Une Noire lesbienne assassine son ex à New York. Pas de manif BLM ou LGBT… et pour cause…

Attention, vidéo choquante!

Albert Coroz : Aux USA, selon les statistiques, la majorité des Noirs assassinés sont victimes... de Noirs.

Depuis combien de temps les Noirs sont-ils en tête des statistiques de la criminalité aux USA ?

L’esclavage a pris fin en 1865, il y a plus de 155 ans, et les Noirs accusent encore et toujours l’esclavage.

Des millions de Vietnamiens sont morts des conséquences de la guerre. Les Boat people, arrivés sans rien aux USA dans les années 70, se sont assumés, sont devenus des citoyens valeureux et ne blâment personne en cas de malheur, ne cassent rien, ne brûlent pas des villes, ne manifestent pas, ne réclament pas des privilèges, ne s'adonnent pas à la criminalité. Avoir des voisins asiatique signifie vivre en paix.

Les nazis d'Hitler ont massacré plus de 6 millions de juifs et cela s'est terminé en 1945, il y a 75 ans ! Personne n'a vu les juifs faire des émeutes, piller, saccager, incendier des bâtiments ou tirer sur des policiers !

Pourquoi cette différence ?

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Une trentenaire a suivi son ancienne compagne dans la rue avant de l’abattre à bout portant, mercredi à New York.

Une mère de deux enfants a été abattue à bout portant, mercredi à New York, dans une rue de Brooklyn. Nichelle Thomas, 52 ans, se rendait tranquillement dans un magasin du quartier de Park Slope quand Latisha Bell, 38 ans, s’est précipitée sur elle pour l’exécuter d’une balle dans la tête. [...]

 

USA : Sous couvert d’antiracisme, l’Université d’Evergreen a instauré un régime de la terreur discriminant les Blancs.

Mis en ligne le 8 juillet 2019 sur YouTube, le documentaire de 52 minutes intitulé «Evergreen et les dérives du progressisme» a déjà été consultée quelque 80'000 fois à l'heure où nous écrivons ces lignes.

La vidéo en question:

 

Des professeurs humiliés

Dans la vidéo, on aperçoit notamment des scènes d'enseignants humiliés par des étudiants les encerclant et les insultants en les empêchant de se défendre de l'accusation de racisme proférée à leur encontre. [...]

Les Blancs coupables par nature

On apprend aussi que des pratiques discriminantes, comme le fait de réserver la nourriture, les tables et les chaises, en priorité pour les «personnes de couleur», étaient tolérées.

Parallèlement, des enseignants de plus en plus radicaux étaient invités à dispenser des cours à Evergreen, notamment la sociologue Robin DiAngelo (dont le livre best-seller est ici présenté par Slate.fr en français), affirmant en substance que toute interaction sociale est teintée de racisme, que tous les Blancs sont par nature complices d'une supposée «suprémacie blanche», ou encore que la question n'est pas de savoir «si c'était raciste» mais «comment ça l'était».

[...]

Tribune de Genève

L’immigration enchantée

Par Mireille Vallette

La semaine contre le racisme se termine. Les méfaits de la Suisse discriminante et xénophobe ont tenu une nouvelle fois la vedette.

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L'Office du tourisme de Neuchâtel illustre par ces photos des visites guidées "sur les traces de l’esclavage" dans le canton. Elle font partie des manifestations organisées durant la Semaine contre le racisme.

Parmi les infinies facettes du racisme, les autorités ont choisi pour 2018 «Le verbal et le non-verbal blessant dans le paysage politique suisse». Une expression modernisée et jargonneuse pour une vieille antienne: haro sur les affiches de l’UDC, du MCG, etc. et sur les commentaires venimeux qui polluent la Toile. Les victimes? Selon le Bureau de l’intégration genevois, des «minorités ethno-raciales et/ou religieuses».

Lors de cette dixième «Semaine Sainte», les fidèles étaient invités comme d’habitude à communier dans la dénonciation des discriminations et autres propos xénophobes, et à dénoncer avec ardeur leurs auteurs.

Les organisateurs, animateurs et intervenants multicolores partagent avec leur public la même conviction: dans notre pays, les noirs sont purs et blancs, alors que nombre de blancs sont vils et noirs. Cette vision manichéenne ne laisse pas la moindre place à la divergence. Comment tolérer qu’un dissident vienne défendre dans l’une de ces innombrables manifestations ce point de vue: l'immigration pose quelques problèmes? Ne prendrait-on pas le risque qu’il propage son discours de haine en soulevant des thèmes aussi nauséabonds qu’identité ou islamisation, voire qu’il s’offusque de l’aimable coutume de femmes couvertes des chevilles aux cheveux?

Comment imaginer une seconde laisser un orateur relever ce paradoxe: nous sommes les seules sociétés à biberonner à l’égalité dès la maternelle, mais les seules coupables de racisme? Inversement, nombre d’immigrés originaires de pays qui enseignent le rejet et n’ont pas eu la chance de participer à des «Semaines contre le racisme» semblent avoir comme par magie abandonné leurs préjugés en abordant nos contrées, et être tout soudain atterrés de découvrir les nôtres.

Comment alors expliquer que parmi les requérants d’asile ou dans les prisons, se déroulent moult rixes et signes de racisme, par exemple entre Somaliens et Afghans ou Irakiens, Maghrébins et Noirs, Russes et Noirs, mais aussi Noirs et Noirs (ethnies ou pays) ? A la prison de Champ-Dollon, suite à des rixes «ethniques» où il y a eu un mort, la prière musulmane a dû être pacifiée: elle a lieu en alternance un vendredi pour les albanophones et un autre pour les Maghrébins.

Chez nous, les immigrés sont invités à rester tournés vers leur culture d’origine, le nouveau credo voulant qu’ils seront mieux réceptifs à la nôtre. Or, comme le remarque la journaliste Elisabeth Lévy, l’histoire de l’Occident est justement celle de l’émancipation des individus de leur groupe social, religieux, ethnique. Cette fixation sur les "cultures d'origine"ne comprend pas leur critique ni l’exigence d’évolution, contrairement à ce que fait depuis des lustres la culture des "pays d'accueil".

Malgré ces conflits  racistes, je n’ai jamais vu un débat, une vidéo, une soirée consacré à ce sujet. Les participants au cérémonial annuel reprennent en chœur un discours de victimisation et de valorisation des immigrés qui a pour corollaire, voire comme fondement, le dénigrement de nos démocraties. Côté «victimes», cet incessant rappel de la culpabilité de l'Occident augmente la rancœur, l’agressivité et le rejet, un phénomène désormais en pleine croissance.

 

Le canton de Neuchâtel montre à quel point cette volonté de dénigrer, en l’occurrence le «canton d’accueil», atteint des sommets. Il invite ses immigrés et leurs soutiens à des visites guidées «Sur les traces de l’esclavage à Neuchâtel». Oui, les nouveaux historiens ont trouvé que des hommes d’affaire du cru ont financé des transports d’esclaves. Et même que des intellectuels défendaient l'esclavage! Les immigrés doivent donc savoir que ce fléau figure aussi sur la longue liste des actions scélérates de la Suisse. Mais ils ne doivent en aucun cas connaitre les ombres de leur passé et en parler: il est ainsi inconcevable de consacrer la moindre discussion à l’esclavage arabo-musulman.

J’ai aussi scruté le programme genevois de l’hymne à la diversité. J’y ai patiemment cherché une voix dissonante dans la collection de films, vidéos, dégustations multiculturelles, contes venus d’ailleurs, multiples moments d’émotion liés aux douleurs de l’exil et aux périlleux chemins qui y mènent.

Eh bien, j’en ai trouvé UNE... La mienne.

Albana Krasniqi, directrice de l’Université populaire albanaise (UPA) m’a en effet invitée à une table ronde. Une initiative courageuse, voire audacieuse. J’y côtoyais Hélène Agbémégnah, membre d’INES, un «think tank issu de l’immigration», et le socialiste Marko Bandler, responsable de la cohésion sociale à Vernier. Le public ? Essentiellement des familiers de l’UPA, un «milieu hostile» pour moi, celui avec lequel j’aime le plus débattre.

Le débat s’est passé dans la paix, sinon l’harmonie. Il a montré qu’il est possible pour des dissidents de la pensée de s’inscrire en faux face au politiquement correct sans déchainer les passions. Marko Bandler a involontairement illustré combien effectivement la défense des immigrés va de pair avec l’éreintement de la Suisse (ses inutiles «mythes fondateurs», ses incroyables exigences de naturalisation, etc). Il a cependant admis que «l’entre soi» de cette semaine antiraciste n’est pas très constructif.

Quant aux citoyens qui n’entendent ni durant cette Semaine, ni dans le débat public en général des voix qui portent leurs critiques et leurs réticences face à l'immigration, ils s’expriment dans les urnes. Et c’est ainsi que les fervents adversaires du «populisme» leur donnent avec ce genre d'exclusions un sérieux coup de pouce.

Le blog de Mireille Vallette

 

 

Le clip antiraciste: Devinez qui est le méchant dans l’histoire?

Pendant ce temps, il ne se passe pas une seule semaine sans agression, sans violences de la part de ces gens.

 

Rappels:

Nancy: Provocations, caillassages, portes jetées par la fenêtre sur des policiers aux cris « d’Allah akbar »

Corse : trois détenus blessent deux gardiens de prison à l’arme blanche en criant « Allah Akbar ».

Cologne (Allemagne) : un Turc menace une femme et son enfant avec un couteau aux cris de « Allah Akbar »

France: 3 incidents récents où des musulmans menacent les non musulmans aux cris d’« Allah Akbar »

New York: Au moins six morts dans une attaque à la voiture bélier: Le suspect aurait crié «Allah akbar»

 

 

 

 

La gauche antiraciste ou l’obsession de la race [Tribune libre]

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

Il y aura sans doute un avant et un après Charlottesville, évènement assez anodin au regard de ce qui se passe aujourd’hui partout dans le monde (une manifestation, une contre manifestation, un mort) mais dont les conséquences semblent majeures aux Etats-Unis et également en Europe.

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Le nouveau combat anti-raciste : l’appropriation culturelle [vidéo]

La journaliste Anne Rosencher s’attarde sur un concept qui nous vient des États-Unis, et dont nous pourrions entendre beaucoup parler : l’appropriation culturelle.

Depuis les camps d’été interdits aux blancs, voici le concept d’appropriation culturel. Un prélude donc à la future séparation ethnique entre français nouveaux et français blancs… Cherchez le raciste !

 

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France : 12e édition lancée pour la Semaine anticoloniale et antiraciste

L’association Sortir du colonialisme organise la 12e édition de la Semaine anticoloniale et antiraciste, du 4 au 20 mars, principalement à Paris. Elle s'invite aussi à la Marche de la dignité afin de dénoncer les abus policiers, à nouveau sur le devant de la scène après les affaires Adama et Théo qui ont éclaté en banlieue parisienne.

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Le racisme anti-blancs des soi-disant “antiracistes”

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En France, Cantona, Debbouze, Benzema et quelques autres se sont récemment livrés à un exercice de racisme anti-blanc complètement débile qui fait le 'Une' des médias parisiens et hexagonaux. Vu de l'étranger, cette mauvaise farce laisse pantois. Depuis l'époque de "touche pas à mon pote" dans les années 1980, le racisme anti-blanc n'a cessé d'augmenter, pour devenir une machine à propagande, qui finira par rendre effectivement racistes, des blancs qui au départ ne l'étaient pas.
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Le racisme anti-blanc était, demeure et restera, sous couvert de soi-disant "anti-racisme", le fonds de commerce de la gauche. Sauf que ça ne s'arrêtera pas là et que le racisme des blancs viendra ou reviendra. Le racisme anti-blancs des soi-disant "antiracistes" deviendra - ou est déjà - une bombe identitaire à retardement sur le point d'exploser. Oui, il y aura bientôt des blancs racistes qui se livreront à des actes violents contre des gens de couleur. Ce qui à son tour provoquera des actes violents de la part de gens de couleur contre des blancs et ainsi de suite.
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Le soi-disant "anti-racisme" sera le principal responsable de ces violences. Il en sera le principal responsable, car c'est lui qui, depuis les années 1980, joue avec le feu. La gauche - dont le soi-disant "anti-racisme" reste le principal fonds de commerce - est donc prête à courir le risque d'une guerre ethnique sous prétexte de lutter contre le racisme. La gauche n'a pas renouvelé son discours depuis quarante ans et sa seule arme, sa dernière arme, c'est donc cet "anti-racisme" complètement débile. Une guerre ethnique à cause d'une propagande complètement débile, c'est ce que la gauche laissera comme souvenir dans les futurs livres d'histoire. Pauvre France.
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A ce propos, Yvan Rioufol a récemment écrit (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L’idéologie antiraciste ? Elle a fait du métis l’homme supérieur, a rendu obsédante la question des origines, a racialisé les rapports sociaux. Cette semaine, Eric Cantona, Jamel Debbouze puis Karim Benzema, au centre de la polémique, illustrent à leur tour cette imposture morale. Parce que Didier Deschamps, le sélectionneur de l’équipe de France de football, n‘a pas retenu Benzema pour l’Euro 2016 (l’attaquant du Real Madrid est mis en examen dans une affaire de chantage et de sextape), Cantona a dégainé le premier dans The Guardian: "Deschamps a un nom très français. Peut-être qu’il est le seul en France à avoir un nom vraiment français. Personne dans sa famille n‘est mélangé avec quelqu’un vous savez. Comme les Mormons en Amérique".
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Yvan Rioufol : A ce premier mépris pour un Deschamps jugé trop franchouillard et trop blanc par un Cantona ayant épousé Rachida Brakni (actrice) s’est ajouté, lundi dans France-Football, la leçon de Debbouze. L’humoriste a regretté qu’avec l’élimination de Benzema mais aussi de Ben Arfa, "les Bleus ne sont pas représentatifs des banlieues". Pour lui, ces deux joueurs "payent la situation sociale de la France d’aujourd’hui", laissant entendre un racisme anti-arabe. Benzema à son tour a enfoncé le clou, ce mercredi, en accusant Deschamps d’avoir "cédé à la pression d’une partie raciste de la France". Si l’on résume, voici donc le sélectionneur des Bleus accusé de racisme parce qu’il a un drôle de nom, parce qu’il n’est pas métis et parce qu’il a écarté un joueur musulman, populaire dans les cités.
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Yvan Rioufol : Selon les piètres avocats de Benzema, ses seules origines auraient dû suffire à le choisir en dépit de la procédure judiciaire en cours. "Les antiracistes sont les vrais racistes", écrivais-je déjà en 2011, dans De l’urgence d’être réactionnaire (PUF). Récemment, la présidente de France Télévision, Delphine Ernotte, en avait apporté une démonstration supplémentaire en déclarant : "On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans et il va falloir que ça change". Les mêmes aberrations racialistes débitées par Cantona, Debbouze et Benzema procèdent de cet humanitarisme dévoyé qui fait passer performances et compétences derrière la couleur des peaux. Ce raisonnement alimente un communautarisme ethnique et un racisme anti-blanc.
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Yvan Rioufol : A Béziers, l’autre week-end, s’est d’ailleurs révélée une surenchère mimétique chez des Français excédés d’être insultés et méprisés par des minorités qui se réclament de leurs racines mais interdisent aux indigènes d’en faire autant. Ce multiculturalisme est, je ne cesse de l’écrire, mortifère pour l’unité de la nation. Malek Boutih, député PS de l’Essonne, a raison quand il reproche à Debbouze, dans Le Parisien, sa "sortie irresponsable". Il dit : "La paranoïa, les théories du complot, tout cela existe déjà. Ajouter de la tension par ces insinuations c’est du poison". Pour lui, Debbouze "n’a fait que contribuer à sabrer l’identité républicaine au profit des identités ethniques qui cherchent à s’imposer". Boutih parle d’or ces deniers temps. Il est courageux. Pour autant, le président de SOS Racisme qu’il fut devrait s’interroger sérieusement sur la lourde responsabilité de cette organisation dans la constitution des repliements identitaires, des concurrences victimaires et, désormais, du racisme antiraciste à la Cantona, conclut Yvan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/06/affaire-benzema-le-racisme-des.html
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Islam, islamisme, anti-racisme et droits de l’homme.

Je ne suis qu'un Français lambda. Un blanc détesté par des "victimes" par essence, par la couleur, par culture, parce que blanc c'est tout, parce qu'héritier de mes ancêtres paysans, laboureurs et autres. En regardant la vidéo d'Aldo, j'ai pu voir sa colère. Son dépit, son amertume.

Oui il suffit de connaître son histoire de France pour savoir ce que l'on peut faire pour se défendre (Poitiers 732).

Oui il suffit de connaître même un peu, la géopolitique à travers les siècles pour savoir ce qu'est l'islam.

Oui l'islam est un système qui a échoué sur tous les plans sociétaux sauf sur celui de la mise en place d'une dictature mortifère (76 iém exécution en Arabie Saoudite Sunnite. Plusieurs centaines d'exécutions en Iran Chiïte)

Oui pendant des siècles, ce virus, cette peste verte s'est étalée partout dans le monde. Elle s'est accaparée des inventions, mis en place des sociétés racistes, sexistes et assassine de libertés mais aussi de vies humaines.

Il suffirait, il suffit seulement d'un peu de curiosité pour comprendre ce qu'est l'islam. Il suffirait aussi et sans doute, que nos dirigeants se décrochent du biberon du Qatar, qu'ils cessent de pointer à la caisse de l'Arabie. Il suffirait seulement que la presse soit moins dépendante des millions d'euros que les pétro-monarchies déversent sur les conseils d'administrations, que des journalistes aient enfin le courage de sortir des chemins battus par Allah, par l'antiracisme dévoyé. Qu'ils retirent leurs oeillères, abaissent le bandeau qui les aveugle, cesse d'obéir à leurs rédacteurs qui lui-même obéi aux patrons de presse, qui lui-même, etc.

Il suffirait de retrouver la flamme de Saint Denis (pas celle de la Saint Denis communautaire et islamisée d'aujourd'hui), retrouver nos héros d'antan, nos personnages grandioses, si ce n'est nos piou-pious que désormais, une élite tarée ne voit plus que comme des soldats africains comme si nos tranchées n'avaient pas été abreuvé par le sang de nos soldats de Bretagne, de Corse, du Béarn, de la Beauce et de bien d'autres régions. Comme si la guerre de 14/18 n'avait été qu'une guerre entre africains et allemands tandis que les Français étaient planqués à l'arrière. Car nous en sommes arrivés là aujourd'hui, dans la négation de la France et des Français. Dans cet enseignement que c'est l'Afrique qui c'est battue pour la France en 1914-1918. J'ai honte pour mon grand-père.

Il n'y aurait plus que des piou-piou africains à Verdun?
Il n'y aurait plus que des piou-piou africains à Verdun?

Petit rappel cependant: la France est victorieuse mais meurtrie avec près de 1 400 000 soldats français et coloniaux décomptés morts, soit 27 % des 18-27 ans. A comparer avec les 97 100 morts issus des colonies qui n'étaient pas tous des noirs, mais aussi des arabes, des asiatiques et n'en déplaise à certains, des juifs blancs, c'est 1 302 900 morts français du terroir qu'il faut absolument rappeler. Voilà cette politique antiraciste et assassine, qui tue deux fois les Morts pour la France de 14/18. C'est bien une trahison de cette socia-lie qui veut refaire l'histoire de France.

Nbr de mort colonie 14-18

Revenons à ce dépit d'Aldo Stérone que je comprends. Il est Algérien, a vécu en Algérie, a connu les dérives islamistes, les attentats, les bombes, les arguments de cet islam tentaculaire et il nous dit: cessez de vous poser des questions sur votre avenir, il est inscrit dans tous les livres d'histoire depuis 1400 ans de misère islamique qui n'a rien à donner que la mort ! Rien à vous offrir qu'un mensonge sur une certitude d'une vie dans l'au-delà, au sacrifice de votre vie sur terre aujourd'hui. Et comme personne n'est revenu pour dire qu'il y avait bien 72 femelles à l'hymen renouvelables, à la blancheur de lait (Raciste), aux sourires parfait, qui vous font grimper aux rideaux du paradis d'Allah, vous êtes dans le domaine de l'illusion pure, dans la forfaiture religieuse pour ne pas dire dans la connerie monstrueuse. Au service de qui doit-être la bonne question.

https://youtu.be/7ZWWyXrBK_E

Par quel masochisme, par quelle folie, par quelle stupidité, des femmes et des hommes choisissent de saisir l'ombre plutôt que la proie. Au passage, je dit que je n'ai aucune compassion pour ce fils converti, enfant de cathos de gauche qui a choisi de se faire sauter en Syrie. J'ai même une profonde détestation  de cette engeance et un mépris certain pour ses parents qui découvrent leur fils meurtrier aux ordres d'Allah. Qu'ils crèvent ces salauds de djihadistes.

Partout où l'islam s'est installé et nous pouvons le constater en Afrique du Nord autrefois romanisée, juive et chrétienne, ce ne fût que misères et désolations. L'islam n'apporte rien et détruit tout au nom d'Allah. Vous pouvez prendre tous les pays sous la tutelle de l'islam, vous n'avez rien d'autre qu'une population qui fuient la misère. Malheureusement, une fois installée, cette population ne songe qu'à reproduire le logiciel d'origine: s'installer, profiter, piller et imposer sa religion.

Misère et pauvreté en terre d'islam. Sauf les pétro-monarchies qui ont attendu que les Occidentaux leur donnent le pétrole qu'ils avaient sous le sable.

Nous savons notre avenir avec l'islam, il est écrit dans le passé. Ce passé que nos traîtres de dirigeants et à tous les niveaux, s'évertuent à nier. Interdisent d’accès à nos enfants en leur inculquant le "droit-de-l'hommisme" et la formule empoisonnée de "l'anti-racisme" destructeur des réalités. Cet avenir et le néant de nos civilisations. De notre civilisation judéo-chrétienne dans seulement quelques décennies. Ce sont nos enfants qui devront subir la lâcheté des Français qui continuent de voter pour ceux qui les trahissent depuis 45 ans, depuis la mort du général De Gaulle pour être exact.

Gérard Brazon

Pour mémoire la conquête des Indes: https://fr.wikipedia.org/wiki/Conqu%C3%AAtes_musulmanes_des_Indes

Un élu FN compare la campagne du gouvernement contre le racisme à la propagande de Goebbels et de Staline

"Le racisme/l'antisémitisme/les actes antimusulmans, ça commence par des mots. Ça finit par des crachats, des coups, du sang." Dimanche 20 mars, le gouvernement a lancé une campagne choc pour lutter contre le racisme et les préjugés. Une campagne relayée par une bonne partie du gouvernement mais d’emblée attaquée par le Front national.

Jean-Claude Philipot, membre du comité central du FN et président du groupe FN au conseil municipal de Reims, estime ainsi que cette campagne gouvernementale est dans "la fibre de Goebbels", responsable de la propagande du Troisième Reich et d’Adolf Hitler, et la compare à "la propagande de Staline", qui a dirigé l’URSS de 1922 à 1953 :

L’autre angle d’attaque du FN est sur la somme dépensée pour ces six mini-films. Ainsi Stéphane Ravier, sénateur frontiste et maire du 7e secteur de Marseille fustige-t-il la somme "de 3 millions d’euros" :

Quant à Florian Philippot, vice-président du FN, et Robert Ménard, maire de Béziers proche du parti de Marine Le Pen, ils ont déploré l'absence de référence au racisme anti-blanc (l'un de leurs chevaux de bataille) dans ces clips de la communication gouvernementale. Le bras droit de la présidente frontiste faisant lui référence à une *célèvre* vidéo de Manuel Valls :

Source

Engagée dans la lutte anti-raciste, elle est tuée par l’Africain qu’elle a hébergé

Traduction de l’article de New Observer.

Une gauchiste américaine vivant à Vienne a été violée et assassinée par un Africain qu’elle avait délibérément caché dans son appartement pour lui éviter d’être renvoyé en Gambie.

L’étudiante américaine, identifiée comme Lauren Mann, faisait partie d’un groupe organisé de gauchiste dédié à fournir un hébergement aux envahisseurs non-blancs menacés d’expulsion.

L’africain, identifié comme Abdou I., 24 ans, était déjà dans les fichiers de la police après avoir été arrêté pour un précédent crime sexuel. A ce moment, son ADN avait été pris, et cela a fourni l’indice crucial dans le meurtre de l’étudiante américaine.

La fille, originellement du Colorado, avait donné l’abri à l’envahisseur non-blanc dans son appartement situé sur la Wiedner Hauptstraße à Vienne, après qu’il ait été informé au « centre pour réfugiés » d’Erdberg qu’il serait expulsé.

Le journal Krone, qui rapporte l’affaire, a révélé que l’Africain était arrivé pour la première fois en Europe en 2012 via l’Italie en franchissant illégalement la mer Méditerranée. Il a fait son chemin jusqu’en Allemagne où il a demandé « l’asile ».

Cependant, avant que sa demande puisse être étudiée, le criminel non-blanc a été arrêté pour un certain nombre de crimes sérieux, dont des vols, des cambriolages, et des agressions sexuelles. Alors qu’il faisait l’objet d’une enquête, il a réussi à fuir en Autriche, où il s’est mêlé aux milliers de « demandeurs d’asile » nouvellement arrivés à Vienne.

Un ami de Lauren Mann a dit au Krone qu’elle avait « un grand coeur pour les pauvres » et « allait souvent aux gares et aux centres d’asile, où elle aidait à distribuer de la nourriture et des couvertures pour les nécessiteux ».

C’était lors de l’une de ces visites qu’elle a rencontré l’africain, qui lui a dit qu’il était menacé d’expulsion. C’est alors qu’elle a décidé de l’aider, le laissant rester caché de la police dans son appartement. Elle l’a aussi nourri et lui fournissait nourriture, cigarettes et vêtements, indique le journal.

Ce ne fut que le 25 janvier, après qu’elle ne se soit pas présentée pour sa routine normale, que ses amis – qui étaient tous au courant de ses activités, et la soutenaient – commencèrent à être inquiets. Ils ont appelé la police, qui s’est rendue dans son appartement.

Ils ont trouvé la femme de 25 ans visage contre terre, morte sur son lit. Son visage était recouvert d’un pull, et son pantalon avait été descendu jusqu’à ses genoux. Sang et vomis se trouvaient sur le lit et le sol, et des serviettes mouillées, froissées, étaient dispersées dans la salle de bain.

Une autopsie du corps de la femme a révélé qu’elle avait été violée et étouffée à mort. Le sperme a été analysé et relié à l’ADN déjà enregistré de l’envahisseur africain lors de sa précédente arrestation en Allemagne.

Bien qu’il ait fuit, la police a été capable de le tracer via les données de géolocalisation dans les photographies qu’il continuait de mettre en ligne, et deux semaines plus tard, il a été arrêté dans un « centre d’asile » à Berne, en Suisse.

Source

Agressions sexuelles de réfugiés sur des Suédoises: “Nous n’avons pas voulu camoufler les viols. Nous nous sommes juste auto-censurés”

... afin de ne pas être traités de racistes.

Merci la gauche. Merci pour votre anti-racisme à sens unique, immonde, qui laisse nos filles se faire violer au nom de votre bien-pensance et de "vos droits de l'Homme" qui ne se préoccupent que des étrangers.

Vous avez tellement de sang sur les mains.

 

https://youtu.be/BicpXXBOPrk