Gênes (Italie) : au nom des migrants et pour contrer le consumérisme, un prêtre refuse de célébrer Noël dans sa paroisse

Pour la deuxième fois consécutive, NOUS NE CELEBRERONS PAS NOËL comme acte liturgique par excellence. Nous le faisons par respect pour le mystère fondamental de la foi, aujourd’hui emporté et enterré par l’orgie du consumérisme et par la scénographie païenne, dont la plupart des chrétiens sont complices et collaborateurs.
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Du pur matérialisme. Les chrétiens, oubliant la "Parole qui se lance au milieu de la terre", font semblant de ne pas savoir que ce "jet" est un murmure d'amour au monde entier et non la raison de l'exclusion de ceux qui sont différents, réfugiés, pauvres, persécutés.
NOËL EST DEVENU LE CONTRAIRE DE CE QU'IL DEVRAIT ÊTRE. SI JÉSUS NAISSAIT AUJOURD'HUI, IL DÉSERTERAIT NOS ÉGLISES ET NOS CONTRÉES POUR S'INSTALLER EXCLUSIVEMENT AU MILIEU DES MIGRANTS. ET SON BERCEAU NE SERAIT PAS UNE GROTTE, MAIS UN BATEAU AU MILIEU DE LA MER ET LES MAGES NE VIENDRAIENT PAS SUR DES CHAMEAUX ET DES DROMADAIRES, MAIS SUR DES PATROUILLEURS ET DES BATEAUX D'ONG AVEC DES COUVERTURES DORÉES POUR RÉCHAUFFER LA PERSONNE DE DIEU QUI VA VERS LES PAUVRES.

Il y a une limite à tout, on peut penser ce qu'on veut, mais fêter Noël aujourd'hui serait complices de la désacralisation de la pauvreté et de la dignité des pauvres, "alter Christus", image du Dieu invisible qui nous interroge parce que "vous aurez toujours les pauvres avec vous." (Mc 14.7).

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour les Observateurs.ch)

Paolofarinella.eu (PDF)


Rappels :

Italie : le chant communiste Bella Ciao entonné dans une église

Italie : un Jésus noir dans une crèche pour victimiser les migrants

Italie : Près de la moitié des viols en Italie sont commis par des immigrés

Italie : en situation irrégulière et hébergé dans logement social, un Marocain qualifiait les Italiens de « chiens qui méritent d’être égorgés »

Turin (Italie) : mécontents de la nourriture servie, des migrants mettent le feu au centre de rétention et blessent un policier

 

Pont effondré de Gênes: des “Allah Akbar” retentissent pour les 2 morts musulmans durant les funérailles catholiques

Nice-Matin en profite pour clamer que "l'extrême-droite gouverne l'Italie et que les étrangers sont les victimes de nombreuses violences". En sachant ce que subissent les Italiens de la part des migrants depuis des années, un tel commentaire est non seulement non professionnel mais démontre la nocivité de la presse de gauche et sa proportion à publier des fake-news.

 

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Quatre "Allah akbar" ont retenti dans un silence respectueux lors d'une parenthèse ménagée en hommage à deux victimes musulmanes pendant les funérailles d'Etat catholiques après l'effondrement du pont de Gênes.

En présence de tous les plus hauts responsables de l'Etat et de dizaines de prêtres, un imam a mené quelques minutes de prière psalmodiée en silence et ponctuée de quatre "Allah Akbar" (Allah est le plus grand), conformément à la formule rituelle des prières funéraires.

(...)

Nicematin.com

 

Nos remerciements à Anastasia et à Wilhelm

Pont effondré à Gênes : Matteo Salvini et Luigi Di Maio chaleureusement applaudis par la foule lors des funérailles, les élus de gauche insultés

La cérémonie solennelle catholique a duré un peu plus d’une heure dans un grand hall du parc des expositions de Gênes, en présence des plus hauts responsables de l’Etat et de milliers d’habitants de ce port du nord de l’Italie. De longs applaudissements ont salué la lecture des prénoms des 38 morts identifiés et l’évocation des dernières victimes encore non identifiées.

 

 

Des insultes et des sifflets destinés aux vieux politiciens, des ovations pour leurs héritiers. La foule rassemblée pour l’Hommage national a reconnu l’ancienne ministre de la Défense Pinotti, et là les cris ont commencé, amplifiés par l’apparition du secrétaire du Parti démocrate (gauche) Martina.

 

«Va-t-en», «assez» et «honte» sont les épithètes les plus récurrentes. Alors que peu après la même foule a chaleureusement acclamé les ministres Matteo Salvini et Luigi Di Maio.

Ils sont arrivés ensemble et, avec le pas assuré de ceux qui représentent le nouveau monde, ils ont pris position derrière les cercueils. C’était la consécration, même un peu sauvage, de leur popularité.

 

 

 

(…) Face à l’émotion et à la colère, le gouvernement a attaqué Autrostrade per l’Italia, la famille Benetton qui contrôle le groupe, l’incurie des gouvernements précédents et l’Union européenne. Vendredi, le ministère des Infrastructures a officiellement adressé un courrier à Autostrade en vue de révoquer la concession de la société sur le tronçon du pont.

(…)

Challenges Via Fdesouche.com

Italie : « Nous ferons payer vos enfants ! », un clandestin sénégalais laissé libre après des menaces d’attentat

« Nous ferons payer vos enfants » a scandé la veille de Noël un migrant sénégalais dans un bus circulant dans la ville de Gênes, en Italie. Ce dernier menaçait de poser des bombes dans la ville.

Le musulman africain, âgé de 38 ans, a promis que les africains lanceraient une campagne de terreur en Italie, faisant référence à l’attentat de Berlin. « Nous mettrons des bombes dans Gênes, donc ce sera aussi un joyeux Noël pour vous […] nous ferons payer vos enfants pour tout. Il n’y a pas que les tunisiens qui savent faire ces choses-là » a t’il menacé.

Alertés, les policiers italiens ont rapidement arrêté le bus et interpellé le migrant musulman. Ce dernier n’a pas cessé de proférer des menaces, injuriant le chauffeur, les passagers et les agents de police.

L’enquête a révélé que l’individu avait déjà été arrêté à plusieurs reprises. Bien que migrant clandestin avec un casier judiciaire pour vol aggravé, les juges ont laissé le sénégalais libre.

Source via CivilWarInEurope

Gênes : ras-le-bol général des habitants vis-à-vis de l’invasion de leur ville

Gênes envahie de clandestins. Bagarres et rixes fréquentes, habitants excédés.

Un homme interviewé en début de vidéo, n'en pouvant plus, déclare que parmi ces hommes, un seul sur cent est bien.

Chaque jour, des centaines de migrants africains arrivent dans la ville en provenance du sud de l'Italie. La ville est au bord de l'explosion. Le centre ville est en train de mourir et de plus en plus de Gênois fuient leur ville.

 

Témoignage d'une Gênoise (en italien) :

 

 

Source

De la diversité culturelle (1) : Les gènes ne sont pas les seuls à être héritables, la culture l’est aussi

NDLR : cette série d'articles vous sera proposée régulièrement. Ils ont parus en premier sur Riposte Laïque

Par Jean-Marie Blanc

Au cours d’une carrière professionnelle de chercheur biologiste, j’ai eu maintes fois l’occasion de réfléchir à l’évolution génétique des espèces vivantes, et de constater que l’évolution des civilisations humaines y ressemblait beaucoup. Même naissance, à partir d’un rameau issu d’un groupe plus ancien, même développement conduisant à une période de prospérité plus ou moins longue, et, lorsque le monde évolue, même déclin faute d’adaptation, à part quelques rameaux préludant à de nouvelles naissances… Je suis arrivé à la conclusion qu’entre les caractères anatomiques et physiologiques (dont le déterminisme est génétique) et les caractères idéologiques et comportementaux humains (dont le déterminisme est culturel) existaient des analogies tenant aux grands facteurs biologiques communs que sont l’hérédité, la sélection naturelle et l’évolution.

Lorsqu’est venu pour moi l’âge de la retraite, je me suis intéressé à la société et à la politique de mon pays, et il m’est apparu que le multiculturalisme invivable que nos dirigeants tentent de nous imposer depuis quelques décennies est un véritable contresens biologique : Au même titre que les hybridations génétiques défectueuses ou les introductions d’espèces invasives, les mélanges de cultures incompatibles ne peuvent avoir que des conséquences désastreuses. Pour mieux comprendre ce qui se passait, il me restait à analyser la diversité culturelle et les problèmes qu’elle pose, en adoptant le point de vue matérialiste et amoral qui est celui du naturaliste, et en utilisant la grille de lecture constituée par la théorie de l’hérédité et de l’évolution.

Cet article et ceux qui suivront présentent le résultat de ma démarche. À certains lecteurs, ce travail paraîtra sans doute trop distancié et insuffisamment mobilisateur, d’autres peut-être le trouveront même franchement cynique. Mais cette distanciation me semble utile pour prendre conscience des contraintes naturelles qui ont fait notre humanité telle qu’elle est, et apporter ainsi une vision plus réaliste du problème identitaire. Ce premier article introduit la notion d’hérédité culturelle en parallèle à l’hérédité génétique.

La culture n’est pas innée mais elle est héréditairement transmissible

Il y a quelques millions d’années, nos ancêtres primates ont subi une évolution caractérisée (entre autres) par un développement crânien et laryngien permettant l’acquisition et la transmission – l’une ne va pas sans l’autre – de la connaissance. En est résulté l’apparition, à côté de l’hérédité génétique, d’une hérédité culturelle beaucoup plus complexe (tant dans ses mécanismes de transmission que dans sa capacité évolutive et sa diversité), mais obéissant à la même loi : point de morale, mais un seul juge de paix, la sélection naturelle, qui a favorisé non seulement les individus, mais aussi les tribus et les peuples, les mieux adaptés. (1)

L’hérédité culturelle n’est pas spécifique à l’être humain. Chez certaines espèces d’oiseaux, par exemple, on a pu montrer que les modulations du chant, apprises par les jeunes à l’écoute des adultes du voisinage, présentent des caractéristiques stables qui différent d’une population à l’autre, donc une transmission héréditaire. Mais cela est sans commune mesure avec l’hérédité culturelle humaine qui, au travers des langues, de l’art et des coutumes, et même de la pensée (notamment philosophique et religieuse), a complètement pris le pas sur l’hérédité génétique : Ce qui différencie les populations humaines au point d’avoir créé entre elles de véritables barrières, ce ne sont pas tant les caractères génétiques que les caractères culturels. Or, contrairement à une croyance largement répandue, ceux-ci ne s’opposent pas radicalement à ceux-là, car les principes de l’hérédité, de la sélection naturelle et de l’évolution s’appliquent aux uns comme aux autres.

C’est en effet une vision simpliste que d’opposer « l’inné » (génétique et héréditaire) à « l’acquis » (dû au milieu et modifiable). Tout d’abord, génétique et hérédité ne sont pas synonymes : notre sexe, par exemple, est parfaitement génétique, mais évidemment pas héréditaire ; en revanche, une fortune, qui n’a pas grand chose de génétique (surtout si elle a été gagnée au loto !), est quand même un patrimoine héréditairement transmissible – la culture l’est aussi, quoique différemment. Ensuite, la plupart des aptitudes des êtres vivants tiennent à la fois de l’inné et de l’acquis, des facteurs génétiques et des effets de milieu, qui peuvent même, dans certaines fonctions telles que la maternité, être intimement mêlés. Enfin, notre patrimoine culturel personnel, bien qu’étant « acquis », n’est pas totalement indépendant de nos gènes car nos compétences, voire nos modes de pensée, dépendent un peu de nos aptitudes individuelles, dont le déterminisme est partiellement génétique.

Il est même un caractère génétique particulier que la culture ne fait que renforcer d’une manière inextricable, c’est le sexe. Hommes et femmes ont des mentalités différentes du fait, à la fois, de leurs hormones (2) et de l’éducation. Il est certain que la société impose des rôles respectifs aux hommes et aux femmes, selon la façon dont les sexes sont perçus dans le patrimoine culturel du peuple concerné – on peut en penser ce que l’on veut sur le plan éthique. Il n’en reste pas moins que, de toute évidence biologique, imaginer que le « genre » (l’orientation sexuelle) pourrait se déterminer pour tout un chacun indépendamment de la réalité génétique est une aberration totale : Déférence gardée envers Simone de Beauvoir, on naît femme avant de le devenir.

Les « mèmes », comme les gènes, sont « égoïstes »

Revenons à notre hérédité culturelle. Son analogie par rapport à l’hérédité génétique est telle que le biologiste Richard Dawkins, dans un ouvrage resté fameux, « Le gène égoïste » (3), a imaginé le patrimoine culturel comme un ensemble d’éléments susceptibles de se transmettre par réplication (à la manière des gènes), auxquels il a donné le nom de « mèmes ». Bien sûr, à la différence des gènes qui sont très concrètement des segments d’une macromolécule chimique appelée ADN (acide désoxyribonucléique) que l’on sait analyser, les mèmes sont des éléments virtuels – encore qu’ils se traduisent sans doute dans notre cerveau par des connexions neuronales. Les mèmes n’ont donc pas de structure rigide et peuvent évoluer par déformations progressives contrairement aux gènes dont les mutations sont brutales et souvent délétères. Il reste que, comme les gènes, les mèmes se répandent dans les populations humaines selon un mécanisme « égoïste ».

La théorie de Dawkins sur l’évolution, dite du « gène égoïste », ne consiste évidemment pas à attribuer aux gènes quelque sentiment ou stratégie que ce soit, mais à montrer que tout se passe comme si le gène, unité fondamentale de la vie, n’avait d’autre finalité, en tout « égoïsme », que d’approcher l’immortalité en disséminant un maximum de copies de lui-même – quitte pour cela à s’associer avec d’autres gènes pour construire des organismes (y compris vous et moi) qui ne seraient pour lui que des « machines à survie ». En effet, plus la valeur sélective de la « machine » (survie, reproduction) est élevée et plus les gènes qu’elle contient pourront produire de copies : Aucune morale là-dedans, mais, dans un univers impitoyable, la sélection naturelle comme seul arbitre.

Un raisonnement identique peut être fait pour les mèmes humains qui se propagent de cerveau en cerveau en s’associant avec d’autres mèmes pour composer le patrimoine culturel. Plus ce patrimoine contribue à renforcer les individus et surtout la communauté qu’ils constituent, plus cette communauté pourra s’élargir et dominer les autres ethnies, donc plus ses mèmes pourront se copier dans d’autres cerveaux. Ici non plus, point de morale : une mode, un air de musique ou une croyance ne se propagent pas parce qu’ils sont bons d’un point de vue éthique, mais parce qu’ils sont porteurs d’un avantage sélectif direct ou indirect, ne serait-ce que le bien-être de l’individu qui les adopte.

Dawkins conclut son chapitre sur la transmission culturelle par ces mots : « Nous sommes construits pour être des machines à gènes et élevés pour être des machines à mèmes, mais nous avons le pouvoir de nous retourner contre nos créateurs. Nous sommes les seuls sur terre à pouvoir nous rebeller contre la tyrannie des réplicateurs égoïstes ». Cela est exact en théorie, mais d’une part, ainsi que nous le verrons (dans le prochain article), la liberté de pensée est très inégale selon les cultures ; d’autre part, même dans la nôtre, nous ne pouvons nous « rebeller » qu’en nous appuyant sur une connaissance objective de nous-mêmes : Il n’est pire tyrannie que celle dont on n’est pas conscient.

Jean-Marie Blanc