Un Syrien de 28 ans a été interpellé lundi soir à Fribourg. Il venait d'agresser au couteau un Jordanien de 46 ans. Les faits se sont produits devant l'ancienne gare de la localité.
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Un Syrien de 28 ans a été interpellé lundi soir à Fribourg. Il venait d'agresser au couteau un Jordanien de 46 ans. Les faits se sont produits devant l'ancienne gare de la localité.
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Le château de Rosière, situé à Grolley (FR), pourra accueillir des requérants d’asile. La préfecture a donné son feu vert à la réaffectation de cette bâtisse du XIXe siècle, propriété d’une fondation administrée par l’Evêché de Lausanne, Genève et Fribourg. Les autorités communales, qui demandaient une mise à l’enquête, ont donc été éconduites. De même que les 752 pétitionnaires qui souhaitaient un destin plus «noble» pour cette résidence. Le Conseil d’Etat fribourgeois leur a répondu cette semaine de manière plutôt sèche: "Des drames humanitaires se jouent quasiment sous nos yeux."
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L'enquête a révélé que cet homicide s'inscrivait dans le cadre d'un conflit impliquant deux familles kosovares, indique vendredi le Ministère public fribourgeois dans un communiqué. La vendetta a entraîné la mort d'au moins 12 personnes des deux clans entre 2000 et 2014, sans compter le décès d'une dizaine d'autres personnes apparentées.
Le centre auquel s’attaque l’UDC n’en est déjà plus au stade de projet. Il a démarré ses activités depuis plus de six mois. Son directeur, le théologien allemand Hansjörg Schmid, entré en fonction en janvier, a donné un cours durant le semestre d’été, portant sur des questions éthiques en Europe, sous l’angle des théologies islamique et chrétienne. Dès le mois de septembre, il sera rejoint par le théologien musulman Serdar Kurnaz, qui codirigera le centre. Il vient en outre de consolider son assise avec l’obtention d’un financement privé de 1,4 million, promis par la fondation zurichoise Mercator.
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Alain Jean-Mairet n’est pas habilité à réclamer l’expertise. Et le procureur adjoint lui-même affirme qu’il n’a pas le droit, juridiquement, de la rendre publique.
C’est un non sec et sonnant que le procureur adjoint du canton de Fribourg Markus Julmy a adressé à Alain Jean-Mairet, avec copie au spécialiste du droit arabe Sami Aldeeb. Le
procureur refuse de communiquer l’expertise sur la fatiha qu’il a commandée à
« l’islamologue » Mallory Schneuwly Purdie parce que le dénonciateur n’est pas partie à la
procédure (les arcanes du droit sont impénétrables). C’est sur cette expertise pourtant qu’il
fonde son ordonnance de classement pour incitation à la discrimination et à la haine. (voir le point d’Alain Jean-Mairet paru hier).
La dénonciation de Jean-Mairet s’appuie sur la brochure « La Fatiha et la culture de la
rédigée par Sami Aldeeb, l’un des plus grands connaisseurs du droit arabe. Celui-ci a aussitôt envoyé un message, vendredi, à Markus Julmy pour lui réclamer à son tour cette expertise au motif qu’elle met gravement en cause ses compétences. Il attend la réponse. Elle risque de ressembler comme une sœur à la première.
AJM n’a donc pas le droit d’exiger le document. Mais le procureur, s’il le juge utile, a-t-il lui le droit, juridiquement, de la rendre publique? Réponse de l’intéressé par la voix de sa chargée de presse : «Non, il est impossible de rendre publique cette expertise qui fait partie de la procédure.»
Précision: contrairement à ce que tout un chacun comprend en lisant l’ordonnance, Alain-
Jean-Mairet n’est pas habilité à faire recours.
Rappelons que pour argumenter sa décision de classement, Markus Julmy se base sur ces
affirmations de Mallory Purdie et Rachid Benzine selon lesquelles le 7e verset « ne vise aucun peuple ou membre d’une communauté religieuse déterminée et ne se réfère donc ni aux juifs, ni aux chrétiens ». Ou encore que « les exégèses coraniques sont multiples et extrêmement variées » et « le texte querellé (...) sujet à d’innombrables interprétations ».
Quant à Sami Alddeb, il peut retourner à ses études, ses analyses ne contenant « aucun
argument scientifique valable ». Fallait oser.
Notons enfin que selon le procureur, Jean-Mairet prétend que « le contenu de la Fatiha
propre à inciter à la discrimination raciale ou à la haine ». Le dénonciateur n’a évidemment jamais utilisé l’expression « discrimination raciale » vu qu’il ne considère ni les juifs ni les
chrétiens comme des races… Contrairement à nombre de musulmans pour lesquels se
compter parmi les races est une condition sine qua non pour traiter leurs adversaires de
racistes.
Plus de 2000 députés devront donc se contenter de l’étude approfondie d’Aldeeb et des
citations de l’ordonnance. Mais certains se demanderont peut-être si la véritable raison du
refus de publicité ne serait pas de la part de l’auteure la crainte de voir démonter son savoir
scientifique… Ou plus simplement la peur du ridicule.
Mireille Vallette
Cet homme a attaché sa victime. Il lui a infligé une quinzaine de coups de couteau, l'a frappée avec un pistolet «soft-air», lui a tiré des balles en plastique au visage, l'a étranglée, et lui a tranché la gorge.
Maître Hayat, avocate du prévenu, a appelé à voir la blessure de l'homme derrière ces actes. «On peut aimer mal mais aimer quand même», a martelé l'avocate. L'amour et la haine sont parfois proches, a-t-elle ajouté, concédant que le prévenu a tenu des propos «disgracieux» au sujet de la défunte.
Hier, vers 17 h 30, la police est intervenue dans le hall de la gare de Fribourg à cause d'un individu qui importunait les passants et créait du désordre.
Au moment de son interpellation, l’homme s’est violemment débattu et a frappé les agents de police.
L’auteur des troubles est un ressortissant tunisien de 30 ans (...) en séjour illégal.
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Un couple de quadragénaires kosovars qui a été condamné en tout à 1300 francs d’amende. Émargeant à l’aide sociale, les deux époux avaient omis de signaler qu’ils allaient chaque année passer entre deux et quatre mois au pays (ND CH. H. Aux frais des Suisses). Des périodes durant lesquelles ils n’auraient pas dû toucher d’assistance en Suisse.
Leurs absences régulières et prolongées les rendaient en outre impossibles à placer sur le marché du travail, ce qui aurait pu leur redonner une certaine autonomie. Travailler ne les tentait d’ailleurs pas trop. Surtout le mari, qui prétendait ne pas y être apte en raison de problèmes de dos. Des problèmes qui ne l’empêchaient pas de monter sa voiture sur cric, d’en changer les freins ou de porter des petites choses légères et peu encombrantes, comme un frigo ou une machine à laver…
Cette voiture qu’un tiers avait mise à disposition du couple posait un autre problème: on leur avait expliqué que la possession d’un véhicule est incompatible avec l’aide sociale. Logiquement, les époux se sont donc bien gardés d’en parler au service social
L’un dans l’autre, ce dernier a versé au couple près de 125 000 francs de prestations indues, soit environ 2260 francs par mois sur 56 mois, en moyenne, dont le service social exige maintenant le remboursement.
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Merci à Leb
Lundi, en présentant les statistiques de la criminalité 2014, le commandant de la police fribourgeoise Pierre Schuwey a révélé que la menace djihadiste est concrète en Suisse. Ses services de renseignement ont été les premiers à lancer l'alarme.
«Nous avons constaté que cela commençait à bouger, qu’il y avait des collectes de fonds dans le canton, des tentatives de recrutement, des candidats au départ», a expliqué le commandant Schuwey.
Depuis le début de la semaine, six personnes ont été arrêtées par la police à la suite de vols à l’étalage dans différents commerces du canton de Fribourg. Le butin total de ces différents larcins s’élève à 17'000 francs, indique la police cantonale.
Le premier cambriolage concerne un garage à Posieux. A leur arrivée sur place des patrouilles, les agents ont pu interpeller quatre personnes, toutes de nationalité française.
Le deuxième cambriolage, concerne un centre commercial à La Tour-de-Trême. Les quatre malfaiteurs, tous ressortissants roumains, âgés de 18, 23, 25 et 40 ans, ont été placés en arrestation provisoire pour les besoins de l’enquête.
La Confédération va acheter l’ancien pensionnat de la Gouglera pour le transformer en centre fédéral pour 300 requérants d’asile. Les Singinois accueillent très mal cette décision. La rencontre prévue ce mercredi soir s’annonce tendue
Cet achat annoncé le 13 février s’inscrit dans le cadre de la restructuration du domaine de l’asile. Depuis, la colère gronde dans les villages alentour.
En termes de communication, c’est une catastrophe», déplore Othmar Neuhaus, syndic de Chevrilles. «C’est plus facile pour une ville de demander une compensation, par exemple sous la forme d’une enveloppe pour financer un programme culturel. Mais nous? Nous sommes une petite commune de 1500 habitants, pas connue en Suisse. Alors on pourra faire ce que l’on veut, on sera dorénavant connu comme le lieu qui abrite un grand centre de requérants.»
Toute la région se sent méprisée par les autorités. «Nous payons nos impôts et qu’est-ce que nous recevons en retour? », déplore Anton Neuhaus, le patron de bistrot qui ne croit pas une seconde que ce centre puisse profiter économiquement à la région.
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L'UDC fribourgeoise persiste et signe dans son opposition au Centre Islam et Société de l'Université de Fribourg. Son comité central a voté en faveur d'une initiative pour faire barrage à cet institut.
Cette initiative populaire vise à modifier la constitution cantonale en introduisant «une base légale n'autorisant pas la création d'un centre 'islam et société' tel que projeté et empêchant ainsi qu'une quelconque formation étatique d'imams soit instaurée».
L'institut est dédié à la recherche et au dialogue interreligieux. De premiers cours seront donnés dès février par Hansjörg Schmid, et un professeur invité arrivera cet automne.
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Ou comment utiliser l'une de nos traditions pour mieux nous déposséder de notre pays... la perversité de la gauche est sans borne.
Dans son discours, à l'issue du cortège, le Saint-Nicolas a notamment évoqué le 9 février: «Je suis très inquiet pour vous. Mes précieux Helvètes, pourquoi prôner l'égoïsme et le repli sur soi, alors que le partage est source de joie infinie?», s'est-il interrogé.
Fribourg • Après le rassemblement de samedi sur la place Python, les députés Nicolas Kolly et Stéphane Peiry interpellent le Conseil d’Etat.
http://youtu.be/wULLZ1W7IsM
Prières dans la rue, appel à la prière, drapeaux musulmans, prêche en arabe... voilà ce qu'est devenu notre pays en l'espace d'une poignée d'années, avec la collaboration active de la gauche. Remarquez la grande proportion de femmes parmi les manifestants musulmans.
https://www.youtube.com/watch?v=Ts4t6oOzJIU
http://youtu.be/wULLZ1W7IsM
La manifestation du Conseil central islamique suisse (CCIS) s'est déroulée sans incident majeur, mais tout de même sous tension samedi à Fribourg. La police est néanmoins intervenue en fermant une rue pour éviter un affrontement.
Une vingtaine de personnes se sont rassemblées à proximité du lieu de la manifestation, criant des slogans tels que: «Kurdistan libre» et «Etat islamique terroriste», faisant naître une certaine tension qui a incité les policiers à intervenir. Les forces de l'ordre ont éloigné le groupe des contre-manifestants dans la rue piétonne adjacente, dont ils ont fermé l'accès par précaution.
Face à un public plutôt jeune, où les femmes étaient très représentées, les orateurs ont beaucoup thématisé l«islamophobie et l«égalité face aux droits fondamentaux. Le préfet Carl-Alex Ridoré, qui avait interdit le rassemblement initialement prévu à Forum Fribourg, a été souvent pris à partie.