[Vidéo] Invasion de l’Irak en 2003 : le crime de guerre qui gène l’administration Biden

Toutes les guerres d'invasion se valent-elles ? En tout cas, pour l'administration Biden, il faut poursuivre Poutine pour la guerre en Ukraine mais pas Bush pour la guerre en Irak !

 

Les Biden et l’ombre de la Chine

Hunter Biden est un pédophile incestueux. Nous le savons. Son père, dont certains prétendent qu'il serait Président des États-Unis, est aussi un pédophile incestueux. Nous le savons également.

Les preuves sont innombrables, fournies notamment par le laptop de Hunter Biden.

Pour odieuse que soit cette situation, il y a encore plus grave.

Les étapes de la révélation

Une partie du grand public américain a enfin été mis au courant de ces secrets honteux, grâce à l'opiniâtreté d'un homme, Jack Maxey. Jack Maxey est un collaborateur de Steve Bannon. Non seulement il récupéra les informations sur l'ordinateur, mais également 450 GO d'archives effacées valant leur pesant d'or. Conscient que la révélation publique de ces données était plus importante que sa propre vie, il décida de la consacrer entièrement à la découverte des véritables affaires de la famille Biden. Il rejoignit à Zurich une équipe d'informaticiens travaillant sur le matériel informatique. Tucker Carlson, fit le voyage jusque-là pour l'interviewer au mois d'avril:

[Le] premier objectif de mon voyage était d'obtenir 128'000 e-mails, dont 120'000 étaient archivés dans la zone visible d'origine, et de cataloguer tous les messages de chat, dont la plupart étaient également dans les archives. Nous l'avons fait relativement rapidement. J'allais juste en faire des copies pour le Sénat, la Chambre des Représentants et tous les Procureurs Généraux des États-Unis, et voir si peut-être quelques shérifs locaux pourraient commencer à appliquer les lois, ce que les fédéraux ne feraient pas. Au cinquième jour de ce processus, l'un de mes gars me dit: "Hé, Jack, j'ai l'impression qu'il y a davantage de choses là-dedans. Ça te dérange si j'essaie quelques petits trucs ?" Et j'ai dit: "Bien sûr, vas-y". Dans les 15 minutes, il revint avec un "Oh, mon Dieu. Nous venons de récupérer, disons, dix giga-octets de ceci, cinq giga-octets de cela, et d'autres choses encore." En fin de compte, nous nous sommes retrouvés avec plus de 100'000 e-mails supplémentaires que nous n'avions pu extraire initialement, et 80'000 images et vidéos...

Jack Maxey prit son bâton de pèlerin et s'en alla contacter les médias. Presque tous refusèrent le scoop - le Daily Mail anglais, en mars, et le Washington Post en juin étant deux exceptions pour la presse écrite. Ils purent vérifier l'authenticité des données et commencèrent à les éplucher. Le New York Times accepta aussi les informations, mais uniquement dans le but de trouver un moyen de protéger les Biden de celles-ci.

Non seulement aucune autorité judiciaire américaine ne s'intéressa aux communications de Hunter Biden (ni au reste), mais aucun shérif n'eut même jusqu'ici le courage de s'impliquer (les shérifs sont particuliers aux États-Unis dans le sens où ils sont élus par la population et ne répondent qu'à la Constitution des États-Unis). C'est à ce moment qu'un informaticien de l'équipe de Jack Maxey décida de prendre le large. Comme l'explique Maxey:

Il pense que tout le monde dont moi est manipulé par la CIA, incluant des personnalités médiatiques qui ont choisi d'ignorer tout cela. Il croit aussi que les médias, le FBI, la CIA, le Département de la Justice américain ne s'intéressent pas aux [petites victimes de pédophiles...] Il voit les médias comme les rouages d'une conspiration plus vaste destinée à protéger les élites aux dépens de tout le reste et en particulier des enfants.

Honnêtement, il est difficile de lui donner entièrement tort. C'est grâce à cet individu que l'entièreté des données de Maxey, dont la sauvegarde de l'iPhone de Biden durant quelques années, furent répliquées sur des serveurs américains, britanniques, néo-zélandais et suisses et mises à disposition du grand public via 4chan. Elles furent promptement effacées partout, sauf en Suisse. Peut-être ont-elles été effacées depuis, mais peu importe. Elles ont été répliquées suffisamment de fois sur des sites de torrent pour toujours faire partie du paysage, désormais.

L'informaticien aurait envisagé de trouver refuge à l'ambassade de Russie à Berne, avant d'opter pour un départ pour la Nouvelle-Zélande avec son épouse. Nous pouvons lui être gré de son courage. Sans lui les affaires des Biden seraient encore distillées au compte-goutte par une poignée de journalistes peu enclins à exposer l'entièreté de son horreur.

Jack Maxey quant à lui reste le cul entre deux chaises, parce qu'il refuse de "regarder ces images sans la protection de la loi"... En effet, visionner des images pédophiles est punissable par la loi - une loi qui inquiète peu leur auteur dans ce cas précis, ce qui est pour le moins paradoxal. Comme le résume un Internaute:

"Vous pouvez aller en prison pour avoir vu le contenu du laptop de Hunter Biden.
Mais Hunter Biden lui-même n'est pas en prison.
Relisez ça."

Élites à vendre

Même si la pédophilie et l'inceste sont des constantes de la famille Biden et maculent toutes leurs archives informatiques, ces dernières contiennent d'autres sujets plus graves encore pour les États-Unis. Il s'agit de la corruption des Biden, et donc du pouvoir américain, par la Chine.

Dans la sauvegarde de l'iPhone de Hunter Biden se trouve ainsi un message vocal de Joe Biden à l'intention de son fils, à propos des affaires de Hunter en Chine.

Hey mon gars. C'est papa. Il est 20h15 mercredi soir. Si tu en as l'occasion, appelle-moi. Rien d'urgent. Je veux juste te parler. Je pensais que l'article publié en ligne et qui sera imprimé demain dans le Times est bon. Je pense que tu es blanchi. Quoi qu'il en soit, si tu en as l'occasion, appelle-moi.

L'article en question est ici. Il décrit les relations de Hunter avec un certain Ye Jianming, arrêté pour corruption et crimes économiques par le gouvernement chinois. Ye Jianming n'a pas été revu depuis. Le gouvernement chinois a saisi la plupart des actifs de sa compagnie, la CEFC China Energy. Comme l'explique Tucker Carlson, "'l'un des principaux adjoints de Ye Jianming, Patrick Ho, a également été reconnu coupable à New York d'avoir soudoyé des responsables africains pour aider l'Iran à éviter les sanctions pétrolières. Quel groupe!" Voilà les amis d'affaires de Hunter Biden.

Pourquoi Joe Biden s'intéressa-t-il à cet article? Eh bien, nous le savons à travers un e-mail d'octobre 2020, Joe Biden touchait lui aussi de l'argent de CEFC. La clé de répartition était la suivante: 20% pour Hunter Biden, 20% pour Rob Walker, 20% pour James Gilliar, 20% pour Tony Bobulinski, 10% pour Jimmy Biden, le frère du président, et "10% pour le grand patron", le pseudonyme de Joe Biden dans ces conversations, comme confirmé dans une interview par M. Bobulinski. Début 2017, 6 millions de dollars auraient été versés selon cette répartition, et 10 millions de plus en juin 2017 en tant que capital de départ pour une nouvelle société appelée SinoHawk Holdings.

En août 2017, Hudson West, une autre compagnie sous la bienveillante supervision de Hunter, reçut un virement de 5 millions de CEFC. CEFC paya également le cabinet d'avocats de Hunter, Owasco, pour cinq autres millions. Les informations sur ces virements ont été présentées devant le Sénat américain.

Owasco, à son tour, envoya 1,4 millions à Lion Hall Consulting. Cette société est possédée par Jimmy Biden, le frère de Joe. Les e-mails dénichés par le New York Post font état d'un dirigeant - ce serait Ye Jianming - promettant de payer à Hunter Biden 10 millions par an, "rien que pour des présentations (sic)".

Tout cela est évidemment illégal. C'est une violation claire du FARA Act, des conflits d'intérêt aux plus hauts niveaux, et les éléments matériels d'un parjure de Joe Biden lorsqu'il affirma sous serment qu'il ne "s'intéressait pas et n'avait pas de lien avec les affaires de son fils". Quant à Patrick Ho, il a été qualifié par Hunter de "foutu chef de l'espionnage de Chine". Comment peut-on tolérer que le chef de la Maison-Blanche et sa famille aient des relations d'affaires assumées avec le chef de l'espionnage chinois?!

L'affaire avec CEFC n'a rien d'un cas isolé. Le laptop de Hunter a révélé des douzaines de meetings du même genre organisés par le fils pour le père. Selon le Washington Post, "sur un intervalle de 14 mois, [CEFC] et ses dirigeants octroyèrent 4,8 millions de dollars à des entités contrôlées par les Biden", sans compter Joe. Ces gens n'ont aucune compétence dans le secteur de l'énergie. Leur seule compétence est de permettre l'accès à des gens importants au sein du gouvernement.

Selon Tucker Carlson, Hunter aurait amassé plus de 30 millions de dollars à partir d'entités contrôlées par le Parti communiste chinois. Il se rendit carrément là-bas avec Air Force Two lorsque son père était vice-président d'Obama, toujours pour vendre à Pékin l'influence de son père. On ne s'étonne même plus qu'aujourd'hui, alors que les cours du pétrole s'envolent, Joe Biden brade cinq millions de barils des réserves stratégiques de pétrole américain, du brut de la meilleure qualité, en le vendant à... La Chine.

Complicités

Précisons que depuis 2020 le FBI est en possession du laptop de Hunter Biden. Cela n'a pas entraîné la moindre enquête - les responsables défaussant l'ensemble d'un revers de la main en affirmant que cela "ressemblait typiquement à de la désinformation".

Les médias américains obtinrent des archives de Hunter Biden dès 2021. Cela n'a pas entraîné le moindre gros titre dans les publications prétendument "de référence".

Google filtre les recherches, et Twitter efface et bannit comme à son habitude ceux qui souhaiteraient étaler la corruption au grand jour.

Pourquoi couvrent-ils autant la famille Biden? La seule réponse logique est que l'influence de la Chine s'étend bien plus loin que dans le cercle familial du "grand patron". C'est cela que les majors de la tech cherchent à tout prix à cacher au grand public - pas les errements sexuels d'un fils de président drogué, aussi infects soient-ils.

Pedo Peter et Hunter Biden

Hunter Biden, le fils de Joe Biden, est quelqu'un d'assez expansif. Et peu discret. Nous avons déjà rapporté dans ces pages quelques-unes des dérives peu ragoûtantes du fils drogué et pédophile révélées sur l'ordinateur qu'il abandonna à un réparateur du Delaware.

Les médias de grand chemin se retranchèrent rapidement derrière le mot d'ordre d'une "propagande orchestrée par la Russie" et refusèrent d'en parler. Comme c'est pratique. Il fallut attendre le mois de mars de cette année pour que l'authenticité des données de 2020 soit finalement avérée - par nul autre que le New York Times. Mais pas de quoi rouvrir le dossier. Circulez, il n'y a rien à voir.

Aujourd'hui pourtant, rebelote. Un nouveau tombereau de données s'abat sur Internet comme une avalanche de porno et d'infractions filmées à la loi. Précisons tout de suite, les services secrets russes n'y sont pour rien.

Un individu (peut-être un employé d'Apple travaillant en Suisse et choisissant de devenir lanceur d'alerte sur la pédophilie) aurait récupéré depuis le cloud la sauvegarde d'un iPhone utilisé par Joe Biden, encryptée et protégée par mot de passe. Il aurait mis l'archive à disposition via des sites de torrent, démultipliant les copies du fichier en circulation, demandant ensuite à la communauté 4chan de l'aider à deviner le mot de passe (expliquant que ce dernier devait probablement être une variante du "Analfuck69" utilisé par Hunter sur son ordinateur portable, nous sommes entre poètes.)

Et la communauté 4chan y parvint!

D'un coup, de nombreux internautes furent en mesure de décoder le fichier Zip prometteur qu'ils avaient sur leur ordinateur et commencèrent à en publier le contenu - photos, vidéos, e-mails, copies d'écran de conversations et autres. Des dizaines de Giga-octets d'orgies, de drogue, de pédophilie, d'inceste et ainsi de suite.

Nous n'en sommes qu'au début...


Hunter dormant tendrement avec sa nièce...

Les premières photos furent diffusées sur le canal 4chan samedi soir et furent partagées massivement avant que les administrateurs du site ne réalisent ce qui était en train de se passer et ne les effacent. Elles inondent désormais Twitter et les réseaux sociaux. Il y a probablement trop de foyers d'incendie pour que cette version 2.0 des révélations de Hunter Biden puisse être circonscrit. Il sera difficile de mettre en place le même cordon médiatique qu'il y a deux ans pour empêcher le grand public de savoir de quoi il retourne.

La plupart des lecteurs de ce site savent à quoi s'attendre concernant Hunter Biden, mais il y a quelques éléments nouveaux.

De la pédophilie, beaucoup. Elle n'a rien d'anecdotique, les historiques de recherche montrant que Hunter avait un bel appétit pour les fillettes de douze ans.

De l'inceste. Hunter entretenait une relation avec sa propre nièce Nathalie Biden.

De la drogue, énormément. Les photos et vidéos de Hunter consommant de la drogue sont innombrables. On le voit même peser sa drogue.

Du racisme. Hunter Biden ne voulait pas coucher avec des "jaunes".

Le surnom de Joe Biden. Dans ses contacts et son historique de communication, Hunter Biden désigne son propre père Joe sous l'élégant sobriquet de Pedo Peter. Se pourrait-il que cela ait un rapport avec des pratiques sexuelles?

Des infractions en pagaille. Sur les armes (Joe Biden aurait eu cinq pistolets à son domicile alors qu'il faisait campagne contre les armes), sur la prostitution, etc.

L'important n'est pas dans le comportement de Hunter Biden, mais la façon dont ce scandale est traité par les médias américains et internationaux, et par les autorités américaines. Elles prouvent de façon irréfutable la vitesse avec laquelle les États-Unis se sont éloignés de toute forme d'égalité devant la loi, pourtant fondamentale pour prétendre à la justice.

Qu'on imagine un instant le traitement de l'affaire si ces données étaient venues de l'iPhone d'un proche de Donald Trump!

Joe Biden serait prêt à sacrifier l’Ukraine pour tenter de sauver Taïwan

6.06.2021

Joe Biden est prêt à céder totalement l'Ukraine à la Russie, si celle-ci, en contrepartie, renonce à soutenir la prise de contrôle de Taïwan par la Chine. C'est ce qu'a déclaré Yuri Kot, président de l'Association pour le développement de la diplomatie communautaire, rapporte NewsFront, citant NewsUA.

Plus tôt, Viktor Muzhenko, ancien chef d'état-major de l'armée ukrainienne, avait prédit que Kiev perdrait non seulement son débouché sur la mer d'Azov, mais même sur la mer Noire:

"La Russie, sans aucun doute, considère que la question de la mer d'Azov est close pour elle. La Crimée, comme une sorte de porte-avions inamovible, coupe celle-ci du reste de la mer Noire. Et dès que le sud-est de l'Ukraine décidera de faire sécession, alors, en effet, tous les endroits stratégiquement importants de la région seront repris par les Russes. Les Américains, ainsi que l'OTAN, seront automatiquement évincés de cette région et ne pourront que se réfugier bien loin - sur la côte de la Bulgarie, qu'ils occupent encore, ou chez leur partenaire la Turquie. Bien que cette dernière soit parfaitement consciente de tous les risques que cela comporte", a commenté Yuri Kot à propos des propos du général ukrainien.

Les propos de l'homme politique le montrent clairement :

"en principe, l'Ukraine n'existe plus".

"Nous discutons maintenant avec vous d'une sorte d'État fantôme appelé "Ukraine". Dont les habitants veulent partir ! Et c'est l'humeur générale, pas seulement dans l’est du pays. À l'ouest, les gens rêvent dans leur sommeil - ils rêvent que les régions où ils vivent appartiendront aux Polonais, ou aux Hongrois ! Tous ces gens ont déjà leur passeport. L'Ukraine  s'effondre à vue d’œil, sous les yeux de tous !" a dit Kot. Il a souligné que les Ukrainiens attendent terrorisés le moment où Washington les abandonnera à leur sort.

"Beaucoup de politiciens ukrainiens, dans des conversations de couloir, parlent des États-Unis livrant Kiev à Moscou corps et biens. En échange du fait que les Russes ne soutiennent pas l'expansion imminente de la Chine vers Taiwan. Face à tout cela, les hauts responsables politiques vivent dans l'imminence d'une sorte de trahison qui se terminera mal pour eux", a conclu l'expert.

Source en hongrois Vadhajtások / en russe NewsUA

Traduction Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

 

L'Ukaine a connu aussi ces tragédies:

Holdomor

Babyn Yar:

Maidan

 

Discours de Joe Biden : l’administration Biden est en guerre contre le peuple américain

 par Guy Millière le 1 mai 2021 - Les journalistes français se sont extasiés sur le discours prononcé par l’imposteur Joe Biden mercredi soir. Ils ont pris au pied de la lettre les mots que Joe Biden a lu sur un téléprompteur, et, comme s’ils étaient quasiment tous acéphales, ils se sont contentés de répéter les mots, trop heureux de reproduire les mensonges innombrables qu’ils contenaient.

Joe Biden a dit que l’Amérique va à nouveau “de l’avant” : ils ont écrit que l’Amérique va à nouveau de l’avant, sans vouloir savoir que la croissance était de retour aux Etats-Unis dès août 2020 et que le plein emploi devait être atteint à nouveau dès mars 2021 !

[...]

Et le discours a ajouté que la menace la plus grave qui pèse aujourd’hui sur le pays vient des “suprématistes blancs”, qui ont été à nouveau qualifiés de “terroristes”. Les vrais terroristes, c’est vrai, Black Lives Matter et Antifa, œuvrent pour les démocrates et se contentent très gentiment de mettre des villes à feu et à sang dès que l’occasion se présente…

Le discours a donné une explication à l’irruption soudaine de millions d’immigrants à la frontière mexicaine :  le “dérèglement climatique” ! Et la solution a été énoncée aussitôt : rendre légale la présence des immigrants illégaux aux Etats-Unis, et leur donner un chèque (15,000 dollars par personne, a la charge des contribuables). C’est magique : vous légalisez tous les illégaux, et il n’y a plus d’illégaux ! [...]

article complet: https://www.dreuz.info/2021/05/01/discours-de-joe-biden-ladministration-biden-est-en-guerre-contre-le-peuple-americain/

États-Unis – le programme de remplacement de population veut accélérer la disparition des Blancs

AC: Biden se réjouit du fait que les Blancs deviendront une minorité absolue aux États-Unis. Il veut même accélérer le processus car ce n'est pas une mauvaise chose, c'est une bonne chose!

En Europe, en Suisse, nous avons à faire à quelque chose de similaire avec le Pacte de la Migration de l'ONU, imposé par l'UE et la Gauche pastèque.

*****

Leisa Audette, 3 avr. 2021

Une vidéo a fait surface dans laquelle Biden dit à son futur chef de la Sécurité intérieure qu'il veut laisser les Blancs comme lui devenir une « minorité absolue » avec un «flux d'immigration ininterrompu… non-stop, non-stop».

En février 2015, Joe Biden a vendu la mèche et annoncé exactement ce que les Démocrates ont prévu pour les Américains. Assis à côté de lui se trouve son futur secrétaire à la Sécurité intérieure [Alejandro Mayorkas], qui fait maintenant tout ce qu'il peut pour faciliter le plan de Biden.

Écoutez ce que Biden a dit en 2015 et ce que Sue Payne a révélé sur le plan de la gauche pour une «Nouvelle Amérique».

Ce plan place les Américains en dernier et les gens qu'ils importent du tiers-mondes en premier. C'est un plan de redistribution des richesses par l'importation de migrants pauvres via l'immigration ou la réinstallation des réfugiés. L'agenda mondialiste…

Ces premiers «Nouveaux Américains» doivent servir de «semis» pour la construction d'un «pays dans le pays».

Oui, Joe Biden veut un «flux d'immigration ininterrompu» qui fera des «Caucasiens comme [lui]» la minorité. Et c'est une «bonne chose» (février 2015)

 

GROUPE DE TRAVAIL SUR LES NOUVEAUX AMÉRICAINS POUR UNE NOUVELLE AMÉRIQUE: Comment l'administration d'Obama a instrumentalislé les étrangers illégaux et les réfugiés, et Biden poursuit le plan:

La journaliste et animatrice de radio Sue Payne révèle à Mark Levin ce que nous disions déjà sur ce qui se passe dans les petites villes d'Amérique. Mme Payne a eu la chance d'être au courant d'un plan de construction d'un «pays dans le pays» en utilisant les clandestins et les réfugiés. C'est terrible pour l'Amérique et c'est un coup dur pour notre économie, nos emplois et notre mode de vie. […] Oui, c'est la transformation fondamentale dont parlait Obama.

Sue Payne a eu l'occasion d'écouter plusieurs conférences téléphoniques entre Barack Obama et 16 membres de son cabinet. Ce qu'elle a découvert était choquant et dérangeant.

L'instrumentalisation des étrangers illégaux et des réfugiés par le gouvernement est peut-être bien plus sinistre que même les opposants les plus ardents ne l'avaient imaginé.

Lors d'une de ces conversations, Obama a organisé une réunion avec son nouveau «Gorupe de travail sur les Nouveaux Américains», préside par la radicale  Cecilia Munoz , ancienne vice-présidente du groupe radical hispanique de suprémaciste La Raza («la Race»).

Mark Levin interviewe Sue Payne :

«Vous vous rappelez quand il (Obama) est allé à Las Vegas? Les médias ont dit qu'il signait un décret pour que cinq millions d'étrangers illégaux reçoivent un sursis. En réalité, ce qu'il a fait, c'est signer un mémorandum qui a créé le «Groupe de travail sur les Nouveaux Américains», qui allait mettre en œuvre son «moulin à amnistie» pour les cinq millions d'illégaux - mais je crois que ça va être plus… Dans ces conférences téléphoniques, il est devenu clair qu'il envisageait de 13 à 15 millions de personnes à protéger et à faire passer à la citoyenneté. - Payne.

Ces «Nouveaux Américains» initiaux doivent être utilisés comme «semis» dans la construction d'un «pays dans le pays», ce qui contribuerait à réaliser une «transformation fondamentale» complète des États-Unis.

Des villes spécifiques sont désignées comme «communautés d'accueil» (villes sanctuaires - nous en avons maintenant 300!), vers lesquelles les clandestins sont transportés par bus et par avion aux frais des contribuables américains. Ces villes servent d'incubateurs pour une population entièrement nouvelle qui aide à amener « les gens de l'ombre à la lumière » - pour essentiellement l’emporter sur les vrais citoyens et les pousser dans les classes inférieures au fil du temps.

Les membres du Cabinet ont discuté de l'importance d'accorder à ces illégaux le statut de « réfugiés », puis de leur faire prendre conscience de leurs « droits » en ce qui concerne les crédits massifs d'impôt sur le revenu (à hauteur de 35000 $ dans certains cas), les soins médicaux gratuits, les frais de scolarité dans l'État offerts, les prêts personnels à 0%, les cartes de crédit et d'autres formes de «cash gratuit» - le tout aux frais des contribuables.

En outre, l'accent a été mis sur l'importance des vagues d'immigrants clandestins plus âgés «vieillissant avec succès» en étant immédiatement intégrés au programme de sécurité sociale dont le Congressional Budget Office a déjà averti qu'il sera complètement épuisé d'ici 2030. Cela, bien sûr, malgré le fait qu'ils suceraient illégalement et injustement le montants cotisations obligatoires versées à vie par les travailleurs américains.

Il a également été précisé que cette « classe protégée » d'étrangers illégaux d'Amérique du Sud et d'Amérique centrale, du Mexique, d'Haïti, de Syrie, d'Afrique et du Moyen-Orient ne serait pas intéressée - ni censée l'être - à s'intégrer, mais plutôt à « faire leur chemin » à travers notre société et notre culture jusqu'à ce que la leur soit dominante. Voir ici (trad. autom.).

Le groupe de travail sur les Nouveaux Américains a été formé le 21 novembre 2014. Il a commencé à se réunir jusqu'en janvier-février 2015, lorsqu'une série de trois (3) séances d'écoute a été organisée pour recueillir des informations afin de préparer un rapport à remettre au président d'ici mars 2015.

Au cours des trois séances d'écoute, il a été révélé que les représentants de la Maison Blanche et tous les membres du cabinet et les groupes d'immigrants partageraient des informations à inclure dans le rapport.

Certaines des informations échangées étaient:

Les immigrants doivent être considérés comme des semis à planter dans un sol fertile pour pousser. Le sol fertile était assimilé aux «communautés d'accueil», qui seraient les communautés dans lesquelles vivaient déjà des étrangers illégaux. Pourtant, une fois sorties de l'ombre, elles allaient en accueillir ou recevoir d’autres.

D'autres ont fait remarquer que ces mêmes communautés seraient considérées comme des «communautés d'immigrants émergentes».

En écoutant cette conversation, il était facile de voir logiquement comment ces villes d’accueil allaient faire sortir les immigrants de l'ombre. Pourtant, aussi, on pourrait interpréter que les membres de la ville d’accueil risquaient d'être relégués dans l'ombre. En gros, les nouveaux venus consomment les ressources et la communauté d'origine est transformée.

Un commentateur a averti qu'il ne fallait pas croire que ces «Nouveaux Américains» chercheraient à s'assimiler. Ils s'intéressent à faire leur vie, aux avantages, et non à s'assimiler.

Un autre a fait remarquer que les Nouveaux Américains ne voudraient pas tous un permis de travail : au contraire de nombreuses immigrantes voulaient être à la maison avec leurs enfants et non travailler, pourvu que les prestations sociales payées par les contribuables soient garanties pour elles et leurs enfants.

*Une autre suggestion était que le Groupe de travail considère ces Nouveaux Américains comme des réfugiés ou des demandeurs d'asile et puissent recevoir des prestations en espèces ou médicales, éducatives et de logement.

*Le témoignage de John Conyers révèle que l'effort pour renommer et donc reclassifier les illégaux comme des réfugiés est en cours.

 

Source: https://100percentfedup.com/video-emerges-of-biden-telling-his-future-dhs-chief-he-wants-to-make-caucasians-like-me-the-minority-with-an-unrelenting-stream-of-immigration-non-stop-non-stop-video/

*****

John James Conyers, né en 1929 au Michigan, mort en 2019, a été un membre Démocrate de la Chambre des représentants des États-Unis de 1965 à 2017 (source). Voici ce qu'il disait, voici son héritage:

John Conyers: Les étrangers qui arrivent illégalement ne doivent plus être considérés comme des immigrés illégaux, car ils ne s'engagent pas dans un acte illégal.

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Albert Coroz pour lesobservateurs.ch

Biden signe un décret pour interdire le terme “virus chinois”

Faire la police du langage et des faits désormais.

Le dernier des trente-sept décrets signés par Joe Biden au cours de la première semaine de sa présidence stipule que le terme “virus chinois” ou “China virus” est désormais interdit.

Oui, c’est vrai.

Le site web de la Maison Blanche confirme que Biden a signé ce décret.

CBS News a rapporté que “Biden s’attaque au racisme envers les Américains d’origine asiatique pendant la pandémie par des mesures exécutives”.

Le rapport note que “le décret Biden devrait également ordonner aux agences fédérales comme le ministère de la santé et des services sociaux (HHS) d’examiner s’il existe des références xénophobes comme le “virus de la Chine” dans les politiques, directives ou sites web gouvernementaux publiés par l’administration Trump”.

NBC News énumère toutes les actions exécutives que Biden a initiées jusqu’à présent, la dernière étant l’interdiction du terme “virus chinois”. Le rapport note que “en outre, le décret a ordonné au procureur général de travailler à la prévention de la discrimination et des crimes haineux”.

Étant donné que tout est maintenant présenté comme un “crime haineux”, cela pourrait signifier l’interdiction ou l’annulation de tout et de tous.

En outre, Biden a admis en octobre dernier que toute personne qui légifère par décret devrait être considérée comme un “dictateur”.

Biden semble ne pas savoir ce qu’il signe réellement et peut à peine tenir le stylo :

Après avoir réussi à mettre le stylo dans son pantalon, Biden a ensuite parlé du port de masques faciaux, pour lequel il a déjà délivré de multiples mandats exécutifs.

Biden a déclaré qu’un membre du Congrès lui avait dit “embrassez mon oreille, je ne porte pas de masque”.

source: https://www.aubedigitale.com/biden-signe-un-decret-pour-interdire-le-terme-virus-chinois/

Biden décrète à tour de bras : « Je ne sais pas ce que je signe » !

Quinze décrets signés le 20 anvier seulement, son premier jour de présidence.

Un enregistrement qui n’aurait pas dû filtrer à l’extérieur est actuellement diffusé sur les réseaux sociaux et il ne présage rien de bon dans la gestion de l’Administration Biden. En signant de nouveaux décrets importants, le nouveau président américain, un peu perturbé, a dit : « Je ne sais pas ce que je signe » !

Il continue cependant à le faire, poussé par sa vice-présidente Kamala Harris. La perspective d’un président américain diminué et manipulé par son entourage, notamment par l’aile gauche du Parti démocrate, se précise. Personne ne pourra dire qu’il est surpris…

Sources :
Joe Biden « commence bien »…
Biden Signs Executive Orders But There Is No Evidence He Has Any Idea What He's Signing

Rappel : Biden annoncera un projet de loi pour offrir la citoyenneté à environ 11 millions de migrants illégaux

*

Extrait 14 s :

Vidéo 1 mn :

 

Etats-Unis : Des femmes et minorités pour piloter l’économie américaine

Comme prévu, le président élu va placer à la tête du Trésor américain l’ancienne présidente de la Fed, Janet Yellen.

[...]

M. Biden a également annoncé lundi la nomination de Wally Adeyemo au poste de secrétaire adjoint du Trésor. D’origine nigériane et présenté comme «expert en politique macroéconomique» [...]

[...]

Le président élu a en outre choisi Neera Tanden comme directrice du Bureau de la gestion et du budget. C’est aussi une première pour une femme d’origine indienne à ce poste.

[...]

24Heures

Joe Biden écoutera ses alliés

Tel est  le gros titre qui a fait le tour de la presse extraordinairement diversifiée en Suisse romande et en France.

L’hebdomadaire français Le Point a interviewé l’ancien haut conseiller de Barack Obama, Robert Malley.

La TdG et 24heures ont publié une interview par Jean-Cosme Delaloye de Charles Kupchan, ancien membre du Conseil de sécurité de Barack Obama.

Kupchan annonce un « énorme changement », le grand retour du multilatéralisme, le retour rapide des États-Unis à l’OMS, à l’ONU : l’administration de Biden, contrairement à Trump prendra ses engagements « très au sérieux ».

Un changement est annoncé en Afghanistan, en Lybie, en Syrie par... la diplomatie. Avec Israël, Biden sera plus strict et l’Europe va recevoir beaucoup d’attention, car il y a une prise de conscience que la démocratie est vulnérable et fragile. (Nous avons constaté cette fragilité, merci les Démocrates corrompus, merci Soros, merci BLM, merci Antifa, merci Dominion, Scytl, merci les accusations de complot russe portées contre Trump...)

Nous sommes soulagés d’apprendre que les États-Unis ne vont pas retirer leurs troupes de l’Allemagne et l’administration de Biden cessera de séduire Orbàn, toute son affection sera réservée aux pays européens comme la France de Macron.

Politique étrangère américaine – «Joe Biden écoutera ses alliés»

Résumé et commentaires Cenator

20minutes.ch titre: Biden élu, Erdogan perd son «ami» Trump

Après s’être abstenu de commenter la victoire samedi de Joe Biden, le président turc Erdogan lui a finalement adressé mardi un message de félicitations et dit vouloir espérer un renforcement des relations entre Ankara et Washington.

[...]

Des analystes estiment toutefois que le président élu, une fois intronisé, ne devrait pas chercher à marginaliser la Turquie d’Erdogan, qui joue un rôle croissant dans la région, mais à nouer avec cet allié stratégique de l’Otan des rapports répondant à des nouvelles règles, plus strictes.

M. Trump est connu pour sa fascination pour des dirigeants à poigne dans le monde, dont M. Erdogan qu’il présentait comme un ami, mais cela n’a pas épargné aux deux pays de nombreuses crises ces dernières années, marquées par une détérioration de leurs relations après un coup d’Etat manqué en Turquie en 2016.

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Menace de sanctions

Ayant une approche moins isolationniste que M. Trump, M. Biden pourrait aussi essayer de museler l’activisme turc à l’étranger, comme en Libye ou dans le conflit au Karabakh dans lequel Ankara a pris fait et cause pour l’Azerbaïdjan face à l’Arménie.

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«Une administration Biden aura probablement les mêmes inquiétudes que celles de Trump, à savoir qu’imposer des sanctions contre la Turquie risque d’aliéner un allié qui demeure important au sein de l’Otan», souligne toutefois Mme Aydintasbas.

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article complet: https://www.20min.ch/fr/story/biden-elu-erdogan-perd-son-ami-trump-776353175704

Anna Makanju, « responsable de la régulation des contenus » pour Facebook, a été conseillère de Joe Biden pour l’Ukraine

Anna Makanju, responsable de la politique mondiale de Facebook en matière de régulation des contenus, a été conseillère de Joe Biden sur la politique relative à l’Ukraine lorsqu’il était vice-président de Barack Obama. Elle a également défendu Joe Biden contre les allégations d’agissements répréhensibles en Ukraine dans un commentaire au Washington Post l’année dernière.

En tant que responsable de la “régulation des contenus” pour Facebook, elle a peut-être pu influencer la décision du réseau social de censurer un article du New York Post révélant que le fils de Joe Biden, Hunter, alors sous contrat lucratif avec le géant ukrainien de l’énergie Burisma, avait présenté son père, alors vice-président, à un cadre de l’entreprise.

C’était moins d’un an avant que Joe Biden, toujours vice-président, n’ait fait pression sur le gouvernement ukrainien pour qu’il limoge un procureur qui enquêtait sur la société.

Makanju est aussi membre du Conseil atlantique, qui s’est associé à Facebook en 2018 pour promouvoir “l’intégrité électorale” dans le monde entier.

Son profil sur le site du Conseil de l’Atlantique mentionne les liens de Makanju avec Biden :

Anna Makanju est une chargée de recherche senior non résidente de l’Initiative de sécurité transatlantique. Elle est experte en politique publique et en droit et travaille sur Facebook, où elle dirige les efforts visant à garantir l’intégrité électorale sur la plateforme. Auparavant, elle a été conseillère politique spéciale pour l’Europe et l’Eurasie auprès de l’ancien vice-président américain Joe Biden, conseillère politique principale auprès de l’ambassadeur Samantha Power à la Mission des États-Unis aux Nations unies, directrice pour la Russie au Conseil national de sécurité et chef de cabinet pour la politique relative à l’Europe et à l’OTAN au bureau du Secrétaire à la défense.

Un article de 2019 dans le Washington Post note que Makanju a aussi défendu Biden, son ancien employeur, contre des allégations de méfaits concernant l’Ukraine, et qu’elle écoutait les appels de l’ancien vice-président avec les responsables ukrainiens.

Anna Makanju […] a écrit que la publication des transcriptions ne ferait que confirmer la thèse de Biden selon laquelle il a agi correctement.
Elle a aidé Biden à préparer les entretiens, qui se déroulaient à un niveau élevé. Biden y utilisait un langage choisi, qualifiant par exemple les membres du gouvernement Porochenko de “bâtisseurs de la nation pour une transformation de l’Ukraine”.
Une mention d’une société privée comme Burisma serait “un niveau de granularité trop fin” pour un appel entre Biden et le président d’un autre pays, a déclaré Makanju à The Fact Checker.
Au lieu de cela, a-t-elle dit, la conversation s’est concentrée sur les réformes exigées par le FMI, les méthodes de lutte contre la corruption et l’assistance militaire.
Une enquête sur “Burisma n’était tout simplement pas assez importante” pour être mentionnée, a-t-elle répété.

Breitbart News a contacté Makanju pour obtenir ses commentaires [sans réponse pour le moment].

Source et liens : https://www.breitbart.com/tech/2020/10/18/facebook-content-regulation-manager-anna-makanju-advised-joe-biden-on-ukraine/

Traduction libre Cenator

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En 2003, Anna Makanju a obtenu une bourse de la fondation Paul et Daisy Soros pour ses études de droit.

Source : https://www.pdsoros.org/meet-the-fellows/anna-makanju

États-Unis : nouvelle fraude électorale révélée en caméra cachée, cette fois pour faire élire Joe Biden et certains juges

Project Veritas a publié son dernier reportage sur la manipulation des électeurs au Texas, qui fait suite à la vidéo diffusée hier.

S’adressant à Raquel Rodriguez, qui est consultante pour le candidat républicain Mauro Garza, la journaliste infiltrée de Project Veritas a demandé : “alors ces républicains aussi veulent aider Biden ?

Raquel Rodriguez détaille combien d’argent elle reçoit par vote, et qui la paie pour ses services. Elle poursuit en déclarant qu’elle gagnera 71 000 dollars en liquide pour ses efforts. Ceux qui ne peuvent pas payer, comme un juge local, lui devront plutôt des faveurs.

 

 

 

 

“Oui, c’est ce que je fais”, a déclaré Mme Rodriguez, “c’est exactement ce pour quoi je suis payée. Mes gens sont sous couverture, parce que certains d’entre eux sont républicains, d’autres démocrates. Certains de mes républicains sont des présidents de circonscription, cela ne peut pas être connu, parce qu’ils pourraient se faire virer, mais ils veulent aider Biden”. […]

Hier Project Veritas avait montré Rodriguez, et son effort pour aider une personne âgée à changer leur vote du candidat républicain au candidat démocrate via ses instructions. […]

The Post Millenial