Peut-on encore critiquer l’islam ?

   
Michel Garroté - La réponse est : plus pour longtemps. Et dans certains cas, la réponse est : non. En effet, les Etats-membres de l'Union Européenne et les Etats-membres du Conseil de l'Europe ont conclu des accords, notamment avec l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI) et ses Etats-membres, accords stipulant que les Etats européens doivent combattre "l'islamophobie" et enlever sa légitimité à l'Etat d'Israël. En clair, les Etats européens ne doivent pas critiquer l'islam et ne doivent pas soutenir Israël. Ci-dessous, je publie, sur ce sujet, une analyse féroce de Giampaolo Rossi et une analyse, plus technique, de Gregor Puppinck. A lire et à diffuser sans modération.
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Dans 'Giornale', Giampaolo Rossi écrit notamment (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page) : Arrêtez de vous foutre de nous ! Cette monstruosité, c'est vous qui l'avez créée et elle a un nom précis: elle s'appelle multiculturalisme, la déformation idéologique la plus flagrante de notre époque. Cette bête qui se cache dans le cœur de l' Europe et qui explose périodiquement avec une violence aveugle et inhumaine représente le véritable échec de tout ce que nous pouvions être, et que nous ne serons pas, à cause de vous. Peu importe de savoir si le "franco-tunisien" qui a massacré 84 personnes comme si c'était sur une piste de bowling, était un terroriste formé par l'ISIS, les amis de ces Saoudiens que Hollande reçoit à l'Elysée avec tous les honneurs, et qui une fois retournés chez eux financent ceux qui massacrent les Français (tout cela n'est que la reddition ignoble d'une classe politique européenne corrompue et lâche).
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Peu importe aussi de savoir si le meurtrier était un musulman pratiquant ou occasionnel, déprimé ou lucide; s'il a crié "Allah Akbar", ou rien du tout; s'il a espéré jusqu'à son dernier moment atteindre son paradis en déchaînant un enfer ou simplement offert son enfer pour l'éternité Ce qui est important, c'est de reconnaître la vérité que VOUS continuerez à refuser; à savoir qu'il était lui aussi le fils de ce morceau d'Europe qui hait l'Europe; de cette expérience folle et suicidaire que votre stupidité a produite. C'est vous qui avez généré tout cela: politiciens de gauche, intellectuels hypocrites, journalistes menteurs et prêtres. Ces monstres, c'est vous qui les avez créés avec votre buonisme irréel, avec vos craies de couleurs, avec votre mythe de l'accueil ; vous qui avez confondu l'égalité des droits avec la dictature d'un égalitarisme abstrait.
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Vous qui niez l'identité européenne parce que vous n'avez pas le courage de la défendre: lâches et stupides. C'est vous qui continuez à ne pas voir qu'ils détestent ce que nous sommes: ils détestent notre liberté, notre sens de la vie, notre idée de l'homme et de la femme. Ils détestent nos droits et notre culture. C'est vous qui êtes responsable de cette peur qui parcourt désormais le cœur de l'Europe ; vous qui avez permis les 'banlieue' (en français dans le texte) à Paris, les "quartiers de la charia" en Belgique et aux Pays-Bas (où des écoles et des mosquées sont financées par l'intégrisme salafiste), les tribunaux islamiques en Allemagne et en Grande-Bretagne, Husby (banlieue de Stockolm qui a été le théâtre d'émeutes raciales en 2013, ndt) et les laboratoires d'horreur sociale à Stockholm où vous travestissez en intégration des ghettos marginalisés.
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C'est vous qui continuez à ne pas lire les enquêtes qui nous disent que 30% des jeunes musulmans français sont pour l'Isis, et que près de la moitié des Turcs allemands préfèrent respecter la loi islamique que celle en vigueur en Allemagne. Ces monstres, c'est vous qui les avez créés, technocrates de Bruxelles qui détruisez les identités souveraines nationales pour construire un absurde projet de melting pot où, en vrais racistes, vous planifiez les projets de migration de remplacement qui transformeront l'Europe en Eurabia beaucoup plus tôt que ne l'imaginait Oriana Fallaci. Ces monstres, c'est vous qui les avez créés, va-t-en guerre, avec vos bombes humanitaires et les guerres "éclairées".
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Vous qui avez planifié le chaos du Moyen-Orient, qui avez béni le désastre en Libye, et celui en Syrie qui ont ouvert la route à l'exode de désespérés (rares) et de malins (nombreux) qui se déversent dans nos pays et à la propagation de l'islamisme; vous qui avez alimenté les printemps arabes, qui à leur tour ont alimenté le terrorisme; vous qui dites combattre l'Isis et Al-Qaïda, et ensuite les financez et les formez pour vos desseins stratégiques. Allez, les buonistes, maintenant offrez-nous encore un peu de votre indignation. Continuez à vous scandaliser et à nous marquer comme démagogues, xénophobes et obscurantistes; libérez vos bouffons de cour dans les journaux et à la télévision.
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Laissez les ménestrels qui chantent faux continuer à raconter la fable du multiculturalisme, peut-être avec l' argent public de Rai et l'inévitable Gad Lerner (ndt: il en était question hier, justement, cf. Attentat de Nice). Vous trouverez toujours quelqu'un qui vous donnera raison, en espérant que le monde irréel de votre hypocrisie ne jette pas définitivement l'Europe dans l'abîme. Mais ces morts sont sur votre conscience, conclut Giampaolo Rossi  dans 'Giornale' (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
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Par ailleurs, on peut lire dans un communiqué de Gregor Puppinck, directeur de l'European Centre for Law and Justice (ECLJ), communiqué sur la condamnation en Autriche d'une conférencière ayant osé parler de pédophilie au sujet de Mahomet (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page) : La Cour européenne des droits de l’homme est appelée à se prononcer sur l’étendue du droit de critiquer l’islam à l’occasion de la condamnation pour blasphème d’une conférencière ayant mis en cause les mœurs de Mahomet. La conférencière qui saisit la Cour de Strasbourg a été reconnue coupable d’avoir publiquement « dénigré une personne qui est un objet de vénération », à savoir « Mahomet », le prophète de l’islam, d’une manière « susceptible de susciter une indignation justifiée », en violation de l’article 188 du Code pénal autrichien.
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Les propos litigieux ont été tenus durant un cycle de conférences intitulé « Connaissances de base sur l’Islam » à l’Institut d’éducation du Parti autrichien de la liberté (FPÖ) devant une trentaine de participants. Il est reproché en substance à la conférencière d’avoir dit que Mahomet avait des tendances pédophiles (il « aimait le faire avec des enfants ») car il s’est marié avec une fille de six ans (Aïcha) et a consommé ce mariage lorsqu’elle n’avait que neuf ans. La conférencière notait que cela posait problème dans la mesure où « le plus haut commandement pour un homme musulman est d’imiter Mahomet », ajoutant plus généralement que « les musulmans entrent en conflit avec la démocratie et notre système de valeurs ». Suite à une plainte de journalistes, la conférencière fut condamnée à payer 480 euros ou à purger une peine de soixante jours d’emprisonnement en cas de défaut de paiement.
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Les juridictions autrichiennes avait jugé ainsi dans le but de protéger la sensibilité religieuse des fidèles musulmans ainsi que « la paix religieuse » en Autriche. La conférencière a porté l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme qui devra juger si la liberté d’expression peut céder le pas devant le respect de Mahomet et de la « sensibilité religieuse » des musulmans. L’ECLJ a été autorisé à soumettre des observations écrites à la Cour. Pour l’ECLJ, seule la diffusion d’obscénités gratuitement offensantes et inutiles au débat ainsi que les propos incitant à la violence immédiate peuvent être restreints. Tout autre propos –surtout lorsqu’il est appuyé sur des faits réels- devrait être toléré au titre de la liberté d’expression ; cela résulte d’ailleurs de la jurisprudence de Strasbourg.
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Dans son mémoire, l’ECLJ expose notamment la tentative menée au plan international par l’Organisation de la Conférence Islamique pour intégrer au sein du droit international un délit de blasphème sous l’appellation de « diffamation de l’islam ». L’ECLJ s’est opposé à cette initiative au sein des Nations Unies depuis plusieurs années, estimant que les libertés de religion et d’expression sont complémentaires et qu’il n’existe pas de droit pour des croyants (pas plus que pour des non-croyants)  à ne pas faire l’objet de critiques. Plus généralement, la recherche sincère de la vérité devrait toujours être encouragée et bénéficier de la liberté d’expression.
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En l’espèce, pour l’ECLJ, le droit à la liberté d’expression de la conférencière a été violé, celle-ci ayant été condamnée pour avoir dénigré une croyance en elle-même, c'est-à-dire pour blasphème, alors même que ses propos s’appuyaient sur des faits historiques avérés dont la diffusion, dans un contexte politique, participe au débat public, conclut Grégor Puppinck, directeur de l'European Centre for Law and Justice (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://blog.ilgiornale.it/rossi/2016/07/16/buonisti-i-morti-di-nizza-sono-sulla-vostra-coscienza/?repeat=w3tc
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http://benoit-et-moi.fr/2016/actualite/lettre-ouverte-aux-bien-pensants.html
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http://www.eclj.org/
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http://www.eclj.org/pdf/ECLJ_French_submission_to_OHCHR_on_Combating_Defamation_diffamation_des_religions_Puppinck.pdf
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http://9afb0ee4c2ca3737b892-e804076442d956681ee1e5a58d07b27b.r59.cf2.rackcdn.com/ECLJ%20Docs/Obs.%20Aff.%20ES%20c.%20Autriche_001.pdf
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http://hudoc.echr.coe.int/fre?i=001-159843#{%22itemid%22:[%22001-159843%22]}
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Le cerveau des attentats d’Istanbul a été protégé par son statut de réfugié en Autriche

Akhmed Chataev (…) a fui la Russie il y a 12 ans, et a gagné le statut de réfugié en Autriche.

En Janvier, les services secrets russes l’ont désigné comme le principal recruteur de terroristes d’ISIS depuis la Russie et les pays européens.

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Tchataïev – surnommé «One-Armed ‘après qu’il ait affirmé que l’un de ses membres a été coupée en prison – a fui la Russie il y a 12 ans, et a gagné le statut de réfugié en Autriche.

Une fois en Europe, il a envoyé du matériel vers le Caucase du Nord pour les terroristes.

En 2008, il a été arrêté en Suède pour possession illégale d’armes, a passé un an en prison après que des Kalachnikov , des explosifs et des balles aient été trouvés dans sa voiture.

Après avoir purgé sa peine, il a déménagé en Ukraine, où il a été arrêté à la demande de la police russe – mais a utilisé son statut de réfugié autrichien pour éviter l’expulsion.

Daily Mail

Autriche : les demandeurs d’asile interdits de piscine suite à l’agression sexuelle d’une fillette

Les autorités de la ville autrichienne de Mistelbach ont décidé d’interdire temporairement l’accès de sa piscine municipale aux réfugiés après qu’une fillette de 13 ans s’était plainte d’être sexuellement agressée par un «étranger».

L’incident s’est produite le 22 juin.

La police a déjà ouvert une enquête et entamé des recherches. Les témoins confirment les paroles de la fillette sexuellement agressée. (…)

Cette nouvelle est choquante», a déclaré le maire de Mistelbach, Alfred Pohl, après l’attaque et décidé d’interdire temporairement l’accès de la piscine municipale aux réfugiés. Sur la porte de la piscine on peut lire «L’accès est interdit aux réfugiés aujourd’hui». De plus, on a embauché deux gardiens pour qu’ils patrouillent le territoire autour de la piscine. (…)

Une fillette dont le nom n’est pas révélé, a raconté qu’un «étranger à la peau foncée» l’avait suivie jusqu’au vestiaire pour les femmes, y était entré et l’avait forcé de faire des fellations. La fillette y résistait avec acharnement, criait et l’agresseur est enfin parti.

Source

Autriche: une nouvelle élection présidentielle « probable »

Après avoir longtemps hésité, le FPÖ a décidé de lancer un recours contre les résultats du second tour de la présidentielle qui a vu son candidat, Norbert Hofer, être battu de 30000 voix seulement par le candidat des Verts.

Et selon un expert interrogé par le quotidien autrichien Der Standard, le parti d’extrême-droite a de bonnes chances d’obtenir satisfaction. Professeur à l’Université de Vienne, Theo Öhlinger estime que deux des points soulevés dans le document de 150 pages transmis à la cour constitutionnelle par le FPÖ sont « très sérieux ». Le premier concerne le décompte des votes par correspondance, ceux qui ont fait basculer le résultat en faveur de l’écologiste. Certains bulletins ont été dépouillés par certaines mairies, et non par la commission électorale. Par ailleurs, des résultats partiels ont été publiés sur Internet avant la fermeture de tous les bureaux de vote. La Cour constitutionnelle doit dire avant le 6 juillet si le recours du FPÖ est recevable. La question clé sera de savoir si les irrégularités sont suffisamment nombreuses pour remettre en cause l’écart de 30000 voix…

France TV

Autriche – Le FPÖ ne lâche rien

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Nouveau rebondissement dans les élections en Autriche. Le numéro un du FPÖ, Heinz-Christian Strache, a déposé - mercredi 8 juin 2016 - un document sous forme de recours contestant le résultat des élections auprès de la Cour constitutionnelle autrichienne. Dans ce document, de 150 pages, qu'il a remis à la Cour, Strache pointe du doigt plusieurs irrégularités et sans doute fraudes. Le FPÖ conteste les modalités de dépouillement du vote par correspondance.
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« Il y a beaucoup d'indications provenant des votants et jusqu'à présent cinq plaintes pour violation de la loi », avait déjà déclaré Heinz-Christian Strache fin mai. Le second tour de la présidentielle, opposant le candidat du FPÖ Norbert Hofer à l'écologiste Alexander Van der Bellen, avait tenu le pays en haleine. Car une victoire de Norbert Hofer, le candidat FPÖ, avait fait de l'Autriche le premier État membre de l'UE à être dirigé par un président patriote et souverainiste.
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En effet, le soir même du vote, le 22 mai, le candidat du FPÖ Norbert Hofer arrivait en tête. Il avait fallu attendre le dépouillement des votes par correspondance - plus de 14% du corps électoral -, le lendemain, pour voir l'écologiste l'emporter finalement d'une très courte tête, à 50,3% des voix, contre 49,7% pour Hofer. 31'026 voix seulement séparaient les deux candidats. Encore une affaire à suivre.
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Michel Garroté
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Eclairage UW – Autriche, retour sur l’élection : une cocotte minute à déflagrations multiples et continues – 25.05.2016

Les populistes sont de vrais anthropologues

"L'extrême droite" c'est bon pour les politologues

La peur va changer de camp

Le Référendum est l'avenir des peuples européens

Propos recueillis le 25 mai 2016

Autriche : Hofer battu, à qui fera-t-on croire cette blague ?

Rappelons que ce vote comprenait 2 groupes.

3.731.720 votants dans les urnes. 83% des votes.

746.222 votants par correspondance. 17% des votes

Comment un candidat qui totalise 51,9% dans les urnes, donc 1.937.863 voix sur 3.731.720, peut-il tomber à 38,27% des votes exprimés par correspondance ?

Plus qu’étrange, sachant que de Bruxelles aux capitales européennes, toute la clique aux commandes depuis cinquante ans refusait au peuple autrichien le droit élémentaire d’élire Norbert Hofer, candidat du FPO.

D’ailleurs Manuel Valls s’est empressé, depuis Israël, de saluer le vote autrichien qui repousse “le populisme et l’extrémisme”. L’Europe anti démocratique est soulagée !

Mais revenons au score en détail, car ça vaut le détour !

Dimanche soir Hofer totalise 1.937.863 voix sur 3.731.720 exprimés dans les urnes.

Son adversaire en obtient 1.793.857.

Hofer a donc 144.006 voix d’avance. Confortable. 4% d’écart ça ne peut pas se combler avec les 17% de votes restants exprimés par correspondance.

Ce qui donne 51,9% pour Hofer et 48,1% pour Van der Bellen, dans les urnes.

Mais, nous dit-on aussitôt, cela n’a rien de significatif car il reste 746.222 votes par correspondance à décompter. Il faudra donc attendre lundi.

Et comme par hasard, ce sont des votes traditionnellement favorables aux partis au pouvoir. Ils peuvent donc tout changer. Nous voilà prévenus.

Calculs faits dès dimanche soir avec le chiffre de 750.000 votes  par correspondance, il s’avère qu’il faudrait un rapport de 60/40 en faveur du candidat écologiste, donc passer de 48/52 à 60/40, pour combler son retard et battre Hofer. Un tel renversement parait impossible. Pourtant cela n’a interpellé aucun commentateur politique. Etonnant…

Et lundi, miracle, on apprend que Hofer n’a récolté que 28.5595 voix sur 746.222, soit 38,27% des suffrages exprimés.

Son adversaire en récolte 460.627, soit 61,73% des suffrages.

Encore mieux que 60/40 !

Par un formidable retournement, les 373.1720 électeurs des bureaux de vote, près de 4 millions, qui avaient choisi Hofer comme président par 52% contre 48%, se voient donc souffler leur victoire par les 746.222 électeurs ayant voté par correspondance. L’impossible s’est bien réalisé. L’Europe a senti le vent du boulet mais elle respire.

En fait, on n’a jamais vu 17% des bulletins restants, renverser le score final dans de telles proportions. N’importe quel sondeur connaissant le résultat de 83% des bulletins décomptés, vous donnera le résultat final à 2% près. Il y a des normes statistiques immuables.

J’aimerais donc qu’on m’explique comment Hofer a pu passer de 52% des  3731720 votes exprimés dans les urnes, à 38,27% des 746222 votes exprimés par correspondance.

On nous dit que l’erreur des sondages peut aller de 2 à 3%.

Mais là, le même peuple, dans la même élection, pour les mêmes candidats, a voté à 52% pour Hofer dans les urnes et à 38% par correspondance ! Comme c’est bizarre…

Va t-on nous expliquer qu’en Autriche, la coutume veut que l’extrême droite vote dans l’isoloir et que les libéraux votent par correspondance ?

Même au temps où le PC bourrait les urnes avec allégresse, aux plus belles heures du communisme, l’écart entre le résultat initial et le résultat final n’atteignait pas de telles proportions.

Vous verrez que toute la clique au pouvoir va gober ce verdict en évoquant la victoire de la démocratie sur l’extrémisme. Mais le jour où Marine gagnera par 50,3%, les mêmes démocrates demanderont à rejouer le match. C’est couru d’avance.

Ce dépouillement du scrutin restera pour moi une mascarade. Cette élection était jouée d’avance, quel que soit le score de Hofer, l’Europe n’en voulait pas.

Hofer n’a pas contesté. Pourquoi ? Mystère. Mais pour moi cette élection sent le bidouillage à plein nez.

Jacques Guillemain

Source

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Autriche: Une participation de... 146,9% à Waidhofen 

Encore une panne au ministère de l'intérieur: Sur la page d'accueil, le tableau  a indiqué un taux de participation de 146,9 (!) pour-cent. La miraculeuse "génération des électeurs» devrait continuer à alimenter les rumeurs sur des élections truquées.

Le chef du département de l'Intérieur, Robert Stein, a déclaré lundi soir au "ZiB 2" que le résultat avait été corrigé. Cela ne signifie pas un changement important dans le résultat global  a déclaré Stein. Il a souligné qu'il était question d'un simple «erreur d'entrée" sans affecter le résultat.

Le nouveau président autrichien se définit comme étant un “enfant de réfugiés et fait l’éloge du vivre-ensemble”

Alors que la question migratoire a été au centre de la campagne - dans un pays de 8,5 millions d'habitants qui a accueilli 90.000 demandeurs d'asile, près de 1% de sa population, lors de la crise des réfugiés de fin 2015- , Alexander Van der Bellen s'est décrit lui-même comme "enfant de réfugiés", rejeton d'un aristocrate russe et d'une mère estonienne ayant fui le stalinisme. Né à Vienne, sa famille a trouvé refuge dans le vert Tyrol, aux confins de l'Autriche et de l'Italie, lorsque l'Armée rouge est entrée dans la capitale autrichienne, en 1945.

Durant la campagne, les T-shirts colorés à son effigie, les concerts de ses comités de soutien - jusqu'à une soirée techno à la veille du premier tour - ont toujours semblé en décalage avec la personnalité austère, voire intimidante de ce grand septuagénaire à l'éternelle barbe de trois jours.

Face à un adversaire d'extrême droite, Norbert Hofer, formé aux techniques de communication les plus sophistiquées, les secondes de silence d'Alexander Van derBellen aux questions des débats télévisés ont souvent semblé une éternité.

L'ancien professeur d'université, s'est cependant révélé plus offensif entre les deux tours de la présidentielle que son adversaire d'extrême droite. Lors des derniers débats, ce fumeur invétéré a attaqué Nobert Hofer avec un mordant que peu lui connaissait: "Vous ne comprenez rien à l'économie" ou "Je vous parle d'Europe: E-U-R-O-P-E, vous en avez déjà entendu parler ?", a-t-il lancé à Hofer comme pour faire sortir de son flegme un rival qui cultive sang-froid et affabilité.

Un "gauchiste en habits bourgeois" pour le FPO

Sans consigne de vote en sa faveur des partis social-démocrate (SPÖ) et conservateur (ÖVP), Alexander Van derBellen a emmagasiné les soutiens individuels entre les deux tours, son comité de soutien revendiquant 4.000 supporteurs parmi les personnalités du monde politique, artistique, intellectuel.

Un argument que lui a retourné Nobert Hofer: "Vous avez l'élite, j'ai le peuple", l'a interpelé le candidat FPÖ lors d'un débat.

Le FPÖ l'a présenté comme un "gauchiste en habits bourgeois", le renvoyant aux positions de son ancien parti en matière d'immigration. Les Verts ont toujours défendu une société ouverte et multiculturelle qui fait figure d'épouvantail pour le FPÖ.

Durant son passage à tête des Verts autrichiens, le parti est devenu la quatrième force politique du pays, derrière le FPÖ. Alexander Van der Bellen, qui avait débuté en politique dans les années 80 s'engageant brièvement aux côtés des sociaux-démocrates, s'était mis ces dernières années en retrait de la scène politique.

Arrivé en seconde position, loin derrière le FPÖ au premier tour, Alexander Van der Bellen, 72 ans, a dit avoir senti "un élan" entre les deux tours. Plus modestement, il a été pour beaucoup d'électeurs le choix "le moins diabolique", comme l'ont décrit plusieurs journaux. Une électrice avait confié à l'AFP dimanche voter "entre la peste et le choléra", se sentant obligée de choisir un candidat qu'elle "n'aime pas car voter pour l'autre candidat est juste inenvisageable".

Source

Lorsque les jeunes Verts autrichiens traitaient de “merdes” ceux qui aiment l’Autriche

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Le texte du dessous est clair: "Celui qui aime l'Autriche est une merde". Toute la subtilité et l'intelligence de la gauche mise en exergue avec cette haine du pays qui est une constante pour ce parti.

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Le nouveau président autrichien et membre du parti des Verts a été sous le feu des critiques lundi à la suite d'affiches anti-Autriche publiées par une branche du parti des Verts.

On peut lire au bas de l'affiche diffusée par les jeunes Verts en 2007 que "quiconque aime l'Autriche est une merde".

Alexander Van der Bellen, le nouveau président autrichien issu des Verts, se présente en tant que candidat indépendant mais il est membre de longue date des Verts.

Placardées par la branche des jeunes Verts autrichiens (GAJ) à Vienne, ces affiches étaient supposées être une critique du nationalisme et des déjections canines (qui souillent la ville).

Elles représentaient l'image d'un chien tenant dans sa gueule le drapeau rouge et blanc du pays à la place d'un sac poubelle.

L'affiche était censée être une prise de conscience mêlant le problème de l'encrassement de la ville et le nationalisme autrichien (ND Christian Hofer: ce dernier est ici considéré comme de la "merde" par ces extrémistes de gauche).

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=Hu5CWwLxNwA

En Autriche, les Turcs ne comprennent que le turc mais votent écolo

Présent au second tour face au candidat FPO Norbert Hofer, le candidat écologiste est bien d'origine autrichienne mais cela ne semble pas être le cas de tous les électeurs. En effet, ce dernier, Alexander Van der Bellen,n'hésite pas à faire campagne avec des affiches rédigées en turc. Peu de sondages sont publiés sur le deuxième tour qui aura lieu dimanche prochain :

"L'avance de Hofer "est si nette qu'il doit être considéré comme le favori", assure de son côté le politologue autrichien Peter Filzmaier à Politico. Le seul sondage publié à ce jour donne les deux hommes à égalité à 50% des suffrages, avec toutefois une marge d'incertitude supérieure à 5 points. Les bookmakers, eux, donnent le candidat FPÖ largement en tête. "

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Source

Autriche : Le verdict est tombé.

 Les urnes ont révélé le vainqueur: Avec des résultats extrêmement serrés, 50,2 % contre 49,8 %, la société autrichienne semble, aujourd'hui plus que jamais, coupée en deux. D'un côté, les territoires ruraux et péri-urbains, les banlieues, les catégories populaires dont les emplois sont directement menacés par la concurrence de la main d’œuvre immigrée, de l'autre les populations des centres-villes, les populations aisées, ceux qui vivent pleinement dans la mondialisation.

Il n'en reste pas moins qu'avec les 900 000 votes par correspondances nous sommes en droit d'imaginer le pire.

Je dirai même plus, nous pouvons avec certitude être sûr que cette élection présente tous les stigmates européistes et totalitaire. Elections pièges à cons disaient-on autrefois ! Nous nous retrouvons de nouveau, comme en France lors des Régionales, devant un vote contre un candidat de la droite nationale qui n'était même pas foncièrement anti européen, ni même anti euro. Cette élection marque la volonté de refuser y compris par les urnes, un changement de pouvoir politique radicalement différent et en dehors des partis habituels qui s'étaient partagés le pouvoir en alternance ou en communauté d'intérêts. Oui, j'ai des doutes profonds sur ces 900 000 votes par correspondance. Oui je crois qu'il peut y avoir eu magouilles ! Comment, je ne sais pas ! Pourquoi me semble plus évident.

De nouveau, comme en France, des électeurs auraient votés contre et non pour leurs idées. Pas si simple car ces 900 000 votants par voie postale sont du pain béni pour les eurocrates. S'ils n'étaient pas foncièrement contre les racines chrétiennes de l'Europe, Bruxelles pourrait faire dire une messe et pourquoi pas honorer Allah. Cette défaite n'est pas la fin des espoirs patriotes. Elle n'est pas une victoire du camp de Bruxelles, elle est encore moins une victoire des écologistes. Elle est la marque d'un processus infernal qui souhaite interdire de parole plus de la moitié des peuples d'Europe. Elle est la volonté d'ouvrir les frontières à l'immigrant, aux déserteurs syriens et irakiens, aux djihadistes islamistes et au chaos qui ne manquera pas de venir à terme. Qui seront les vainqueurs? À ce jour, on peut dire que les vaincus sont les patriotes. Ils ont un genou à terre, mais n'ont pas renoncé à se battre.

L'Autriche est l'exemple. Elle nous démontre ce qu'il ne faut pas faire en France. Se diviser, se nier, refuser de parler ensemble, vouloir cultiver son pré carré, satisfaire son ego et refuser de mettre en commun nos forces.

Marine Le Pen devra, et sans doute le fait-elle déjà, tirer les leçons de cette élection autrichienne. Elle devra comprendre que tous les systèmes à deux tours ont cette faculté de rendre les combats individuels inutiles ! Comme pour les régionales, le système électoral fait que le Front National perdra les élections futures au deuxième tour. C'est le jeu disent certains qui ne comprennent pas que la chandelle s'appelle France et que le jeu final est de l'éteindre.

À ce jour, et à titre personnel, je n'imagine pas le Front National de Marine Le Pen remettre en question la ligne politique de Florian Philippot. Son tropisme chevénementiste  devient évident pour beaucoup de militants. Cette volonté de faire la cueillette des "jeunes pousses" sortis tout juste de la puberté chez les adhérents du parti de Jean Pierre Chevénement commence à en gêner  plus d'un. Ces nominations de "jeunes pousses" comme Secrétaires Départementaux et sans l'avis des militants, posent un souci de fond. Beaucoup se posent des questions sur la direction prise par le navire Amiral et son Commandant. Ce refus d'être accompagné par les vaisseaux patriotes de moindre tonnage comme le SIEL de Karim Ouchick inquiète !

À Bezier, lors des journées voulues par Robert Ménard, la question se posera et il faudra bien qu'au terme de cette réflexion patriote, qu'une ligne se dégage et se positionne à la fois sur le Front National qui méprise ces journées patriotes et sur l'idée d'une création d'une sorte d'UDI patriote suffisamment puissante pour faire comprendre à la ligne Le Pen-Philippot qu'elle aura besoin de forces d'appoint. Pour gagner, il faudra au FN des alliés fidèles et décidés à la manière des 300 Spartes qui permirent à la Grèce, par leur courage et persévérance, de gagner contre la Perse impériale.

En attendant, et malgré les cris de victoire des traîtres aux Nations, ce ne sont pas les patriotes Autrichiens qui ont perdu la bataille électorale, c'est le système Bruxellois qui, à chaque fois, à travers ses communications, ses interventions, ses discours alarmistes, les peurs qu'il diffuse, ses appels aux "heures sombres", révèle un peu plus dans ses élections nationales, sa perfidie profonde et sa défense des nantis de la Finance aux électeurs européens. Ceux-ci finiront bien par comprendre en majorité ce qu'est ce système antidémocratique. Espérons, si ce n'est pas trop tard, qu'ils sauront renverser la table.

Demain, souhaitons que les Anglais, par leur référendum, seront le second coup de tonnerre dans le ciel de Bruxelles. Sinon, et hélas, un orage violent viendra fatalement noyer les bureaux de Bruxelles et sortir des Palais nationaux, les autorités d'opérettes, ces dirigeants vendus et corrompus.

Gérard Brazon

Autriche: Le vote a-t-il été magouillé?

« Panne » au ministère de l’Intérieur autrichien

[Comme en France, c'est le ministère de l'Intérieur qui centralise les résultats. Tout au long de la soirée de dimanche, on a ainsi pu prendre connaissance sur son site officiel (http://wahl16.bmi.gv.at/) des scores réels des deux candidats. Et du "résultat final provisoire", c'est-à-dire avant dépouillement des votes par correspondance : 51,9 % pour Hofer et 48,1 % pour Van der Bellen.
Puis, dans la nuit, sont apparus de bien curieux chiffres...]

Pendant un moment, il a semblé dans la nuit de dimanche que l’heure de vérité était déjà arrivée.Sur le site Internet du ministère de l’Intérieur, on a pu voir brièvement un tableau avec ce qui semblait être des résultats du vote par correspondance.

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Mais il s’agissait d’une panne, comme les autorités l’ont vite reconnu : « C’est un masque informatique de préparation, les données sont celles d’un ancien vote. Ces données n’ont pas de valeur. C’est une erreur », nous a déclaré Gregor Wenda du ministère fédéral de l’Intérieur.

En attendant, il faut s’en tenir à ceci : Les résultats du vote par correspondance seront publiés lundi après-midi ou dans la soirée. On saura alors qui a vraiment gagné l’élection.

(Traduction Fdesouche)
Spiegel

Autriche. Norbert Hofer (FPÖ) reconnaît sa défaite

C'est désormais officiel, Alexander Van der Bellen a été élu président fédéral de la République d'Autriche. Après un suspense insoutenable, son adversaire du FPÖ, Norbert Hofer, a reconnu sa défaite face à l'écologiste.

Avec des résultats extrêmement serrés, 50,2 % contre 49,8 %, la société autrichienne semble, aujourd'hui plus que jamais, coupée en deux. D'un côté, les territoires ruraux et péri-urbains, les banlieues, les catégories populaires dont les emplois sont directement menacés par la concurrence de la main d’œuvre immigrée, de l'autre les populations des centres-villes, les populations aisées, ceux qui vivent pleinement dans la mondialisation.

Autriche : tous les Européens patriotes retiennent leur souffle

En ce jour de lundi 23 mai, tous les patriotes retiennent leur souffle. Nous attendons le résultat des élections en Autriche. Nous attendons ardemment que le mur des européistes s'effondre. Celui de la dictature de la pensée.

Pour la France, c'est une muraille psychologique qui s'est installée progressivement par 40 ans de travail médiatique et politique distillé chaque jour, dans les infos, les téléfilms, les journaux bien pensant dans les têtes des Français.

  • Les électeurs Français votent pour Marine Le Pen? Ce sont soit des électeurs égarés, des incompris, des populistes ou des fascistes.
  • Des électeurs allemands votent pour l'AfD de Frauke Petry, ce sont là aussi des électeurs égarés, des populistes, des réminiscences nazis.
  • La Hongrie a fait confiance à Victor Orban, ce sont des citoyens mineurs, des populistes incultes, des hongrois regrettant le nazisme.
  • Des électeurs anglais votent Nigel Ferrage, et là aussi les électeurs sont mis au ban de l'humanité socialiste.

Partout en Europe la pensée dominante au pouvoir utilise tous les moyens pour faire des électeurs nationalistes des monstres en gestation. Ce matin, le comble fut d'entendre chez le lessiveur Bourdin and co de RMC, un Hervé Gattegno accuser Marine Le Pen d'être en lien, dans le parlement européen, avec Norbert Hofen du FPÖ . Il alla jusqu’à en profiter pour rappeler que l'Autriche est le pays de naissance d'Hitler. Mais n'y voyez pas d'amalgame surtout. Les amalgames sont réservés pour la droite patriote, pour les affreux nationalistes.

Ainsi donc, ce serait un crime (par lieu de naissance?) l'élection d'un Président issu du FPÖ ? Un crime collectif et pourquoi pas... génétique ! Ces gens-là ont-ils le droit, au nom de l'antinazisme, d'accuser un peuple de nazisme par naissance et d'accuser ceux qui s'en approchent, de complicité de nazisme? C'est ce qu'a fait Hervé Gattegno sur RMC-info. Indigne et scandaleux.

Si nous suivons cette logique de la naissance des dictateurs sanguinaires avec la terre natale, nous allons donc considérer que voter pour des patriotes nationalistes serait un crime pour les Espagnols du pays de Franco, un crime également pour les ukrainiens du pays de Staline, un crime pour les Russes de Lénine, un crime pour les Allemands d'Himmler, de Goebbels, un crime pour la Chine qui a vu naître Mao, pour le Cambodge de Pol Pot, pour cette île de Cuba de Castro et j'en passe de ces pays qui ont vu naître leurs bourreaux. Allons plus loin, et en suivant cette logique, disons que l'Arabie Saoudite est suspecte puisque terre de naissance de Mahomet, grand criminel contre l'Humanité et de guerre si l'on se réfère aux Hadiths qui racontent par le menu détail, les assassinats des tribus juives de la Mecque.

Le triste Hervé Gattegno n'est pas un innocent. Il parle en politicien et non en journaliste. Voyons un peu l'origine: collabo socialiste au quotidien Le Monde de 1992 à 2007 où il a été rédacteur en chef de la rubrique « France ». Par la suite, il a été rédacteur en chef de la cellule investigation du Point. Il est également éditorialiste dans la matinale de Bourdin & Co sur RMC, où il tient une chronique quotidienne nommée Le Parti Pris de Gattegno. Il est proche d'Arnaud Montebourg Voilà donc le journaliste type que l'on retrouve en plusieurs exemplaires dans tous les journaux de France et de Navarre. Il fait partie de cette engeance qui lessive l'esprit critique des français chaque jour, sur toutes les chaînes de télévision et de radios en distillant son message bien-pensant d'européistes convaincu et socialisant.(Source Wikipédia Hervé Gattegno)

Il est clair que tous les patriotes doivent avoir en tête, que chaque fois qu'ils allument leurs radio-télévisions, ils auront à décrypter le message subliminal qui se résume en quatre mots: dormez bien braves gens !

Traitement de l'information secondaire et édulcoration des résultats.

Dimanche au 20h sur TF1, tout y est passé y compris le message de Nicolas Sarkozy avant d'avoir des infos sur les élections autrichiennes. Le 51,93% des patriotes autrichiens fut remplacé par "un score très serré". En oubliant de préciser qu'Hollande a été élu avec 51,64% des voix. À cette époque, nul journaliste n'a dit que c'était un "score très serré", voire pire, un 50/50% sur d'autres sources bien-pensantes ! C'est par ces petites priorités chronologiques des faits, ces changements de ton et d'expressions que l'on peut se rendre compte des petites manipulations diverses qui servent à endormir les citoyens.

Le Monde affirme que c'est du 50/50 ! Rien que ça. Quel déni fantastique et affligeant de cette presse dite sérieuse et responsable. Quelle honteuse description de Norbert Hofer réduit à n'être qu'un héritier d'Hitler et ce, malgré sa déjà longue carrière politique qui ne présente pourtant aucune similitude avec le sinistre fondateur du nazisme.

Tous les patriotes de France savent que le coup de tonnerre ne vient pas du programme de Norbert Hofer qui souhaite démocratiser les élections et permettre à la manière des Suisses, d'appeler le peuple Autrichien à se saisir de son destin qui est aux mains des bureaucrates de Bruxelles.

Le coup de tonnerre sera un coup puissant porté aux différents intérêts des lobbys bancaires et financiers et aux entreprises internationales qui souhaitent la mort des Nations européennes et l'émergence d'un "peuple nouveau" issu des immigrations arabo-africano-musulmanes ou le "blanc de souche" ne sera plus qu'un minoritaire que l'on ira visiter dans un zoo.

Blanc: espèce protégé
2036-Blanc: espèce protégé

L'Europe se fissure et c'est tant mieux. Parce que l'Europe que l'on nous a vendue n'a jamais existée. Cette Europe de l'anti démocratie, de l'anti nation, est une Europe de technocratie qui sait qu'elle aura du mal à survivre à l'exemple d'un peuple qui se libérera peu à peu, de son emprise dictatoriale.

L'Autriche comme exemple à tous les peuples d'Europe. Une image qu'il faut détruire absolument et y compris par la reductio at hitlerum. Toujours salir, toujours mentir, et toujours réduire les peuples au silence.

Gérard Brazon

Les Autrichiens sont des nazis

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J'aimerais revenir sur un sujet que ce blog a déjà traité : les élections autrichiennes. Une fois de plus, la caste politico-médiatique européenne, y compris française, essaye de nous faire croire que le vainqueur présumé, le FPÖ, serait, soi-disant, une ramassis de "nazis". Comme d'habitude, le vote du peuple, non seulement n'est pas respecté, mais il est commenté de façon ignoble : les Autrichiens seraient des "nazis". Une fois de plus, la caste politico-médiatique affiche son mépris de la démocratie et son mépris du système électoral.
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A l'entendre, cette caste politico-médiatique rêve d'un système totalitaire avec des élections truquées où l'emportent uniquement la gauche, ou, mieux encore, uniquement l'extrême-gauche, le camp islamo-gauchiste. La caste politico-médiatique, une fois de plus, incarne ce fascisme rouge qui voit des "nazis" absolument partout, sauf là où ils sont vraiment, c'est à dire notamment chez les nazislamistes et leurs alliés gauchistes.
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A ce propos justement, Ivan Rioufol commente, entre autres, la campagne du second tour des présidentielles autrichiennes (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L’immigration et l’islam, sujets interdits, ont été au cœur de la présidentielle autrichienne. Ils seront au cœur de la présidentielle française de 2017 et, plus généralement, au cœur des débats sur l’avenir de l’Union européenne multiculturelle et ouverte à la Turquie. Le fait que Hofer atteigne de tels scores en ayant fait campagne contre l’immigration de masse et contre la menace islamiste suffit à convaincre de l’intensité de ces sujets, forcément "nauséabonds" pour les censeurs de moins en moins crédibles. Ce jugement des idéologues de la diversité n'est pas celui de l’opinion européenne, et française plus singulièrement.
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Ivan Rioufol : Si les formations politiques ne ce décident pas à aborder franchement ces questions délicates, qui bouleversent l’identité des peuples, il est aisé de prédire d’autres percées, d'autres victoires de mouvements populistes (ndmg - populaires) et souverainistes. Les électeurs de toutes les droites disent en réalité plus ou moins la même chose désormais sur ces thèmes (ndmg - l'immigration et l’islam) : il faut bien sûr porter un coup d’arrêt à une immigration de peuplement qui ne s’intègre plus. Il faut tout aussi urgemment dire non aux revendications politiques portées par l’islam avec le soutien de l’extrême gauche et la bienveillance des belles âmes endormies, ajoute Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Tandis que toute la caste politico-médiatique condamne le candidat qualifié de "nazi" (accusation ignoble, ridicule et débile...), Mgr Andreas Laun, évêque à Salzbourg, a qualifié - de son côté - les chrétiens qui votent pour le candidat écologiste de victimes d’un lavage de cerveau (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). Pour Mgr Laun, on ne peut que choisir Hofer et prier pour lui et pour l’Autriche, car le candidat des Verts est du mauvais côté pour toutes les questions importantes comme la protection de la vie dès la conception, la place de Dieu dans la société ou l’idéologie du genre.
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Mgr Laun s’est dit sans voix face à ces organisations catholiques qui ont envisagé de soutenir Van der Bellen. Pour l’évêque, qu’un catholique puisse soutenir le candidat des Verts démontre son manque d’esprit critique et le peu d’importance de sa foi dans sa vie. L’évêque de Salzbourg a encore critiqué les comparaisons du FPÖ aux nazis comme étant absurdes et rien de plus qu’une manière pour la gauche et les médias de faire jouer les émotions plutôt que de discuter avec des arguments (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Pour celles et ceux que les détails de l'élection autrichienne intéresse, Le Figaro note (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : dimanche se déroulait le second tour de l'élection présidentielle en Autriche. Le ministère de l'Intérieur donnait 144 006 voix d'avance pour Norbert Hofer, candidat de  droite nationale, qui l'emporte provisoirement avec 52% des suffrages. Avec une participation de 73 % de votants. Mais le vote par correspondance fait durer le suspense. Lors du premier tour, 641 975 Autrichiens avaient utilisé ce moyen de vote. Pour le second tour, 885 437 électeurs ont demandé des bulletins par correspondance, soit 14 % des 6,4 millions de personnes. Environ 740 000 ont été validés, et principalement déposés par des citadins, qui ont voté en majorité pour Alexander Van der Bellen.
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Le FPÖ, par l'intermédiaire de son secrétaire général Herbert Kickl, avait un jour avant le scrutin crié au complot, dénonçant les irrégularités qui entachent cette procédure. Ces voix, décisives pour l'issue de ces élections, feront pencher la balance sans toutefois donner un écart important: tout au plus, il sera de 1,4%. Le président fédéral de la République d'Autriche est élu pour un mandat de six ans. Premier personnage de l'État, il a les prérogatives et les compétences d'un régime semi-présidentiel. Il nomme le chancelier qui est le chef du gouvernement et a le pouvoir de dissoudre le Parlement. Il est aussi le commandant suprême de l'armée autrichienne (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté, 23 mai 2016
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/05/immigration-islam-lecons-autri.html
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http://www.ndf.fr/nouvelles-deurope/21-05-2016/un-eveque-autrichien-exprime-son-soutien-pour-le-candidat-du-fpo-au-deuxieme-tour-de-lelection-presidentielle-de-dimanche#.V0KSpzdbxHI
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http://www.lefigaro.fr/international/2016/05/22/01003-20160522ARTFIG00208-autriche-un-president-elu-aux-prolongations.php
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Autriche: la police déclare avoir observé l’infiltration islamiste dans une région entière

Pour la première fois, la police autrichienne a observé l'infiltration ciblée d'une région entière. Pendant longtemps, la province de Styrie était une région catholique homogène. A présent, les Frères musulmans se sont établis. La police parle d'une situation menaçante.

Le journal autrichien Kleine Zeitung est parvenu à un constat alarmant. Se référant à un expert de la Direction de la police nationale, il parle d'une situation dangereuse en Styrie. Les Frères musulmans se sont déjà mis en place. Salafistes et djihadistes ont une grande popularité. 

Dans la région, le groupe qui possède la plus forte croissance sont les salafistes. Actuellement, environ 400 adeptes masculins vivent dans la région de Graz. La majorité ne travaille pas afin de prier cinq fois par jour. (...)

La moitié des 16 mosquées de Graz a déjà été classée comme étant radicale. Même le groupe le plus dangereux, les djihadistes, aurait gagné en influence. "Nombreux sont ceux qui ont été recrutés à Graz en tant que combattants et qui luttent au service de l'Etat islamique» (IS)", selon le journal.

Le journal donne également des indications sur les origines des sympathisants. "Outre les migrants en provenance de Bosnie, les Tchétchènes représentent le plus grand groupe islamiste en Styrie", déclare le journal. En conséquence beaucoup d'entre eux appartiennent déjà à la deuxième génération et possèdent la nationalité autrichienne. Toutefois, en raison de leur sens de l'honneur et leur vengeance, les islamistes tchétchènes sont beaucoup plus dangereux que les groupes radicaux de Bosnie.

Selon le journal, il y aurait maintenant un nouveau danger. De nombreux Afghans quittent la criminalité organisée et rejoignent les islamistes. Un développement semblable à ce qui s'est passé autrefois avec les Tchétchènes.

En outre, beaucoup d'entre eux viendraient déjà avec un passé islamiste en Styrie.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Autriche : « Les incessants rappels aux ‘heures les plus sombres de l’Histoire’ n’ont plus d’effet sur les électeurs »

Editorial de Johan Hufnagel intitulé « Glissade » dans Libération.

Il y a de nombreuses leçons à tirer, pour les Européens, d’une possible victoire de l’extrême droite en Autriche ce dimanche.

La première, c’est que les incantations et les incessants rappels aux «heures les plus sombres de l’Histoire» n’ont plus d’effet sur les électeurs.

La participation au pouvoir des partis d’extrême droite ne vaccine pas non plus les électeurs : ils sont désormais capables de les faire gagner lors d’un scrutin majoritaire.

 

La glissade des électeurs européens vers des partis populistes et d’extrême droite ne cachant plus leur haine des immigrés, de l’islam, etc. s’accélère aussi de part et d’autre des Alpes. En France, par exemple, où tous les fronts anti-FN (qu’ils s’appellent «républicain» ou qu’ils portent des «non» en bandoulière) n’ont pas empêché les Le Pen de s’incruster et de gangrener les discours. [...]

Le 21 avril autrichien doit aussi rappeler à tous que les lois copiées-collées des thèses populistes ne ramènent pas les électeurs à la maison, mais donnent de la crédibilité à l’adversaire. Ce fut le cas avec la très dure loi sur l’immigration votée récemment par la coalition autrichienne.

Il ne faut pas pour autant se résoudre à la victoire électorale de l’extrême droite, ni même à sa victoire idéologique. Mais pour lui barrer la route, il faudra plus que des incantations. [...]

Libération via Fdesouche.com