Lausanne – 40% d’étrangers: Subventions au service des droits politiques des étrangers

Rappel: Les impôts à Lausanne sont parmi les plus élevés du canton.

La commune va couper sa subvention à la faîtière censée représenter 40% de la population. La Ville veut un interlocuteur plus crédible que cette entité en crise.

Sur les quelque 140 000 habitants de Lausanne, 40% sont des étrangers. Ceux-ci ont une association qui les représente et qui bénéficie d’une subvention annuelle de la Ville, à hauteur de 150000 fr. Sa principale mission était de servir de relais entre les communautés étrangères et les autorités.

Le Forum avait activement milité en faveur des droits politiques des étrangers.

Mais, miné par des querelles intestines, le Forum des étrangères et étrangers de Lausanne (FEEL) s’est scindé: Deux présidents et deux comités s’entre-déchirent. Une équipe crie à la mauvaise gestion alors que l’autre nie toute faute comptable. «Il y a une mainmise des Africains et des Latino-Américains», fustige Diego, un Espagnol de Lausanne.

Source

 

 

Cesla Amarelle: “Juges étrangers: vitaux pour la démocratie”

L’initiative «Le droit suisse prime le droit étranger» attaque la Cour européenne des droits de l’homme et ses juges. C’est une diatribe populiste mensongère pour saper l’Etat de droit.

Par le passé, tous les grands hommes de pouvoir (de Gaulle, Jefferson, Roosevelt, etc.) y sont allés de leur diatribe pour contrer l’interprétation des lois par les juges, surtout lorsque celles-ci touchent à la constitutionnalité. Aujourd’hui, ce sont surtout les populistes qui cherchent depuis 2004 à imposer leur loi. Ils cherchent en particulier à faire appliquer des règles d’automaticité pour le renvoi des délinquants étrangers qui anéantissent tout pouvoir d’appréciation des juges. Dernière volonté en date pour imposer l’automaticité des renvois: une initiative pour faire prétendument primer le «droit national» sur le «droit international» qui cherche à éradiquer la Convention européenne des droits de l’homme et ses juges.

Entre 1974 et la fin 2013, seul 1,6% de l’ensemble des requêtes enregistrées contre la Suisse ont abouti à un constat de violation. Par ailleurs, lorsqu’une affaire est déclarée recevable (ce qui est très rare), la Cour parvient dans 83% de ces cas à un constat de violation. Dans le cadre des affaires suisses, seuls 60% des affaires considérées comme recevables aboutissent à un constat de violation (sic! oui "seulement" 6 cas sur 10). Ensuite, la Suisse n’est nullement menacée dans sa souveraineté par la Cour européenne des droits de l’homme. Cette cour n’est ni «réformiste» ni «cassatoire», elle est juste «violationniste», c’est-à-dire qu’elle se contente de constater une violation de la CEDH lorsqu’elle l’observe et laisse les cours nationales faire le nécessaire. Elle n’a pas vocation à jouer la «quatrième instance».

Enfin et plus généralement, il importe de reconnaître l’importance considérable des juges et de certaines de leurs jurisprudences pour la vie des Etats démocratiques modernes. En Suisse, le retard par rapport aux autres Etats européens dans l’introduction du droit de vote des femmes a été causé par la démocratie directe, en particulier par le refus d’introduire le suffrage féminin sur le plan fédéral en 1959. Une fois introduit en 1971, le Tribunal fédéral va finir par contraindre le demi-canton d’Appenzell Rhodes-Intérieures à appliquer le suffrage féminin. Les électeurs de ce canton avaient en effet massivement refusé en 1959 et confirmé ce refus en 1990 sur le plan cantonal.

Sur www.hebdo.ch retrouvez tous les billets de cesla amarelle dans son blogLe dessous des cartes


L’auteure

Cesla Amarelle enseigne actuellement les droits humains, le droit de la libre circulation des personnes et le droit des migrations. Elle est également conseillère nationale (PS/VD) et présidente de la Commission des institutions politiques.

(ND Christian Hofer: En clair, absolument rien en faveur des Suisses)

 

Nos remerciements à Theo Theo

“Fils d’étrangers accueillis en Suisse, je demande que les nouveaux arrivants respectent les règles”

Le jeune candidat PDC tessinois, Oreste Pejman (photo), est actuellement attaqué par Corrado Mordasini (dessinateur caricaturiste tessinois) qui, par de grossières insultes (il a été jusqu'à comparer le visage du jeune PDC à un cul de poule), le taxe de xénophobe et de raciste suite à certaines de ses positions sur les étrangers.

Ces accusations, Pejman, qui est d'origine iranienne ne les accepte pas et a voulu y répondre.

 

Nous l'avons contacté par téléphone alors qu'il revenait du militaire :

"Je suis fier de faire mon service militaire et de me mettre au service de la société. Je ne suis probablement pas le meilleur soldat qui soit, mais je fais le maximum...".

Oreste Pejman, vous avez été accusé de xénophobie, pourtant vous êtes vous-même d'origine étrangère...

"Exact. Mes parents ont vécu des années terribles : persécutés par le gouvernement islamique iranien parce qu'ils étaient catholiques, ils ont réussi à s'enfuir après moult péripéties en ex-Yougoslavie. Mais peu de temps après leur arrivée, la guerre a éclaté et ils se sont réfugiés en Suisse. La Suisse les a accueillis et leur a donné l'opportunité de se construire un futur. Nous sommes toujours restés reconnaissants envers la Suisse pour cette chance et chaque jours nous faisons tout pour nous comporter en bons citoyens.

Alors, pourquoi maintenant êtes-vous raciste ?

"Mais personne ici n'est raciste ! J'ai seulement demandé que les personnes qui viennent en Suisse le fassent dans le respect total des règles et des procédures comme l'ont fait mes parents. Par contre, ceux qui veulent enfreindre la loi ne méritent pas d'être accueillis dans un pays aussi généreux que celui-ci. Mais les étrangers honnêtes et respectueux restent les bienvenus".

Les étrangers sont les bienvenus...mais vous étiez favorable à l'initiative contre l'immigration de masse...

"Cela ne signifie pas bloquer l'immigration mais la contrôler, en cherchant à accueillir ceux qui le méritent et non pas ceux qui, dès le début, éveillent les soupçons. Quand mes parents sont arrivés en Suisse, il y avait encore le système des contingents, et personne ne leur a fermé la porte au nez".

Est-ce que l'immigration a changé ces dernières années ?

"Je dirais que oui. Avant, celui qui arrivait, faisait tout son possible pour s'intégrer le mieux possible, ce qui facilitait son acceptation au sein de la communauté suisse. Mais aujourd'hui il y a des gens qui croient que tout leur est dû. Ceci est la faute d'une politique trop permissive de la part de certains partis politiques qui font croire que tout est dû.  Je le répète, je suis le premier à vouloir que la Suisse reste un pays d'accueil pour les moins chanceux, mais ceux qui arrivent doivent respecter les règle d'un pays qui fonctionne. Cela me semble vraiment le minimum".  

Source en italien

L’EPFL pourrait limiter le nombre d’étudiants étrangers

On rappelle que Patrick Aebischer était inquiet du résultat du 9 février, ce qui ne le prive pas de penser à limiter aujourd'hui le nombre d'étrangers à l'EPFL. Comment se fait-il qu'il n'ait pas la même compréhension pour ses compatriotes?

Si le nombre d'étudiants continue de croître, «un numerus clausus pour les étudiants étrangers est probablement inévitable», selon Patrick Aebischer, président de l'EPFL, cité ce dimanche 19 octobre par la Schweiz am Sonntag, et dont les propos ont été confirmés par Madeleine von Holzen, porte-parole de la haute école.

 

Source

Tessin : une dame de 76 ans agressée à Lugano

Le fils raconte l'agression subie par sa mère :

“Ma mère a été agressée ce matin par un étranger : c'est ça l'intégration ?"

"Ce matin vers 7h, au Corso Evezia, une des rues principales de Lugano, ma mère de 76 ans allait tranquillement chercher du pain à la boulangerie située devant l'université. C'est alors qu'un jeune homme de couleur l'a agressée pour lui voler son collier et son portemonnaie. Suite à la violence de l'attaque, il l'a quasiment déshabillée en lui arrachant son maillot.

Maintenant, évidemment, elle est complètement paniquée et sincèrement, je ne sais pas si elle aura encore le courage de sortir de chez elle comme elle le fait depuis des années.

Je me pose des questions : est-il normal qu'une vieille dame doive vivre maintenant dans la peur,  est-il normal que nous, citoyens, ne puissions plus vivre tranquilles et soyons en plus obligés d'entretenir des personnes qui font du mal à tellement de gens innocents sous prétexte qu'ils fuient une situation difficile ? Je trouve que c'est une honte et je ne crois plus les gens de certains partis politiques qui viennent me raconter toutes ces balivernes sur l'intégration ! Ce n'est pas à nous à devoir nous intégrer au style de vie du Bronx, ce sont eux qui devraient nous montrer un minimum de respect.

Quelle honte !

J'espère que quelqu'un agira, et vite. Aujourd'hui c'est arrivé à ma mère, mais demain cela arrivera peut-être à un de vos proches.

Toni

Source en italien

 

 

En 2014, 60 millions de subsides pour la caisse-maladie accordés aux étrangers

Lorenzo QuadriPar Lorenzo Quadri, conseiller national tessinois

En 2014, 60 millions de subsides pour la caisse-maladie ont été accordés aux étrangers, dont 17,1 millions à des titulaires de permis B, c'est à dire à des personnes qui, ayant obtenu l'autorisation de s'installer en Suisse,  devraient être financièrement auto-suffisants.

Donc, au Tessin, les étrangers ne sont pas si mal lotis, il me semble. Et pourtant, nous sommes un canton de racistes. Des illuminés nous le serinent jour après jour. Les mêmes qui veulent des frontières ouvertes à tout vent. Les mêmes qui nous répètent que "nous devons nous ouvrir".

Aux dernières nouvelles, dans notre riant canton, les étrangers représentent désormais le 27,2% de la population. Parmi les 5'000 personnes supplémentaires recensées en 2013, les 2 tiers sont étrangères. A-t-on jamais vu une telle croissance dans un pays raciste ? Il n'existe évidemment qu'une seule et unique réponse : NON.

Mais ces derniers jours, une nouvelle intéressante nous est parvenue. Les médias du régime (qui pourtant auraient besoin de remplir leurs pages) ne semblent pas l'avoir considérée comme digne de retenir leur attention. Il était évidemment plus important de faire un papier [...] sur Francesco Paolo Campione, directeur du Musée des Cultures à Lugano.

 

17,1 millions aux permis B

Le Conseil d'Etat a répondu à une interpellation du chef de groupe de la Lega, Daniele Caverzasio, au sujet des subsides pour la caisse maladie accordés aux étrangers. Les chiffres, reportés ci-dessous, sont exorbitants.

En l'an de grâce 2014, les subsides, au total, atteindront 165 millions de frs. (...) Sur ces 165 millions, environ 60 millions finiront dans les poches des étrangers. Un peu moins de 43 millions seront accordés aux permis C et 17 millions aux permis B.

 

Migration vers l'Etat Social

C'est particulièrement ce dernier chiffre de 17 millions qui mérite d'être imprimé en gros caractères. 17 millions de nos impôts sont utilisés en subsides pour la caisse maladie de titulaires de permis B.

Là, il y a quelque chose qui ne va pas. Car normalement, le permis B ne devrait être délivré qu'à des personnes indépendantes financièrement. Sinon, c'est une immigration sociale. Et c'est justement ce type d'immigration que, face à la libre circulation, les pays membres de l'UE sont en train de combattre. Et ces idiots de Suisses non seulement le tolère mais l'encourage, même : "Ils ont absolument le droit de recevoir des subsides ! On ne peut (?) faire de discrimination"!

 

Bon, allons-y comme ça !

L'assurance maladie est une assurance obligatoire. Elle n'est pas en option. L'immigré qui a besoin d'une aide de l'Etat pour payer son assurance, n'est pas en mesure de s'assumer financièrement. Il pèse nécessairement sur la société du pays qui l'accueille. 17 millions par année ne sont pas des peanuts. Pour cette raison, la personne ne pouvant s'assumer financièrement ne doit pas avoir la possibilité d'obtenir un permis B et, respectivement, celui qui obtient un permis B ne devrait pas avoir la possibilité de demander des subsides quels qu'ils soient.

Mais on préfère doubler les valeurs cadastrales et mettre dans le besoin des propriétaires de maisonnettes ou d'appartements  (projet de la directrice PLR du Département des Finances et de l'Economie, Laura Sadis).  Les Tessinois qui possèdent une maisonnette, même s'ils ne vivent qu'avec l'AVS, n'ont pas droit à des subsides. Mais par contre, ces subsides sont généreusement élargis pour les nouveaux arrivants ! Sait-on jamais, sinon, on risquerait d'être accusés de racisme et de xénophobie !

Il est clair qu'il faut enlever ces 17 millions des dépenses publiques.

 

7 frontaliers

Le fait que 7 frontaliers reçoivent des subsides de 16'600 frs pour la caisse maladie est une paille. Cela concerne évidemment le peu de frontaliers qui ont décidé de s'assurer en Suisse, pour un coût supérieur à celui de l'Italie. Pourtant ils ne réussissent pas à payer. Et naturellement le coût en revient au benêt de contribuable suisse...

 

LORENZO QUADRI

Source en italien (Trad. D. Borer)

Droit de vote des étrangers : Le PS veut « travailler la société française »

Droit de vote des étrangers : Jean-Christophe Cambadélis annonce vouloir créer un comité national pour sensibiliser les Français.

« La question est en suspens depuis trop longtemps. J’ai regretté depuis des années qu’il n’y ait pas de campagne pour agir en ce sens. Il est temps de travailler la société française pour qu’une majorité se dégage en ce sens. Le droit de vote des étrangers, c’est une revendication de la gauche, une revendication d’intégration.

C’est aussi une attitude d’ouverture par rapport à l’autre. Contre la tendance à la fermeture et à la stigmatisation de tout ce qui n’est pas de souche et qui, aujourd’hui, a le vent en poupe.

Source via Fdesouche