Quand les grandes villes d’Allemagne seront islamiques

Mise en garde : ce document est douloureux à lire.

Il y a quinze ans, lorsque l’Abbé Alain René Arbez l’a publié, beaucoup lui ont dit qu’il exagérait. Vous serez surpris par sa clairvoyance et hélas par sa justesse.

Je n’ose imaginer ce qu’ils doivent penser d’eux-mêmes aujourd’hui, ces amis qui le jugeaient excessif, et ceux qui vivaient dans le déni de réalité, en relisant l’article de 2000 à la lumière de 2015. – Jean-Patrick Grumberg

La population allemande est en telle chute libre que le 21ème siècle verra des changements considérables dans le paysage religieux du pays.

Le nombre des chrétiens va se réduire, celui des musulmans va exploser

Le nombre des chrétiens va se réduire de façon spectaculaire, tandis que celui des musulmans va exploser.

Se basant sur des projections pour les prochaines décennies, une étude de l’Eglise protestante allemande annonce la couleur sans ménagement, chiffres et études sociologiques à l’appui.

Au pays natal de la Réformation, la culture religieuse en passe d’être au premier rang n’est pas le protestantisme, à peine 10%, mais l’islam ! Pour quelque temps encore, les deux grandes Eglises chrétiennes représentent environ un tiers de la population allemande, mais d’ici peu, le christianisme ne correspondra plus qu’à une petite minorité. Or, un tel enjeu ne concerne pas seulement les Eglises, mais la société dans son ensemble.

Impact démographique

Depuis les années soixante, les Allemands ne procréent plus suffisamment pour maintenir stable le niveau de population. Pour cela, il faudrait une moyenne de 2,1 enfants par femme entre 15 et 45 ans. En 1960, on en était encore à 2,3, tandis qu’aujourd’hui l’indice de natalité s’est effondré à 1,2. (Dans les nouveaux länder, ce n’est plus que 0,9 ).

A part l’Italie et l’Espagne, l’Allemagne est le pays de l’union européenne le plus pauvre en naissances. Le poids des avortements y joue un rôle particulièrement fort : en 1999, on enregistrait 800’000 naissances pour 300’000 avortements estimés. Si ces enfants éliminés étaient venus au monde, la natalité allemande serait de 35% plus élevée, et approcherait 1,7 enfant par femme…

Dans certains quartiers, on ne voit presque plus d’enfants, il n’y pratiquement plus que des personnes âgées

Dans moins de 10 ans, ce sont donc 3 millions de jeunes gens éliminés avant la naissance qui feront défaut à la population allemande. Tant que les jardins d’enfants, écoles et universités des années 60 étaient remplies, personne ne se souciait de ces questions de peuplement ; mais la situation a tellement changé que dans certains quartiers, on ne voit presque plus d’enfants, il n’y pratiquement plus que des personnes âgées !

Etrangers majoritaires ?

Dans la ville de Dortmund, (7ème ville d’Allemagne) 5’000 enfants sont nés dans l’année. Mais presque autant n’ont pu voir le jour par avortement ; pour une ville qui compte actuellement 600’000 habitants, ce déficit permanent de naissances aura des conséquences dramatiques, puisque la perte d’un cinquième de la population, compensée par un apport extérieur d’immigrants, fera grimper la proportion totale d’étrangers au 40% des habitants de la ville !

On envisage donc sérieusement que de grandes agglomérations comme Francfort et Stuttgart voient leurs populations étrangères devenir majoritaires aux alentours de 2030… Mais ces chiffres n’expriment pas encore toute la dimension des changements en cours : ainsi, dans neuf ans, les étrangers de la tranche 20-40 ans représenteront déjà le 46% de la population de Duisbourg. Dans très peu de temps, les enfants étrangers des crèches et des écoles de plusieurs grandes villes allemandes constitueront la majorité.

A Berlin, la proportion d’étrangers de moins de 20 ans sera de 52% dans dix à douze ans.

Le nombre des Allemands, actuellement de 75 millions, tombera à 22 millions à la fin du 21ème siècle

Mais on peut encore déduire de ces chiffres que le nombre des Allemands, actuellement de 75 millions, tombera à 22 millions à la fin du 21ème siècle.

Les spécialistes en sciences sociales Meinhard Miegel et Stephanie Wahl font même le pronostic que l’identité allemande pourrait bien être entièrement laminée dès le début du 21ème siècle : l’Allemagne va vraisemblablement être peuplée en grande majorité d’immigrants et de leurs descendants.

Mais la question se pose de savoir qui sera capable, à partir de là, de défendre le patrimoine culturel allemand et européen. Il y a plus grave encore : qui transmettra la tradition chrétienne aux prochaines générations ?

Plus de 25 millions d’immigrants s’installent en Allemagne

Le département démographique des Nations Unies a exigé récemment que l’Allemagne accueille 500’000 immigrants nouveaux chaque année sur son sol, pour stabiliser son niveau de population.

Cela implique que, dans les 50 prochaines années, plus de 25 millions d’immigrants viennent s’installer en Allemagne. Dans cet état de fait, une intégration des étrangers devient absolument impensable ; selon le « Frankfurter Allgemeine », il suffit déjà d’ouvrir les yeux sur la foule que l’on croise dans n’importe quelle grande ville allemande d’aujourd’hui, pour saisir immédiatement que la soi-disant assimilation des étrangers à la culture locale est un échec !

Mutations

Une réelle intégration présuppose que des normes culturelles soient mises en valeur par la société d’accueil. Or, qui pourrait encore être intégré à cette société lorsque les enfants venus d’ailleurs constituent déjà la majorité des classes à l’école, et quand des quartiers entiers ou des villes entières sont à majorité étrangère ?

L’idée répandue que les immigrants s’assimilent parfaitement à la société d’accueil dès la troisième génération se révèle totalement irréaliste. De nombreux jeunes issus de l’immigration préfèrent s’orienter, grâce aux médias modernes, vers la langue et la culture d’origine de leurs parents plutôt que vers celles de leur pays de résidence. Ainsi, 56% des Turcs s’informent à partir de publications turques, donc islamiques, et 75% donnent la priorité aux émissions de télé venant de Turquie.

Protestants : 10%

A la fin du siècle la participation actuelle à la vie des Eglises ne sera plus qu’un souvenir

Les Eglises doivent se faire à l’idée d’un dramatique effondrement du nombre de leurs membres et de l’influence de leurs valeurs. Du fait que parmi les immigrants une part minime d’entre eux est chrétienne et une autre encore plus infime pratique sa religion, il est clair qu’à la fin du siècle la participation actuelle à la vie des Eglises ne sera plus qu’un souvenir.

Dans les états-majors ecclésiastiques, on n’a pas encore réalisé ces évidences liées à la quasi disparition de la population autochtone. Pourtant depuis une étude de 1985, on a pris conscience du fait que chaque décennie le nombre de protestants se réduit d’un dixième. Des 27 millions de membres actuels de l’Eglise on passera à 24,3 en 2010 et à 22 en 2020. A la fin du siècle, il n’y aura plus que 9 millions de protestants. Les mariages religieux sont également en net recul. En 1970, ce sont encore 270’000 enfants de parents protestants qui voyaient le jour, mais en 1998, ils ne sont plus que 121’000; chez les catholiques, le recul est moins sensible: de 285’000 en 1970, on passe à 157’000 en 1998.

Ainsi, en Allemagne, tandis que le nombre des chrétiens régresse dramatiquement, celui des musulmans ne cesse d’augmenter.

Selon une prévision du démographe Rainer Münz, le nombre d’étrangers atteindra 14,2 millions en 2030; parmi lesquels 3 à 4 millions de Turcs, 2 millions d’ex-Yougoslaves (Albanais), et 7,4 millions d’autres nationalités extérieures à l’Union européenne (dans ce groupe, la très grande majorité est aussi constituée de musulmans).

De par le fort taux de natalité qui caractérise les musulmans, leur nombre global ne fera qu’augmenter considérablement, même sans apport extérieur de nouveaux immigrants.

Plus d’un jeune musulman sur trois pour la violence

Sur le plan religieux, c’est l’islam qui va prendre la position dominante. Il serait tout à fait étonnant, par rapport aux constats faits partout ailleurs dans le monde, que cela ne s’accompagne pas de conflits.

La revendication du foulard islamique par des enseignants ou l’exigence d’appels publics du muezzin à la prière par haut-parleurs ne sont que de petits avant-goûts des problèmes à venir.

Une étude menée en 1997 par le sociologue Wilhelm Heitmayer auprès de jeunes musulmans d’Allemagne fait apparaître un étrange sentiment de supériorité de la part de ceux-ci :

  • 33,4% des interrogés estiment que le sionisme opprime l’islam.
  • Un tiers d’entre eux croient fermement être choisis par Allah pour accroître la présence de l’islam en Allemagne,
  • et 36% d’entre eux se disent militants et donc prêts à utiliser la violence contre les « infidèles ».

Les responsables d’Eglises protestantes pourront-ils dans l’avenir prendre part aussi amicalement qu’aujourd’hui à l’inauguration de chaque nouvelle mosquée, rien n’est moins sûr !

La vraie question en fin de compte ne tourne pas autour du maintien ou non de la germanité en Allemagne, mais le problème est de savoir si le pays tout entier n’est pas en train de passer d’une culture marquée par la foi chrétienne à une autre réalité déterminée par l’islam.

Dans d’autres parties du monde, des Balkans au Liban, les exemples ne manquent pas de situations de ce genre ayant tourné à la guerre civile.

L’islam n’est pas un chemin d’intégration mais de confrontation aux autres

Même le système de double-nationalité a démontré dans ces conditions qu’il ne mène nullement à l’intégration dans le pays d’accueil ; car l’islam, de par sa vision religieuse du monde, n’est pas un chemin d’intégration mais plutôt de confrontation aux autres.

Cela, on peut aisément le constater en lisant le Coran et en observant ce qui se passe dans quantité de pays dès que les musulmans deviennent pratiquement majoritaires.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain René Arbez pour Dreuz.info.

(à partir d’une étude publiée par l’Eglise protestante allemande dans « idea spektrum2000, Kirche und Politik »)

Source: Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain René Arbez pour Dreuz.info.

Des chrétiens arrêtés pour avoir utilisé le mot “prophète” au Pakistan

Trois chrétiens pakistanais ont été arrêtés pour avoir qualifié l'un de leurs anciens prêtres de "prophète", un mot d'ordinaire réservé dans le pays aux seuls musulmans, et notamment à Mahomet, a annoncé jeudi la police.

Trois chrétiens pakistanais ont été arrêtés pour avoir qualifié l'un de leurs anciens prêtres de "prophète", un mot d'ordinaire réservé dans le pays aux seuls musulmans, et notamment à Mahomet.

Les trois hommes ont été arrêtés à Gujrat (est), dans la province du Pendjab, après que la police eut remarqué qu'ils avaient inscrit le mot "prophète" en ourdou sur des posters marquant le 20e anniversaire de la mort de leur ancien leader Fazal Masih.

Plainte pour terrorisme

Dans la république islamique du Pakistan, ce terme n'est habituellement utilisé que pour qualifier des prophètes musulmans, et tout contrevenant peut se voir accusé de blasphème, un crime passible au maximum de la peine de mort.

Les policiers ont convoqué des leaders musulmans et chrétiens locaux pour les consulter sur cette affaire. Les chrétiens se sont excusés et ont demandé pardon aux musulmans, mais ces derniers ont refusé. Une plainte pour terrorisme a été déposée contre l'organisateur de la manifestation.

Source RTS

L’image du jour: La messe en plein air interdite parce que la sécurité des chrétiens n’est plus garantie en France

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Evidemment la mairie n'ose pas pointer du doigt l'islam alors qu'elle sait très bien qui agresserait. Evidemment encore, elle parle de "déséquilibré", énorme aveu puisqu'elle avoue implicitement qu'il serait issu d'un certain dogme. Evidemment enfin, bien loin de s'éteindre, ces tensions religieuses (entre qui et qui Monsieur le Maire?) vont augmenter, à la suite de multiculturalisme que la gauche a imposé en Europe et qu'elle prétend "enrichissant".

Or "l'enrichissement" n'est qu'un mensonge par la preuve même de cette interdiction. Il est même l'assassin de nos libertés les plus basiques. Il n'y a aucune ambiguïté possible, aucune excuse, aucun doute.  La gauche est responsable de la peur que nous subissons aujourd'hui sur nos terres, de nos libertés laminés "pour combattre le terrorisme" (qui provient ce terrorisme encore une fois?). Nous vivons dans un monde de mensonge, de peur et de censure ignobles à cause de la bien-pensance. Il est temps que cela s'arrête et que nous retrouvions la liberté que la gauche nous a volée!

Source

Chaque heure, onze Chrétiens sont tués, déclare un évêque irlandais

According to Bishop John McAreavey, the Chair of the Council for Justice & Peace of the Irish Catholic Bishops’ Conference, statistics show that the situation of Christian persecution in the world is far more dire than most people understand.

The bishop called the breadth and scale of the suffering of Christians “unprecedented.”

At least 100,000 Christians are killed every year because of their faith, which amounts to 273 per day, or eleven every hour, McAreavey said, without mentioning those who are “being tortured, imprisoned, exiled, threatened, excluded, attacked and discriminated against on a widespread scale.”

In a sobering presentation before the Joint Committee on Foreign Affairs and Trade this past week, McAreavey said that Christianity is the most oppressed religion in the world, and the followers of Jesus are actively persecuted in some 110 countries.

More striking still, he contended, according to the International Society for Human Rights, a non-religious organization, “80 percent of all acts of religious discrimination in the world today are directed against Christians.”

The bishop recalled how the former Chief Rabbi of Britain, Jonathan Sacks, recently described this suffering of Christians in the Middle East as “one of the crimes against humanity of our time,” comparing it to the Jewish pogroms in Europe and saying he was “appalled at the lack of protest it has evoked.”

The barbaric actions against Christians, particularly in the Middle East, he said, call out for an urgent, coordinated and determined response from the international community. They are “a threat to our common humanity and to the religious and cultural patrimony of the world” as well as putting at risk “the peace and stability of the entire planet.”

The bishop noted with dismay what he called “a reluctance, including on the part of Christian based international aid agencies, to give direct support to minority religious communities, including to the Christian Churches.”

McAreavey also had strong words for the leaders of Western nations that refuse to commit to assisting Christians in the Middle East, or even to acknowledge the gravity of their plight.

“Perhaps because of a fear of being seen as less than aggressively secular in their own country,” he said, “many Governments of majority Christian countries in the west seem reluctant to give direct aid to Churches and religious minorities.”

The West also runs the risk of losing its own understanding of the importance of faith and of religion for a healthy society, he said, which can endanger religious liberty even in democratic nations.

As Catholics, he said, we appeal “to all governments and societies to affirm the vital importance of respecting the right to religious freedom and conscience as a fundamental principle of genuine pluralism in a tolerant society.”

Because “where this pivotal right to freedom of conscience and religion is denied, diluted or culturally suppressed other human rights abuses follow in its wake,” he said.

The denial of religious freedom “can run from subtle cultural exclusion of the religious voice from the public square and refusal to accommodate reasonable differences of conscience to active discrimination, forced displacement, exploitation and loss of life,” he said.

Unfortunately, McAreavey asserted, even in many countries that “pride themselves on being free, tolerant and diverse,” the denial of religious freedom is already a reality.

Follow Thomas D. Williams on Twitter @tdwilliamsrome

 

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Les chrétiens exclus du « plan anti-racisme »

Face au terrorisme islamique, aux crashs d’avion, aux profanations de cimetières et d’églises, Manuel Valls n’a rien trouvé de mieux que de lancer son « grand plan antiracisme ». On y trouve le panel complet des mesures idéologiques visant à déformer les consciences et à les orienter dans le sens du « vivre-ensemble » abscons des socialistes.

Un de plus, me direz-vous. Oui, mais on assiste là à de l’antichristianisme qui ne se déguise même plus. « Tous les racismes sont condamnables, mais le racisme anti-Arabe et anti-Noir n’a pas les mêmes ressorts que l’antisémitisme dans sa violence. Il faut être capable de dire la particularité de l’antisémitisme.», affirme Gilles Clavreul, le « délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme ».

Le deux poids, deux mesures, entre la défense de certaines minorités et la défense de la majorité qui est la plus persécutée, devient tellement clair et évident qu’il n’est même plus grotesque : il est dangereux, car il discrimine une partie de la population (les chrétiens) de toutes les mesures de protection.

Je rappelle que pour se défendre face à un acte antichrétien, on ne peut s’appuyer que sur la loi antiraciste, qui condamne « toute discrimination, injure ou violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personne en raison de son appartenance à une ethnie, une nation ou une religion ». On parle donc, en termes juridiques, de « racisme antichrétien ».

Vu que le nombre profanations contre les lieux de cultes et cimetières chrétiens a explosé en 2014 (plus de 673 actes antichrétiens recensés par le ministère de l’Intérieur, contre 405 en 2013), ou encore des migrants chrétiens jetés par dessus-bord par des musulmans, c’est plutôt le patrimpine culturel et cultuel chrétiens qui devrait faire l’objet de mesures de protection. À moins que les violences à leur encontre ne soient savemment entretenues par le silence, le mépris, ou, pis encore, par haine du Christ.

En France, ou en Suisse, comme partout en Europe, « déconstruire » le christianisme, c’est détruire les dernières résistances au monde meilleur, socialiste et nihiliste.


Vivien Hoch, avril 2015

 

L’Etat islamique publie une vidéo montrant l’exécution de chrétiens

Le groupe Etat islamique a décapité et abattu une trentaine de chrétiens en Libye.

Le groupe Etat islamique (EI) a publié ce dimanche 19 avril une vidéo montrant l'exécution d'une trentaine d'hommes par des djihadistes. Les victimes sont présentées comme des membres «de l'Eglise éthiopienne ennemie».

Les images des exécutions concluent la vidéo de 29 minutes. Auparavant, on peut voir des hommes présentés comme des chrétiens de Syrie expliquer que les djihadistes leur ont donné le choix de se convertir à l'islam ou de payer, et qu'ils ont choisi de donner de l'argent.

Source

Chrétiens jetés à la mer : politiciens et prélats excusent les assassins musulmans

Sale affaire, pour le lobby immigrationniste italien, que l’arrestation de quinze clandestins africains, inculpés d’« homicide multiple, aggravé par la haine religieuse » pour avoir jeté à la mer douze de leurs congénères, au seul motif qu’ils étaient chrétiens. Voilà qui risquerait de contrarier des décennies d’efforts acharnés pour convaincre les autochtones d’accueillir toujours plus de « pauvres réfugiés » et autres « frères migrants ».

Aussi les propagandistes en chef de l’immigration en Italie, laïcs et ecclésiastiques, se sont-ils précipités pour édulcorer les événements. Laura laura-boldrini-640Boldrini (photo), présidente ultra-immigrationniste de la Chambre des députés – qui s’était signalée en ricanant ostensiblement à l’évocation des victimes de Kabobo, le tueur anti-Blancs de Milan –, a sorti tous les clichés de la novlangue technocratique. « Il faut, a-t-elle déclaré, comprendre les dimensions du problème et ne pas simplifier. Le problème doit être abordé de manière lucide et il faut comprendre que les simplifications n’aident pas à la compréhension du phénomène. »

Suite

Aux sources de l’islam, la folle histoire des judéonazaréens

L’islam s’est constitué progressivement durant plusieurs siècles. Son origine est due à une secte qui avait pour doctrine la reconquête de Jérusalem, la reconstruction du Temple et l’arrivée du Messie Jésus.

Où et quand est né l’islam? Comment cette religion a-t-elle évolué jusqu’à la cristallisation de ses textes fondateurs? Le père Edouard-Marie Gallez a fait un travail historique magistral, synthétisé dans sa thèse.* Il a assemblé les pièces d’un vaste puzzle qui rejoint les travaux de nombreux autres chercheurs. L’un de ses admirateurs et ami, «Olaf», a écrit «Le grand secret de l’islam» qui vulgarise cette approche scientifique.
Cette présentation d’un ouvrage particulièrement complexe est forcément sommaire. Je ne prétends ici que donner envie d’aller à la source. Et c’est facile: «Le grand secret de l’islam» est accessible en ligne, avec moult références et mentions de documents historiques.
C’est au début de l’ère chrétienne que se noue le fil de cette histoire. Jésus apparait en Israël vers l’an 27, dans une configuration marquée par le polythéisme et la présence déjà longue du judaïsme. Jésus est lui-même rabbin, il connait parfaitement la Torah et les écritures et enseigne dans les synagogues. Mais son discours se révèle totalement nouveau. Ses adeptes se multiplient.
A cette époque, les courants spirituels sont multiples, l’effervescence religieuse extrême et souvent meurtrière.
Avant et après la mort de Jésus, de plus en plus d’hébreux adhèrent au message de Jésus, ce sont les judéo-chrétiens. Persécutions et dispersion des apôtres rendent nécessaire une fixation par écrit du canevas de l’enseignement tel qu’il était récité par cœur à Jérusalem. C’est l’apôtre Mathieu qui en est chargé.
Ce sont les judéonazaréens qui joueront un rôle central dans la naissance de l’islam. Après 70 (destruction du temple de Jérusalem et répression), ils partent en exil et y resteront, d’abord sur le plateau du Golan, puis en Syrie, au nord d’Alep. Ils développent une nouvelle approche qui rompt radicalement avec le judéo-christianisme. Ils se considèrent comme les juifs véritables et comme les seuls vrais disciples de Jésus. Ils conservent la Torah, la vénération du temple et de la terre promise, se considèrent comme le peuple élu par Dieu.
Pour eux, Jésus n’est pas d’origine divine, n’a pas été exécuté, il a été enlevé par Dieu vers le ciel. Il est le Messie qui viendra à la libération -par les armes- de la Terre sainte et de Jérusalem rétablir la vraie foi et le vrai culte du temple. Avec lui à leur tête, les judéonazaréens sauveront le monde du mal. Ce courant accuse les judéo-chrétiens d’avoir associé à Dieu un fils et un esprit saint: «je témoigne de ce que Dieu est un et il n’y a pas de Dieu excepté lui». (Paroles de l’apôtre Pierre dans les Homélies Pseudoclémentines). Une profession de foi que l’on a retrouvée gravée sur des linteaux de portes datant des 3e et 4e siècles en Syrie.

Mahomet, propagandiste judéonazaréen
Après une vaine tentative de reconquête, entre 269 et 272, la secte réalise que s’allier aux arabes locaux, combattants aguerris, garantirait des combats plus efficaces. Parmi ces arabes se trouve la tribu des Qoréchite installée à Lattaquié en Syrie.
Les judéonazaréens s’attellent à convaincre les groupes arabes nomades de leur projet de reconquête messianiste. Nous sommes au VIe siècle. Leur thème principal de prédication : Nous sommes juifs et partageons le même illustre ancêtre, Abraham, fondateur de la vraie religion. Nous sommes cousins, nous sommes frères. Nous formons une même communauté, une même «oumma», nous devons donc partager la même vraie religion. Nous vous conduirons, et ensemble nous libèrerons Jérusalem et la Terre sainte. Le Messie reviendra alors et son retour fera de nous et de vous ses élus dans son nouveau royaume.
Les propagandiste judéonazaréens, de langue syro-araméenne, expliquent leur croyance aux arabes, forment des prédicateurs parmi eux, leur traduisent des textes. Ils réalisent de petits manuels, des aide-mémoires en arabe, des livres liturgiques qui présentent des lectures et commentaires de textes sacrés, les «lectionnaires». Ces feuillets-aide-mémoire joueront un rôle capital. Ils étaient appelés qur’ân (coran). Le nom désignera plus tard le nouveau livre sacré des arabes.
Mahomet est un surnom, on ne connait pas son nom. Selon Gallez, il est probablement né en Syrie dans la tribu des Qoréchites. On ne sait s’il est né chrétien ou dans une famille judéonazaréenne, il a en tout cas été le propagandiste de cette doctrine et deviendra un chef de guerre à son service.

A la mort du futur prophète, l’islam n’est pas né
En 614, les arabes et les judéonazaréens aident les Perses conduits par le général Romizanès à prendre Jérusalem, mais le général cède le gouvernement aux juifs locaux et expulse les judéonazaréens et leurs alliés. «C’est sans doute à cette époque que le chef arabe gagne le surnom de Muhammad.»
Lorsque les Romains conduits par Héraclius reprennent le dessus sur les Perses, les Qoréchites et les judéonazaréens craignent leur vengeance. Ils s’enfuient à Médine, une oasis du désert de Syrie où une importante communauté judéonazaréenne est installée. Les membres de l’oumma s’appelleront désormais «les émigrés». Ce sera l’an 1 de l’Hégire selon l’histoire musulmane revue et corrigée. La communauté soumet d’autres tribus par les armes et se renforce. Des sources historiques relatent la prédication de Mahomet, qui s’oppose radicalement au discours musulman. Il envoie sans succès des troupes à la conquête de la «Terre promise» et meurt à Médine entre 629 et 634. Les sources musulmanes relatives au prophète datent de près de deux siècles après sa mort.
Le premier calife, Abu Bakr, poursuit le projet judéonazaréen. Omar son successeur conquiert la Palestine vers 637. Les vainqueurs rebâtissent le temple et attendent le Messie. Il tarde...
Trois ans plus tard, les arabes ont compris: ils se sont fait berner. Ils se débarrassent des judéonazaréens. Mais les arabes possèdent un royaume et poursuivent leurs conquêtes. Une justification religieuse qui reprenne la promesse messianiste est impérative. Les califes vont alors forger au cours des siècles un nouveau message destiné à légitimer l’extension de leurs terres et leur pouvoir.

Trier, supprimer, modifier…
L’islam, son prophète, ses hadiths, sa biographie se modèleront progressivement jusqu’à une cohérence approximative de la doctrine. Il faudra pour cela tordre l’histoire, effacer certains protagonistes, faire disparaitre de nombreuses traces, inventer des lieux et des événements.
«Mais avant qu’elle ne prenne forme comme doctrine, il faudra plus de 100 ans et avant qu’elle ne s’impose et ne se structure définitivement, au moins deux siècles de plus.»
Pour la religion en devenir, les arabes sont désormais le peuple élu. Ses créateurs effacent le souvenir de l’alliance avec les judéonazaréens, et même la présence historique de la secte. Ils reformulent la promesse messianiste. L’objectif impose de rassembler les textes, notes et aide mémoires des prédicateurs, de modifier, supprimer, ajouter, réinterpréter. Et de faire disparaître le nom même des judéonazaréens qui deviendront dans les textes les chrétiens.
Ces manipulations ne vont pas sans incohérences. Elles suscitent des résistances et des contestations qui vont conduire à la première guerre civile (fitna) entre arabes. Elle ne cessera pas jusqu’à aujourd’hui.
L’effacement des judéonazaréens doit beaucoup au calife Otman (644-656). Les juifs et les chrétiens qui forment l’écrasante majorité du nouvel empire mettent en évidence les faiblesses des justifications religieuses des arabes. Eux possèdent des livres savamment organisés à l’appui de leurs croyances. La nécessité d’un livre pour les nouveaux élus se fait jour.

D’un calife à l’autre, l’histoire recréée
Les feuillets et les textes qui structurent la nouvelle religion sont collectés, et ceux qui ne la servent pas sont détruits. Otman organise un système de domination par la prédation: répartition du butin -biens et esclaves-, levée d’un impôt sur les populations conquises. Les territoires occupés jouissent d’une relative liberté religieuse tant qu’ils paient l’impôt. Les « Coran d’Otman » (sous la forme de feuillets) sont les premiers de cette religion. Ils ont disparu.
Le calife Muawiya (661-680) transfère sa capitale de Médine à Damas. La destruction et la sélection de textes se poursuivent. Il s’agit de créer un corpus plus pratique que les collections de feuillets.
Pour remplacer le rôle de Jérusalem et de son temple, Muawiya invente un sanctuaire arabe, vierge de toute influence extérieure: ce sera La Mecque. Cette localisation est dès l’origine l’objet de nombreuses contestations. La Mecque est un choix absurde: elle est désertique, sans végétation pour les troupeaux, sans gibier. C’est une cuvette entourée de collines et de montagnes sujette à des inondations régulières. Elle ne se situe pas sur l’itinéraire des caravanes. Elle est censée avoir subsisté depuis Abraham, mais aucun chroniqueur, aucun document historique ou vestige archéologique n’atteste de son existence jusqu’à la fin du 7e
siècle, soit plusieurs dizaines d’années après la mort de Mahomet.
C’est vers les années 680 que Mahomet est qualifié d’envoyé de Dieu. Un nouveau rôle lui est attribué. Ibn al-Zubayr qui établit son califat à la Mecque est le premier à se réclamer de lui. Des pièces à son effigie représentent le premier témoignage «islamique» de l’histoire à mentionner Mahomet.
Le calife Abd Al-Malik (685-705) est le personnage-clé de l’unification de l’empire arabe et de la construction du proto-islam. Il récupère à son profit l’image de Mahomet et c’est sous son règne que la paternité du Coran est attribuée au nouveau prophète. Al-Malik intègrera La Mecque à sa doctrine religieuse, fera reconstruire le sanctuaire sous la forme approximative d’un cube. Il lie les éléments fondateurs du futur islam. La religion nouvelle commence à afficher une certaine cohérence pour la première fois depuis l’escamotage, en 640, du fondement judéonazaréen.

Une succession de manipulations
Les manipulations se succèdent, « chaque calife tentant à la fois de contrôler l’oumma par la force et de justifier son pouvoir par cette logique à rebours de la reconstruction de la religion et de l’histoire ».
L’invention, probablement au 9e siècle, du «voyage nocturne» de Mahomet depuis la Mecque permet de témoigner du passage du prophète à Jérusalem, légitimant par là son statut de ville sainte et la dévotion rendue au Dôme du Rocher. Mahomet monte au ciel pour y recevoir la révélation qui justifie le caractère sacré et absolu du Coran. Un accord céleste permet de mentionner un livre préexistant à sa dictée, verset par verset, à Mahomet.
La diffusion du Coran rend désormais difficile des ajouts. Il faudra construire autour du texte une tradition extérieure. Au long des siècles qui suivent vont proliférer d’innombrables Hadiths (paroles et actions du prophète) qui vont être triés selon les intérêts politiques des gouvernants et cristalliser cette tradition. Ils vont enjoliver, voire recréer le personnage historique et les évènements du proto islam. Ils expliqueront a posteriori un texte coranique souvent incompréhensible.
Parallèlement est écrite la Sira, la biographie officielle de Mahomet, de sa généalogie et de tous les événements de l’époque. Produite sous l’autorité du calife, elle donne des clés de lecture du Coran.
A la chute de la dynastie omeyade en 750, Bagdad est choisie comme capitale par la dynastie abbasside qui règnera jusqu’au XIIIe siècle. C’est durant la première partie de ce pouvoir, que l’islam tel que nous le connaissons aujourd’hui est modelé.

La doctrine se fossilise
La cristallisation de l’islam a lieu aux alentours du Xe siècle. Parallèlement aux Hadiths et à la Sira, la charia est élaborée «qui ressemble déjà beaucoup à ce qu’elle est aujourd’hui».
Après le règne d’une série de califes de Bagdad qui ont favorisé le développement des arts, des techniques et de la pensée, trois décisions majeures sont prises au Xe siècle, qui vont fossiliser la doctrine: l’affirmation du dogme du Coran incréé; la doctrine de l’abrogation (pour supprimer les contradictions du Coran); la fermeture de l’effort de réflexion et du travail d’interprétation.
Avec la sacralisation absolue de Mahomet, l’islam a très peu évolué dans sa doctrine. Sa pratique en revanche a varié au cours des époques et des lieux. Mais pour les musulmans pieux, le choix aujourd’hui encore consiste à choisir entre l’islam moderne du Xe siècle et l’islam rigoriste du VIIe (source du salafisme). «Cela revient à condamner chaque génération à refaire perpétuellement ce que l’islam pense avoir été, à répéter le fantasme construit par des siècles de manipulations.»
L’imposture de la tradition musulmane est mise à jour par ce travail de Gallez qui s’appuie sur bien d’autres scientifiques. Mais « il reste beaucoup à faire aux chercheurs pour démêler les différentes couches de réécriture et de manipulation des textes et du discours islamique. »

Mireille Vallette

*Parue sous le titre Le Messie et son Prophète, 2 vol., 2005-2010.

Italie: Des chrétiens jetés à la mer par les migrants musulmans à cause de leur foi

Quinze immigrés musulmans ont été arrêtés jeudi à leur arrivée en Sicile pour avoir, selon des témoins, jeté par-dessus bord douze réfugiés après une dispute sur le bateau les transportant en Méditerranée.

Les quinze hommes, de nationalité ivoirienne, malienne et sénégalaise, étaient arrivés mercredi dans le port sicilien à bord du navire Ellensborg qui les avait recueillis. Ils ont été inculpés jeudi d'«homicide multiple, aggravé par la haine religieuse».

Le drame est survenu dans le détroit de Sicile. Selon les témoignages fournis à la police par une dizaine de réfugiés nigérians et ghanéens qui se trouvaient à bord de l'embarcation, une dispute a éclaté pour des raisons religieuses.

Source

Source italienne: Corriere della Sera 

22 villages chrétiens syriens attaqués par l’Etat Islamique

Information occultée par la presse...
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Le 23 février, plus de 40 camionnettes de miliciens djihadistes du prétendu Etat islamique (EI) ont attaqué 22 villages chrétiens assyriens sur la rive est de la rivière Khabur, du gouvernorat de Hassaké, dans le nord-est du pays. Des centaines de chrétiens assyriens ont été pris en otage par les djihadistes et les églises incendiées ou endommagées. Mgr Jacques Behnan Hindo, archevêque syro-catholique d’Hassaké-Nisibi, confiait à l’agence Fides que « les terroristes ont attaqué les villages de Tel Tamar jusqu’à Tel Hormuz, où ils ont tout brûlé. (...) ils ont pris des dizaines d’otages, peut- être dans l’intention de les utiliser pour demander des rançons ou en vue d’un échange de prisonniers ».Suite

Ils massacrent les chrétiens et nous reprochent d’être islamophobes

Michel Garroté -- L’alliance de l’Occident avec tel ou tel pays musulman, cette alliance doit être considérée comme une alliance tactique à court terme, même si elle est renouvelable pendant un certain laps de temps. Face à l’Etat Islamique (EI) qui veut anéantir les chrétiens en terre d’islam, le régime syrien de Bachar al-Assad n’est pas notre allié stratégique à long terme. Il est, ou plutôt, il devrait être - seulement et provisoirement - un partenaire tactique à court terme (sur ce thème, lire ou relire Sur le retour du chemin de Damas et Allô Damas ? Passez-moi Bachar al-Assad !).

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Ci-dessous, je publie une analyse en cinq parties qui tente d’évoquer l’essentiel :

CINQUANTE ANS DE DIALOGUE ISLAMO-CHRETIEN SANS AUCUN RESULTAT

ANTISEMITISME ET ISLAMOPHOBIE NE SONT PAS COMPARABLES

CE QUI SE PASSE VRAIMENT DU COTE D’ALEP (SYRIE)

LA FIN DES CHRETIENS EN TERRE D’ISLAM ?

MASSACRE DES CHRETIENS D’ORIENT - LES CHEMINS DE LA BARBARIE

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CINQUANTE ANS DE DIALOGUE ISLAMO-CHRETIEN SANS AUCUN RESULTAT

Tout récemment, le pape François a reçu à Rome les Evêques d 'Afrique du Nord (Maroc, Algérie, Tunisie et Libye). Dans le discours qu'il leur a remis, il a évoqué l’histoire d'une région marquée par de nombreuses figures de sainteté depuis Cyprien et Augustin, patrimoine spirituel de toute l’Eglise, jusqu’au bienheureux Charles de Foucauld, dont on fêtera l’an prochain le centenaire de la mort. Jusque-là ça va. Mais le pape ajoute : « Depuis plusieurs années l'Afrique du Nord connaît des évolutions significatives, qui permettaient alors d’espérer voir se réaliser certaines aspirations à une plus grande liberté et à la dignité et favoriser une plus grande liberté de conscience. Mais parfois aussi ces évolutions ont conduit à des déchaînements de violence » (Note de Michel Garroté - Le pape utilise des euphémismes ; car, en réalité, nous assistons à une éradication des chrétiens en terre d’islam).

« Je voudrais saluer particulièrement le courage, la fidélité et la persévérance des évêques de Libye, ainsi que des prêtres, des personnes consacrées et des laïcs qui demeurent dans le pays malgré les dangers multiples. Et à ce propos, je suis heureux de relever que l’Institut pontifical d’études arabes et islamiques, qui célèbre cette année son cinquantième anniversaire, est né à Tunis » (Note de Michel Garroté - Intéressant : un Institut pontifical d’études islamiques œuvre depuis cinquante ans ; et le résultat de ce « pontifical islamique », c’est qu’on massacre de plus en plus les chrétiens d’Orient).

« Soutenir et utiliser cette institution si nécessaire pour s’imprégner de la langue et de la culture permettra d’approfondir un dialogue en vérité et dans le respect entre chrétiens et musulmans. Le dialogue, vous le vivez aussi au jour le jour avec les chrétiens de diverses confessions ». Citant également l’Institut Œcuménique Al Mowafaqa (Maroc) qui promeut le dialogue œcuménique et inter-religieux, le Pape rappelle que ses hôtes « animent une Eglise de la rencontre et du dialogue, au service de tous sans distinction » (Note de Michel Garroté - Institut pontifical d’études arabes et islamiques par-ci ; Institut Œcuménique Al Mowafaqa par-là ; et depuis cinquante ans que ça dure, on détruit les églises en terre d’islam et on construit des mosquées en Europe ; un jour, l’Eglise catholique devra rendre des comptes pour cette hérésie et cette aberration que constitue ce catholicisme islamo-compatible, ce « catholislam »).

ANTISEMITISME ET ISLAMOPHOBIE NE SONT PAS COMPARABLES

Gilles William Goldnadel, dans Le Figaro, écrit : C’était sûr. Promis, craché. Rien ne serait plus jamais comme avant. Le 12 janvier au matin, les nuées pestilentielles de la haine, de l’intolérance, et du terrorisme intellectuel seraient emportées par un ouragan nommé Charlie. Certains, très peu nombreux, demeuraient fort sceptiques. Contre le vent qui soufflait, ils prophétisaient sans plaisir qu’il était douteux qu’un happening satisfait, un festival du consensus mou allant jusqu’à refuser de détester la haine et encore moins de la nommer, une escroquerie émotionnelle aux sentiments, ne fassent autre chose que bien rire les méchants. Ces mauvais prophètes maudissaient le roi et plus encore ses puissants opposants de ne pas avoir saisi l’occasion du malheur pour se libérer des fers que la religion de la préférence pour l’Autre avait posés sur les sujets de France.

La semaine dernière, dans ces mêmes colonnes, je disais que le seul scandale provoqué par les évidences affligeantes prononcées par le représentant censé représenter les juifs français résidait précisément dans le fait qu’elles aient pu faire scandale. Mais un autre habite dans le fait que les déclarations du même, le lendemain, n’aient déclenché, au rebours, aucun commentaire. Le président du CRIF s’est en effet rendu à l’Élysée, comme d’autres à Canossa, pour se réconcilier, sous égide présidentielle, avec le très estimable président Boubakeur qui avait cru devoir se sentir insulté par le lieu commun, la banalité, l’observation ingrate de l’identité religieuse des assassins de juifs. Bref, en la circonstance, c’étaient les musulmans qui faisaient figure d’offensés.

On revoyait ainsi se dérouler au même endroit, la même scène qui avait été jouée au lendemain du massacre de Toulouse, et où les acteurs de l’époque avaient lourdement insisté sur le «pas d’amalgame!». Quelques jours après, le grand rabbin de France avait regretté, mais un peu tard, la centralité de cette thématique qui masquait la réalité des responsabilités respectives. Cette fois-ci, le président du Crif s’est senti obligé de déclarer publiquement que «juifs et musulmans étaient ensemble victimes du racisme»… Je comprends bien, et je la souhaite autant qu’un autre, la nécessité de bonnes relations entre les enfants d’Israël et ceux d’Ismaël. Mais pas au prix d’un mensonge au moins par omission pour se faire pardonner une dure vérité.

Il n’existe aucune équivalence actuelle entre la souffrance juive et la souffrance musulmane. Les renvoyer dos à dos est une offense dangereuse à la cruelle vérité. Que le représentant du CRIF m’oblige à m’imposer au nom de la vérité due aux victimes de la haine islamiste, cet exercice ingrat qui sera considéré par certains comme constitutif de concurrence victimaire, m’afflige. Énoncer dans une même phrase que juifs et musulmans seraient victimes du même racisme donne à penser que, comme toujours, les racistes sont les non-juifs et les non-musulmans. Pour un peu les éternels franchouillards… Or dans la tragique circonstance actuelle, les tourmenteurs de juifs se recrutent au sein de l’islam radical.

Laisser également à penser qu’antisémitisme et islamophobie seraient les deux revers d’une même médaille ensanglantée relève de la dangereuse contrevérité. Comme l’a encore écrit mon cher Pierre André Taguieff dans ces mêmes colonnes «la symétrie entre islamophobie et judéophobie relève de l’escroquerie intellectuelle et morale.» «Point de musulmans assassinés en France parce que musulmans, point d’enfants musulmans tués en tant que musulmans. Point non plus en France, même après les tueries de janvier 2015, de manifestations islamophobes violentes avec des slogans comme « mort aux musulmans ! » ou « musulmans assassins ! ». Ni même avec un slogan du type « musulman, casses-toi : la France n’est pas à toi ! ». Dieu merci.

J’ai défendu ici même le droit et même le devoir qu’avait le président de l’instance représentative des juifs de France de dire la vérité sans faillir. Dans la tempête médiatique s’il le faut. Ce n’était pas la peine de s’y risquer sans savoir tenir fermement la barre. Mais je sais aussi d’où souffle le mauvais vent qui gonfle la tempête. Si les choses ont changé depuis le 11 janvier, ce n’est pas en mieux. © Gilles William Goldnadel - Le Figaro

CE QUI SE PASSE VRAIMENT DU COTE D’ALEP (SYRIE)

Alessandra Benignetti et Roberto Di Matteo, dans La Repubblica, relatent que le père Rodrigo Miranda, quarante ans, est un missionnaire chilien de l’Institut de la Parole incarnée qui a passé ces quatre dernières années en Syrie, dans l’enfer d’Alep. Curé à la Cathédrale de l’Enfant Jésus, il est venu en aide depuis 2011 à la population, en particulier durant les 3 ans de siège que la ville a connus, au milieu des violences, des morts et des enlèvements. Il est de retour à Rome depuis quelques mois, et c’est là que nous l’avons rencontré pour entendre son témoignage. C’est le récit d’un témoin direct de la bataille d’Alep qui a commencé en 2012, et qui, plus que toutes les autres, résume bien la tragédie vécue par la population, par ceux qui habitaient la cité autrefois la plus riche et la plus peuplée de Syrie, et qui d’un coup s’est retrouvée au cœur d’un conflit d’une extrême violence entre les rebelles et l’armée d’Assad ; un conflit qui a coûté la vie à des milliers de civils.

Une guerre artificielle

« Avec sa mosaïque de cultures et de religions, Alep a toujours été une ville symbole de la bonne cohabitation entre chrétiens et musulmans, » nous raconte Père Rodrigo, « la guerre est arrivée à l’improviste, et a frappé des personnes qui ne se seraient jamais attendues à une telle réaction face à un conflit qui a tout d’artificiel. » Cette dernière phrase nous intrigue un peu. « La population syrienne, nous explique-t-il, n’a jamais demandé un changement, ni politique ni culturel. Jamais. Ils étaient bien comme ils étaient. Je ne veux pas faire les louanges d’Assad, mais ce que je veux dire, c’est que le conflit a été le fruit d’un processus aussi rapide que violent. Parmi les combattants, seuls 2% sont syriens, les autres sont tous des étrangers, de 83 nationalités différentes ».

Les persécutions contre les chrétiens

Avant la guerre, les chrétiens d’Alep étaient au nombre d’environ 300’000. Des 4000 fidèles qui fréquentaient la paroisse de Père Rodrigo, il n’en reste que 25 aujourd’hui. Tous les autres ont fui, ou bien « ils ont été tués, surtout les femmes et les jeunes. Il y a eu beaucoup d’enlèvements, » nous explique le curé. En effet, les chrétiens de Syrie ont, plus que les autres, été pris pour cible par des groupes islamistes radicaux. « Cela survient du fait de leur grande influence dans de nombreux secteurs de la société, et parce qu’ils ont cette capacité au dialogue, cette faculté de s’ouvrir à l’autre, de le respecter [qui les rend si vulnérables]. Quand nous entendons dire que l’EIIL avance dans le nord de l’Irak ou de la Syrie, c’est parce que ces zones sont peuplées de chrétiens, et la réponse d’un chrétien est très différente de celles des autres [confessions]. » Sur le front humanitaire, la situation n’est guère meilleure : « j’ai parlé encore hier avec mes [anciens] paroissiens : ils manquent d’eau, de lumière et d’électricité depuis 12 jours. Les promesses des Nations Unies sont restées lettre morte ».

Un niveau de violence inouï

À quelques mètres de la paroisse de Père Rodrigo se trouvait l’Université d’Alep, qui a été le théâtre d’un violent attentat le 15 janvier 2013, attentat dans lequel des centaines de jeunes étudiants ont perdu la vie. « Il était midi, l’heure de pointe, lorsque les trois missiles sont tombés. L’université était pleine de monde, et la plupart étaient dehors, » nous raconte-t-il. « Après la frappe du premier missile, j’ai commencé à aider les personnes à côté de moi. Ensuite, alors que je courais vers l’université pour aller aider les autres, j’ai vu le 2e missile arriver. J’ai tenté de me réfugier entre un mur et quelques voitures. J’ai entendu un fracas, puis un long silence, et après… le désastre. Ça a été un massacre. Au début, poursuit-il, on nous a dit que les missiles avaient été tirés par l’armée d’Assad. Mais notre quartier était contrôlé par l’armée régulière. Ça voudrait dire qu’ils se seraient tirés sur eux-mêmes (?). Après, ils ont raconté que l’armée avait frappé par erreur. Mais si tu te trompes, tu le  fais une fois, pas trois. L’autre hypothèse est que ce sont les rebelles qui ont tiré, pour frapper l’armée qui contrôlait le quartier. » Mais ce dont se souvient le plus Père Rodrigo, c’est le « degré de violence exercée contre la population civile. » En écoutant son récit, il nous vient à l’esprit une question évidente, banale. N’avez-vous jamais eu peur ? Jamais, répond-il en souriant : « pendant ces secondes-là, on n’a même pas le temps d’avoir peur. On pense seulement à aider ».

Les mensonges des médias

« Ce que désire le peuple syrien par-dessus tout, c’est que dans les autres pays, on raconte ce qui se passe vraiment en Syrie. » D’après Père Rodrigo, la désinformation sur ce conflit a été tout simplement gigantesque. Nous lui demandons quel a été le plus gros mensonge. Sa réponse : « le fait de parler de ‘’régime’’, de vouloir cataloguer à tout prix comme ‘’dictateur’’ tous ceux qui ne font pas ce que [certains pays] veulent, » nous répond-il sans hésiter. « On ne peut pas appliquer la démocratie telle que nous l’entendons, à des pays où le substrat culturel est totalement différent : il faut respecter la diversité et la culture de l’autre, c’est comme cela qu’on garantit la paix. » Autrement, le risque est « une radicalisation toujours plus forte, » qui est prête à contaminer également l’Europe, comme cela se produit sous nos yeux aujourd’hui. © Alessandra Benignetti et Roberto Di Matteo La Repubblica, 2015 Traduction : Christophe pour ilFattoQuotidiano.fr

LA FIN DES CHRETIENS EN TERRE D’ISLAM ?

Répondant dimanche 1er mars à l’appel du Comité de Soutien aux Chrétiens d’Irak, nous étions, écrit Karim Ouchikh, Président du SIEL, plusieurs centaines de personnes à défiler silencieusement à Sarcelles pour soutenir la cause des chrétiens d’Orient, dans un département, le Val d’Oise, qui abrite la communauté Assyro-Chaldéenne la plus importante de France. Une foule compacte communiait avec ferveur à la pensée de ces chrétiens innombrables du Moyen-Orient, aujourd’hui persécutés, pourchassés, décimés, martyrisés. Leurs assassins sont connus : les barbares de l’Etat islamique qui opèrent en toute impunité aux confins de l’Irak, de la Syrie ou de la Libye. Leurs méthodes sont radicales : user de moyens toujours plus sanguinaires et spectaculaires avec une rage et une détermination qui font froid dans le dos. Leur but de guerre est évident : éradiquer toute présence chrétienne dans une vaste aire géographique qui a pourtant vu naître la religion du Christ, deux mille ans plus tôt. En Syrie, des centaines de chrétiens, de tous âges et de toutes conditions, sont déplacés ces jours-ci, déportés en zones inconnues, promis à un sort terrible que chacun pressent avec effroi au souvenir du martyr subi voici peu en terre libyenne par les 21 coptes égyptiens.

Quoique soutenue par la Conférence des évêques de France, la manifestation de solidarité ne fut guère relayée par les médias et peu de personnalités nationales s’y sont pressées, à l’exception notable de Mgr Lalanne, évêque de Pontoise, de François Pupponi (PS) et Jérôme Chartier (UMP), respectivement députés maires de Sarcelles et de Domont. En ce jour de recueillement, il ne fut pas question de rechercher la moindre responsabilité politique à ce drame historique : les apprentis sorciers qui, aux Etats-Unis comme en France, ont armé sans états d’âme les terroristes islamistes ou qui soutiennent toujours ces pétromonarchies qui financent inlassablement le djihad dans le monde, devront tôt ou tard répondre de leurs actes insensés.

Nul n’a davantage songé, à cet instant précis, à promouvoir quelque issue concrète que ce soit à cette tragédie inédite : les puissances historiques qui peuvent encore influer sur le cours des évènements, de la Russie aux Etats-Unis, de la France au Royaume-Uni, sans oublier les acteurs régionaux, de l’Egypte à la Turquie, auront tôt fait à se gendarmer effectivement, sans pouvoir éternellement se dérober à leurs responsabilités diplomatiques et militaires. Un seul mot d’ordre occupait alors les esprits en cette matinée du 1er mars : résister. Résister dans la prière et le recueillement.

Résister à la barbarie islamiste qui dévaste des contrées entières, avec une violence inouïe, en emportant tout sur son passage, églises, villages et vies humaines. Résister à une idéologie totalitaire qui veut tout abolir, y compris l’empreinte culturelle du passé, en saccageant musées, bibliothèques et mausolées. Résister à une entreprise de nature génocidaire qui voudrait éradiquer les particularismes locaux et les minorités religieuses, au premier rang desquelles les communautés chrétiennes dont la présence vénérable, entre le Tigre et l’Euphrate, à Kobané comme à Mossoul, se confond avec une terre biblique qui fut rien moins que le berceau sacré de l’humanité. Résister pour éviter que les chrétiens d’Orient ne sortent définitivement de l’Histoire. © Karim Ouchikh, Président du SIEL

MASSACRE DES CHRETIENS D’ORIENT - LES CHEMINS DE LA BARBARIE

Sur Boulevard Voltaire, Christian Vanneste écrit : L’opinion publique s’est davantage émue des destructions commises par les barbares de l’État islamique dans les musées et sur les sites archéologiques du nord de l’Irak que de l’enlèvement de 220 chrétiens syriens par ces fanatiques. Les deux événements font référence aux Assyriens. Mais l’identité du mot est trompeuse. Les Assyriens d’aujourd’hui sont des chrétiens d’Orient, les héritiers d’un schisme du Ve siècle devenu une hérésie à partir de la définition de la nature du Christ au concile d’Éphèse. Au sens strict, l’église assyrienne est indépendante, contrairement à sa sœur chaldéenne ralliée à la papauté catholique. Les Assyriens forment des communautés possédant une culture propre avec notamment la langue araméenne, celle du Christ, et la foi chrétienne. Leur histoire est celle d’une longue persécution depuis la conquête arabe et musulmane à laquelle une autre minorité, celle des Kurdes, a souvent prêté la main. 70 % des Assyriens de l’Empire ottoman auraient ainsi été massacrés en 1915-1916 dans le même temps que les Arméniens au cours d’un génocide méconnu qui aurait tué 750.000 personnes (Sayfo).

La relative indifférence de l’Occident à leurs souffrances actuelles tient sans doute d’une part à la banalisation des atrocités commises par les islamistes, mais d’autre part aussi à la peur panique des dirigeants occidentaux de paraître défendre particulièrement des chrétiens contre des musulmans dans un mélange explosif de croisade et de colonisation. Il y a des moments où la culpabilité excessive et la repentance hypocrite se font les complices de crimes bien réels et actuels. Les Kurdes et les yézidis, oui, mais les chrétiens, attention !

C’est pourquoi l’ampleur de la réaction au saccage iconoclaste des statues assyriennes a été beaucoup plus forte. Ces Assyriens-là, dont le comportement n’était guère humaniste, ont beau avoir disparu depuis des millénaires, il est politiquement correct et sans danger de se scandaliser de l’atteinte à leurs vestiges et à leur souvenir. Il y a dans cette attitude une certaine logique : la communauté des vivants assyriens continuera à transmettre ses traditions de l’Amérique à l’Australie en passant par l’Europe, là où la diaspora a trouvé refuge. En revanche, la destruction d’un patrimoine millénaire est définitive et paraît une stupide atteinte à l’Humanité, d’abord chez le coupable qui lui fait honte par sa bêtise, et dans le trésor de l’héritage humain, amoindri sans la moindre raison.

Sous les condamnations officielles pourront se dissimuler quelques idées plus perfides. D’abord, la plupart des statues détruites n’étaient que des copies. Ensuite, voilà une excellente raison pour les grands musées occidentaux de ne pas restituer leurs collections aux pays d’origine. Ces crétins de djihadistes ont brisé de magnifiques « taureaux ailés ». Ils ne toucheront pas à ceux de Paris ou aux lions de Berlin. Enfin, il est probable que le trafic des œuvres d’art volées dans les musées du territoire soumis au « califat », qui a grand besoin de ressources, « sauve » un certain nombre d’objets.

Ces deux événements rattachés à une identité assyrienne ambiguë rappellent une fois encore l’importance de cette notion d’identité. Ceux qui s’offusquaient naguère de l’emploi du mot pour désigner l’une des missions d’un ministère devraient y réfléchir. Ceux qui, chez nous, aiment tellement l’altérité qu’ils s’acharnent volontiers sur la tradition et l’héritage sont tout aussi destructeurs. Nier son identité construite par le temps pour revenir à une origine illusoire ou la dissoudre dans la confusion d’un présent métissé sont les deux chemins de la barbarie. La cultiver pour la faire croître et l’enrichir, c’est la voie royale de toute civilisation. © Christian Vanneste sur Boulevard Voltaire


Fabius crache sur les milliers de victimes des musulmans !

Par Maxime Lépante

Le samedi 14 février dernier, un terroriste musulman, Omar Abdel Hamid El-Hussein, d’origine « palestinienne », commet un double attentat à Copenhague. (1)

Vers 15h30, le terroriste musulman ouvre le feu au pistolet-mitrailleur sur le centre culturel Krudttønden, alors que s’y tient un débat, intitulé « Art, blasphème et liberté d’expression », avec le Suédois Lars Vilk (auteur de caricatures de Mahomet en 2007) et l’ambassadeur de France. Le réalisateur danois Finn Nørgaard est tué ; trois policiers sont blessés. (2)

Vers minuit, le terroriste musulman ouvre le feu sur la synagogue de Copenhague, dans laquelle a lieu une cérémonie de confirmation, réunissant 80 petites filles juives et leurs familles. Un jeune Juif, Dan Rosenberg Asmussen, étudiant en économie, qui assurait la sécurité ce soir-là, est tué ; deux policiers sont blessés. (3)

Quelques heures après, la police danoise identifie et abat le terroriste musulman, alors qu’il rentrait à son domicile. (4)

Laurent Fabius, l’abjection faite homme

Le lendemain matin, dimanche 15 février, interrogé sur Itélé, dans l’émission « Le Grand Rendez-Vous », au sujet des attentats musulmans de Copenhague, le ministre des Affaires Étrangères de la France, Laurent Fabius, déclare que « les premières victimes de ce qui se passe, physiques et psycho-politiques, ce sont les musulmans ».

https://twitter.com/itele/status/566898407470825474

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Cette déclaration abjecte constitue un véritable crachat sur les cadavres de Finn Nørgaard et de Dan Rosenberg Asmussen, victimes du terrorisme musulman.

Les musulmans décapitent les non-musulmans

Le jour où Laurent Fabius faisait sa déclaration abjecte sur Itélé, les musulmans de l’État Islamique décapitaient 21 chrétiens coptes sur une plage de Libye, en face de l’Italie. (5)

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Images extraites de la vidéo montrant la décapitation des 21 chrétiens coptes, le dimanche 15 février 2015. (6)

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Mais pour Laurent Fabius, les musulmans décapiteurs sont les premières victimes.

Quant aux milliers de chrétiens décapités par les musulmans de l’État Islamique en Syrie, en Irak, en Libye et en Algérie (où le Français Hervé Gourdel a été décapité le 23 septembre 2014), Laurent Fabius s’en moque et crache sur leurs cadavres. (7)

Les musulmans crucifient les non-musulmans

Depuis plusieurs années, les musulmans de l’État Islamique ont crucifié des centaines de chrétiens en Syrie. (8)

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En juillet 2014, les musulmans de l’État Islamique ont crucifié 8 chrétiens sur la grand-place de la ville de Deir Hafer, près d’Alep (Syrie). (9)

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Mais pour Laurent Fabius, les musulmans crucifieurs sont les premières victimes.

Quant aux centaines de chrétiens crucifiés par les musulmans de l’État Islamique en Syrie, Laurent Fabius s’en moque et crache sur leurs cadavres.

Les musulmans réduisent en esclavage les non-musulmans

Au Nigeria, les musulmans de Boko Haram ont enlevé et réduit en esclavage des milliers de jeunes filles chrétiennes. (10)

En Irak, les musulmans de l’État Islamique ont enlevé et réduit en esclavage des milliers de jeunes filles yézidies et chrétiennes. Ils ont même publié un document fixant le prix des esclaves yézidies et chrétiennes selon leur âge. (11)

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Prix des esclaves : une fillette de 1 à 9 ans coûte 200.000 dinars (138 euros), une fille de 10 à 20 ans 150.000 dinars (104 euros), une femme de 20 à 30 ans 100.000 dinars (69 euros), une femme de 30 à 40 ans 75.000 dinars (52 euros) et une femme de 40 à 50 ans 50.000 dinars (35 euros).

Mais pour Laurent Fabius, les musulmans violeurs et esclavagistes sont les premières victimes.

Quant aux milliers de femmes yézidies et chrétiennes violées et réduites en esclavage par les musulmans de l’État Islamique en Syrie et par les musulmans de Boko Haram au Nigeria, Laurent Fabius s’en moque et crache sur leurs corps martyrisés.

Les musulmans exterminent les non-musulmans

Les 7, 8 et 9 janvier derniers, trois terroristes musulmans (les frères algéro-français Kouachi et le malio-français Coulibaly) assassinaient 17 Français à Paris. Mais pour Laurent Fabius, les premières victimes sont les musulmans ! Nul doute que les familles des 17 Français exterminés par les musulmans Kouachi et Coulibaly apprécieront de voir Laurent Fabius cracher sur les cadavres de leurs proches ! (12)

Le 24 mai 2014, un terroriste musulman (l’algéro-français Mehdi Nemmouche) assassinait quatre personnes dans le Musée juif de Bruxelles. Mais pour Laurent Fabius, ce sont les musulmans exterminateurs de Juifs qui sont les premières victimes, pas les Juifs exterminés ! (13)

En 2014, les musulmans ont commis des attentats contre les non-musulmans en France, Belgique, Canada, Australie, États-Unis, Royaume-Uni, Philippines, Nigeria, Syrie, Ouganda, Cameroun, Inde, Indonésie, Irak, Pakistan, Libye, Égypte, Israël, Algérie, Russie, Thaïlande, Liban, Bangladesh, Kenya, Émirats Arabes Unis, Chine, Mali, Congo, Somalie, Tchétchénie, Soudan, Arabie Saoudite, Afghanistan, République Centrafricaine, Turquie (liste non-exhaustive).

Mais pour Laurent Fabius, les musulmans exterminateurs sont les premières victimes.

Quant aux dizaines de milliers de non-musulmans exterminés par les musulmans en 2014, Laurent Fabius s’en moque et crache sur leurs cadavres.

Laurent Fabius, le négationniste

Les historiens et statisticiens ont établi que les musulmans ont assassiné 270 millions de non-musulmans depuis l’invention de l’islam par Mahomet, au VIIe siècle. (14)

Depuis près de 1400 ans, les musulmans massacrent, égorgent, décapitent, éventrent, crucifient, brûlent vifs, lapident, pendent, tuent, poignardent, étranglent, mutilent, violent, torturent les non-musulmans sur toute la planète.

Bref, à l’inverse de ce que prétend le négationniste Laurent Fabius, les musulmans ne sont pas les premières victimes, ils sont au contraire les premiers coupables.

Ce que Laurent Fabius aurait dit en 1945 sur la Shoah

Dans l’esprit de sa déclaration abjecte sur « les musulmans premières victimes des crimes de l’islam », nul doute que, s’il avait vécu en 1945, Laurent Fabius aurait déclaré, lors de la découverte des camps d’extermination nazis : « les premières victimes de la Shoah, physiques et psycho-politiques, ce sont les nazis ».

Un nouveau Nuremberg pour les islamo-collabos

La déclaration abjecte de Laurent Fabius révèle qu’il a choisi son camp : celui des musulmans dont l’idéologie prône le massacre des non-musulmans, celui de l’islam génocidaire, celui du coran exterminateur.

Le peuple français est excédé par les islamo-collabos qui ouvrent nos frontières à l’immigration massive de musulmans dans notre pays, qui favorisent la multiplication des mosquées, du halal, des voiles islamiques, des fêtes musulmanes, des écoles coraniques, de la finance islamique sur notre territoire, qui trouvent sans cesse des excuses aux crimes des musulmans et qui crachent sur les non-musulmans massacrés par les musulmans.

Tôt ou tard, les Français exigeront que les islamo-collabos soient punis.

Et alors, comme l’a dit Paul Weston, « nous vous traînerons devant un tribunal du style Nuremberg où vous serez jugés pour haute trahison ». (15)

Maxime Lépante

Article paru simultanément sur Riposte Laïque

Notes :

1) Qui est Omar Hamid El-Hussein, l’auteur des attentats à Copenhague ?

http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/attentat-a-copenhague/attentats-au-danemark-omar-hamid-el-hussein-adolescent-danois-parfois-agressif-sinon-gentil-devenu-terroriste_826001.html

2) Finn Nørgaard, le réalisateur danois tué à Copenhague

http://www.lefigaro.fr/cinema/2015/02/15/03002-20150215ARTFIG00094-finn-nrgaard-le-realisateur-danois-tue-a-copenhague.php

3) Attaques de Copenhague : dernier hommage à la victime de la synagogue

http://www.franceinfo.fr/actu/europe/article/attaques-de-copenhague-dernier-hommage-la-victime-de-la-synagogue-646181

4) Deux attaques meurtrières, un suspect abattu : ce qui s’est passé à Copenhague

http://www.liberation.fr/monde/2015/02/14/le-deroule-de-l-attentat-de-copenhague_1202853

5) Libye: l’État islamique revendique l’exécution de 21 coptes égyptiens

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/02/15/97001-20150215FILWWW00192-libye-l-etat-islamique-decapitent-dans-une-video-21-coptes.php

6) La vidéo de la décapitation des 21 chrétiens coptes est visible ici (attention, contenu choquant et extrêmement violent !) :

L’État Islamique décapite 21 Chrétiens coptes égyptiens en Libye

http://www.fdesouche.com/563275-dans-sa-derniere-video-letat-islamique-execute-21-chretiens-egyptiens-en-libye

7) Sur les décapitations musulmanes, voir notre article :

Décapitations : l’histoire sanglante de l’islam, de Mahomet à aujourd’hui

http://ripostelaique.com/decapitations-lhistoire-sanglante-de-lislam-de-mahomet-a-aujourdhui-attention-videos-horribles

Attention : cet article contient les liens vers 10 horribles vidéos de décapitations par des terroristes musulmans !

Voir aussi :

L’islam a décapité Hervé Gourdel : nous devons décapiter l’islam !

http://ripostelaique.com/lislam-a-decapite-herve-gourdel-nous-devons-decapiter-lislam

8) Syrie : des chrétiens crucifiés par des jihadistes, selon une religieuse

http://www.rtl.fr/actu/international/syrie-des-chretiens-crucifies-par-des-jihadistes-selon-une-religieuse-7771289567

Voici vidéo montrant un chrétien crucifié devant des enfants musulmans souriants, dans une ville de Syrie, en juillet 2014 :

Vidéo: Un Homme Crucifié Devant Des Enfants, En Syrie

http://www.jerusalemplus.com/video-homme-crucifie-devant-des-enfants-en-syrie/

9) Syrie: 8 chrétiens crucifiés par l’État Islamique en Irak et en Syrie (ISIS)

http://www.blogdelazare.com/2014/08/syrie-8-chretiens-crucifies-par-l-etat-islamique-en-irak-et-en-syrie-isis.html

10) En avril 2014, les musulmans de Boko Haram ont enlevé plus de 200 lycéennes chrétiennes dans la ville de Chibok, les ont réduites en esclavage puis vendues à des « maris ». De tels enlèvements de chrétiennes par des musulmans sont monnaie courante au Nigeria.

L’enfer des 200 lycéennes enlevées au Nigeria

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/05/07/au-nigeria-les-captives-de-boko-haram-restent-introuvables_4412786_3212.html

Nigeria: les lycéennes enlevées seront traitées en « esclaves », « vendues » et « mariées »

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/05/97001-20140505FILWWW00120-nigeriarapt-revendication-de-boko-haram.php

Nigeria : Boko Haram aurait converti et marié de force les 219 lycéennes enlevées

http://www.leparisien.fr/international/nigeria-boko-haram-aurait-converti-et-marie-de-force-les-219-lyceennes-enlevees-31-10-2014-4256169.php

Enlèvement des lycéennes de Chibok

http://fr.wikipedia.org/wiki/Enl%C3%A8vement_des_lyc%C3%A9ennes_de_Chibok

11) « Comment traiter une esclave sexuelle »: le terrifiant guide de Daech

http://www.metronews.fr/info/comment-traiter-une-esclave-sexuelle-le-terrifiant-guide-de-daech/mnlj!J3M1PiavamrI/

Les femmes esclaves de l’État Islamique 1/2

http://www.parismatch.com/Actu/International/Les-femmes-esclaves-de-l-Etat-islamique-1-2-659700

Les femmes esclaves de l’État Islamique 2/2

http://www.parismatch.com/Actu/International/Les-femmes-esclaves-de-l-Etat-islamique-2-2-660084

12) Attentats de janvier 2015 en France

http://fr.wikipedia.org/wiki/Attentats_de_janvier_2015_en_France

13) Tuerie du Musée juif de Belgique

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tuerie_du_Mus%C3%A9e_juif_de_Belgique

14) Estimate of the death of non-Muslims by the political act of jihad

http://www.politicalislam.com/tears/pages/tears-of-jihad/

15) Aux dirigeants qui livrent l’Occident à l’islam : « Nous vous demanderons des comptes »

http://www.postedeveille.ca/2010/10/aux-dirigeants-qui-livrent-loccident-a-lislam-nous-vous-demanderons-des-comptes.html

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SILENCE : ON TUE !

Par Pieter Kertens

Alors que jamais personne ne s’est intéressé à leur sort, depuis quelques mois, le martyre des chrétiens occupe nos médias et les colonnes de nos périodiques. Depuis fort longtemps les chrétiens, blancs pour la grande majorité, ont été persécutés sous toutes les latitudes et par tous les régimes politiques ou religieux.

Suite

Genève : Pas de livres chrétiens au marché de Noël…

Dans un village genevois, les livres chrétiens ne sont pas les bienvenus au marché de Noël, comme le dévoile le journal de l’UDF Impulsion.

Parmi les différents stands, proposant nourriture, boissons, souvenirs et autres objets divers, l’un d’entre eux voulait – entre autres – vendre des livres chrétiens.

Cela n’allait pas du goût des responsables qui s’y sont opposés catégoriquement. Ainsi, ce genre de livres ne peut pas être présent au marché… de Noël.

Devra-t-on le rebaptiser bientôt « marché d’hiver »? Une telle proposition pourrait venir de nos opposants, désirant enlever tout rapport au christianisme de l’événement, mais aussi des croyants eux-mêmes, ne se sentant plus représentés aucunement par la manifestation.

Un tel état de fait constitue, selon nous, une atteinte à la liberté d’expression, qui plus est à l’encontre des valeurs historiques du Canton de Genève.

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