France : Sept hommes soupçonnés de préparer un attentat interpellés à Brest

Une opération de la DGSI a été menée ce lundi 20 janvier dans le quartier de Pontanézen, à Brest. Sept hommes soupçonnés de préparer un attentat terroriste ont été interpellés et placés en garde à vue.

Selon une source proche de l’enquête, confirmant les informations d’Europe 1, ces sept hommes étaient soupçonnés de « préparer une action violente sur le territoire français » et d’avoir « un projet de départ » vers la zone irako-syrienne. Aucune arme ni aucun explosif n’auraient été retrouvés lors des perquisitions menées ce lundi.

[...]

Ouest-france.fr

France : Lors d’un cambriolage, un Tunisien viole un enfant de 5 ans. Condamné en appel, il pourra finalement rester en France

Au terme de deux jours de débats à huis clos, la cour d’assises des Côtes d’Armor a condamné, ce mardi, Wael Haddad, 34 ans, à dix ans de réclusion criminelle, jugé en appel. En première instance, à Quimper, en décembre 2018, il avait écopé de huit ans de prison, ainsi que d’une interdiction définitive du territoire français, l’accusé étant de nationalité tunisienne.

Le jury de Saint-Brieuc a lui aussi reconnu le trentenaire coupable du viol d’un garçonnet, mais aussi d’exhibition sexuelle et de vol en récidive. Le 25 mars 2016, il s’était introduit dans l’habitation d’une famille brestoise pour la cambrioler, avant de s’attarder dans la chambre des enfants. Le plus petit, âgé de cinq ans, avait été violé par le cambrioleur, fait confirmé par le grand frère.

Placé en détention en avril 2016, après son interpellation à son retour de Tunisie par la brigade des mineurs du commissariat de Brest, il n’avait cessé de nier les faits. Il avait sollicité, en juillet 2018, une remise en liberté qui lui avait été refusée.
La cour d’assises a également condamné Wael Haddad à un suivi sociojudiciaire de cinq ans, avec injonction de soins, obligation d’indemniser les victimes et interdiction d’exercer toute activité en lien avec des mineurs. S’il manquait à ces obligations, il encourrait quatre ans de prison.

Si les jurés costarmoricains n’ont, cette fois, pas prononcé son interdiction définitive du territoire, il sera néanmoins interdit de présence dans la région Bretagne pendant dix ans. La cour d’assises a également ordonné son inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles.

Le télégramme

Via Fdesouche

Agressions sexuelles à Brest : « Au risque d’être taxé de raciste, nous sommes confrontés à une culture qui maltraite les femmes »

Il y a une semaine, une femme était contrainte à un acte sexuel dans des toilettes publiques. Un fait divers choquant qui interroge toute la société, femmes, élus, forces de l’ordre.

« Mais où va-t-on ? C’est l’escalade à Brest ! » Jeudi, l’ambiance est loin d’être sereine sur la place de la Liberté. « J’y pensais depuis quelque temps mais là, c’est décidé, je vais m’inscrire au cours d’autodéfense, reprend Valérie, 36 ans. Si personne n’a pu empêcher ce viol en pleine ville, alors c’est aux femmes d’assurer elles-mêmes leur sécurité. Quitte à répondre par la violence à la violence ! »

La semaine dernière, une femme était contrainte à une fellation dans les toilettes publiques situées à proximité de la place. Une heure plus tard, l’agresseur présumé récidivait au domicile d’une seconde victime. Un fait divers qui relance le débat de la sécurité à Brest. D’autant que les toilettes avaient déjà été fermées en mars dernier, après une série d’agressions à l’intérieur.

Un climat d’insécurité au quotidien

L’élue d’opposition Bernadette Malgorn (Rassemblement pour Brest) s’indigne. Elle pointe un « climat d’insécurité insupportable ». Une opinion que partage Hélène, 48 ans, mère de deux jeunes filles : « Il est absolument hors de question que je laisse mes filles rentrer seules, à pied, le soir.

Déjà, le jour, elles sont assaillies de propositions indécentes, elles ne cessent de se faire harceler par des hommes. Moi-même j’ai été suivie, plusieurs fois, par des gars qui espéraient, insistants, que je les invite chez moi. »

Depuis son entrée sur la scène politique brestoise, Bernadette Malgorn appelle de ses vœux la création d’une police municipale. « Et la vidéoprotection ? ajoute-t-elle. Pourquoi a-t-on équipé le tracé du tramway et du téléphérique si ce n’est pas efficace ? »

Le débat est depuis longtemps tranché par la majorité. François Cuillandre, le maire, ne cesse de rappeler son inefficacité. « Notre position est très claire, développe Yann Guével, adjoint au maire en charge de la tranquillité publique. Il y a beaucoup de caméras en centre-ville. Il y a les caméras privées et celles du tram. Quand la police nous demande les bandes, on répond favorablement. » Alors, pourquoi ne pas en déployer davantage ? « On en a sur le tram… Est-ce que ce serait utile d’en mettre ailleurs ? Où on s’arrête ? Et combien ça coûte ? »

Plus de caméras ou plus de policiers ?

L’installation de seize cabines de toilettes publiques, décidée en décembre 2008, a coûté 960'000 €. Aujourd’hui, il n’est pas question de les fermer. « Si on devait y arriver, ça poserait des soucis, parce qu’on en a besoin en centre-ville », estime Yann Guével.

« On ne peut pas fermer tous les endroits où il y a une infraction », estime aussi le commissaire Bruno Gallot, nouveau patron de la police brestoise. Éric Kerbrat, du syndicat SGP-FO Police, est du même avis : « Ça devient grave si on en arrive à fermer des toilettes publiques. D’autant que ça aurait pu arriver ailleurs. » Il plaide plutôt pour une augmentation des effectifs policiers.

Il en a fait la demande auprès du cabinet du ministre de l’Intérieur, à Châteaulin, le mois dernier, la justifiant par « l’augmentation des règlements de comptes entre bandes interethniques, dans divers quartiers de Brest ».

Le fait divers de la semaine dernière questionne aussi sur la place des femmes dans la ville. « Au risque d’être taxée de raciste, ce qui serait faux, nous sommes, aujourd’hui, confrontés quotidiennement à une culture qui maltraite les femmes, à une religion qui les rabaisse, qui les prive de leurs droits et de leur liberté, lance Dominique, 62 ans. Peut-être faut-il prendre le mal à la racine en posant les bases d’une éducation en profondeur, d’un enseignement alliant savoir-vivre, respect, histoire et humanisme. Une éducation qui serait dispensée à ceux qui en manquent cruellement, des jeunes des quartiers défavorisés aux nouveaux arrivants en France. »

Yann Guével assure que la Mairie n’a pas attendu la semaine dernière pour prendre des dispositions. Les caméras sont déjà présentes dans le tramway « pour sécuriser les passagers et particulièrement les femmes ». Par ailleurs, l’éclairage public est en cours d’amélioration et l’arrêt à la demande existe désormais dans les bus.

Source et article complet

Via Suavelos.eu

France. Brest. Un sexagénaire détroussé par trois jeunes migrants de 12 ans

Peu avant 15 h ce jeudi, un Brestois de 62 ans qui venait de retirer du numéraire au CMB de la rue Jean-Jaurès, s'est fait aborder par deux adolescents rue Navarin. Après lui avoir demandé des cigarettes en le serrant de très près, le binôme a finalement été rejoint par un troisième larron qui a profité de l'agitation pour lui dérober son portefeuille et les 80 euros qu'il contenait.

Des mineurs isolés d'origine étrangère

Au vu du descriptif précis effectué par des témoins, les services de police ont rapidement interpellé les trois jeunes dans le quartier de Saint-Martin. Le trio fait partie de la vague de mineurs isolés étrangers qui sévit de façon récurrente dans l'ouest, notamment à Rennes et à Brest. Le trio a été placé en retenue judiciaire, en attendant qu'une décision soit prise à leur sujet.

Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

Brest : un groupe d’étudiants agressé par trois “mineurs étrangers” de 8 et 9 et 14 ans. “Aucune solution pénale n’est possible.”

Des jeunes qui allaient en discothèque ont été pris à partie par des enfants dont certains n'avaient pas 10 ans.

Une agression qui surprend par l'âge de ses auteurs. Un groupe de jeunes qui se rendait en discothèque à Brest (Finistère), dans la nuit de samedi à dimanche, a été agressé par des enfants dont certains n'ont pas 10 ans, rapporte «Ouest France».

Les faits se sont produits à proximité de la place de la Liberté, un peu avant 3 heures. Le groupe de jeunes Brestois est abordé par des enfants, dont un de 8 ans et un autre de 9 ans, qui leur demandent des cigarettes avant d'essayer de fouiller leurs poches. La tension monte et d'autres enfants viennent en renfort. «Le Télégramme» précise que des coups sont échangés, mais que les blessures des fêtards ne sont pas trop graves.

La police a interpellé trois mineurs étrangers, ceux de 8 ans et de 9 ans ainsi qu'un autre de 14 ans. Le parquet explique qu'aucune solution pénale n'est possible concernant les plus jeunes, qui ont été pris en charge par l'aide sociale à l'enfance.

Source

Nos remerciements à Tommy

Quimper/Brest : Après les attentats islamistes de Bruxelles, la gauche dénonce le racisme des populations ciblées

BREIZATAO – POLITIKEREZH (24/03/2016) Après les attentats de Bruxelles commis par des commandos musulmans, la gauche radicalisée de Brest et de Quimper (Finistère) a tenu à dénoncer le racisme des populations ciblées.

La Ligue des Droits de l’Homme, une organisation d’extrême-gauche alliée à la confrérie islamiste des Frères Musulmans (voir ici), a tenu un rassemblement devant la mairie de Quimper où elle a dénoncé le racisme des sociétés européennes ciblées par les groupes armés musulmans.

Le journal socialiste Le Télégramme rapporte (source) :

« Nous devons rester solidaires, combattre les amalgames, agir dans le cadre de l’État de droit », a déclaré Stéphane Blondin, président de la section locale de la LDH.
Cette entreprise de récupération politique par la gauche radicalisée – régulière depuis le renforcement des opérations militaires musulmans en Europe – fonctionne de moins en moins :
Devant cette faible mobilisation, « le pire serait qu’on s’habitue, on ne peut pas accepter que cela soit la normalité », a estimé l’écologiste Daniel Le Bigot. Alors que l’appel avait été lancé sur les réseaux sociaux dans les mêmes conditions, c’est-à-dire précipitamment, 1.500 personnes s’étaient rassemblées à Quimper le soir même des attentats contre Charlie Hebdo. Un millier de personnes s’étaient aussi regroupées, le 14 novembre, après les attentats de Paris.
A Brest, la veille, la même organisation radicale tentait la même opération de subversion pro-musulmane.
Le Télégramme relate le discours tenu (source), ciblant explicitement les sociétés et les populations européennes comme responsables des actions djihadistes :

« Rester solidaires, combattre amalgames et discriminations, réaffirmer notre attachement aux libertés et à l’égalité des droits sont autant de défis que nous avons à relever à Bruxelles, à Paris et partout dans le monde».

 

Parmi les meneurs, le militant radical Daniel Le Bigot. Ce dernier est connu pour son soutien à l’effort de guerre du groupe islamiste Hamas, proche des Frères Musulmans et adepte des attentats-suicides (source).

Attentats à Paris: Pour l’imam de Brest, ces actes «n’ont rien à voir avec l’islam»

 

Ndlr : Souvenez-vous, nous avions publié la vidéo où cet imam de Brest, Rachid Abou Houdeyfa,  enseignait à des enfants que : « Ceux qui écoutent la musique seront transformés en singe ou en porc »

 

 

« Tout acte terroriste est à condamner. Cela ne fait pas partie de l’islam. Ces actes sont l’œuvre de quelques égarés. Ils n’ont rien à voir avec l’islam ». Dans un communiqué vidéo, l’imam de Brest Rachid Abou Houdeyfa a tenu à condamner les attentats terroristes qui ont frappé Paris vendredi soir.

La musique « créature du diable »

Il y a quelques semaines, l’imam avait été pointé du doigt pour des propos tenus face à des enfants, où il décrivait la musique comme « la créature du diable ». Des propos qui dataient de 2013 mais révélés par des sites d’extrême droite. Il avait également choqué par ses propos sur la femme, avant de se défendre. « Il y a une mauvaise compréhension des textes lus. Certains ne sont pas à prendre au premier degré », avait-il déclaré à Ouest-France.

Au lendemain des attentats parisiens, l’imam a assuré « son soutien » aux familles des victimes et à leurs proches, rendant également hommage « aux personnes courageuses qui ont sauvé des vies ». « Prétendre éradiquer ce phénomène terroriste est quasiment impossible. Mais nous pouvons sans doute minimiser les dégâts », a-t-il également déclaré.

Source

Une bande de voyous sème la terreur dans le TGV Paris-Brest

Hier soir une bande d’afro-musulmans s’amusait à importuner et voler les passagers du TGV reliant Paris à Brest. Vers 23h le chef de bord décide d’immobiliser le train en gare de Vitré pour permettre leur interpellation par les forces de l’ordre.

A 21h08 le TGV à destination de Brest quittait la gare Montparnasse à l’heure. Mais aux alentours de 23h il est arrêté en gare de Vitré pendant près d’une heure pour permettre l’interpellation d’un groupe de fauteurs de troubles.

Suite