Les références du Matin.ch : Trump serait un cruel menteur comparable aux fascistes, ou pire…

Notre unique journal du dimanche diffuse les potins anti-Trump avec un zèle soutenu. Aujourd’hui, nous apprenons que Trump serait «cruel» et «menteur». «Il n'a aucun principe. Aucun» - selon sa sœur. Les raisons de cette cruauté auraient été évoquées par sa sœur et enregistrées en secret par le «Washington Post».

Maryanne Trump Barry s'en est prise « à la politique migratoire mise en place par le président, qui a conduit à la séparation d'enfants et de leurs parents à la frontière et à leur envoi en centres de détention. » (ndlr: ce qui est un hoax vieux de deux ans...).

Et même si Trump avait des membres de famille débiles, en quoi en serait-il responsable? Décidément, les ennemis de Trump, dont nos médias subventionnés, n'ont plus rien d’autre à se mettre sous la dent pour mieux tenter de laver le cerveau de la population.

«Tout ce qu'il veut c'est plaire à sa base» électorale, selon ces enregistrements que s'est procurés le quotidien américain.

Le Washington Post est aussi biaisé que notre Matin Dimanche subventionné, c’est un journal de propagande primaire anti-Trump. Pas plus tard qu’hier, il a publié un article comparant Trump à Mussolini : « A quel point notre président est-il fasciste ? »

How fascist is President Trump? There’s still a formula for that.
Not that much, at least compared to the 20th century’s greatest fascists.

 

Cenator

rappel: Les journalistes militants. Après le journal Le Matin c’est le Matin Dimanche qui tente de diffamer et de calomnier notre site LesObservateurs.ch.

lien vers l'article du Matin.ch sur Trump, ici

https://www.lematin.ch/story/donald-trump-est-cruel-et-menteur-selon-sa-sur-798564715570

 

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P. S. Nos journalistes en Suisse romande se font mener par le bout du nez par le camp des  marxistes étatsuniens. Et leur niveau de démagogie est parfaitement illustré par ce genre de caricature, qui pullule dans les médias des Démocrates:

NO JOKE BENITO MUSSOLINI by Marian Kamensky, Slovakia

Quelques réponses aux Trumpophobes

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Michel Garroté -- La haine - car c’est bien de cela qu’il s’agit - la haine de la quasi totalité des journalistes (français notamment) envers Donald Trump atteint des sommets. Les journalistes sont haineux, certes, et, ils sont également médiocres et incultes ; c'est bel et bien la haine, la médiocrité et l'inculture qui les caractérise ; ils ricanent, ils grincent des dents, ils voudraient que Trump n'existe pas. Ci-dessous, je publie les extraits adaptés de deux réponses aux Trumpophobes : l'une parue sur "Boulevard Voltaire" ; l'autre, parue sur "La Faute à Rousseau".
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A ce propos, sur le Site Internet "Boulevard Voltaire", Floris de Bonneville, journaliste, ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma, écrit notamment (extraits adaptés ; cf. source en bas de page) : Vous avez pu constater combien les médias dits "mainstream" sont « Trumpophobes ». Au point de nous désinformer à longueur de journée depuis plus d’un an : Donald Trump est le pire président que les États-Unis ont eu à ce jour ; c’est un fou, un déséquilibré, un malade, un bipolaire qui change d’avis tous les matins quand ce n’est pas trente six fois par jour.
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Sauf que ce malade a réussi là où ses prédécesseurs ont échoué par manque de fermeté, de raisonnement, d’intelligence. Sur le plan intérieur, les succès s’accumulent : baisse surréaliste du chômage, le revenu des ménages est au plus haut depuis 50 ans, les impôts ont baissé pour les entreprises comme pour les particuliers, les investissements se font en milliards de dollars, il a réussi à affaiblir les lobbies pro avortements et pro LGBT, l’immigration clandestine se tarit, etc. Bref, qui pourrait se plaindre de l’action politique de ceux que ses détracteurs appellent le milliardaire plutôt que le président des États-Unis. En 500 jours, Trump a su régler un nombre de problèmes que son « cher ami » Français peut lui envier.
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Sur le plan international, les journalistes ayant annoncé le triste résultat du sommet G-7 de La Malbaie que l’incommensurable Bruno Le Maire a piteusement résumé en un sommet 6+1 n’ont rien vu venir, n’ont rien entendu, n’ont surtout pas relayé correctement ce que Trump leur a dit à savoir qu’il avait proposé à ses collègues de supprimer l’ensemble des droits de douane rien que ça.
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Et puis, il y a eu cette rencontre imprévisible entre le symbole absolu d’un dictateur et celui du président de la plus grande démocratie du monde. La célèbre phrase de Neil Armstrong après sa sortie sur le sol lunaire me revient à l’esprit « un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité ».
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C’est un peu cela que Donald Trump vient de réaliser en éliminant la menace nucléaire d’une solide et longue poignée de main avec Kim Jong-un et en déclenchant, peut-être, les retrouvailles d’un peuple avec la liberté. Quant à l’Iran, on s’apercevra demain que ce pays ne retrouvera pas la démocratie et la liberté grâce à la main tendue de Macron aux Ayatollahs, mais grâce à la fermeté de Trump qui ne se contente pas de discours mais qui décide, envers et contre tous.
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Donald Trump est un grand président derrière lequel se cache le profil d’un businessman à l’américaine. Il a su adapter son expérience commerciale à celle nouvellement acquise de président des États-Unis, tout en confirmant qu’il ne baissera pas les bras sur la mise en œuvre de ses valeurs chrétiennes. Gageons que son prochain objectif sera de canaliser l’ambition d’un autre dictateur, l’islamiste Erdogan.
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Si la France avait eu la chance d’avoir un homme de sa trempe, un homme solide comme un roc, dont l’ambition n’est pas celle de devenir le maître du monde, notre avenir aurait été tout autre. Mais chez nous tout augmente, les taxes, les impôts, la pauvreté, l’immigration, les lois sociétales qui détruisent une à une les valeurs de notre société que nos pères ont eu tant de mal à maintenir conclut Floris de Bonneville (fin des extraits adaptés ; cf. source en bas de page).
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De son côté, le Site Internet "La Faute à Rousseau", signale notamment (extraits adaptés ; cf. source en bas de page) : Le vent a tourné. Il souffle dans la direction des peuples qui ne veulent pas mourir. Trump défraye la chronique et il est assez patent qu'il y prend plaisir. On dit qu'il adore être seul contre tous. Désormais son théâtre est le monde. Il y parle fort et - ce n'est pas nouveau - la parole du président des Etats-Unis porte loin. Son langage est rude, cru, sans nuance, celui qui plaît à l'Amérique profonde.
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Il ré-enracine l'Amérique. Il restaure le vieux nationalisme américain et rompt avec l'humanitarisme universaliste de son prédécesseur. Il ne rêve sûrement pas d'un prix Nobel de la Paix, tel celui notoirement ridicule que le jury de Stockholm avait inconsidérément attribué à Barack Obama à l'orée de son mandat. De toute évidence, ce n'est pas le genre de rêve qui pourrait hanter Donald Trump. Pareil risque ne le guette pas.
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Il renoue avec l'appétit américain de richesse, de puissance et de liberté. Il punit la Chine et l'Allemagne de leurs succès commerciaux qui ruinent l'Amérique, détruisent son industrie et ses emplois. Il déchire les traités. Il arrive au G7 canadien en réclamant à cor et à cri la réintégration de la Russie. Il déménage son ambassade de Tel-Aviv à Jérusalem. Il engage avec Kim Jong un, un processus de paix hautement improbable il n'y a pas six mois. Si son pouvoir se renforce à l'intérieur, demain, il se rapprochera de Poutine. Enfin - impardonnable transgression - il expulse les migrants. Il nous conseille d’en faire autant, nous reproche de n’en rien faire.
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Donald Trump a torpillé le dernier G7 parce qu'il déteste ces grand-messes ridicules et vaines et parce qu'il préfère négocier pour le compte des États-Unis avec chaque partenaire pris séparément. Finies les décisions censément collectives. Fini le semblant de gouvernance mondiale où rien ne se décide jamais. Retour aux Nations. Après l'esclandre canadien, les futurs G7 ne seront sans-doute plus jamais comme avant. L'Amérique de Trump reprend sa liberté. Elle a les moyens de l'exercer. Les Etats-Unis sont forts.
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Trump secoue l'Europe comme un prunier. Il lui dit ses quatre vérités. Il taxe son aluminium et son acier. Le secteur automobile allemand n'a qu'à bien se tenir. Angela Merkel n'ignore pas que Trump l'a en ligne de mire. Et Trump dit à l'Europe sa faiblesse et sa lâcheté. En matière de défense [au fait, contre qui ?] mais aussi en matière d'immigration. Que l'on y regarde bien : à sa manière Trump intervient dans les affaires européennes. Son "America first" n'est pas nécessairement synonyme de l'isolationnisme d'antan. Trump remue la pâte européenne.
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Il en discerne les failles, les tendances lourdes. La permanence des nations ne lui échappe pas. La volonté identitaire des peuples non plus. Il distribue blâmes et bons points en conséquence. Il jouera des divisions inter européennes. Au besoin il les attisera. Il en tirera pour les États-Unis tout le parti qu'il pourra. « Les nations n'ont pas d'amitiés, elles ont des intérêts ». Trump ne ménagera pas les nôtres, mieux vaut le savoir. Mais sa sympathie et - en un sens à prendre avec des pincettes - son soutien va, de toute évidence, à ceux qui refusent comme lui la submersion migratoire et le nivellement des identités. A ceux qui ne veulent pas mourir.
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Certes, ceux qui ne veulent pas mourir, qui veulent rester ce qu'ils sont, n'ont pas encore partie gagnée. Mais on voit mal aujourd’hui comment le mouvement protestataire engagé dans toute l'Europe pourrait être stoppé. Il connaîtra des avancées et des reculs. Mais des deux côtés de l'Atlantique, le vent a tourné. Désormais, il souffle dans la direction des peuples qui ne veulent pas mourir, peut-on encore lire sur "La Faute à Rousseau" (fin des extraits adaptés ; cf. source en bas de page).
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Adaptation & Mise en page de Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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http://www.bvoltaire.fr/donald-trump-grand-president/
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http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/06/25/t-6062276.html
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Réunion anti-Trump du groupe Bilderberg

German Chancellor Merkel and other G7 summit participants gather outside the Elmau castle in Kruen

   
Michel Garroté  --  Le groupe Bilderberg, un club confidentiel constitué de 130 puissants de ce monde, se retrouve, le jeudi 1er juin 2017, dans l'est américain, pour sa réunion annuelle, à huis clos, avec pour but central, cette année, de s'attaquer à Donald Trump. Les 130 responsables politiques, personnalités du monde des affaires et des médias, évoqueront également pendant, quatre jours, l'avenir de l'Union européenne et les rapports transatlantiques.
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Le club Bilderberg  --  dont le secret des réunions génère toutes sortes de théories conspirationnistes et complotistes vraies ou fausses depuis des décennies  --  se réunira à Chantilly, ville de l'Etat de Virginie, située à une cinquantaine de kilomètres de la capitale, Washington, avec notamment le très contesté et ancien diplomate Henry Kissinger ou encore le secrétaire général de l'Otan, le socialiste Jens Stoltenberg.
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Cette année, le rassemblement devrait permettre  -- assure-t-on çà et là  --  à plusieurs appuis de Donald Trump, notamment son ministre du Commerce, Wilbur Ross, et, son conseiller à la Sécurité nationale, le général H.R. McMaster, de débattre avec les détracteurs du président américain, au premier rang des détracteurs, le très puissant Eric Schmidt, président d'Alphabet, la maison mère de Google (ça promet...).
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Aucun compte-rendu ni aucun rapport n'est rédigé. De plus, aucune résolution n'est proposée, aucun vote n'est effectué et aucun communiqué ne sera publié. La Russie, la Chine, la mondialisation et la "guerre contre l'information" (ou "censure de l'information" par les membres du groupe Bilderberg ?) font également partie des sujets qui doivent être évoqués.
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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Manifestations anti-Trump à Londres, Paris, Berlin et Sydney (Vidéo)

Ce samedi aura été une journée de manifestation anti-Trump dans plusieurs villes dans le monde.
Ce qui cristallise le mécontentement, c’est le décret anti-immigration adopté il y a une semaine par le président américain.

Londres

A Londres, des milliers de personnes s‘étaient rassemblées devant l’ambassade des Etats-Unis. Ils dénoncent la politique de Donald Trump vis-à-vis des réfugiés, mais ils critiquent aussi l’attitude de la Première ministre britannique Theresa May, qu’ils jugent “complaisante” vis-à-vis du nouveau président américain.

Theresa May a invité Donald Trump à effectuer une visite d’Etat au Royaume-Uni dans le courant de l’année. Une pétition en ligne a été lancée pour réclamer que la visite d’Etat de M. Trump soit ramenée au rang de simple visite, afin d‘éviter à la reine “l’embarras” d’une rencontre protocolaire avec le magnat de l’immobilier américain. Cette pétition a récolté plus d’1,8 million de signatures.

Je pense que, partout dans le monde, les gens sont dégoûtés par Donald Trump. Pour nous, son décret anti-immigration est totalement injustifié. Il faut bien voir que cette interdiction vise des musulmans issus de 7 pays dont 4 ont été bombardés par les Américains. Les gens ont donc l’impression que c’est une entrave aux libertés, c’est une atteinte aux droits de l’Homme et que cela va augmenter le racisme. Et à mon avis, cela va aussi augmenter le terrorisme.
Lindsey German, porte-parole de l’ONG Stop the War Coalition

Berlin

A Berlin, environ 1.200 personnes, selon la police, se sont réunies dans l’après-midi devant la Porte de Brandebourg pour protester contre le décret anti-immigration.
Arborant des affiches sur lesquelles on pouvait notamment lire “Combattez l’ignorance, pas les immigrés !”, les manifestants se sont rendus jusque devant l’ambassade des Etats-Unis située à proximité.
Certains brandissaient le dernier numéro du magazine Der Spiegel, avec en Une Donald Trump dessiné en train de porter la tête de la statue de la Liberté égorgée.

Paris

A Paris, des centaines de personnes ont défilé entre la place du Trocadéro et le Champ-de-Mars.
Parmi les manifestants, de nombreux ressortissants étrangers installés dans la capitale française.
Plusieurs ONG de défense des droits de l’Homme ont également pris part au rassemblement.

Sydney

Enfin, en Australie, une manifestation était également organisée à Sydney.
De nombreux Australiens dénoncent l’attitude jugée arrogante du dirigeant américain.
Pour preuve : le récent coup de téléphone houleux entre le Premier ministre australien et Donald Trump. Ce dernier aurait même raccroché au nez de son interlocuteur pour un différend sur la politique migratoire.

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