Alexandre del Valle à Genève : «Coupeurs de têtes, coupeurs de langues: le jihad entre violence et conquête culturelle»

Alexandre del Valle sera à Genève le samedi 17 novembre pour une conférence: «Coupeurs de têtes, coupeurs de langues: le jihad entre violence et conquête culturelle» à 19h, Uni Mail, bd du Pont-d'Arve 40.

Géopolitologue de plus en plus écouté, l’orateur intervient régulièrement sur les chaînes de radio et de télévision francophones. Son savoir, son esprit d’analyse et ses qualités d’orateur l’expliquent. Mais ses positions lui valent bien sûr d’abondants détracteurs. Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont "La stratégie de l'intimidation, du terrorisme djihadiste à l'islamiquement correct".

Alexandre del Valle parlera de ce dernier livre, qui comprend quelque 500 pages copieusement documentées et illustre ce paradoxe: le terrorisme a permis aux musulmans «modérés» d’obtenir pour eux et leur religion un statut extraordinairement privilégié.

Les religieux et leurs ouailles peuvent s’exonérer de tout lien avec le terrorisme tout en faisant l’apologie de la charia, en exhibant leurs symboles archaïques et en exigeant leur acceptation. Voiles et foulards, multiplication des centres et mosquées, activités non mixtes, nourriture «halal», patientes soignées par des femmes dans les hôpitaux, etc. sont présentés comme des droits dont le refus équivaudrait à du racisme. L’islam fait désormais l’objet de la part des démocraties d’une propagande massive et d’un prosélytisme surréaliste. La barbarie conduit, multiples intimidations à l’appui, à cet énoncé: l’islam est une belle religion, tolérante et pacifique…

L’intimation au padamalgame et la lutte délirante contre ceux qui s’avisent de mettre en cause cette religion sont liés à un mot inventé pour la cause, et qui connait une fortune immense, l’islamophobie. Critiquer rationnellement les textes qui légitiment le prosélytisme guerrier, les discriminations religieuses et la misogynie est désormais assimilé à une offense envers les musulmans.

Médias, élites politiques et culturelles ont souscrit avec une attitude toute pavlovienne au mot islamophobie et ont placé les balises de l’islamiquement correct. Il est périlleux socialement de rappeler la vision suprémaciste de l’islam fondée sur le règne de la charia et du califat. Il est dangereux de faire observer que le monde musulman dans son ensemble retourne à l’orthodoxie et devient de plus en plus intolérant et violent. A l’échelle planétaire, de puissants lobbies islamiques utilisent cette stratégie d’intimidation avec constance et succès, tandis que l'Occident octroie une liberté sans limite à ces idées, ces ouvrages, ces imams. La police de la pensée sévit avec une efficacité croissante.

Mireille Vallette

Une place importante sera réservée aux questions du public lors de cette soirée qui s’annonce passionnante. Le livre sera en vente après la conférence et l’auteur se prêtera au jeu des dédicaces.

Organisation: Association suisse vigilance islam

Alexandre Del Valle : “Le courage aujourd’hui c’est de dire Non aux clandestins. Les Ong sont financées par des milliardaires comme Soros.” (Audio)

Un audio de très bonne qualité qui remet la logique sur les rails.

Florilège:

"Salvini est peut-être plus humaniste que ces bien-pensants qui nous imposent cette immigration illégale. Il y a de nombreux trafiquants parmi les migrants."

"Ces Ong sont criminelles car elles aident des réseaux criminels."

"Tous ces pays avec qui on coopère en Méditerranée refusent de collaborer avec nos polices, ils refusent de réadmettre des gens illégaux. Les pays du Maghreb peuvent ainsi se débarrasser de chômeurs et de voyous."

Le dernier point est d'ailleurs relevé par notre compatriote Alain Jean-Mairet sur son blog.

 

 

Dupont-Aignan appuie également les décisions italiennes. Il est ici harcelé par un journaliste très à gauche:

 

 

 

Source

Source2

Nos remerciements à Daniel Brand et Ester Piera Zuercher-Camponovo

 

La stratégie de l’intimidation : du terrorisme jihadiste à l’islamiquement correct

Critique élogieuse du dernier livre d’Alexandre Del Valle par Dr Dominique Schwander

Dans son livre, lequel est excellent et très bien documenté, Del Valle aborde les sujets actuellement les plus préoccupants pour nos démocraties européennes; il y traite de:

  • la psychologie du terrorisme et du terrorisme psychologique
  • la politique de l’apaisement ou pax islamica
  • la stratégie expansionniste du lobby islamique mondial en Europe
  • la stratégie victimaire, des provocations du communautarisme
  • la dénonciation de l’islamophobie, de la genèse et de l’actualité de l’islamiquement correct
  • les mythes de la dette envers la science arabo-musulmane et de la tolérance à l’’Al-Andalus
  • le mythe de l'Al-Andalus au service de l’irrédentisme et du suprémacisme islamiques.

Cet auteur fin connaisseur de l’islam et brillant enseignant universitaire répond avec lucidité, clairvoyance et impartialité à plusieurs questions actuelles que tout citoyen suisse se pose. En voici quelques unes:

Le vivre ensemble est-il encore possible, en Europe et aux USA, avec un tel échec de l’assimilation de ces immigrants musulmans et/ou africains ?

L’islam et l’islamiquement correct sont-ils compatibles avec nos Etat-nations, alors que son idéologie politique et sa charria s’impose dans nos quartiers, où la moitié des jeunes musulmans souhaitent l’instauration de la charia et rejettent notre Constitution démocratique et nos lois?

L’islamisation de nos Etat-nations par les musulmans coupeurs de langues (djhadistes soft) et leur victimisme islamiquement correct ne sont-ils pas encore plus dangereux que le terrorisme musulman des coupeurs de gorge (djihadistes hard)?

Est-il possible et comment d’éviter la désintégration des Etats-nations de l’Europe, les tensions croissantes et le risque de guerre civile qui en découle et nous menace ? Pourquoi aucun doctrinaire musulman, ni les gardiens de La Mecque, ni les imams sunnites, ni les ayatollahs ont-ils excommunié et déclaré hérétiques ou apostats les terroristes musulmans?

Pourquoi les angéliques, les idiots utiles et les islamo-collabos propagent-ils que la supposée islamophobie serait plus horrifiante que nos victimes physiques des attentats terroristes musulmans et que la lutte contre l’islamophobie doit primer sur celle contre le terrorisme musulman et la lutte pour notre peuple souverain?

Quel Occidental n’est pas stupéfait par la comparaison du sort des musulmans d’Europe aujourd’hui, libres d’exercer leur virulent prosélytisme, aux juifs d’hier victimes du génocide nazi?

Comment peut-on déradicaliser les jeunes musulmans radicalisés et combattre le jihadisme en Europe alors que de nombreuses et étendues zones de non-droit islamisées sont contrôlées par l’oumma musulmane qui exige de tous les musulmans pratiquants de former dans nos Etats-nations leur société supra-nationaliste séparée des infidèles-mécréants, par définition tous des ennemis de l’islam, par exemple une société de non-France-non état de droit où la menace idéologique et civilisationnelle de l’islam ersatz de religion se répand au nom de la liberté religieuse  et du  droit à la différence?

Voici en résumé quelques réponses, observations et faits pertinents pour encourager les patriotes qui ne sont ni de droite ni de gauche mais pour leur peuple souverain à lire cet imposant et brillant ouvrage de 500 pages que j’ai pu obtenir en trois minutes en format Kindle sur Amazon, ici où je suis au Panama, Etat-nation corrompu, pluri-culturel, pluri-raciste, riche mais avec beaucoup de pauvres et malheureusement également bientôt  multiconflictuel.

  • L’objectif des tous les musulmans pratiquant est, de gré ou de force, la soumission-conquête  et l’islamisation de toute la terre et de tous ces habitants et, grâce à cet acte pieux, de gagner par là leur salut et leur place au paradis sexualisé musulman. Il s’agit donc de supprimer en Europe le christianisme et d’y inclure de force l’islam et les musulmans pratiquants.
  • Tous les musulmans pratiquants utilisent la stratégie de l’intimidation: intimidation morale, culturelle et civilisationnelle pour les uns (djihad soft), et intimidation physique pour les autres (djihad hard).
  • Les premiers nous imposent leur vision totalitaire sous couvert de liberté religieuse et de diversité multiculturelle. Les autres utilisent la violence et la terreur comme outils d’intimidation, de persuasion, de manipulation et de propagande idéologique. Ce terrorisme des égorgeurs ou coupeurs de têtes (hard) est la façon la plus fulgurante de modifier les comportements des adversaires, de diffuser une idée subversive et de leur faire accepter de se soumettre. Ce terrorisme alimente la terreur psychologique et juridique instaurée par les coupeurs de langue (soft) que sont les nouveaux censeurs qui luttent contre l’islamophobie, le blasphème et la liberté d’expression, à coups de revendications, de procès, de scandales et de lynchages médiatiques. Pour nous intimider et nous soumettre, les coupeurs de langues (soft) musulmans ont besoin des coupeurs de tête (hard) musulmans: la terreur de ces derniers dissuade les patriotes occidentaux, les dits blasphémateurs et les clairvoyants islamophobes de combattre le suprémacisme subversif des musulmans coupeurs de langue. Simplement, ceux qui menacent de couper les têtes donnent le ton. En réalité, ces terroristes musulmans ne massacrent pas pour venger les peuples musulmans envahis par les croisés du moyen-âge puis colonisés par des pays occidentaux mais pour qu’on parle de leur cause dans les mass médias et dans le public, pour semer la terreur et pour subjuguer tous ces Européens idiots utiles et toutes ces ONG bien trop attachés à l’apaisement communautaire de l’oumma musulmane militante et missionnée, ceci afin que les musulmans les fassent tomber dans leur piège de l’intimidation et que triomphe un jour leur soit-disante seule vraie religion, l’islam. Tous ces terroristes musulmans sont experts en manipulation des esprits via les mythes tel celui de l’Al-Andalus, le visuel tel la vidéo de sauvages égorgements, les symboles  tel le World Trade Center, leurs slogans bien choisis et lancés au bon moment et évidemment la taqyia.

L’Organisation de la Coopération islamique (OCI), créée en 1969, à Djedda est le second groupe d’États le plus grand au monde après l’ONU. L’OCI regroupe 57 Etats musulmans poursuivant la promotion mondiale de l’islam-idéologie et de ses lois et règles théocratiques. Son objectif est triple:

La plupart de nos élus occidentaux se sont laissés manipuler et convaincre que la lutte contre l’islamophobie et autres mesures illusoires d’apaisement seraient la meilleure tactique pour calmer la colère de musulmans pratiquants, apaiser les terroristes musulmans, voir les domestiquer. En réalité c’est le contraire qui se passe: plus on cède aux revendications des musulmans pratiquants et de n’importe quel totalitaires, plus ils y voient de la faiblesse et plus ils accroissent leurs exigences. Ainsi par exemple bien trop préoccupées de ne pas offenser les musulmans, des autorités municipales espagnoles culpabilisant et ayant peur des jihadistes hard se sont soumises volontairement et même par anticipation à interdire des magnifiques fêtes culturelles traditionnelles « Moros y cristianos » dans la province de Valence. Une fois de plus des autorités et des élus sont des victimes soumises de la stratégie d’intimidation des musulmans, ménagent  les susceptibilités de ceux dont ils ont peur, de ceux qui risquent d’être violents, les autres, soit toutes sortes de musulmans pratiquants, mais craignent l’islamophobie, qui n’jamais tué personne, de ceux qui ne sont pas violents et qui n’inspirent pas la crainte, soit les chrétiens et les leurs. Dans son roman politique-fiction « 2084 », l’écrivain tunisien Boualem Sansal décrit un monde néo-orwellien soumis au totalitarisme de l’islam-idéologie. Il déclare dans ce livre que « la France finira par devenir islamiste à force de céder aux fanatiques et aux terroristes ».

La culpabilisation est l’arme manipulatrice de destruction psychologique de masse de tous les dictateurs et de tous les totalitaires qui empêchent un peuple souverain de résister à un islam sournois, rampant puis conquérant, cet islam irrationnel qui se nourrit et se renforce de l’incohérence et de la faiblesse provocatrices des sociétés complexées qui cherchent l’illusoire apaisement et cèdent aux intimidations, aux demandes, aux revendications et aux exigences de leurs ennemis et de leurs oppresseurs.

Confronté à la guerre asymétrique que livrent à l’Occident les musulmans pratiquants et leurs terroristes, les Occidentaux doivent ne plus penser en stratégies et tactiques des guerres classiques mais apprendre ce qu’est une guerre asymétrique  et réaliser que tous leurs ennemis et envahisseurs sont des soldats sans uniformes. Même les femmes et les enfants placés comme boucliers humains devant les soldats de DAECH, les soldats du Hamas et les envahisseurs massés aux frontières, en particulier d’Israël et des USA, sont également des soldats sans uniformes.

La Suisse et ses voisins ne vaincront pas cet ennemi et sa guerre asymétrique tant que leurs élus et notre Défenses ne renoncent pas au paradigme de la guerre froide qui leur fait préférer encore aujourd’hui les États musulmans théocratiques du Golfe et la Turquie membre de l’OTAN à la Russie post-soviétique, toujours considérée par de nombreux élus et décideurs américains et européens comme pire que le terrorisme musulman.

Depuis la chute de Grenade en 1492, le mythe andalou est une véritable obsession pour nombre d’islamophiles occidentaux et de musulmans pratiquants du monde. La revendication des territoires musulmans perdus comme l’Al-Andalus a été au centre de tous les attentats islamistes d’Espagne ces quinze dernières années. L’objectif est de terrifier les occupants infidèles de l’Espagne anciennement musulmane jusqu’à ce que les musulmans aient récupéré, avec l’aide de allah, toutes les terres musulmanes perdues. Cette « reconquista » à rebours de l’Al-Andalus fait que l’Espagne est un des pays d’Europe les plus pris en tenaille par l’islam et que l’Al-Andalus est un puissant thème mobilisateur pour les djihadistes tant soft que hard.

C’est le célèbre calife abbasside à Bagdad, Al-Maàmoun, de mère esclave perse (813-833), despote éclairé surnommé prince des mécréants en raison de son soutien à l’école rationaliste des mutazilites, qui encouragea le mouvement des traductions, en particulier du patrimoine intellectuel grec. L’Age d’Or de l’empire abbasside à Bagdad, doit beaucoup à la prestigieuse Université de Gondisapur, dans le sud-est de l’Iran actuel. Ces rares califes éclairés de Bagdad qui étaient à peine musulmans et fortement influencés par les cultures perse et mésopotamienne, étaient adeptes de l’hérésie des mutazilites, qui sera définitivement condamnée un siècle plus tard par les tenants de l’orthodoxie musulmane. La civilisation qui tenta de s’imposer  dans les cours de Bagdad, du Caire, d’Ispahan, ou de Cordoue, était en fait étrangère à l’islam-idéologie. Après cette période d’effervescence intellectuelle, l’islam, abandonnant le soufisme pour l’orthodoxie du sunnisme, forcera, jusqu’à aujourd’hui, les musulmans dans une foi aveugle et une acceptation littérale du coran. Toute tentative d’aggiornamento de l’islam apparut comme une innovation blâmable, une atteinte à l’éternité et à la perfection divine du coran soit-disant révélé à Mahomet, mot par mot par l’ange Gabriel mandaté par allah l’unique dieu. La novlangue musulmane apparut: le terme sophia, sagesse en grec, devint synonyme d’erreur en islam. De la même manière, la notion de bidaà, innovation, devint synonyme de blâmable. Depuis lors, juristes et fidèles de l’islam-idéologie sont soumis à une des quatre écoles orthodoxes du sunnisme. Le chiisme offrant avant Khomeini un peu plus de marge de manœuvre parce qu’il n’a jamais déclaré le coran incréé comme le sunnisme l’a fait. Après qu’aux X et XI ème siècles, les hadiths furent compilés, l’islam sunnite n’a connu ni réformes, ni conciles, ni innovations de grande ampleur, à l’inverse du christianisme et même du judaïsme.

Cette science et cette culture dites arabes ou musulmanes des califats de Bagdad et Cordoue seraient plutôt celle des sciences gréco-persanes-judéo-orientales. Les conquérants arabes et musulmans empruntèrent tout aux peuples conquis ou en contact avec eux, notamment en leur imposant la langue arabe puis le coran. En réalité, bien avant l’apparition de l’islam, tous les peuples installés autour de la Méditerranée, tous fédérés par Rome, formaient une civilisation judéo-chrétienne et méditerranéenne relativement cohérente. On oublie trop souvent que lorsque les arabes et les musulmans conquirent le Moyen-Orient en 630, ils rencontrèrent plus de 600 ans de civilisation assyrienne-chrétienne-syriaque, avec un riche héritage, une culture très évoluée, et des institutions d’enseignement avancées. Les chrétiens des actuels pays musulmans  suivants Syrie, Liban, Irak, Égypte, Iran, Turquie, etc, sont les derniers descendants et héritiers des anciennes civilisations pré-islamiques du Proche et Moyen-Orient

Ces Lumières philosophiques et scientifiques du dit âge d’or de Bagdad et de l’Al-Andalus exprimées en arabe, sont en réalité redevables aux peuples non-arabes conquis par l’empire musulman. Par ailleurs, elles furent  possible non pas grâce à l’islam, lorsque l’orthodoxie musulmane s’amoindrit entre les VIIIe et IXe siècles à Bagdad sous les rares califes abbassides peu orthodoxes et très ouverts, mais malgré l’islam officiel.

Le double mythe de la science arabe-musulmane et de la tolérance d’Al-Andalus est propagé pour masquer les enjeux du jihad qui sont au cœur de l’islamisme conquérant lancé à l’assaut de l’Occident culpabilisé et ouvert à tous les vents. Ce mythe islamophile sert à dissimuler la réalité guerrière du suprémacisme islamique et de son institution la dhimmitude.

Le problème principal posé aujourd’hui en Europe et aux USA par l’islam est le fait que toutes les organisations représentant l’islam et les musulmans pratiquants refusent l’assimilation des musulmans dans leurs pays d’accueil et exigent pour eux des immunités territoriales, des dérogations et des passe-droits, aux règlements scolaires et autres, aux lois et à nos Constitutions démocratiques.

L’objectif des musulmans est de faire interdire, par l’ONU et les démocraties occidentales le blasphème et la liberté d’expression et de conscience, afin que tout le monde se conforme en fin de compte aux commandements liberticides et suprémacistes de la charia, sous couvert de lutte contre la diffamation des religions assimilée à du racisme; tout ce tapage antidémocratique parce que les musulmans seraient les victimes de la pire nouvelle forme de racisme: l’islamophobie assimilée à l’antisémitisme d’hier du nazisme.

De nombreux musulmans pratiquants d’Occident sont hostiles aux pays qui les ont accueillis ou même qui leur ont donné une double nationalité, pays qu’ils qualifient de mécréants,  dévoyés, pervers et ennemis des musulmans et de l’islam.

La médiatisation continuelle de la terreur recherchée par les jihadistes musulmans pratiquants n’a pas déclenché dans nos sociétés culpabilisées une mise à l’index des préceptes présentés comme « sacrés » et légaux qui justifient l’intolérance et la violence musulmane. Tant que le coran et autres textes « sacro-saints » seront lus et se répandront, la vraie colonisation conquérante de l'islam continuera et les musulmans ne serons jamais vaincus.

Le communautarisme ethnique, en particulier de l’oumma musulmane exerce pour la gauche la fonction qu’assurait autrefois, pour le parti communiste, l’existence d’un prolétariat.  La gauche et l’oumma, cette nébuleuse rouge-verte , ont remplacé la défense des ouvriers  par les immigrés musulmans victimisés, ce nouveau prolétariat de substitution.

Pour la gauche, l’islam n’est jamais responsable de sa manière de croire et de pratiquer l’islam, comme le terroriste musulman n’est jamais pleinement responsable de ses actes. C’est la société occidentale capitaliste qui est la véritable responsable de ce qui lui arrive de mauvais de l’islam.

Philosophiquement, la gauche, l’église catholique du pape Francisco et l’islam partagent un même universalisme conquérant et un même messianisme au sujet des pauvres. Ce qui leur plaît, dans l’islam-idéologie, c’est l’égalitarisme de l’oumma et que les exigences des musulmans sont un formidable levier de déstabilisation de l’État bourgeois. La Grande Bretagne, la Belgique, la France et la Suède sont les pays d’Europe où l’alliance islamo-gauchiste est la plus forte.

Nos sociétés européennes gagnées par la mauvaise conscience et subjuguées par ces minorités musulmanes et/ou africaines militantistes, missionnées et tyranniques n’osent plus défendre l’identité européenne et judéo-chrétienne et donc leurs intérêts géo-civilisationnels. Ceci les conduit à considérer des États et organisations civilisationnellement ennemis de l’Occident comme des amis économiques et politiques.

La soumission progressive à l’ordre liberticide de la théocratie islamique est  aussi favorisée par les politiques de compromission et d’apaisement fondées sur les intérêts matériels à court terme, sur la corruption d’élites dirigeantes, l’avidité, les enjeux géopolitiques, énergétiques et financiers et l’achat de votes. Cette soumission n’est pas seulement explicable par les seuls intérêts économiques et électoralistes, car leur ouverture unilatérale aux forces et États musulmans qui persécutent leurs minorités non-musulmanes tout en prétendant défendre des minorités musulmanes persécutées en Europe, n’est pas le fruit d’une faiblesse militaire et géopolitique. Elle est le résultat d’un abandon de tout patriotisme, de toute politique de civilisation par nos dirigeants intimidés par les ligues de vertus multiculturalistes et les lobbies musulmans et islamophiles.

L’objectif du terrorisme en tant qu’arme est d’amener l’adversaire-mécréant ou apostat à penser qu’il est en position de faiblesse radicale et qu’il a par conséquent intérêt à se soumettre de façon anticipatoire afin d’être épargné dans le futur (en cessant de blasphémer, de réclamer l’assimilation des musulmans, de critiquer l’islam, en acceptant une partition communautaire du territoire sur les bases de l’application de la charia et en combattant toujours plus l’islamophobie à mesure que le jihadisme frappe, tant soft que hard, etc.

Le véritable champ de bataille du terrorisme se situe dans les colonnes des journaux et sur les écrans de télévision. Le succès d’une opération terroriste dépend presque entièrement de l’importance de la publicité qu’elle obtient dans nos mass-médias. Cette médiatisation massive de l’acte violent et intimidant obéit à une stratégie rationnelle et calculée pour étendre la terreur.

Le terrorisme musulman trouve naissance dans cette vision théocratique et suprémaciste du renouveau du califat qui promet que le djihadiste musulman gagnera sa place au paradis pornographique. L’origine du jihadisme n’est donc pas à rechercher dans l’exclusion des déshérités. Le terrorisme musulman est une continuation de cet ersatz de religion  et de la politique des musulmans pratiquants, par d’autres moyens.

Le grand cheikh d’Al-Azhar, Ahmed Mohamed Al-Tayeb dirigeant cette université, a encore récemment justifié, d’un point de vue juridique de l’islam le fait, de ne pas excommunier les jihadistes et les terroristes musulmans ou de ne pas leur promettre l’enfer, parce que selon l’islam-idéologie « pour exclure quelquun, il est nécessaire que ce dernier sorte de sa foi, renie sa foi dans les anges, les livres de allah» donc le coran, les hadiths, la charia, etc. Et ce n’est pas le seul doctrinaire musulman a avoir cette ferme opinion antidémocratique que les soldats sans uniforme de DAECH sont de vrais musulmans dont le seul tort est, parfois, d’agir mal individuellement. Cela signifie que si quelques actes des terroristes musulmans sont condamnables, ni l’idéologie de DAECH, ni ses membres ne peuvent être excommuniés tant que ces membres professent l’islam sunnite pur et dur et non une foi hérétique. Autrement dit cela signifie que, pour les doctrinaires/idéologues sunnites précités, les jihadistes terroristes musulmans sont plus orthodoxes et plus musulmans que les pacifiques mais hérétiques musulmans libéraux ou réformistes qui émettent leurs doutes sur les textes musulmans « sacro-saints ». La déradicalisation du jihad soft, prosélyte et institutionnel de nos immigrants desassimilés et du djihad hard des terroristes musulmans est bel et bien un gigantesque problème idéologico-« religieux »-civilisationnel et temporel. Pour prévenir le terrorisme musulman il faut que tout l’Occident pratique, sans tarder  une contre-radicalisation idéologique et une contre guerre psychologique pour éliminer tout djihadisme soft. Il est donc grand temps de déclarer nuls tous les passages du coran, de la sunna (dires et faits du messager Mahomet), de la sira (bibliographie de Mahomet et récits de guerre), de la charia (loi de l’islam) et du fiqh (droit musulman classique) qui incitent à la violence et visent à affaiblir ou détruire la démocratie, nos Constitutions,  nos souverainetés et les peuples souverains de l’Europe. En même temps que cette déradicalisation, il nous faut, d’une part fermer nos pays afin de les couper et de les protéger des organisations mondiales et nationales de l’islam qui manipulent et instrumentent nos concitoyens et d’autre part revaloriser notre identité nationale, notre civilisation occidentale et notre patriotisme assimilateur pour éliminer les traîtres à la patrie qui nous demandent de nous renier nous-mêmes, les faux jetons de la repentance qui nous enseignent la honte de nos ancêtres et de leurs actions passées, les adeptes de l’amour des autres et du mépris des nôtres et de soi, les islamo-collabos, tous les idiots utiles, sans oublier les partisans nationaux et étrangers qui interfèrent et s’ingèrent dans les affaires des pays musulmans souverains.

L’Université sunnite d’Al-Azhar, du Caire, s’est refusée à excommunier les terroristes musulmans alors qu’elle a excommunié de nombreux musulmans libéraux, réformistes, anti-islamistes et anti-jihadistes. La plus grande et prestigieuse faculté doctrinaire du monde musulman sunnite de l’Université Al-Azhar au Caire n’a jamais décrété que prôner le jihad musulman guerrier comme un pilier de l’islam, diaboliser les non-musulmans et les apostats, sont hérétiques. Par contre, cette même université, présentée comme plus modérée que les doctrinaires saoudiens, n’a pas eu d’état d’âme à excommunier nombre de musulmans réformistes, modernistes ou libéraux. Tous les musulmans réformistes qui ont osé préconiser un aggiornamento de l’islam, après avoir dénoncé la violence et l’intolérance de tous les textes « sacro-saints » de l’islam-idéologie ont été mis à l’index, condamnés pour apostasie, assassinés où se sont exilés.

Le lucide maréchal-président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi, dans sa  franche conférence aux enseignants de l’Université sunnite d’Al-Azhar, le 29 décembre 2014, a dit « Nous ne faisons pas assez concernant un véritable discours religieux. Le problème n’a jamais été notre foi. Il est lié à une idéologie que nous sanctifions. Je parle dun discours religieux en accord avec son temps. »…» Je madresse aux érudits religieux et prédicateurs »… « Il est inconcevable quen raison de l’idéologie que nous sanctifions, notre oumma dans son ensemble soit source de préoccupations, de danger, de tueries et de destruction dans le monde entier »…  « Je ne parle pas de religion mais d’idéologie, l’ensemble des idées et des textes que nous avons sanctifiés au cours des siècles, à tel point que les contester est devenu très difficile. On en est arrivé au point que cette idéologie est devenue hostile au monde entier. Peut-on imaginer que 1,6 milliard de musulmans tuent une population mondiale de 7 milliards pour pouvoir vivre entre eux ? Cest impensable. Je prononce ces mots ici, à l’université Al-Azhar, devant des prédicateurs et des érudits. Puisse allah être témoin au jour du jugement de la sincérité de vos intentions »… « Vous ne pouvez y voir clair en étant enfermés dans cette idéologie. Vous devez en émerger pour voir les choses de l’extérieur, pour vous rapprocher dune idéologie réellement éclairée. Vous devez vous y opposer avec détermination. »…« Le monde entier attend dentendre vos paroles ; il faut élaborer un nouveau discours religieux en accord avec notre temps »… « Nous devons révolutionner radicalement notre religion sinon nous courrons à notre perte, et nous en serons les seuls responsables ».

Ce qui choque le plus les adeptes de l’islamiquement correct n’est pas l’identité radicale en elle-même, mais celle des seuls Européens-blancs-judéo-chrétiens, sommés de saborder leur civilisation pour se faire pardonner leurs fautes passées, alors qu’ils n’étaient même pas nés! En revanche, on constate que tout ce qui va dans le sens de la (re) valorisation des identités non-occidentales et non-judéo-chrétiennes, en particulier la dite culture musulmane, est présenté comme une acceptation de la diversité multiculturelle et une nécessaire manifestation de  tolérance.

L’islamiquement correct, le fils du politiquement correct, désigne un processus d’intimidation et de correction de tous ceux qui ne se conforment pas à une représentation acritique et non-apologétique du ersatz de religion ou idéologie et de la civilisation musulmanes. Dans son stade avancé, l’islamiquement correct décrit un syndrome de soumission plus ou moins volontaire aux revendications liberticides et aux menaces diverses émanant tant des forces institutionnelles et terroristes de l’islam que des forces néo-tiersmondistes et multiculturalistes qui les exonèrent ou les cautionnent. Au niveau mondial, il désigne une attitude psychologique de capitulation volontaire face au suprémacisme islamique porté par les grandes organisations islamiques mondiales, elles-mêmes financées et soutenues diplomatiquement par des États (monarchies wahhabites du Golfe, Turquie néo-ottomane du calife Erdogan, Pakistan parrain des Talibans, etc.). Ce panislamisme, qui dissimule mal ses desseins politiques conquérants derrière la défense de l’islam-idéologie a connu une très nette progression en Europe et aux États-Unis depuis une trentaine d’années. C’est cette version soft du totalitarisme vert musulman qui est le vrai ennemi dans la mesure où le terrorisme jihadiste, la version hard, n’est qu’un mode d’action guerrier actionné pour intimider, dissuader et soumettre par la violence ceux que les pôles institutionnels de l’islam, qui ont les mêmes buts suprémacistes, ne parviennent pas à intimider par la diplomatie, la manipulation et la taqyia.

Infiltrer, manipuler et noyauter l’ONU; cela en particulier pour dénoncer l’islamophobie, exiger de l’ONU et de tous les Etats-nations non-musulmans de pénaliser le blasphème et la liberté d'expression, alors que justement ce sont les Etats musulmans qui refusent de distinguer entre critiques de l’islam et haine envers les musulmans et qui ont l’antisémitisme le plus extrême et où les chrétiens sont les plus persécutés: mises à mort, emprisonnement, pogroms et dhimma. En réalité pour l’OCI, en vertu du principe de la suprématie islamique contenue dans le coran, la diffamation des religions ne concerne que l’islam!

Contrôler et réislamiser les communautés musulmanes issues de l’immigration et éviter à tout prix leur assimilation et leur désislamisation. L’OCI le dit clairement: « Les communautés dimmigrants musulmans en Europe font partie de la nation islamique» et recommande «une série de mesures visant à empêcher l’intégration et lassimilation des musulmans dans la culture européenne »

utiliser la présence de tant de musulmans en terre infidèle pour en faire des militants missionnés pour propager l’islam. Cela signifie que les États non-musulmans doivent aménager leurs propres lois, constitutions et règlements scolaires pour faire des exceptions au profit des minorités musulmanes qui ne doivent pas être tenues d’obéir à des lois ou règles contraires aux lois de l’islam qui sont au-dessus de tout, à l’instar de la communauté musulmane, la Oumma qui est une et la meilleure du monde.L’OCI affirme, avec arrogance, le rôle civilisateur et historique de l’oumma musulmane que allah a créée «la meilleure communauté suscitée parmi les hommes » (coran 3: 110), celle qui montre le vrai chemin à toute l’humanité. Il s’agit bien, pour l’OCI, d’un plan de conquête politico-idéologique du monde par l’ersatz de religion de Mahomet.L’Arabie saoudite, qui préside l’OCI, a même infiltré le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies basé à Genève; elle a intégré la Commission de la condition de la femme (CSW). Jusqu’en 2022, ce royaume théocratique, sexiste, autoritaire  et connu pour son « chop chop square » et la lapidation des femmes veillera donc à promouvoir les droits des femmes et l’égalité entre les sexes! Moralité: sortir de l’ONU et dissoudre l’inutile et coûteuse ONU. 

Le Dialogue Euro-Arabe (DEA) initié par l’UE a instauré en Europe un vaste  et dispendieux dispositif de refonte et d’islamisation des manuels scolaires et universitaires, en priorité européens. Cette DEA a même accordé un droit de regard  aux pays musulmans intégrés au processus, alors que ces mêmes États violent chez eux les principes de non-discriminations! Dans le monde réel de la Suisse, les rôles restent opposés, puisque l’Occident est la seule civilisation qui respecte et incarne un vrai pluralisme démocratique, libéral et culturel, à la différence des pays musulmans monoculturels, très rarement démocratiques et qui imposent les lois de l’islam et une ethnie aux minorités.

L’Organisation de la Sécurité et de la Coopération en Europe (OSCE) exige que les directions des écoles doivent veiller à ce que les règles et les pratiques de leurs écoles n’aient pas d’effets discriminatoires: habillement, accès à l’apprentissage de sa propre religion, menus à la cantine, dates des vacances. L’OSCE ajoute qu’il faut être particulièrement vigilant en ce qui concerne leurs répercussions sur les jeunes musulmanes. Concernant la refonte des manuels scolaires en Europe, l’OSCE  a fait un copier/coller des demandes de l’OCI et autres organisations musulmanes mondiales.

Les États participants de l’OSCE ont condamné l’islamophobie en parlant de violence et de discrimination envers les musulmans. L’OSCE, contrairement aux déclarations des terroristes musulmans de Daesh, du califat, etc, a fermement rejeté que le terrorisme est associé à une quelque religion ou culture que ce soit.Alors que l’OCI, l’ISESCO et la LIM dénoncent constamment notre islamophobie   et notre soit-disant racisme, l’enseignement saoudien, turc, etc, inculque à leurs élèves un véritable suprémacisme panislamique: « La nation musulmane se caractérise par une particularité qui fait delle la meilleure nation qui ait été engendrée pour lhumanité ».

L’immigration n’est une bonne chose que si le peuple souverain d’accueil est fier de lui-même et de sa nation, donc pas un peuple qui se dénigre lui-même et a perdu sa souveraineté comme le peuple français macronisé et le peuple allemand merkelisé, et exige de ses  gouvernants que l’immigration soit accompagnée d’une stricte politique d’assimilation patriotique qui transforme tous ces immigrants en de futurs citoyens patriotes loyaux et des militants assimilés et convaincus des valeurs et des vertus nationales et civilisationnelles du pays d’accueil. Il est évident, expérience a été faite maintes fois, qu’un immigrant ne peut pas avoir envie de s’assimiler et de s’identifier à une nation, une culture une civilisation qui ne véhicule pas une image positive d’elles-mêmes.

La stratégie de l’intimidation, intellectuelle, physique ou psychologique, des  musulmans théocratiques conquérants, de leurs prédateurs et de leurs djihadistes n’a pas prise sur un peuple souverain et des gouvernants non culpabilisés, fiers de leur bon droit, de leur histoire et de leurs vertus, qui partagent un même esprit de corps avec une vision positive d’eux-mêmes.La gauche et les immigrants extra-européens ne comprennent toujours pas que l’asile n’est pas seulement recevoir des papiers et des allocations sociales mais accepter le contrat social de vivre et de travailler dans une société humaniste du XXI ème siècle et de remplir des devoirs et pas seulement avoir des droits, sans même les mériter.Terminons par un extrait de la Déclaration sur les droits de l’homme en islam adoptée par tous les pays musulmans le 5 août 1990 au Caire lors de la 19e Conférence islamique des ministres des affaires étrangères des pays musulmans.

Article 6 :

a). La femme est l’égale de l’homme au plan de la dignité humaine. Elle a autant de droits que de devoirs. Elle jouit de sa personnalité civile et de l’autonomie financière, ainsi que du droit de conserver son prénom et son patronyme.

b) La charge d’entretenir la famille et la responsabilité de veiller sur elle incombent au mari.

Article 22 :

a)Tout homme a le droit d’exprimer librement son opinion pourvu qu’elle ne soit pas en contradiction avec les principes de la charia.

b) Tout homme a le droit d’ordonner le bien et de proscrire le mal, conformément aux préceptes de la charia.

Article 24 :

Tous les droits et libertés énoncés dans la présente déclaration sont soumis aux dispositions de la charia.

Article 25 : 

La charia est l’unique référence pour l’explication ou l’interprétation de l’un quelconque des articles contenus dans la présente déclaration.

 

Ces articles sont à 100% incompatibles avec la déclaration des droits de l’homme de l’ONU de 1948, notre constitution démocratique, nos lois, la liberté d’expression, la liberté de conscience et l’égalité entre femmes et hommes. Ceci n’empêche pas tant de nos élus d’être islamophiles, islamo-collabos, co-allah-bos et de trahir notre peuple souverain.

Dans son livre, Alexandre del Valle nous a prouvé comment l’oumma  musulmane, cette guerrière nébuleuse musulmane est lancée à la conquête du monde et comment nous pouvons nous défendre, pour nos enfants et nos petits enfants, et reconquérir notre riche histoire, notre culture et notre civilisation.

Dr Dominique Schwander

 

Alexandre Del Valle: « Le patron de la formation des imams en Europe a fait des fatwas pour tuer des juifs et a cité des hadiths pour conquérir Rome»

Alexandre Del Valle est professeur en géopolitique. Invité des GG, il dénonce l’inaction de l’État face à ceux qui « prêchent la haine ». L’essayiste raconte que le formateur des imams européen, qui vit en France, a « écrit un livre dans lequel il donne les endroits corporels sur lesquels on peut frapper une femme ! ». Il s’indigne « qu’aucun politique n’ait voulu interdire ce livre qui est actuellement en vente à la Fnac et qui appelle au meurtre ! ».

 

 

 

Source

Alexandre del Valle : «On ne peut pas déradicaliser quelqu’un en lui disant que l’islam est une “religion d’amour” car ils connaissent les textes du Coran»

Alexandre del Valle (géopolitologue et spécialiste du terrorisme) :«On ne peut pas déradicaliser quelqu’un en lui disant que l’Islam est une “Religion d’Amour” car ils connaissent les textes du Coran qui disent que la seule garantie d’aller au paradis est de mourir pour l’extension de l’Islam.»
– RT France, 24 mars 2018, 10h05

 

https://youtu.be/V93SdUnRGX8

 

(à 2min07) :
«L’extrême gauche et les islamistes disent que les musulmans seraient victimes par essence d’un “Racisme d’Etat”. La seule façon finalement de prouver qu’on ne serait pas islamophobe serait d’être pro-islamistes

(…)

(à 3min00) :
Rappelant qu’on avait cessé de filer Redouane Lakdim à cause du grand nombre de Fichés S, Alexandre del Valle propose d’expulser les Fichés S étrangers/binationaux et d’utiliser l’argent de l’AME (soins gratuits pour clandestins) dans la surveillance des Fichés S.

Via Fdeouche.com

Et si tout se passait mieux en 2017 ?

   
Michel Garroté - Ci-dessous, je publie deux analyses géopolitiques, parues "à cheval" sur fin 2016 et début 2017. La première analyse géopolitique est celle de Bernard Antony, chroniqueur catholique de droite. La deuxième analyse géopolitique, plus longue et plus détaillée, est celle d'Alexandre del Valle, véritable expert en la matière.
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Le titre du présent document -- "Et si tout se passait mieux en 2017 ?" -- est, à mon goût, un brin ironique. Cela dit, l'année 2017, ne sera pas forcément, "encore pire", que l'a été, l'année 2016. Le Brexit, la victoire de Donald Trump, l'action efficace de la Russie en Syrie et la montée des mouvements souverainistes, populaires et patriotiques, tout cela est porteur d'espérance, dans un monde ou le défaitisme et le désespoir, sont devenus, des "vertus négatives", dans une sorte de "paradigme inversé".
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Bernard Antony (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) :  Pour ce qui est des guerres dans le monde, j’ai développé pour Reconquête mon analyse prospective des hypothèses de règlement du conflit syrien, ou plutôt des conflits syriens tant les antagonismes y sont multiples. J’y reviens sur le danger majeur que constituerait à nouveau une tentative syrienne pour un retour de mainmise sur le Liban par une sorte de confédération transnationale syro-libanaise, qui regrouperait une entité syrienne constituée du pays alaouite et d’une minorité chrétienne, et le Liban majoritairement aussi chrétien et chiite.
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Mais je suis persuadé que Poutine, voudrait-il plaire à ses alliés de l’axe chiite (Iran, alaouites, Hezbollah irano-libanais), ne se laissera pas entraîner dans ce bourbier. Car la majorité vigilante des chrétiens libanais avec Samir Geagea et même des aounistes ne l’accepterait pas, et Trump non plus qui ne se risquera pas à laisser libre cours à l’expansion du Hezbollah par ailleurs ennemi prioritaire d’Israël sur sa frontière nord. Quant à la Turquie, après avoir naguère joué comme l’Arabie saoudite la carte du soutien à l’État islamique, elle a été obligée de ne pas poursuivre indéfiniment ce trouble jeu. Alors, « Daesh », comme un cobra réchauffé dans les mains d’Erdogan, n’en finit plus de les mordre.
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Or la Turquie, avec sa forte minorité kurde toujours plus ou moins en révolte ou en insurrection armée avec le PKK, cette Turquie de gouvernement dit « islamiste modéré », est de plus en plus une dictature féroce après l’étrange tentative de coup d’État qu’aurait concoctée les anciens amis d’Erdogan de la puissante secte, islamiste aussi, de Güllen. Les plus ignorants devraient tout de même mesurer aux nouvelles de ses conflits internes islamo-islamistes combien la Turquie ottomane n’est pas l'Europe. Comme n’ont cessé de vouloir le faire croire les fanatiques d’une grande Europe marchande et multiculturelle de la Laponie aux frontières irako-syriennes, conclut Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Alexandre del Valle (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Du point de vue géopolitique, le plus grand espoir à nourrir pour 2017, c'est celui d'une réconciliation russo-occidentale, apparemment improbable si l’on se réfère à l’actualité de la crise entre la Russie et l’administration Obama, mais plus probable que jamais dans la perspective de la révolution géopolitique annoncée par son successeur Donald Trump qui semble persister et signer dans le sens d’un vrai "RESET" avec Moscou et Poutine. Ce Reset est certes fortement contesté tant par les anti-Russes républicains (concentrés autour de Mc Cain) que par les démocrates interventionnistes qui ont notamment soutenu la très russophobe Hillary Clinton. Pour autant, cette volonté est incarnée par Trump et son entourage, et je pense que les vieilles visions géostratégiques de la Guerre froide, fondées sur le "containment" de la Russie, sont désuètes et vivent leurs derniers instants, même si la Russie et les Etats-Unis auront toujours des intérêts pas forcément convergents ; mais cela est le cas de tous les pays souverains.
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Je crois que, peu importe les raisons, une réconciliation russo-occidentale serait fondamentalement une bonne nouvelle, ne serait-ce que parce que mieux vaut de loin avoir la Russie avec nous que de la voir se jeter dans les bras d’un Etat bien plus puissant et dangereux pour les Occidentaux dans le futur et pour elle-même qu’est la Chine, alliée majeure du Pakistan, l’Etat islamiste nucléaire le plus sismique et périlleux du monde en raison du fait qu’il est gangréné par l’extrémisme islamiste et parrain historique des Talibans, d’Al-Qaïda et des terroristes islamistes anti-Indiens du Cachemire et d'ailleurs. La Guerre froide, qui a été réactivée ces dernières années en Ukraine (en fait depuis la "première Révolution orange" en Ukraine et les autres révolutions de velours en ex-Union soviétique parrainées par les puissances atlantistes), sans oublier le chaos en Irak, en ex-Yougoslavie avant, puis en Libye et en Syrie ensuite, est très dangereuse.
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La tension Russie-États-Unis, voire la tension Russie-Otan, qui semble menacer la stabilité et la paix régionale a parfois frisé des débuts de guerre "tout court", comme certains ont voulu le faire croire notamment à la frontière des Pays baltes. Des généraux de l'Otan ont déjà souligné le risque de "Troisième guerre mondiale", et même de "guerre nucléaire". Il est grand temps de revenir au pragmatisme géopolitique et d’abandonner le moralisme et l’interventionnisme manichéen propre à la dérive impériale de l’Occident, qui s’est à tort considéré "vainqueur" de la Guerre froide face à une Russie en recomposition, et qui a multiplié les folies géopolitiques depuis les années 1990. Je pense que cette ère d’unilatéralisme et d’interventionnisme est terminée, et son glas a sonné avec l’intervention russe en Syrie qui donne le ton et a mis fin à une dérive néo-impériale occidentale devenue anachronique et belligène dans le contexte de l’apparition d’un monde multipolaire.
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La situation mondiale est certes très sismique au regard de l’actualité, des rivalités entre l’Inde et le Pakistan, la Chine et les Etats-Unis, la Chine et des Etats de l’Est asiatique (Japon, Vietnam, Taïwan, Corée du Sud, etc) qui se sentent menacés, sans oublier la nouvelle Guerre froide Etats-Unis/Otan versus Russie. Mais en dépit de toutes les critiques que l'on peut adresser au populiste Donald Trump, adepte des provocations verbales, sa volonté affichée d'un pragmatisme géopolitique non-idéologique et non moraliste, qui se traduit notamment par une réelle volonté de rapprochement avec la Russie, constitue la meilleure nouvelle géopolitique pour les Occidentaux. Nous devons être unis contre l'ennemi radical qu'est l'islamisme terroriste. Nous avons aussi tout intérêt à opérer avec la Russie sur les questions énergétiques. Le monde actuel en voie de multi-polarisation a besoin d’adeptes de la realpolitik et non plus de moralistes-interventionnistes adeptes d’utopies dangereuses mondialistes dont les belles intentions affichées n’ont d’égal que le bellicisme des résultats.
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Plus proche de chez nous, en France, le grand espoir est un retour en force de la diplomatie gaulliste. Concrètement, c'est la grandeur de la France, la souveraineté, le respect de l'indépendance des autres nations qui sont réclamés comme cela est traduit notamment dans le vote des électeurs et des sondés qui réclament un retour de la Nation et de l’Etat face au cosmopolitiquement correct et à l’impérialisme anti-identitaire McWorld. La diplomatie gaulliste ou plutôt gaullienne, c'est tenter de trouver des solutions politiques raisonnables fondées sur ce respect des souverainetés, et le réalisme plutôt que sur le moralisme ou les interventions militaires. Un partisan d'une diplomatie gaullienne serait probablement favorable à un rapprochement avec Moscou et envisagerait certainement de réhabiliter le leadership de la France dans l'Union européenne, leadership qui passe par une refonte de l’Europe qui doit impérativement redevenir une Union d’Etats souverains comme le voulaient De Gaulle et les pères de l’Union européenne au lieu de continuer à s’élargir sans fin et de devenir un empire normatif impuissant qui n’est en fait qu’un sous-ensemble de l’Empire américain puisque cette Europe est patronnée-sécurisée par l’Otan, une structure qui dépend d’un acteur impérial tiers.
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Là aussi, la volonté de Trump de "responsabiliser" ses partenaires asiatiques et européens et de se désengager en leur demandant de plus contribuer à leur propre effort de défense doit être compris comme une formidable opportunité de bâtir à nouveau l’Europe des Nations avec pour colonne vertébrale l’axe Paris-Berlin-Moscou, lui même permis par le Brexit. Il est primordial d'élire un homme, qu'il s'appelle Fillon ou non, qui recherche la grandeur de notre nation, l'affranchisse de tout type d'hégémonie (américaine ou autre) et ait à cœur notre souveraineté dans le cadre d'une autre vision de l’Europe, celle des Nations souveraines. Il ne s'agit pas de mettre par terre l'Union européenne, mais de la rénover : ce serait une Europe des nations indépendantes, souveraines et libres de battre monnaie, de gérer leurs frontières et de gérer leurs affaires intérieures sans recevoir d’amandes ou de remontrances de la part d’Eurocrates non-élus de la Commission, comme on le voit avec la Pologne et la Hongrie souverainistes, systématiquement réprimandées et condamnées par Bruxelles (on se demande de quel droit et à quel titre).
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Ce type de dérive supranationale et impériale d’une Europe anti-nationale, xénophile, politiquement correcte, atlantiste et en fin de compte suicidaire et hostile aux volontés populaires, est devenu insupportable pour les peuples qui se révolteront si on ne les respecte pas un peu plus dans leur identité et leur dignité. Pour sauver la démocratie, il ne suffit pas de condamner les populismes et de soumettre ceux-ci et toute requête de nationalisme à la reductio ad hitlerum. Mais il est urgent de mettre fin à la dérive des années 2000, dérive cosmopolitiste et impériale-soft d’une Europe post-nationale opposée à l’esprit même des Pères fondateurs de l’Union européenne, car ceux-ci ne niaient pas l’identité chrétienne des nations d’Europe et leur souveraineté. Cette Europe impériale-normative, qui a remplacé les nations par le "village global" et l’Identité par les droits de l’Homme et la logorrhée techno-juridique, et qui s'élargit sans cesse pour finalement détruire les souverainetés nationales sans les remplacer au plan supranational, est devenue un "ventre mou géopolitique", que je qualifie à ma façon de "no-man’s land géo-civilisationnel", bref une Terra nullius ouverte à tous les vents immigrationnistes et à toutes les hégémonies prédatrices extérieures, qu’il s’agisse de l’empire anglo-saxon atlantiste qui se réjouit que de plus en plus de nouveaux membres de l’UE soient des anti-Russes acharnés, ou des pôles du totalitarisme islamiste qui y voient une terre de prosélytisme et de conquête favorite car offerte sans résistance et qui n’est fière que de son "impuissance volontaire".
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Bref, une entité non-souveraine. A contrario, la France gouvernée par une équipe néo-gaulliste ou gaullienne, décidée à lui rendre sa grandeur et son indépendance, notamment en la rapprochant de Moscou et en mettant sur pieds une défense française et européenne autonome vis-à-vis de l'Otan, serait, en tandem avec l'Allemagne, un leader naturel d'une Europe redevenue un "ventre sûr" dixit Gallois, ce qu’elle peut parfaitement redevenir si elle renoue avec le volontarisme politique. Il faut absolument que notre voisin d'outre-Rhin, qui a toujours été dangereux lorsqu’il était hégémonique, soit équilibré, notamment par l’alliance avec la Russie. La trop grande hégémonie actuelle d’une Allemagne mercantiliste et ultra-libérale, dont l’immigrationnisme ne profite qu’aux multinationales et qui veut entraîner toute l’Europe sur la voie de sa rédemption suicidaire post-nazie par l’immigration islamique, doit être contre-balancée par les pays européens comme la France, et dans une moindre mesure l’Italie et la Hongrie ou la Pologne qui ont encore une vision "civilisationnelle".
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Les excès de l’Allemagne de Merkel, qui s’est couchée au nom de toute l'Europe devant le Grand Turc néo-Sultan Erdogan sur la crise des réfugiés et sans consulter ses partenaires, participe d’une dérive qui n’est que le résultat de la démission de nos pseudos-élites dénationalisées et démissionnaires post-gaullistes. Berlin et Merkel n’ont également rien fait pour empêcher la brouille très problématique avec la Russie qui n’a fait que ruiner nos agriculteurs et affaiblir un peu plus l’Europe. C’est pourquoi la bonne nouvelle de 2017 serait un "retour de la France", la puissance géo-civilisationnelle majeure de l’Europe occidentale depuis des siècles et celle qui a toujours été à la pointe des idées novatrices et des audaces géopolitiques. Enfin, rappelons que, historiquement, la France a très souvent été un partenaire privilégié de la Russie, laquelle nous considère plus qu’on le croit et attend beaucoup de nous, en tant que nation amie comme en tant que noyau dure de l'Union européenne.
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Une vaste réconciliation russo-occidentale permettrait à la France de jouer un rôle considérable dans la nouvelle configuration multipolaire et post-Guerre froide du monde. Il s'agirait de mettre réellement fin à la Guerre froide, de façon enfin définitive, car ma thèse depuis les années 1990 est que nos logiciels atlantistes de Guerre froide n’ont pas été mis à jour, conclut Alexandre del Valle (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.bernard-antony.com/2017/01/chers-lecteurs-de-ce-blog.html
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http://www.alexandredelvalle.com/single-post/2017/01/01/Et-si-tout-se-passait-pour-le-mieux-en-2017
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Y a-t-il vraiment un “axe Téhéran-Moscou-Ankara” ?

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Michel Garroté - Téhéran a peu apprécié la publicité faite autour de cette coopération militaire avec les Russes qui venaient juste finir de livrer les derniers systèmes anti-aériens S-300. Encore opposés il y a peu, la Russie, la Turquie et l'Iran semblent décidés à s'allier. Malgré des intérêts parfois divergents, tous trouvent un intérêt commun à ce rapprochement : un pied de nez fait à Washington - et à l’Union européenne dans une moindre mesure - accusés de vouloir régir la politique internationale.
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Détail "amusant" : l'artillerie turque a tiré, mardi 23 août 2016, pas moins de 40 obus sur des positions présumées de l'Etat islamique (EI) dans le nord de la Syrie, son ennemie, en riposte à des tirs de mortier contre une ville turque. La Turquie tire donc sur la Syrie qui est... l'alliée de l'Iran. Ci-dessous, le point de vue de mon ami Alexandre Del Valle (photo ci-dessus) paru sur Atlantico.
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Atlantico questionne : Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, et son homologue russe, Vladimir Poutine, se sont rencontrés afin d'entamer un processus de réconciliation. De son côté, l'Iran, qui a autorisé la Russie à utiliser ses bases pour soutenir Damas, se réjouit de ce rapprochement. Pour finir, une rencontre tripartite entre l’Iran, la Russie et la Turquie serait en préparation, Erdogan devrait se rendre à Téhéran sous peu. Sur quels intérêts communs un tel "axe" peut-il se mettre en place ? Quels intérêts ont ces pays à se rapprocher ? Une entente durable entre ces trois puissances est-elle réellement envisageable ? Qu'est-ce que cela pourrait augurer ?
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Alexandre Del Valle répond (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Je pense que ce n'est pas forcément une entente qui augure une alliance durable. Mais ce qui est intéressant, c'est de voir que le pragmatisme prime dans cette histoire. Entre l'Iran chiite et la Turquie sunnite, le désaccord sur la Syrie était total. Erdogan voulait défaire le régime syrien et combattre les Kurdes, tandis que l'Iran souhaitait protéger le régime de Bachar el-Assad contre ceux que défendaient les Turcs (Front islamique, Da'ech, Al-Nosra, Ahrar al Sham, Jaich al Fatah, Jaich al-Islam, Légion Mourad Sultan, etc.).
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Alexandre Del Valle précise : De son côté, la Russie n'était pas tout à fait de l'avis de l'Iran, mais était quand même grosso-modo dans le même camp consistant à défendre le régime syrien, pour défendre ses bases militaires et acquis puis cette place forte en Méditerranée tout comme l'Iran le faisait pour préserver sa profondeur stratégique au Proche Orient dont la Syrie est la porte d'accès, ajoute Alexandre Del Valle (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.atlantico.fr/decryptage/mais-que-signifie-nouvel-axe-teheran-moscou-ankara-pour-occident-alexandre-del-valle-alain-rodier-2799547.html?yahoo=1
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