Pays-Bas : près de 45% des Néerlandaises se sentent en danger dans l’espace public. « Un nombre frappant de femmes évoquent les jeunes d’origine étrangère »

Pays-Bas – Éviter les transports en commun le soir, retenir son souffle quand on passe devant un groupe de jeunes hommes dans la rue et toujours avoir un trousseau de clés ou un spray d’autodéfense à la main pour « s’armer » contre un danger soudain : pour un nombre considérable de Néerlandaises, c’est devenu la réalité quotidienne. 44% d’entre elles se sentent régulièrement en danger dans l’espace public, surtout le soir. C’est ce qui ressort d’un sondage réalisé auprès de plus de 1000 femmes.

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Telegraaf.nl

« Un nombre frappant de femmes évoquent les jeunes d’origine étrangère »

 

Via Fdesouche

Les dangers de l’Islam dans le canton de Neuchâtel

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Par Pierre Hainard  (texte de sa conférence à Malvilliers le 30 janvier 2018)

 

Les dangers de l’Islam en Suisse sont les mêmes dans tout le pays, mais certains cantons, dont Neuchâtel, sont plus exposés que d’autres, les raisons sont certainement multiples. Au niveau fédéral, le gouvernement et les Chambres sont totalement inconscients de ces dangers, soit par déni, dû à leur incompétence, leur naïveté coupable et leur méconnaissance crasse de l’histoire, soit par collusion avec l’Islamisme au nom d’une vision complètement surréaliste des « droits de l’homme », ou vraisemblablement tout cela à la fois.

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Le Conseil d’Etat du canton de Neuchâtel est dans la ligne du Conseil fédéral : pas de bruit, pas d’esclandre, la poussière sous le tapis et occupons-nous de nos finances, là nous maitrisons, pense-t-il.
La stratégie des islamistes : d’une part revendiquer, encore revendiquer, revendiquer toujours, de toute façon les Autorités et une partie de la population céderont : voile des collégiennes dans les écoles, carré musulman contraire à la loi cantonale, horaires de piscine réservés aux femmes, polygamie plus ou moins admise, viande halal, mise en place de muzbnb, plateforme bnb pour musulmans à Verbier,….d’autre part, une propagande islamiste tout azimut et en particulier chez les enfants dans les écoles coraniques. Il est à remarquer que l’égalité femme-homme n’est pas mentionnée dans le projet de loi cantonale sur la reconnaissance des religions. On n’a pas entendu les femmes socialistes à ce sujet, elles qui acceptent la burka, bien qu’inacceptable.
Mme Sommaruga, dans une brève révélation d’une infinie sagesse, vient de nous annoncer que la Suisse devrait prendre quelques mesurettes vu une éventuelle menace terroriste (et pourquoi pas contre une menace islamique. A-t-elle peur de ce mot ou veut-elle encore une fois noyer le poisson ?)
Le canton de Neuchâtel n’a pas encore eu cette révélation !
Pire encore, pour tenter de couler l’initiative pour l’interdiction de la burqa, Mme Sommaruga nous a concocté un contre-projet qui punirait pénalement la contrainte faite à une femme de porter la burqa : à la naïveté qui frise la lâcheté, elle ajoute l’incompétence puisque la contrainte est déjà incluse dans le code pénal à son article 181.
Quant à la presse, elle nous apprend, entre autres, que malgré sa débâcle, l’Etat islamique a les moyens d’agir en Europe et que la menace terroriste subsiste. De nouveau, pourquoi ne pas parler de la menace islamique, menace terroriste certes, mais islamique. Il faudrait avoir la déontologie (ou le courage) de bien définir les menaces par leur nom.
Quant à la justice, un seul exemple : une zurichoise de 31 ans, convertie à l’Islam et radicalisée par le biais de vidéos (sic) a voulu se rendre, avec son fils de 4 ans, à Raqqa, elle a été interceptée à la frontière avec la Syrie et rapatriée en Suisse. Elle représente, selon la procureure du Ministère public, un risque pour la sécurité intérieure. Cette radicalisée est d’avis que faire exploser une bombe sur des civils est un moyen d’atteindre le plus haut niveau du paradis, elle soutient l’EI sans aucune réserve, refuse toute déradicalisation (est-ce possible de déradicaliser ces fous), ne veut aucun contact avec son assistante sociale et ne rêve que d’une chose, c’est de récupérer son passeport et de repartir. Résultat : 18 mois de prison dont 6 fermes et suivre une thérapie durant 12 mois, thérapie sans espoir car elle n’a montré aucune volonté de se déradicaliser.
Voir l’exemple du terroriste Barnouin !

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Nous avons besoin d’une loi anti-terroriste adaptée à la menace mortelle.
Selon un sondage, en France, mais cela doit être la même chose en Suisse, 75% des musulmans se sentent victimes de discriminations, mais seuls 20% peuvent donner un exemple précis de discrimination, et encore, il faudrait connaître le type de discrimination (obligation pour les collégiennes de faire de la gymnastique ?, présence de viande de porc dans les repas ? , la meilleure discrimination est celle de Mme Karmous, dont je reparlerai plus tard, qui affirme « si Tarik Ramadan n’avait pas été musulman, je suis sure qu’il aurait déjà obtenu le prix Nobel de la paix «, suite aux turpitudes réelles ou imaginaires de ce Nobel de l’Islamisme.

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La très grande majorité, cela reste à prouver d’ailleurs, mais admettons-le, des musulmans sont pacifiques, reconnaissent l’Etat de droit et veulent s’intégrer. Dans les années 30, la très grande majorité des Allemands étaient pacifiques, pourtant les nazis, très minoritaires après la première guerre mondiale, et en surfant sur un sentiment de discrimination de leur pays très répandu dans l’Allemagne vaincue tracèrent la route avec un résultat que l’on connait. Ils imposèrent petit à petit, des comportements, comme le boycott des juifs, une tenue vestimentaire, l’endoctrinement des jeunes, le choix des lectures. La République de Weimar, l’Etat allemand n’a peu ou pas réagi, ou en tout cas trop peu et trop tard. Le résultat fut à la hauteur de la lâcheté des uns et de la collusion des autres.
Nos autorités et une partie du peuple suisse ne connait pas ou ne veut pas connaître les leçons de l’histoire. Le cas du Liban est aussi une leçon de l’histoire que beaucoup de monde veut oublier !

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Henri Adrien Calloc'h de Kerillis, député français en 1939, a dit, suite aux lâchetés des démocraties à la conférence de Munich, et en adaptant quelque peu le texte à la situation actuelle en Suisse, j’ai remplacé France par Suisse et Allemagne par Islamisme :
« Je sais bien qu'il y a parmi nous des hommes pénétrés de patriotisme qui espèrent que la Suisse pourra vivre en paix, fière, libre, à côté de cette nouvelle et gigantesque pieuvre qu’est l’Islamisme. [...] Non ! N'espérez pas ! L’Islamisme est insatiable devant les faibles ; l'Islamisme est impitoyable pour les faibles. L’Islamisme ne respecte que les forts et nous venons de lui montrer que nous ne l'étions pas ».
Je vous lis la réponse d’une femme à un imam qui lui reprochait d’avoir quitté la religion musulmane, je cite :

«Après mon retour de la omra (une forme de pèlerinage à la ville sainte de la Mecque) je pensais réfléchir à porter le voile mais j’ai préféré lire le coran en totalité (je suis arabophone heureusement sinon je lirais le coran en phonétique, puisque plus de 85% de la ouma (communauté) est non-arabophone.
J’ai découvert ceci à partir du coran et des hadiths (conversations) :
– qu’avant chaque prosternation et en récitant la sourate 1 et la sourate 112, tout musulman profère des insultes antisémites et christianophobes.
– les non-musulmans sont des bêtes parlantes.
– le racisme
– les ancêtres des juifs sont des singes et des porcs.
– le viol des captives de guerre
– le mensonge= la tekkiya, la mystification
– la pédophilie
– l’inceste
– le vol ou razzia
- la copulation momentanée
– la nécrophilie
– la terreur
– 171 fois le verbe tuer dans le coran …..
– le pacte d’Omar, l’essence même du racisme.
L’islamophobie n’est qu’un masque pour imposer l’islam.
L’éducation que j’ai reçue, ne me permet d’appliquer le coran et d’avoir un proche de mon entourage imitant la conduite du prophète de l’islam. Sa copie conforme est Baghdadi de l’état islamique et c’est pour cette raison que les instances religieuses islamiques refusent de le condamner car il demeure pour l’ouma islamiya, le bon exemple. » fin de citation.

Venons-en au canton de Neuchâtel, bien loti en lieux de culte musulman et de mosquées :

Centre Culturel Islamique de La Chaux-de-Fonds
Association Culturelle des Femmes Musulmanes de Suisse et l’Institut Culturel Musulman de Suisse de La Chaux-de-Fonds
Association Centre Islamique Le Locle
Centre Culturel Bosniaque du Canton de Neuchâtel
Centre Imam-E-Zamana
Fondation Culturelle Anatolia de Neuchâtel
Association Culturelle des Musulmans de Neuchâtel
Centre islamique de Neuchâtel, rue Guillaue Farel 24
Centre islamique de Serrières Neuchâtel (CISN)
Association islamique Cernier
Association centre islamique du Locle

Ce qui caractérise la Suisse en général et le canton de Neuchâtel en particulier, c’est certainement l’influence dévastatrice des frères musulmans.
La Société des Frères musulmans , raccourcie en Frères musulmans (al-Ikhwān al-Muslimūn), est une organisation transnationale islamique sunnite fondée en 1928 par Hassan el-Banna, à Ismaïlia, dont l'objectif officiel est la renaissance islamique et la lutte non-violente contre « l'emprise laïque occidentale » et « l'imitation aveugle du modèle européen » en terre d'Islam. Cette organisation panislamiste est officiellement considérée comme organisation terroriste par un certain nombre d’Etats, dont des états sunnites. Son objectif officiel est d’imposer un Islam rigoureux et la sharia, donc la prédominance du droit musulman sur le droit de l’Etat, selon le principe que « là ou vivent des musulmans, là est la terre d’Islam ». L’utilisation systématique de la mystification, la tekkiya, qui est, entre autres, le droit d’un musulman de mentir pour faire avancer l’Islam, est leur méthode pour progresser vers leurs objectifs.

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Parlons de la Chaux de Fonds, ou sévissent les époux Karmous.
L’époux, Mohamed, fondateur d’au moins dix organisations islamiques, se refusant d’être Frères musulmans, mais la ligue des musulmans de Suisse (LMS) dont il fut Président, se dit membre de l’union des organisations islamistes en Europe (UIOE) qui coiffe la mouvance des frères musulmans (toujours la tekkiya) dont la référence est le recueil des fatwas, présidé par Al-Qaradawi.
L’épouse, Nadia, considérée comme intégrée par le CE de Neuchâtel (déni de la réalité, collusion, incompétence,), défend une pratique rigoureuse de l’Islam, a touché 3 millions de francs pour le musée des civilisations de l’Islam de la part de l’Islamic Charitable society du Koweit, mise sur la liste rouge d’organisations terroristes, ainsi que d’autres donateurs du même acabit. Dans ce musée existe des cours pré et para scolaires où l’on trouve des fillettes voilées séparées des garçons, les filles et les garçons ont chacun leur habillement et où on leur enseigne, à marches forcées, l’arabe, même à des jeunes du Soudan ou des Balkans, qui n’ont rien à voir avec l’arabe.  Alors question : pourquoi cette rage de l’arabe ? Pour construire dans leur tête et ensuite dans les faits, un communautarisme musulman, les empêcher de s’intégrer, puis créer un petit califat géré par la sharia dans la cité. Ne souriez pas, on le voit en Angleterre avec des tribunaux islamiques et en Belgique et en France dans certaines banlieues, puis dans notre Etat cantonal, puis la suite. Ces jeunes de l’immigration, désorientés, mal conseillés par les fonctionnaires chargés d’eux, sont une proie facile pour cette hydre islamique.

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Rappelez-vous : habillement, chants, langue. L’Etat a été averti (interpellation 16.183) mais n’a pas daigné réagir.

Que leur enseigne-t-on dans cet Islam rigoureux ? Tout simplement ce que j’ai indiqué dans la lettre de la jeune femme, et, en particulier que l’islam prescrit le meurtre des apostats (Coran 4.89 ; 8.7-11), affirme qu’entre nous (les musulmans) et vous (les Chrétiens), c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyiez en Allah, seul ! (Coran 60.4) et que pour le Coran, les chrétiens « ne sont qu’impureté (Coran 9.28) », « les pires de la Création (Coran 98.6) », tous condamnés à l’Enfer (Coran 4.48), aussi Allah doit-il les exterminer (Coran 9.30). Il ne faut pas se laisser abuser par certains versets coraniques réputés tolérants, car ils ont tous été abrogés par le verset du Sabre (Coran 9.5). Je rappelle que Mme Karmous est pour un "Islam rigoureux" et donc applique rigoureusement le Coran.
Il y a aussi la pression psychologique pour forcer les adolescentes à porter le voile, signe de communautarisme, de volonté affirmée d’exclusion volontaire de notre société laïque. « Enlever ton voile ne fera qu’une chose, baisser ta foi et t’attirer la colère de ton Seigneur  "et autres fadaises concernant la pudeur de la femme et sa soumission à son mari" , alors que le port du voile n'a jamais été une obligation canonique selon le Coran, contrairement par exemple au jeûne du ramadan ou aux cinq prières quotidiennes Le mot « hijab » voile est utilisé sept fois dans le Coran. Dans aucun cas il ne fait référence au vêtement féminin, pour lequel deux formules sont utilisées (khoumour et jalâbîb).
Hijab veut dire « rideau », et lorsque le Coran évoque un comportement pudique, il s’adresse aussi bien aux femmes qu’aux hommes ! L’obligation du voile est portée par le prosélytisme wahhabite et salafiste et leurs dérives, et est devenu un symbole politique et communautariste, une soumission de la femme à l’homme et donc un refus de l’égalité femme-homme, comme si le salut dépendait d’un morceau de toile !
Ne parlons pas de la polygamie et du mariage forcé de jeunes enfants.

Mme Karmous, suite aux turpitudes, réelles ou imaginaires de Tarik Ramadan, a traité les plaignantes de « frustrées », ce qui dénote un sens élevé du respect de la personne humaine.
L’un des plus radicaux de nos propagandistes, Hani Ramadan, le frère de Tarik, petit-fils du fondateur des Frères musulmans, profitant de ce terreau fertile de musulmans sans culture théologique (parole d’imam !), forme des jeunes de l’Association culturelle des musulmans de Neuchâtel et fait, lui ou son frère, profiter de son pseudo-savoir d’intellectuel les enfants musulmans de La Chaux de Fonds.
Le frère Tarik Ramadan, qui a affirmé que "Nous ne pouvons pas nier le fait que l'excision fait partie de nos traditions", ce qui est totalement faux ! a osé, suite à la plainte de Henda Ayari concernant des violences physiques et psychiques et un viol, la traiter de "pute sioniste", ce qui montre son niveau moral et son respect du droit et des personnes et ce qui aurait tendance à prouver sa culpabilité (chassez le naturel, il revient au galop !) culpabilité refusé par son frère Hani, parce que d’après la sharia, il faut 4 témoins pour confirmer un viol, comme si la sharia représentait le droit en Europe !, ce qui aurait tendance, encore une fois, à prouver la culpabilité du violeur.
Tarik Ramadan a préfacé un Recueil de fatwas dont le niveau est à la hauteur de son intellect : vu que la pratique de la bicyclette risque de déflorer les filles, ce sport est-il autorisé ? Réponse : ça n’est pas prouvé, mais si on a les preuves, alors il faudra interdire la bicyclette aux jeunes filles. Autre perle : les musulmans ont-ils le droit de souhaiter bonnes fêtes aux Chrétiens à Noël ? Le problème n’est pas la réponse, mais le simple fait de poser la question ! Et vive l’intégration et le respect !
Dans la mouvance Ramadan, il se peut qu’il y ait parfois un mélange entre les frères, d’autant plus qu’ils semblent être une fratrie de 5 !

Voilà la fine fleur islamique qui enseigne l’Etat de droit, le besoin d’intégration, le respect des autres et le bien vivre ensemble aux enfants musulmans de ma ville !

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Parlons de Neuchâtel
L’association culturelle des musulmans de Neuchâtel invite régulièrement Hani Ramadan pour des ateliers de formation religieuse destinée aux jeunes.
En 2002, Hani Ramadan, alors enseignant de français au cycle d’orientation de la Golette, à Meyrin, signe dans Le Monde une tribune libre dans laquelle il défend la lapidation pour les femmes et les hommes adultères. Tollé ! Au début de 2003, le Conseil d’Etat décide de le licencier, notamment parce que ses propos sont jugés incompatibles avec sa fonction. Mais en 2004, la Commission de recours du personnel enseignant ordonne sa réintégration. Le Conseil d’Etat refuse. En 2008, un accord est conclu. L’Etat lui verse l’équivalent de 24 mois de salaire et 90 000 Fr. de frais d’avocat. Auxquels s’ajoutent les 700 000 Fr. de salaire qu’il a continué de toucher pendant les années de procédure. Soit, au total, une facture de plus d’un million de francs.
Soit dit en passant, on peut se poser des questions sur un Etat qui doit débourser une telle somme pour licencier un enseignant qui refuse ses lois et dont l’objectif est la sharia, la négation même de cet Etat.

Le directeur du Centre islamique de Genève, donc Hani Ramadan, cet intellectuel controversé avait dû renoncer à tenir une conférence prévue à Roubaix en France. De fortes pressions politiques ont poussé la mosquée à l'origine de l'événement à annuler sa venue, sous prétexte qu'Hani Ramadan prône la haine et la division de la nation. Hani Ramadan avait déjà été interdit de conférence à Nîmes. Et il enseigne aux adolescents neuchâtelois ! et fait donc de la propagande aux adolescents neuchâtelois !

En terre neuchâteloise, pas d'interdiction à l'ordre du jour. Hani Ramadan est régulièrement invité par l’Association culturelle des musulmans de Neuchâtel, son responsable des relations extérieures auprès des autorités, Jamel Cherif, précise qu'il s'agit d'ateliers de formation religieuse destinés aux jeunes tous les deux ou trois mois. Les propos doivent se limiter à l'aspect théologique et l'association dit veiller à ce que les opinions du prédicateur n'aient pas leur place à cette occasion. La mystification fonctionne bien et l’Etat laisse faire.
Des livres de Al Qaradawi, dont l’ouvrage "Le licite et l’illicite en islam", est hallucinant d’intolérance religieuse, de misogynie et d’injonctions séparatistes sont vendus dans les manifestations islamiques, comme le sont ceux de Hani et Tariq Ramadan (Fête de Neuchâtel où une dizaine d’associations se présentent).
Toutes les mosquées romandes plus ou moins liées aux Frères Musulmans adulent Tariq amadan. Il en faisait régulièrement la tournée (surtout quand il avait un nouveau livre à vendre).
Dans les mosquées, malgré toutes les affirmations de modération, les liens avec l’extrémisme sont nombreux.

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EN CONCLUSION

Ce qui est inquiétant dans l’évolution de l’Islam, c’est qu’en moins de cinquante ans, on est passé d’une religion progressiste, où le président Nasser, pratiquant, se moquait, en 1953, du foulard islamique ( http://blowup979.blogspot.be ) et qui avait, en 1956, donné le droit de vote aux femmes, et où l’on pouvait voir, en 1972, des jeunes femmes en jupe à Kaboul, à un Islam rétrograde, qui a oublié que le Coran parlait aux Arabes du 7ième siècle et pas aux Européens du 21ième.

Il faut savoir choisir, […], entre la révélation passée et la liberté future.
• Mustapha Kémal ou la mort d’un empire, Jacques Benoist-Méchin, éd. Albin Michel, 1954, p. 326

Tarik Ramadan a été le gourou de la Conseillère fédérale Calmy-Rey, la responsable des affaires étrangères qui s’était rendue voilée à Téhéran…. Et Nadia Karmous est réputée parfaitement intégrée par le Conseil d’Etat neuchâtelois ! Restons courtois : plus candide, tu meurs ! la mystification : cela fonctionne.

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"Dans les pays où ils sont minoritaires, les musulmans sont obsédés par les droits des minorités. Dans les pays où ils sont majoritaires, les minorités n’ont plus aucun droit."
Il n’y a pas de différence entre Islam et islamisme, contrairement à ce que veut véhiculer la gauche, de même qu’il n’y avait pas de différence entre catholicisme et inquisition. Les massacres des djiadistes ne sont-ils pas perpétrés au nom du Coran ?

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Il faut savoir aussi qu’il y a des musulman-e-s qui ont adapté leur croyance au 21ième siècle et qui s’affirment citoyen-ne-s suisses, de confession musulmane, et qui sont parfaitement démocrates : le problème est que l’on ne les entend pas.

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Le danger pour nos cités, notre canton, notre pays : La suisse deviendra-t-elle le Liban de l’Occident comme le Liban fut la Suisse de l’Orient ?

Pierre Hainard

Les dangereuses conséquences d’une immigration incontrôlée et démesurée – la fin de la “culture de bienvenue”

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Par Adrian Amstutz, conseiller national,
Chef du Groupe parlementaire, Sigriswil (BE)

 

 

Paris, Bruxelles, Nice, Würzburg, Munich, Reutlingen, Ansbach, une église d'un village normand – les attentats terroristes et autres folies meurtrières se suivent à un rythme de plus en plus rapide. Bien que personne ne veuille en parler, presque tous les tueurs ont un point commun: il s'agit en majorité de jeunes hommes musulmans issus de la migration et qui refusent de s'intégrer après être venus en Europe animés d'espoirs totalement irréalistes et rapidement déçus. La menace contre laquelle l'UDC met en garde depuis des années est malheureusement en passe de se réaliser.

Les forces de sécurité des pays voisins de la Suisse ont de plus en plus de mal à contrôler la situation. Tous les jours ou presque la télévision – encore heureux que nous ne voyions ces images d'horreur que sur le petit écran – nous présente les conséquences d'une immigration démesurée et incontrôlée, d'une culture naïve de bienvenue et des conceptions multiculturelles totalement à côté de la réalité. Il semble malheureusement que ce ne soit qu'une question de temps pour que la Suisse soit à son tour frappée par des attentats terroristes et autres folies meurtrières engendrant douleurs et peines incommensurables. Il est plus urgent que jamais de prendre des mesures bien réfléchies, fermes et rapides.

Il faut cesser d'embellir la réalité

Les réactions confuses ou le grand silence de politiciens et fonctionnaires dépassés par leur politique d'immigration naïve sont autant des déclarations de faillite d'Etats qui ont perdu le contrôle de la situation et qui tentent de dissimuler leur échec dans un domaine essentiel de la sécurité publique. Lorsqu'on nous parle "d'une brusque radicalisation de la situation", nous comprenons bien qu'il s'agit de minimiser l'évidente propension à la violence de jeunes gens, le plus souvent musulmans, qui refusent de s'intégrer même après des années de séjour en Europe. Et si, parallèlement, nous constatons que les Suissesses et les Suissesses cherchent à s'armer, nous devons bien admettre que nous sommes confrontés à un autre problème, bien qu'il s'agisse d'une réaction subjective face à une menace qui ne cesse de s'aggraver.

La politique d'immigration naïve du centre-gauche menace la sécurité en Europe et en Suisse

Ce développement était pourtant prévisible. La politique d'immigration et d'asile démesurée menée ces dernières années était tout simplement irresponsable. Les événements que subit l'Europe actuellement sont la conséquence directe de cette politique. Si parmi quelques milliers de migrants il se trouve une seule personne encline à la violence, la Suisse va elle aussi rencontrer de gros problèmes dans peu de temps. La foi aveugle en la volonté d'intégration des immigrants et en une cohabitation pacifique dans une société multiculturelle est démentie par les images quasi hebdomadaires de victimes ensanglantées gisant dans les rues de villes européennes. L'UDC a demandé à plusieurs reprises au Conseil fédéral d'imposer des contrôles stricts aux frontières et de mieux protéger les frontières suisses contre l'immigration clandestine. La croissance continue du nombre de franchissements illégaux de la frontière méridionale confirme pourtant cette nécessité. Le centre-gauche politique a promis une application sévère de l'initiative sur le renvoi approuvée par le peuple et les cantons. On attend toujours. Et ce sont ces mêmes milieux qui sabotent systématiquement l'application de l'initiative contre l'immigration de masse, elle aussi approuvée par le souverain. La leçon à tirer des récents événements est pourtant claire: l'Europe est dépassée par une immigration démesurée et illégale. Les espoirs infondés et surtout impayables que cette politique irresponsable a éveillés chez des migrants à la recherche d'une vie meilleure ne peuvent pas être comblés, même pas par d'onéreux "programmes d'intégration" qui s'avèrent le plus souvent inefficaces. D'où amplification de la frustration, des protestations et de la propension à la violence.

L'UDC propose des solutions depuis de nombreuses années

Dans sa motion 16.3234 le conseiller national Lukas Reimann a demandé une lutte efficace contre le terrorisme. Voici la réponse lapidaire du Conseil fédéral: "La législation suisse offre des moyens d'action efficaces contre la menace terroriste. Elle permet d'assurer la prévention des infractions et de punir en amont les actes préparatoires à un attentat terroriste." Au moins le Conseil national a-t-il soutenu l'initiative parlementaire (14.450) du conseiller national Toni Brunner qui demande la révocation de la nationalité suisse de personnes rentrant en Suisse après avoir combattu dans les rangs du djihad. Mais le Conseil des Etats a rejeté cette proposition avec l'argument suivant: "Du point de vue du Conseil des Etats cette nouvelle règlementation n'est pas nécessaire, car le retrait de la nationalité suisse de doubles nationaux ayant nui aux intérêts de la Suisse est aujourd'hui déjà possible."

En tant que porte-parole du groupe parlementaire UDC durant le débat du Conseil national sur le développement de l'armée, j'ai personnellement attiré l'attention de l'assemblée sur la nouvelle menace à laquelle est exposée l'Europe. J'ai demandé au Parlement s'il fallait attendre que de nouveaux "infidèles" soient décapités par les terroristes IS pour qu'on s'occupe enfin de la sécurité et de l'armée. La triste réalité m'a entre-temps rattrapé avec ces deux terroristes étrangers qui ont égorgé dans une église française un prêtre et grièvement blessé une autre personne. L'automne dernier, le conseiller national Thomas Hurter (15.3842) et le conseiller aux Etats Alex Kuprecht (15.3841) ont déposé parallèlement deux interventions réclamant que les frontières suisses soient protégées moyennant des contrôles systématiques pour empêcher les passages clandestins. Si nécessaire, il faut faire intervenir l'armée, ont-ils exigé. L'unique réponse que le Conseil fédéral a su donner à cette demande est que l'ordre public et la sécurité intérieure de la Suisse ne sont actuellement pas menacés, si bien que ces interventions parlementaires doivent être rejetées.

Des centaines d'extrémistes sont déjà dans le pays

Selon le rapport 2016 du service de renseignement de la Confédération sur la situation sécuritaire en Suisse, quelque 500 djihadistes potentiels sont en observation dans notre pays parce qu'ils ont attiré l'attention par la diffusion d'idées djihadistes sur internet et sur les réseaux sociaux. Il est évident qu'il existe en Suisse aussi un important potentiel de terrorisme. Après les actions meurtrières et attentats terroristes de Nice à Ansbach en passant par Munich, les services de sécurité des pays voisins de la Suisse ont régulièrement affirmé que les malfaiteurs en question étaient observés et connus de la police. Cela ne les a pas empêchés de tuer des innocents. En réponse à l'interpellation 143678 du conseiller national Peter Keller, le Conseil fédéral a écrit ce qui suit: "La Suisse et ses intérêts ne sont pas une cible d'attaque prioritaire du groupe "Etat islamique" (EI) et des organisations apparentées, ou des terroristes djihadistes." L'UDC se demande d'où le Conseil fédéral et ses hauts fonctionnaires tiennent cette certitude alors que les attaques terroristes se multiplient en Europe et que des milliers de migrants franchissent clandestinement la frontière méridionale de la Suisse. Il est grand temps de changer de raisonnement dans ce domaine: l'accent principal sur le sol européen ne doit plus être mis sur le combat systématique contre des organisations terroristes à proprement parler comme l'IS ou Al Qaida, mais sur la prévention de la menace provenant de personnes individuelles radicalisées qui se laissent inspirer par ces idéologies. Notre dispositif de défense doit être rapidement adapté à cette nouvelle menace.

Dernière chance de prendre des mesures efficaces

Nous devons, d'une manière générale, affronter deux problématiques: d'une part, des jeunes hommes radicalisés, prêts à commettre un acte terroriste et issus généralement de la migration qui se trouvent déjà dans le pays et, d'autre part, des extrémistes qui entrent en Suisse grâce à l'immigration incontrôlée sous le prétexte de l'asile. Il est grand temps d'agir avant que des femmes et des hommes ne soient assassinés en Suisse également.

Responsable du Corps des gardes-frontières, au moins le conseiller fédéral Ueli Maurer fait du bon travail en ayant obtenu, dans le cadre de négociations avec l'Italie, qu'un plus grand nombre de migrants clandestins puissent être renvoyés dans le pays voisin et que, comme réclamé depuis longtemps par l'UDC, les trains en provenance de Milan soient effectivement contrôlés par les gardes-frontière. Mais cela ne suffit pas, beaucoup s'en faut. Il faut la volonté et des décisions du Conseil fédéral dans son ensemble pour que des mesures réellement efficaces soient prises. Or, sur ce plan, c'est le silence complet.

Pour toutes ces raisons, l'UDC insiste une fois de plus sur les mesures suivantes à prendre dans les plus brefs délais:

  1. L'immigration clandestine, notamment de jeunes hommes musulmans sans aucune perspective économique, doit être réduite au maximum afin de maintenir le potentiel de frustration à un niveau aussi bas que possible et les requérants d'asile refusés doivent être immédiatement expulsés de Suisse.
  2. Des contrôles de personnes efficaces doivent être immédiatement imposés aux frontières. Aux points chauds, comme à la frontière entre le Tessin et l'Italie, le Corps des gardes-frontière doit être soutenu par l'armée pour empêcher les migrants clandestins d'entrer en Suisse.
  3. Elément important de notre dispositif de sécurité, le service de renseignement de la Confédération doit recevoir davantage de compétences de prévention grâce à un oui convaincu à la loi équilibrée sur le service de renseignement.
  4. Tous les voyageurs djihadistes qui rentrent en Suisse ou qui sont déjà rentrés doivent être immédiatement arrêtés.
  5. Tous les requérants d'asile observés par le service de renseignement doivent immédiatement recevoir un refus de leur demande et expulsés dans les plus brefs délais pour des raisons de sécurité.
  6. Il faut faire comprendre clairement à tous les étrangers et plus particulièrement aux musulmans vivant en Suisse les règles et les valeurs qui régissent notre société et notre pays. Il s'agit notamment de bien leur expliquer qu'il n'y a absolument aucune place pour le Coran et la Sharia dans le régime légal suisse. Enfin, toutes les communautés musulmanes de notre pays doivent être invitées à annoncer aux autorités les extrémistes et autres jeunes gens radicalisés.
  7. Toutes les autres étrangères et tous les autres étrangers qui sont sur le "radar" du service de renseignement doivent être observés activement. A cet effet, il faut notamment renforcer, former spécialement et engager les services de police des cantons.

L'UDC suit attentivement et avec une grande inquiétude le développement de la situation en Suisse et prépare de nouvelles interventions qui seront déposées durant la session d'automne du Parlement. Il n'y a plus de temps à perdre!

La souveraineté en péril

Par Andreas Glarner, conseiller national, Oberwil-Lieli (AG)

La souveraineté est menacée à tous les niveaux du système étatique. La souveraineté des communes, des cantons et de la Suisse tout entière est minée en permanence. Les décisions se prennent de plus en plus haut et de plus en plus loin des citoyens.  L'initiative pour l'autodétermination stoppe ce développement néfaste. Elle renforce le principe de la subsidiarité, le fédéralisme suisse et notre démocratie directe.

Ordres donnés d'en haut ou autonomie communale?
Lorsqu'en 1998 je suis entré en fonction comme conseiller communal de ma petite commune d'Oberwil-Lieli, j'ai rapidement perdu toutes mes illusions. J'ai compris que beaucoup (trop) de décisions n'étaient pas prises autour de la table du conseil communal ou par l'assemblée communale, mais qu'elles étaient imposées par des lois cantonales édictées par "Aarau". Nous étions à chaque fois furieux quand le Grand Conseil adoptait sans réfléchir une nouvelle loi contre la volonté des communes, déplaçant de plus en plus de compétences des communes vers le canton. Mais nous ne pouvions empêcher ce développement.

Ces Messieurs de Berne
J'ai été élu en 2001 au Grand Conseil du canton d'Argovie. Je me réjouissais de pouvoir enfin participer à la mise en place de lois raisonnables et, surtout, de veiller au respect, voire au renforcement de l'autonomie communale. Là encore, j'ai dû rapidement déchanter.

Il n'existe plus guère de domaines dans lequel les parlementaires cantonaux sont libres de décider en tant que législateurs. Partout on nous met en garde: attention, vous violez le droit fédéral! L'unique conclusion à tirer de cette situation était de faire en sorte de pouvoir siéger à la Berne fédérale pour y corriger le tir…

Droit étranger et juges étrangers
Une fois de plus, mes espoirs ont été vains. Nous autres parlementaires fédéraux, nous débattons d'une loi et à quasiment chaque article on nous dit "Attention, votre formulation doit être compatible avec le droit UE, sinon nos entreprises ne peuvent pas agir dans cet espace". Nous adaptons donc notre droit afin que nos entreprises puissent travailler dans l'espace UE et y offrir leurs produits et services.

En bien entendu, le Conseil fédéral multiplie depuis longtemps les gestes d'obéissance anticipée en reprenant à tour de bras des règlementations UE et en adaptant les normes suisses à celles du Bruxelles. Cet empressement prend parfois des formes grotesques.

Subsidiarité
Une chose est certaine: lorsque comme président de ma petite commune je prends les décisions avec mes quatre collègues, les choses se passent plutôt bien. Car nous sommes sous le contrôle direct des citoyennes et citoyens de la commune. Nous sommes responsables des affaires de notre commune. Nous savons ce qui est bien pour notre commune. Et si notre commune se porte bien, c'est surtout parce qu'elle refuse d'imiter toujours les autres, de suivre toutes les tendances simplement parce qu'elles sont à la mode.

Vous le voyez bien dans nos villes: lorsque les familles sont privées de leur responsabilité individuelle, lorsque l'Etat se mêle de tout et de n'importe quoi, les choses tournent forcément mal et les coûts explosent. Conclusion: l'Etat n'a pas à se mêler de ce que les familles et de ce que chaque individu peut faire pour résoudre leurs ou ses propres problèmes.

Le même principe vaut pour les communes et les cantons. Tout ce qui peut être réglé à ces échelons doit y rester. Il est donc absolument nécessaire que la Suisse garde sa souveraineté et maintienne son indépendance et qu'elle ne sacrifie pas ces deux grandes qualités pour obtenir quelques petits avantages. L'initiative pour l'autodétermination permet aux citoyennes et aux citoyens de décider sur place de leurs droits et de leurs obligations. Dans ce système, le bon sens humain l'emporte sur la volonté de quelques lointains juges, politiques et fonctionnaires.

Plus d'informations: www.initiative-autodetermination.ch

Pour le juge italien Imposimato, « l’OTAN est une menace pour la Paix et la sécurité dans le monde »

Voici le discours du juge italien antimafia Ferdinando Imposimato, président honoraire de la Cour de Cassation italienne, prononcé lors d’une réunion à Rome le 26 octobre dernier à l’initiative du journaliste italien Giulietto Chiesa.

M. Imposimato est un personnage extrêmement respecté en Italie pour l’ensemble de son combat contre le crime organisé. Le seul fait qu’un homme de sa trempe, aussi connu et inattaquable que lui, se prononce de façon tranchée sur le danger que représente l’OTAN pour la paix dans le monde, mais aussi sur sa vision des attentats du 11-Septembre, devrait provoquer un débat national voire, européen, sur ces questions.

Il n’en est rien, de telles paroles ne seront jamais relayées par les médias grands publics et les journaux télévisés. Dormez bonnes gens.


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Source

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Via réseauinternational.net

L’EI est une menace «immédiate» pour l’Europe

Lorsque les gouvernements occidentaux, après avoir armé des extrémistes en Syrie et avoir fait l'éloge du multiculturalisme, de l'immigration de masse, découvrent l'eau tiède. Comment ne peut être inquiet d'être gouverné par de tels incapables?

L'EI aurait attiré quelque 2000 djihadistes européens, en partie grâce à sa forte présence sur internet selon les services de renseignement.

 

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Les détenteurs de passeports européens qui se battent dans les rangs de l'Etat islamique en Irak et en Syrie constituent une menace «immédiate» sur leurs pays d'origine, a estimé vendredi l'un des piliers de l'antiterrorisme américain.

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