A la vague migratoire qu’avaient subi plusieurs pays d’Europe – France en tête – depuis les lois sur le regroupement familial dans les années 1970 – transformant déjà largement certains quartiers, certaines villes – s’est substituée une deuxième vague, une déferlante, ces dernières années. Une déferlante qui devrait achever de changer pour de bon le visage de l’Europe, et qui pourrait tout simplement à terme, provoquer ethniquement et culturellement la disparition de la civilisation européenne telle qu’elle exista depuis 10 000 ans.
Cette invasion (car comment nommer autrement le processus qui consiste à faire rentrer ou à accepter de faire rentrer des millions d’individus sur un territoire qui n’est pas le leur ?) n’est possible que par le renoncement mental et physique des peuples qui composent aujourd’hui l’Europe, tandis que des centaines de milliers d’autres collaborent activement avec les nouveaux colons, en endossant en plus, summum de l’hypocrisie, le rôle du docteur en humanisme et en tolérance.
De facto – les enfants qui naissent aujourd’hui en Europe, en 2017, vivront dans un monde et dans une société profondément transformée, une société sécuritaire, violente, multiraciale donc multiconflictuelle. Une société dans laquelle le fils d’Europe ne sera plus au centre du continent que ses ancêtres ont mis des siècles à bâtir.
Ainsi, nos enfants, pour les familles qui n’auront pas le luxe de pouvoir leur offrir des écoles protégées et hors système, se retrouveront à côtoyer dans la même cour de récréation le fils d’un islamiste parti combattre en Syrie, la fille d’un couple d’immigrés africains revanchards vis à vis d’une Europe qu’ils ont rejoint sans demander la permission ou encore les enfants d’un couple LGBT, eux mêmes fils de soixante-huitards complètement dingues. Sans parler de ces enfants d’Algériens qui auront grandi dans une haine permanente du pays dans lequel ils ont vu le jour …
Imaginez donc le cocktail explosif qui attend « nos chères têtes blondes » (qui se comptent déjà sur les doigts d’une main dans certaines écoles aujourd’hui en France) lorsque le résultat de la société monstrueuse que les élites et les collabos sont en train d’ériger aujourd’hui …
Fantasme ? Vraiment ?
L’Éducation nationale a parfaitement réussi à détruire la mémoire d’une civilisation. Ainsi les générations qui arrivent ne peuvent sans doute plus imaginer qu’il fût un temps – lorsque l’Europe ne comptait pas autant d’immigrés venus du monde entier – où les attaques à la grenade n’explosaient pas en Suède.
Une époque où des adolescents ne jetaient pas de l’acide – presque désormais une tradition en Angleterre tandis que cela arrive en France – gratuitement dans les rues, sur des passants. Une période où l’on ne se faisait pas tabasser, encore moins en étant une jeune femme, pour une cigarette refusée dans la rue à des inconnus.
Non seulement nos enfants seront obligés de subir ces situations (risque d’agression surmultiplié, violence gratuite, terrorisme, insécurité …) mais ils n’auront plus les armes intellectuelles (grâce au travail de destruction de l’Education nationale) pour se dire qu’un autre monde exista pour leurs ancêtres, et qu’une telle situation, qu’une telle vie, n’est pas « normale ».
Car la « norme » pour nos enfants, sera celle de rues jonchées de caméras de vidéosurveillance, surveillées par des militaires et des policiers mal formés, sous payés, et faisant volontiers preuve de zèle et d’autoritarisme vis à vis des publics les plus fragiles et les plus dociles. La « norme », ce sera pour nos enfants d’accepter de ne pas être employé dans une grande entreprise mondiale parce que blancs. La « norme » ce sera d’être considéré, si ils sont des hommes hétérosexuels, comme suspects, avant même d’être jugés.
La norme, ce sera de devoir obéir aux règles d’une société lissée, dans laquelle une plaisanterie ou une réflexion « racialement connotée » pourra les conduire en prison (ou en camp de rééducation républicain). Et pourquoi pas, la folie faisant son chemin, de se voir obligé de se marier avec des personnes issues d’autres communautés (ce modèle étant déjà largement vanté et proposé par la publicité, la télévision…) parce que les dirigeants de la planète auront décidé que le métissage était obligatoire.
Ce n’est que lorsqu’ils finiront lynchés à mort par une bande ethnique, tandis qu’ils mendiaient dans la rue tenant un écriteau « J’ai faim, pardon d’être un salopard de Blanc », que dans un dernier sursaut, génétique, héréditaire, ils se souviendront : et ce jour là, nos enfants nous vomiront, nos enfants nous accuseront, nos enfants nous détesteront.
Ils nous reprocheront de n’avoir rien fait pour empêcher la mort d’une civilisation. De n’avoir pas voulu prendre le moindre risque, de n’avoir pas été prêts – alors que des millions d’autres l’ont fait par le passé – à verser notre sang pour notre terre et contre ses ennemis. De n’avoir pas lever le petit doigt pour renvoyer avec rage dans les oubliettes de l’histoire ceux qui, en 80 années à peine, sont en passe de réussir à assassiner la mémoire des milliards d’Européens qui ont traversé les siècles.
Il est urgent, non pas de faire marche arrière (c’est impossible), mais de ne donner une fin alternative à cette terrible histoire ; car si Bobby Sands, martyr irlandais, disait que « notre revanche sera le sourire de nos enfants », ayons conscience également que la haine qu’ils nous porteront suite à notre suicide collectif organisé sera aussi notre honte éternelle.
Européens, réveillez-vous !
Julien Dir.