Le journal italien La Repubblica : “Supprimer Salvini”

Matteo Salvini : "Ils veulent me supprimer. Ils jouent les démocrates et ensuite ils incitent à la haine et à la violence."

A Casalecchio di Reno, le leader de la Lega a tenu un discours face aux journalistes et aux sympathisants en montrant la première page de La Repubblica. "Nous vivons dans un pays étrange où aujourd'hui l'un des principaux journaux en kiosque a pour titre "Cancellare Salvini". Je pense que c'est un titre d'une violence sans précédent".

 

 

"Ils se présentent comme étant des démocratiques. Mais ces messieurs sont les seuls qui incitent à la haine et à la violence, ils devraient avoir honte. Je me demande si l’Ordre des journalistes existe et s’il est normal qu’un journal qui vend des centaines de milliers d'exemplaires attaque personnellement, physiquement et moralement une personne en écrivant 'Supprimer Salvini'".

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Liberoquotidiano.it

 

Pauvreté en Italie: Dans les centres Caritas du sud, il y a plus d’Italiens que de migrants

Les données du rapport Caritas sur la pauvreté parlent d'elles-mêmes: 66% de ceux qui ont demandé de l'aide et de l'assistance dans le Sud sont italiens. Les demandes sont supérieures à celles des migrants.

C'est cela la vérité absurde du rapport 2016 de Caritas sur la pauvreté. Au niveau national, le poids des migrants reste majoritaire, avec un pourcentage qui avoisine les 57% mais dans le Sud, les Italiens ont surpassé les étrangers avec 66,6%.

Après une longue prédominance des femmes, 2015 marque un changement important de la tendance générale. Pour la première fois, il y a une parité entre les hommes (49,9%) et les femmes (50,1%). En moyenne, l'âge des personnes qui font appel aux centres Caritas est de  44 ans.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

Italie: Les contrôleurs ne demandent pas les tickets aux migrants, mais sanctionnent les Italiens. (Vidéo)

Un Italien s'insurge contre l'impunité des migrants (visibles au tout début de la vidéo). Observez le nombre d'Africains dans le train qui viennent profiter de l'Europe: rien que des hommes.

"Savez-vous pourquoi ils me regardent tous comme ça? Parce que le contrôleur à peine passé, cet imbécile que vous avez vu derrière moi au début de la vidéo, qui a fait un wagon entier où il n'y a qu'"EUX", et je n'ai pas besoin de dire de qui il s'agit parce que vous les avez bien vus. Il m'a demandé le ticket.  Alors qu’AUCUN de ces migrants n’a été contrôlé.

Aucun de ces migrants n'avait de billets. Aucun! Ils sont 12 et il y en a encore dans un autre wagon de 20 plus loin (en avant). Aucun d'entre eux n'a de billet.

Et à moi, le contrôleur a voulu m’emmerder parce que mon billet, payé au prix plein, n'était pas oblitéré alors que je l'avais payé. Vous voyez l’heure, le trajet écrits sur le billet etc. J’ai dû insister durant 10 minutes parce qu’il voulait me mettre une amende. Puis il passe, il demande le billet aux autres passagers, les migrants lui rient au nez, le contrôleur se met à rire avec eux. Puis il s’en va.

Nous faisons pleurer l'Italie. Ces migrants extra-Européens viennent, ils nous encu...

Ils ont raison parce que nous avons ce genre de merdes (le contrôleur) qui rient et s'en vont. Bouffon, l’Italie est un bouffon."

https://youtu.be/bSvLpQ0vpU0

Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Bangladesh : avant d’être tués, les captifs incapables de réciter le Coran ont été torturés par les islamistes

Lors de la prise d'otage qui a coûté la vie à 20 personne le 2 juillet à Dacca au Bangladesh, les terroristes se seraient livrés à des actes de torture sur leurs otages occidentaux. Les liens entre ces terroristes et l'Etat Islamique restent flous.

«Les assaillants ne se sont pas comportés brutalement avec les Bangladais, ils leur ont donné à manger. Ils testaient la religion de chacun en leur demandant de réciter un extrait du Coran. Ceux qui pouvaient citer un verset ou deux étaient épargnés. Les autres étaient torturés», a confié l'un des survivants au Daily Star.

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Pour le juge italien Imposimato, « l’OTAN est une menace pour la Paix et la sécurité dans le monde »

Voici le discours du juge italien antimafia Ferdinando Imposimato, président honoraire de la Cour de Cassation italienne, prononcé lors d’une réunion à Rome le 26 octobre dernier à l’initiative du journaliste italien Giulietto Chiesa.

M. Imposimato est un personnage extrêmement respecté en Italie pour l’ensemble de son combat contre le crime organisé. Le seul fait qu’un homme de sa trempe, aussi connu et inattaquable que lui, se prononce de façon tranchée sur le danger que représente l’OTAN pour la paix dans le monde, mais aussi sur sa vision des attentats du 11-Septembre, devrait provoquer un débat national voire, européen, sur ces questions.

Il n’en est rien, de telles paroles ne seront jamais relayées par les médias grands publics et les journaux télévisés. Dormez bonnes gens.


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Via réseauinternational.net

Vito, un Italien installé en Belgique depuis près de 50 ans, mineur retraité, est expulsé par l’Office des étrangers

NDDB : Le monde à l'envers !

Il s’appelle Vito et est venu avec sa famille en Belgique dans les années 60 alors qu’il n’avait que 9 ans. Comme beaucoup d’Italiens, son père venait travailler à la mine. Et Vito en a fait autant jusqu’à la fermeture des mines du Limbourg où il a toujours vécu. Aujourd’hui retraité, il se fait expulser par l’Office des Etrangers.

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Italie : parking occupé par les musulmans le jour de prière

Le djihad arrive aussi jusqu’au parking de Legnano, une ville près de Milan. Si tu es Italien, ou mieux, si tu n’es pas musulman, tu ne peux pas te garer où tu veux ni à une heure précise : le tout dans un parking public.

Le journal ilGiorno fait état de cette incroyable histoire. Le stationnement est donc interdit tous les vendredis de prière. Un calvaire, qui serait   imposé par la communauté musulmane de la rue du XX septembre, plus précisément dans les environs de l’association culturelle italo-arabe, un lieu de culte.

Ce sont des résidents, des commerçants qui travaillent dans cette zone qui ont dénoncé à la police locale une situation « inacceptable qui risque de se finir avec les mains ».  

« Tous les vendredis de prière de 12 à 14 heures, des « sentinelles » enveloppées de tuniques et de voiles se postent au parking public et laissent se garer que ceux qu’ils croient musulmans. Si tu n’es pas l’un d’eux, ils te répondent que ce parking est réservé. Et si tu protestes, tu risques d’être injurié. Parfois, la bagarre est frôlée ou des voitures sont endommagées. »

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