le Pen pose une nouvelle pierre dans le jardin de sa fille, qui a oeuvré pour son exclusion du FN. Dans une lettre ouverte publié mardi, l'eurodéputé la menace d'organiser ses soutiens en dehors du parti d'extrême droite, s'il n'obtient pas sa réintégration au sein du mouvement.

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Faut-il arrêter de lire les livres écrits par des hommes blancs ?

Une tribune dénonçant leur surreprésentation chez les auteurs agite la sphère littéraire américaine.

L’écrivain, cet homme blanc, d’âge mur et hétérosexuel? Le mois dernier, un poète anonyme s’interrogeait dans une rubrique hebdomadaire du site américain Electric Literature. Il faisait part de son malaise face à la surreprésentation de son profil chez les écrivains:

Je suis un homme blanc poète – un blanc, un poète qui est conscient de son privilège et sensible aux inégalités des femmes, des personnes de couleurs et LGBT à l’intérieur et en dehors de la communauté des écrivains – mais, malgré cette conscience et cette sensibilité, je suis toujours un blanc et un homme.

J’ai l’impression que le moment de raconter mon expérience est passé, qu’il n’y a simplement plus besoin de poèmes dont le point de vue est celui d’un homme blanc, et que le flambeau revient désormais aux auteurs d’autres communautés dont les voix ont trop longtemps été tues ou étouffées.»

Avant d’ajouter :

Parfois, j’écris en me mettant dans la peau de quelqu’un d’autre afin de comprendre et de compatir avec ce soi-disant « autre » ; mais j’ai peur que cela puisse être interprété comme une nouvelle preuve de mon privilège de pouvoir m’approprier l’expérience d’une personne différente.»

En réponse à cette interrogation, la poète américaine Elisa Gabbert, contributrice régulière du site Electric Literature, a livré son analyse dans une tribune intitulée «Should White Men Stop Writing ?» («Les hommes blancs devraient-ils arrêter d’écrire ?»). Elle adresse au mâle blanc mal dans sa peau ses conseils pour faire face à ce dilemme éthique:

Vous devriez faire votre possible pour que votre propre point de vue ne soit pas plus exposé qu’il ne le mérite – que vous n’occupiez pas plus de place que celle qui vous est due. (…) Nous devrions dire aux hommes de soumettre moins de textes à la publication. En particulier les hommes blancs.» (…)

Le Nouvel Oservateur

Livres sacrés en prison

Livres sacrés en prison : les bibliothèques désarmées en ressources

Et une liberté de culte à exceptions

Les récents événements terroristes, en France, ont soulevé de nombreuses questions de société : liberté d'expression, éducation, sécurité... Les conditions carcérales du pays ont également été pointées du doigt, puisque deux des trois individus impliqués avaient séjourné derrière les barreaux. On parle de radicalisations islamistes, opérées dans le millieux carcéraux – des mots-clefs particulièrement sensible en cette période... 

 [...]

« La prison, c'est la putain de meilleure école de la criminalité. [...] Là bas, tu prends des années d'expérience. Au début, quand je suis arrivé en détention après avoir fait une connerie, je me disais j'arrête tout. Après le temps passe et je me dis, je nique tout, ils me rendent ouf. Comment vous voulez apprendre la justice avec l'injustice ? » avait témoigné Coulibaly auprès des journalistes, à l'époque.

  [...]

Article complet

“L’Assassinat de Rudolf Schumacher”, toute ressemblance, etc…etc….[audio]

L'invité du 12h30, le 29 septembre 2014, Sébastien Fournier, écrivain.

L'écrivain valaisan Bastien Fournier signe un livre qui va très certainement faire parler de lui en Valais. Ce roman policier, intitulé "L'Assassinat de Rudolf Schumacher", est publié aux Editions de l’Aire. Un homme politique portant un catogan, enseignant de formation désormais au pouvoir, figure de la droite dure, est tué d'une balle dans la tête. Ce personnage fait fortement penser à une personnalité réelle, le conseiller d’Etat UDC Oskar Freysinger. Bastien Fournier affirme qu'il ne s’agit que de fiction........

NDR : Montée de l'extrême droite en Europe, et surtout en Suisse, xénophobie, tous les poncifs y passent.

En parlant de son personnage central (qui porte un catogan), l'auteur le dépeint ainsi : "Avant d'être au pouvoir, il était professeur : nul, médiocre, mauvais professeur, imbu de sa personne, menteur, bref, un vrai sale type".

  Bizarrement, des livres autrement plus riches sortent régulièrement, mais la RTS a choisi justement de faire la promotion de CELUI-LA...On se demande vraiment pourquoi.

Interview ci-dessous :

Petit résumé du livre de Valérie Trierweiler

Par Caroline Alamachère

A la lecture du livre de Trierweiler, Hollande nous apparaît lâche, menteur, méprisant du peuple.

Si Valérie Trierweiler ne nous est jamais apparue proche de nos idées, elle qui est plus prompte à s’inquiéter du sort des enfants pauvres originaires d’ailleurs en laissant pour compte ceux de chez nous dont pourtant elle est elle-même issue (sa famille politique n’a de cesse de rejeter le peuple français qui a fait la France d’avant le grand remplacement),  il faut reconnaître malgré tout à la lecture de son brûlot qu’elle apparaît bien loin du portrait de la femme dominant son conjoint soumis, telle que nous l’ont donné en pâture les médias. L’image de l’arriviste aux dents longues qui aurait porté la culotte à la maison a fait long feu. Son histoire reflète au contraire le portrait d’une femme très amoureuse, parfois à la limite de la candeur, suffisamment amoureuse en tout cas pour supporter les remarques de mépris glacé sur ses origines sociales et les multiples goujateries sexistes à son encontre de la part de celui qui partageait sa vie.

Tout ce qui a été dépeint d’elle par les médias charognards est expliqué, décortiqué et nous apparaît finalement tout à fait crédible, compte tenu des circonstances qu’elle décrit de l’intérieur.

Si ce grand déballage impudique ne grandit pas l’univers politique déjà lamentablement à la ramasse qui est le nôtre, ni la fonction présidentielle qui n’avait vraiment pas besoin de cela pour être la risée du monde, dans Merci pour ce moment Valérie Trierweiler dépeint page après page un François Hollande froid, menteur, calculateur, malotru, couard, d’une muflerie effrayante, lâche, égocentrique et méprisant du peuple.

Elle rapporte par exemple un repas de famille, sa famille à elle, les Massonneau, suite auquel Hollande dans un petit ricanement de mépris pour leur condition modeste lui balance à la figure « elle n’est quand même pas jojo, la famille Massonneau ». Ce président-là n’aime pas les pauvres, les « sans dents », se sentant nettement plus à sa place chez les parents de Julie Gayet qui, eux, ont le bon goût de posséder un château cossu du XVIIe siècle. Valérie Trierweiler prend soin de préciser que sa propre famille est à l’image des électeurs de Hollande. Nous ne saurons pas ce qu’il a répondu à cela…

Elle raconte encore ce rire plein de muflerie qu’il a eu un jour et qu’elle a reçu comme une gifle lorsqu’une femme a abordé Hollande pour lui demander de ne pas épouser « Valérie », alors qu’il aurait dû normalement prendre la défense de celle qui partageait sa vie, celle à qui précisément il a demandé par trois fois de l’épouser, dont la dernière il y a seulement quelques semaines.

L’homme dont elle nous brosse le portrait dans une suite d’anecdotes est clairement avide de pouvoir et de reconnaissance, de possession. Il veut posséder son ex compagne même au-delà de leur séparation, l’empêcher de tourner la page, de passer à autre chose. Il décortique son emploi du temps, suit ses moindres pas, la harcèle de multiples textos chaque jour. Il l’a répudiée comme une malpropre aux yeux du monde entier mais veut tout de même en garder le contrôle par jalousie, par égoïsme, mais aussi comme rempart réconfortant face à sa chute dans les sondages. La répudiée doit se rendre disponible pour compenser cette image déplorable que lui renvoie à la face ce méprisable peuple français de si petite extraction. Valérie, qu’il a abandonnée seule en la jetant négligemment sur un lit pour courir retrouver Julie Gayet alors qu’elle venait d’avaler un paquet de comprimés, devrait aujourd’hui lui revenir pour l’aider à conjurer la détestation et le rejet violent qu’il suscite dans l’opinion publique.

Elle relate cette phrase qu’Hollande a eu à son retour du Mali où il disait, parlant de cette visite, qu’il « s’agissait du plus beau jour de sa vie politique », ce à quoi elle a répondu que « si le plus beau jour de ta vie politique n’est pas le jour où les Français t’ont élu président de la République, alors ils ont eu tort ». On ne saurait mieux dire. On mesure tout le mépris pour la fonction que les Français – du moins une partie d’entre eux – lui ont confiée. Le pouvoir le grise même au point de considérer que Fabius a raté sa vie parce qu’il n’a jamais été président, un point de vue qui nous fait rire jaune. Le devoir consistant à prendre soin du pays qu’on lui a confié semble par contre lui être tout à fait accessoire.

« Les hommes de pouvoir perdent très vite le sens des limites », explique le psychiatre de V. Trierweiler qui ajoute qu’Hollande serait atteint du « syndrome du gagnant », lui l’éternel perdant, le poissard, le sans stature, lui qui ne doit sa place non à son seul mérite mais parce qu’un autre a failli et que le président sortant n’avait plus la cote. Hollande est là par erreur, par accident, sur un malentendu du destin.

Celui qui fait semblant d’aimer les pauvres mais ne fréquente que des riches, celui qui est né avec une cuillère en argent dans la bouche, ce « sans amis » qui ne côtoie que les fréquentables énarques de la promotion Voltaire avec lesquels il parle politique, aime tellement le pouvoir qu’il veut le garder pour lui seul, ne pas le partager. Laisser une trace dans les manuels d’Histoire pour l’éternité, voilà son ambition ultime, comme d’autres se font cryogéniser par désir fou d’immortalité et par peur de n’être plus, par vanité de se croire indispensable au monde des vivants. Il a soif de pouvoir au point de ne même pas vouloir partager avec sa famille un moment au Palais : « pas une seule fois il n’a invité son père à l’Élysée, ni son frère. Il se veut un destin hors norme, un Président orgueilleusement seul », lui qui n’est là que parce qu’il est arrivé premier dans un concours de circonstances…

L’homme est lâche. Il jure, promet, ment sans cesse par principe et pour gagner du temps, pour ne pas lâcher la proie pour l’ombre, pour éviter l’affrontement, se débarrasser et remettre à plus tard les contrariétés. « Le mensonge est ancré en lui, comme le lierre se mêle à l’arbre ». Peu importe la blessure occasionnée, peu importe la tromperie et la trahison, du moment que cela est bon pour lui. Hollande est lâche et couard au point de ne même pas être capable de dire à sa mère qu’il est en couple avec Valérie. C’est donc à elle qu’il demande de l’appeler pour lui annoncer…

Un chef d’Etat est-il censé être un lâche qui fuit sans cesse ses responsabilités et ment à tout bout de champ ?

« La fonction présidentielle doit être respectée afin de préserver nos institutions » a dit Hollande. Qu’il commence lui-même par la respecter.

La muflerie transpire tout au long du livre avec notamment ce passage concernant la fameuse dépêche AFP annonçant la rupture, dont on mesure après coup, toute l’effarante teneur, quand nous imaginions une toute autre scène : « Il me lit le communiqué de rupture qu’il a prévu de livrer à l’AFP, dix-huit mots froids et orgueilleux, chacun est comme un coup de poignard. Je m’effondre devant la dureté de sa phrase, cette manière méprisante de « faire savoir » qu’il « met fin à la vie commune qu’il partageait avec Valérie Trierweiler »… Je me lève et pars en hurlant : 

– Vas-y, balance-le ton communiqué si c’est ça que tu veux. 
Il tente de me rattraper, de me prendre dans ses bras.


– On ne peut pas se quitter comme ça. Embrasse-moi.
 Il me propose même que nous passions la dernière nuit ensemble… ».

Valérie Trierweiler décrit la proximité presque maladive d’Hollande avec les médias dans une collusion intime, voire charnelle entre média et politique, ces deux branches amantes du pouvoir, toujours si intimement imbriquées « Les journalistes politiques ont essayé de comptabiliser le nombre d’entre eux qui reçoivent des SMS du Président. Ils ont dépassé le chiffre ahurissant de 70 ».

« Il faut juger les hommes politiques sur leurs actes », a dit Ségolène Royal, celle qui disait pourtant d’Hollande qu’il n’avait jamais rien fait de sa vie. Avec le bouquin de celle qu’on a surnommée « la Rotweiller », nous jugeons effectivement les actes d’Hollande et le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils sont encore plus affligeants que ce qu’on imaginait.

Merci pour ce moment de lecture, Mme Trierweiler. Vous n’en sortez sans doute pas grandie et les Français ne vous en aimeront probablement pas davantage, mais au moins les « sans dents » savent maintenant à quoi s’en tenir.

Caroline Alamachère

PS : j’ajouterais qu’on ne saurait trop conseiller à François Hollande de bien vouloir respecter les règles de sécurité routière appliquées aux Français ordinaires qui, eux, doivent payer cher quand ils les outrepassent : « Il est capable de danser le sirtaki sur la chanson de Dalida, même au volant ».

Source Riposte Laïque

 

 

Un nouveau livre gênant pour François Hollande

Un nouveau livre gênant pour François Hollande à paraître en octobre

La saga littéraire contre François Hollande continue. Après les ouvrages De l'intérieur, voyage au pays de la désillusion de Cécile Duflot et Merci pour ce moment de Valérie Trierwieler, un nouveau livre empli de révélations sur le Président de la République verra le jour à la mi-octobre.

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