Un scandale français – Faux, blanchiment, fraude et abus

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Michel Garroté - "Argent liquide, Kadhafi et James Bond, voici les choses qu'il faut savoir sur Boris Boillon", écrit, en substance, Jules Pecnard, sur lexpress.fr (lien en bas de page) : Arrêté à la gare du Nord, en juillet 2013, avec 350'000 euros et 40'000 dollars dans ses bagages, l'ancien diplomate du Quai d'Orsay, Boris Boillon, est actuellement jugé pour faux et usage de faux, blanchiment de fraude fiscale et abus de biens sociaux. En cause, son arrestation en juillet 2013 à la gare du Nord en possession de 350'000 euros et 40'000 dollars en argent liquide.
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Âgé aujourd'hui de 47 ans, Boris Boillon a été conseiller de Nicolas Sarkozy lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, puis président de la République. Place Beauvau, il était la petite main de David Martinon, conseiller diplomatique de l'ex-chef de l'Etat. Après l'élection présidentielle de 2007, le "Sarko Boy" devient conseiller Moyen-Orient à l'Elysée. Parlant arabe, il s'illustre dans l'affaire des infirmières bulgares, servant de traducteur entre Cécilia Sarkozy, chargée du dossier par son époux, et le colonel Mouammar Kadhafi. Dès lors, le jeune conseiller est séduit par le dirigeant libyen, allant jusqu'à se vanter que celui-ci l'appelle "mon fils".
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Arabophone et spécialiste du Moyen-Orient, le diplomate est ensuite propulsé ambassadeur de France en Irak en 2009, puis en Tunisie en 2011. Surnommé "mon petit arabe" par Nicolas Sarkozy, Boris Boillon ambitionne de dépoussiérer la diplomatie française en ayant recours à un style plus franc. Ses déclarations du type, "la reconstruction de l'Irak, c'est le marché du siècle !", faisaient tousser dans les couloirs feutrés du Quai d'Orsay, comme le rapportait Paris Match.
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À son profil atypique s'ajoute sa gestion de son image, quelque peu "bling-bling" conforme à son profil sarkozyste. Dans un reportage de 66 minutes diffusé sur M6 en 2009, Boris Boillon est filmé en train de faire son footing autour de l'ambassade de Bagdad. Dans le reportage, le diplomate déclare faire chaque matin "des entraînements commando". Il y fait visiter l'ambassade, son loft, sans oublier son dressing et sa salle de bains.
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En 2011, nommé ambassadeur à Tunis dans la foulée de la chute de Ben Ali, Boris Boillon crée la polémique en se montrant agressif avec les journalistes. Dès sa première rencontre avec la presse tunisienne, il qualifie les questions de "débiles". Une scène qui a déclenché un tollé, certains Tunisiens lui lançant "Dégagez, petit Sarko !" ou encore "Boris dégage !".
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À la suite de quoi il s'est excusé, puis a accordé un entretien au magazine people Tunivisions, en s'y comparant à James Bond. Il y énumère également ses qualités, "le courage et la franchise". Son seul défaut ? "L'impétuosité". Les réseaux sociaux font aussi leur miel, à l'époque, de sa photo de profil sur le site Copains d'avant, sur laquelle il apparaît torse nu, en boxer.
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En août 2012, le président socialiste fraîchement élu n'est visiblement pas épaté par les états de service de Boris Boillon. Il le démet de ses fonctions d'ambassadeur à Tunis. Dans la foulée, l'ex-diplomate entame une carrière dans le privé en créant sa société de conseil, Spartago, spécialisée dans le "conseil pour les affaires et autres conseils de gestion". Comme l'a révélé le site du Point, Spartago a été dirigée par Malika Benlarbi, proche d'Henri Guaino.
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Une franc-maçonne qui se vante de ses excellentes relations avec l'ambassade du Qatar à Paris. En plus de ses activités de directrice générale de la société de conseil, Malika Benlarbi a été directrice des relations institutionnelles de L'Oréal pour le Maghreb et le Moyen-Orient. En plus de Spartago, Boris Boillon a également dirigé French Properties UR, société de "conseil et d'intermédiation dans les domaines liés notamment à la construction, au développement d'infrastructures et à l'énergie".
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Le 31 juillet 2013, l'ancien ambassadeur est arrêté par les douaniers à la gare du Nord, alors qu'il est sur le point de prendre un train pour Bruxelles. En jeans et polo, sans pièce d'identité ni téléphone mobile, Boris Boillon transporte dans ses bagages 350'000 euros et 40'000 dollars en argent liquide.
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Pour s'expliquer, il déclare que cet argent lui a été versés par des clients irakiens afin de lui permettre de créer une filiale de sa société de conseil. Pour sa défense, comme l'a rapporté Mediapart, l'ancien ambassadeur a fourni des documents qui se sont révélés être des faux, d'où le motif retenu de "faux et usage de faux".
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Malgré cet épisode, Boris Boillon s'est vu réintégrer dans le corps diplomatique à l'été 2016. "Il a été renvoyé en renfort jusqu'à la fin de l'année auprès de notre délégation aux Nations unies à New York", avait confirmé au Figaro une source au ministère des Affaires étrangères. Un retour de courte durée, puisque la justice l'a renvoyé en correctionnelle en novembre dernier pour avoir transporté plus de 10'000 euros en argent liquide sur sa personne.
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"Compte tenu des derniers développements de la procédure judiciaire, le ministère des Affaires étrangères a décidé d'interrompre immédiatement sa mission à New York et de procéder à son rappel en vue d'une mesure de suspension", avait annoncé un communiqué du Quai d'Orsay, qui déclarait n'avoir aucune connaissance des "suites" que donnerait la justice à l'enquête préliminaire ouverte en 2013, précise Jules Pecnard, sur lexpress.fr (lien en bas de page).
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.lexpress.fr/actualite/politique/argent-liquide-kadhafi-et-james-bond-cinq-choses-a-savoir-sur-boris-boillon_1891376.html
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Autriche: Les réfugiés afghans mentent sur leur âge et encaissent 150’000 euros

Le cas de trois Afghans à Salzbourg montre comme à quel point il est facile d'exploiter le système social. Ils sont venus en 2014 à Salzbourg et se sont présentés en tant que réfugiés mineurs non accompagnés (sans parents ou tuteurs). Depuis, ils ont reçu 50'000 euros chacun. Or, il est apparu que chacun d'entre eux était plus âgé.

Selon la police, les trois Afghans âgés à présent de 19, 20 et 21 ans sont arrivés en 2014 en Autriche. Sur la route vers l'Europe, les passeurs leur avaient conseillé de paraître plus jeunes, parce qu'ils pourraient recevoir plus d'avantages. Le trio a suivi le conseil et, en quête d'asile, ils se sont finalement présentés en tant que mineurs non accompagnés d'adulte.

(...) Les jeunes hommes ont reçu de l'argent: ils ont perçu des prestations de la sécurité sociale, de l'assurance maladie et des services de base - tels que le loyer, la nourriture, des vêtements et de l'argent de poche. Ainsi ils ont encaissé chacun depuis 2014 jusqu'à il y a quelques semaines 50'000 euros par personne.

Cependant, les gestionnaires avaient mis en doute l’âge des jeunes Afghans, c’est pourquoi un expert a été consulté. Et celui-ci a constaté à présent que les Afghans étaient déjà âgés de 17 ou 18 ans à leur arrivée et qu'ils avaient obtenu la majeure partie de l'argent à tort.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info

Calais : des volontaires, surtout des femmes, accusés d’exploiter sexuellement des réfugiés

Des volontaires humanitaires de la Jungle de Calais sont au cœur d’une polémique. Ils sont accusés de profiter de leur position pour avoir des rapports sexuels avec les réfugiés présents sur place.

Révélée par le quotidien britannique The Independent, l’information a été confirmée par les responsables des différentes ONG qui œuvrent à Calais. Ces derniers se montrent inquiets par rapport à ce comportement, adopté aussi bien par des volontaires hommes que femmes.

Tout est parti d’une conversation Facebook, dont les messages ont été effacés depuis, entre plusieurs volontaires sur une page de soutien aux travailleurs bénévoles de Calais. Dedans, l’un des membres du groupe affirme qu’il a entendu parler «de volontaires ayant eu des relations sexuelles avec plusieurs partenaires en une seule journée» ou «de garçons, que j’imagine sous la majorité sexuelle, qui ont eu des relations charnelles avec des volontaires».

L’auteur du message poursuit en estimant que ce comportement est dangereux pour les réfugiés, qui s’avèrent être «dans une position de faiblesse» car «totalement dépendant de l’aide offerte par les volontaires». Il cite ainsi le code de conduite de l’UNHCR qui déconseille fortement ce genre de relations en raison de cette «position de pouvoir inéquitable».

Le témoin ajoute par ailleurs que la majorité des cas concerne des femmes volontaires et des hommes réfugiés, ce qui, selon lui, fait courir un risque d’objectification des femmes volontaires dans le camp. Ce dernier point a soulevé une vague d’indignation, de nombreuses personnes affirmant qu’il s’agissait d’une réaction sexiste, misogyne, patriarcale ou encore raciste. [...]

Direct Matin
 via Fdsesouche.com

Suisse: Près de 200 requérants déchus de leur statut après un voyage dans leur pays

La majorité des réfugiés concernés viennent d'Irak (63), mais également du Vietnam (21), de Bosnie-Herzégovine (20), de Turquie (17), de Tunisie (14) et d'Erythrée (7). Leur nombre est plus élevé que par le passé car les abus sont désormais davantage pénalisés qu'auparavant.

 

Source et suite de l'article

Danemark : Un réfugié syrien réclame 2.500 €/mois d’allocations, pour lui, ses 3 femmes et ses 20 enfants

Daham Al Hasan, 47 ans, réfugié syrien qui a fui au Danemark en compagnie de ses 3 femmes et de ses 20 enfants espère toucher de l’état danois DKK 214.OOO (Couronnes danoises) soit l’équivalent de 29.000 euros par an au motif qu’il n’est pas en capacité de pouvoir travailler.

A ce jour, après être arrivé tout seul, il a reçu l’autorisation administrative de pouvoir faire venir à ses côtés une seule de ses femmes mais également 17 de ses enfants. Les 3 autres enfants sont considérés comme trop âgés pour obtenir l’autorisation automatique du regroupement familial.

Daham Al Hasam a confessé ne pas pouvoir travailler ni apprendre la langue danoise pour le moment en raison de problèmes psychologiques liés au fait que ses enfants lui manquent.

Au micro de la chaine de télévision danoise Ekstra Bladet, il a raconté comment il a dû abandonner les membres de sa famille en Syrie pour venir se réfugier seul au Danemark, car il ne pouvait pas subvenir à leurs besoins mais qu’il pouvait désormais les accueillir au Danemark ou en Suède au bout de trois mois si ceux-ci arrivaient à pénétrer en Turquie.

Cette histoire a fait réfléchir le Parlement danois qui songe désormais à octroyer un montant maximal (pour quatre enfants) en lieu et place d’une allocation parentale par enfant.

Speisa (anglais) et Ekstrabladet (danois) via Fdesouche.com

Allemagne : Le réfugié afghan avait déjà abusé de 3 enfants. Nos médias n’en parleront pas!

Le pédophile qui avait abusé de deux jeunes filles (9 et 10 ans) à Chemnitz est en détention. La police a arrêté dans le centre-ville un Afghan (22 ans) au moment où il allait retirer de l’argent. L’homme est soupçonné d’avoir abusé sexuellement des enfants à Kaiserlautern.

Le suspect est le demandeur d’asile Hamid F. Cet Afghan était déjà recherché, puisqu’il figurait sur la liste des personnes recherchées au niveau international car il est soupçonné d’avoir déjà abusé de deux jeunes filles (7 et 11 ans) et d’un garçon (7 ans) le 4 avril à Kaiserslautern.

A Chenmitz,le 2 mai F. a harcelé une petite fille (9 ans) sur le terrain de jeu de la Albert Köhlerstraße. Le même jour, l’agresseur s’en est pris à une écolière dans la Luisenstraße. Les deux fois, il était entré chez ses victimes.

Bild.de via Fdesouche.com

Valais: Une ado de 13 ans abusée par un Macédonien : Sursis du Tribunal!

Il la menace afin qu'elle ne parle pas!

Une ado a été victime d'une agression sexuelle à Brigue, ce printemps. La fille s'était rendue au centre de jeunes de la localité haut-valaisanne lorsqu'elle a fait la connaissance d'un Macédonien de 22 ans. Après avoir échangé quelques mots avec lui, la Valaisanne lui a dit qu'elle devait rentrer à la maison pour ne pas arriver en retard pour le souper. Alors que tous ses amis étaient déjà rentrés chez eux, le jeune homme lui a proposé de la ramener chez elle en voiture, ce qu’elle a accepté, écrit ce vendredi le «Walliser Bote» sur son site.

Selon le quotidien, le Macédonien l'a touchée de manière inappropriée à plusieurs reprises alors qu'il était en train de conduire. Arrivé sur le parking situé juste devant le domicile de sa victime, l'homme a continué et l'a touchée à la poitrine et entre les jambes contre son gré. Lorsque l'ado a tenté de s'enfuir, il l'a retenue violemment à l'intérieur du véhicule. Ce n'est que lorsqu'elle s'est mise à hurler de toutes ses forces que son agresseur l'a laissée partir. Malgré ses menaces, l'adolescente a porté plainte contre lui le lendemain.

Le Ministère public du Haut-Valais a condamné récemment le Macédonien à une peine pécuniaire de 120 jours-amende à 45 francs. La peine a été assortie d'une période probatoire de 2 ans. Il a également été condamné à une amende de 350 francs et devra payer les frais de justice d'une valeur de 650 francs.

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Suisse: Un Algérien abuse de l’aide sociale pour près de 500’000.–. Il fait recours et s’inscrit à nouveau à l’aide sociale

Samir (nom connu de la rédaction), un Algérien de 35 ans arrivé en Suisse voici 13 ans, doit quitter le territoire suisse le 16 avril 2016. Motif: il vit de l'aide sociale qui lui a déjà versé près d'un demi-million de francs pour lui et sa famille.

Pour l'office zurichois des migrations, son expulsion a plus de poids pour l'intérêt public que son droit à une vie de famille. Même si Samir est marié à une Suissesse et que son enfant est donc Suisse, comme l'explique leTages-Anzeiger dans son édition du 26 octobre.

Jamais travaillé en Suisse

Le Tribunal fédéral aura encore son mot à dire. Selon Thomas Hugi Yar, conseiller au auprès de l'instance suprême suisse, cette dernière pourrait bien donner son aval. «La somme des prestations sociales versées semble énorme. En outre, Samir a été averti à plusieurs reprises et n'a montré aucune volonté à améliorer sa situation financière.»

Samir n'a en effet jamais travaillé en Suisse. Il est incapable de parler l'allemand mais s'exprime en français et a refusé tous les programmes de réinsertion. Sa jeune épouse, qui lui a évité d'être expulsé avec leur mariage en 2005, ne travaille pas non plus. C'est la commune qui paie en outre les frais de garde pour leur enfant.

En dernier recours, la Cour Européenne des Droits de l'homme à Strasbourg pourrait bien avoir un autre avis puisqu'elle tend à donner plus de poids aux relations familiales et au bien-être des enfants, avertit Thomas Hugi Yar. En attendant, Samir a déjà fait recours contre la décision de l'office des migrations. Et il s'est à nouveau annoncé à l'aide sociale.

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Lancer un signal fort contre les abus dans le droit d’asile et l’immigration démesurée

Par Adrian Amstutz
L’UDC appellera une fois de plus demain par un tract diffusé dans toute la Suisse les électrices et électeurs à se rendre aux urnes.

L’UDC appellera une fois de plus demain par un tract diffusé dans toute la Suisse les électrices et électeurs à se rendre aux urnes. Le 18 octobre prochain, les citoyennes et les citoyens peuvent lancer un signal clair et net à la politique afin qu'elle agisse enfin contre les abus dans le droit d’asile et l’immigration démesurée que subit la Suisse. Faute de quoi la Suisse franchira vers 2030 déjà le seuil des 10 millions d’habitants avec toutes les conséquences désastreuses que cette croissance entraîne. Tous les autres partis ont obstinément refusé durant toute la campagne électorale de parler de l’immigration et de leurs efforts sournois de rattacher la Suisse à l’UE.

Toutes les citoyennes et tous les citoyens doivent bien comprendre que tous les autres partis – du PLR au PS – souhaitent une nouvelle votation pour revenir sur la limitation et la gestion de l’immigration que le peuple a approuvées le 9 février 2014. Ils ne sont absolument pas intéressés à une solution qui serait dans l’intérêt à long terme de notre pays, de nos enfants et petits-enfants. Tous les autres partis – du PLR au PS – soutiennent le projet du Conseil fédéral de conclure un accord-cadre institutionnel avec l’UE qui imposerait à la Suisse la reprise obligatoire et dynamique de droit UE et la subordonnerait à la Cour de justice UE. Tous les autres partis ayant systématiquement refusé de discuter de ce projet, ils n’ont jamais dû prendre clairement position en public sur ces questions.

Le seul parti de la Suisse

L’UDC est le seul parti qui dénonce les graves conséquences d’une immigration de masse faisant croître la population de la Suisse de quelque 100 000 personnes par an et qui propose des mesures concrètes de correction. Un tel développement est désastreux à moyen et à long terme pour les infrastructures, l’emploi, l’espace vital, le logement, les institutions sociales et, d’une manière générale, pour l’identité de la Suisse. L’UDC est aussi le seul parti à se battre contre les abus dans le droit d’asile alors que les autres partis reportent la solution des problèmes à plus tard, s’ils ne nient pas carrément l’existence de ces problèmes. Voilà pourquoi l’UDC a aussi lancé un référendum contre une révision de la loi sur l’asile qui rend la Suisse encore plus attractive pour les migrants économiques et autres profiteurs des institutions sociales en offrant des avocats gratuits aux requérants d’asile et en permettant des expropriations à la mode des dictatures pour réaliser de nouveaux centres d’asile.

Tous aux urnes !

Celles et ceux qui refusent une Suisse à 10 millions d’habitants doivent aller voter.

Comment ?

  1. Prenez en main la documentation de vote.
  2. Prenez la liste UDC pour les élections au Conseil national.
  3. Prenez la liste UDC pour les élections au Conseil des Etats ou le bulletin vide préimprimé et écrivez-y le nom du candidat UDC au Conseil des Etats. Laissez la deuxième ligne vide (sauf, bien sûr, s’il y a deux candidats UDC au Conseil des Etats).
  4. Signez le certificat de capacité électorale.
  5. Glissez tous les documents dans l’enveloppe prévue à cet effet et apportez-la à la commune ou à la Poste.

Source

Stopper les abus sociaux et la coûteuse expansion de l’industrie du social pour garantir l’aide à ceux qui en ont réellement besoin

L'UDC a tenu une conférence de presse aujourd'hui pour présenter son nouveau document de fond sur l'aide sociale à l'intention des cantons.

L'UDC a tenu une conférence de presse aujourd'hui pour présenter son nouveau document de fond sur l'aide sociale à l'intention des cantons. En raison de la forte influence de l'industrie du social, l'aide sociale a évolué d'une aide transitoire donnée par l'Etat à des personnes en situation de détresse vers un "revenu de base garanti par l'Etat". Conséquence: les coûts de l'aide sociale ont plus que doublé durant les dix ans écoulés. Le généreux accueil de requérants d'asile et l'immigration de masse incontrôlée provoqueront ces prochaines années une explosion des coûts de l'aide sociale à la charge de la population laborieuse. L'industrie du social, les exécutifs et les autres partis politiques acceptent sans prendre de mesures efficaces la montée de ressentiments et la croissance des tensions sociales dans la population. L'UDC veut que l'aide sociale redevienne ce qu'elle était à l'origine: une aide transitoire en faveur de ceux qui en ont réellement besoin.

Les dépenses des cantons et des communes pour l'aide sociale ont doublé entre 2003 et 2012 pour atteindre 2,4 milliards de francs en 2012. Plusieurs exemples concrets confirment que  les communes ne peuvent plus payer les débordements de cette politique sociale, à moins d'augmenter massivement leurs impôts. En ville de Bienne, par exemple, quelque 80% des recettes fiscales de 137 millions de francs sont absorbés par l'aide sociale. En raison de la forte péréquation financière mise en place dans le canton de Berne, la facture sociale est réglée principalement par les communes payeuses. A Freienstein-Teufen (ZH), un seul cas social coûte 270 000 francs par an, soit 4% des recettes fiscales de la commune. La solidarité prend fin là où les abus et les excès conduisent manifestement à des injustices. Il ne faut pas croire que l'explosion des coûts résulte d'une augmentation imprévisible du nombre de cas de pauvreté; elle est bien plus la conséquence de prestations de base trop élevées, d'abus et du romantisme social de l'industrie du social. Ladite professionnalisation, c'est-à-dire le recours de plus en plus fréquent et le plus souvent disproportionné à des spécialistes comme des juristes, fiduciaires, psychiatres, assistants et travailleurs sociaux, a considérablement renchéri le système et provoqué un suivi excessif et une pathologisation des personnes assistées.

Explosion des coûts programmée d'avance par l'immigration incontrôlée et le chaos de l'asile

Les étrangers perçoivent deux fois plus souvent l'aide sociale. Dans le domaine de l’asile, 83 personnes sur 100 bénéficient également de l’aide sociale

On ne saurait par ailleurs ignorer la forte proportion d'étrangers vivant de l'aide sociale. En 2013, 46,7% des bénéficiaires de l'aide sociale étaient des étrangers. Cette proportion est deux fois plus élevée que la part des étrangers à la population totale (23,8%). En outre, de nombreux réfugiés reconnus ne travaillent pas, alors qu'ils seraient aptes à le faire et en auraient le droit. 91% des Erythréens en font partie, selon les derniers chiffres disponibles. D'une manière générale, 82,8% des personnes du domaine de l'asile ont touché l'aide sociale. Les communes qui accueillent des requérants d'asile doivent donc passer une deuxième fois à la caisse pour l'aide sociale. Dans ce domaine également, les charges totales sont dissimulées.  Notre généreux système social agit comme un aimant sur les migrants et coûte aujourd'hui déjà quelque 3 milliards de francs aux contribuables suisses, sans compter les 3 milliards pour l'aide au développement. Cette situation est d'autant plus choquante quand des étrangers et requérants d'asile ont plus d'argent en poche que des citoyens qui travaillent.

Exigence de l'UDC: le travail doit à nouveau valoir la peine

La Conférence suisse des institutions d'action sociale (CSIAS) est l'organisation professionnelle de l'aide sociale. En l'absence d'une loi fédérale cadre sur l'aide sociale, absence d'ailleurs justifiée, la CSIAS s'est autoproclamée coordinatrice de ce secteur. Par le biais de la centralisation et d'un égalitarisme forcené, cette organisation a réussi à imposer ledit "minimum social", donc une sorte de revenu de base garanti par l'Etat. Les normes CSIAS ne servent donc pas à lutter contre la pauvreté, mais elles ont pour but l'égalité matérielle de tous. Dans de nombreux cantons, ces normes sont ancrées dans les lois sous la forme de prestations normalisées. Cette politique a fortement encouragé la mentalité revendicatrice par rapport à la communauté. Diverses prestations absurdes de l'aide sociale comme des femmes de ménage pour les assistés, des courses en taxi pour les requérants d'asile ou des croisières en voilier pour des adolescents récalcitrants ont été récemment rendues publiques, déclenchant un vague de colère dans la population.

Voici un exemple réel, mais anonymisé d'un décompte complet tiré de la pratique

1 Ménage à 5 personnes. La femme n'a jamais travaillé et ne parle pas l'allemand. L'homme tombe prétendument toujours malade.12

2 Les besoins essentiels qui, selon la CSIAS, font partie du minimum social, sont définis de manière fort généreuse. Selon la CSIAS, ils comprennent, à côté de la nourriture, des vêtements, de l'énergie, de la tenue du ménage et des soins de santé, également des produits du tabac, les frais de transport, le téléphone et la poste, les cotisations aux sociétés, des petits cadeaux ainsi que des dépenses de divertissement et de formation, par ex. la radio/TV, le sport, les jouets, les journaux, le cinéma et la tenue d'animaux domestiques.


L'UDC ne veut ni supprimer l'aide sociale, ni réduire de manière générale toutes les prestations. Cependant, les dysfonctionnements qui se sont développés au fil des ans ont rendu l'aide sociale injuste – injuste en particulier pour celles et ceux qui, par leur travail et leurs impôts, doivent entretenir d'autres personnes. L'UDC exige donc qu'il vaille à nouveau la peine de travailler. L'aide sociale n'a pas à récompenser la paresse et les abus. Il faut donner une plus grande marge de manœuvre aux autorités locales et il faut bien faire comprendre qu'en principe personne n'a droit à des prestations dépassant un logement, de la nourriture et des soins médicaux de base et que, de surcroît, ces prestations sont temporaires.

Partant de ces considérations, l'UDC exige

  • que l'on mette fin à l'égalitarisme forcené et à la mentalité revendicatrice sans gêne à l'égard de la collectivité, mentalité encouragée par une industrie du social idéologique et irréaliste;
  • le maintien d'une différence financière par rapport à un revenu professionnel et l'introduction d'une aide sociale dégressive. L'aide sociale doit être mesurée de manière à ce qu'il vaille toujours la peine de travailler, donc que les assistés sociaux soient incités à chercher et à accepter un travail; en lieu et place d'un catalogue des prestations auxquelles ont droit les assistés, il faut une appréciation raisonnable de chaque cas particulier avec des prestations de base faibles et une obligation de travailler. Il faut faire des différences en fonction de l'âge, de l'état civil, du revenu précédent, de la durée du séjour en Suisse ainsi que de l'engagement et de la bonne volonté du sujet;
  • que le permis de séjour accordé aux immigrants soit strictement soumis à la condition que ceux-ci ne perçoivent pas régulièrement l'aide sociale, faute de quoi l'autorisation de séjour leur est retirée. Le droit à l'aide sociale doit être lié à une durée de séjour minimale en Suisse afin d'empêcher l'immigration et l'installation dans l'Etat social suisse. En cas d'escroquerie au détriment de l'aide sociale, les étrangers coupables doivent être immédiatement expulsés;
  • que les contribuables soient inclus dans ce processus par le biais d'initiatives populaires cantonales et communales afin de remettre politiquement à leur place la bureaucratie et industrie du social dont les pouvoirs sont devenus excessifs. En aucun cas la Conférence des directeurs cantonaux des affaires sociales ne doit continuer de soutenir les normes CSIAS;
  • la sortie des communes, villes, cantons et services publics de la CSIAS ainsi que la transparence des coûts au niveau communal;
  • que les normes CSIAS soient considérées pour ce qu'elles sont: des recommandations sans caractère obligatoire et excessivement généreuses lancées par des fonctionnaires de l'aide sociale et des romantiques du social;
  • une plus grande autonomie communale dans le domaine de l'assistance sociale et de la tutelle, car seul un ancrage local offre une protection réelle contre les abus et permet d'offrir une aide digne aux personnes qui cherchent à s'aider elles-mêmes. En application du principe "qui paie, commande", les responsabilités et le financement doivent être placés au niveau le plus bas possible;
  • une déprofessionnalisation raisonnable parce qu'une assistance bénévole et des organisations de milice comprenant des sociétés, fondations, églises et entreprises locales peuvent apporter une aide de transition plus efficace que des offices anonymes et d'onéreux fonctionnaires du social. En lieu et place de travailleurs sociaux universitaires, il faut, dans l'aide sociale et dans le service de la tutelle, recourir davantage à des personnes engagées dans la vie professionnelle, adoptant un raisonnement économique et ayant reçu une formation complémentaire pour exercer cette fonction à temps partiel;
  • que le principe du minimum vital défini dans le droit fédéral soit appliqué notamment aux jeunes, aux requérants d'asile et réfugiés ainsi qu'aux assistés sociaux non coopératifs;
  • un plafonnement des prestations selon le revenu précédent – par analogie à ce qui se fait dans les assurances sociales – pour protéger les fonctionnaires contre leur propre sentiment de pitié, voire contre des menaces.

 

UDC Suisse

Mettre fin au chaos de Sommaruga dans l’asile

La politique de l'asile menée par la conseillère fédérale socialiste Simonetta Sommaruga encourage les abus.

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La politique de l'asile menée par la conseillère fédérale socialiste Simonetta Sommaruga encourage les abus. Les principaux profiteurs en sont les migrants économiques, les bandes criminelles de passeurs et l'industrie de l'asile suisse. Les coûts annuels de quelque 6 milliards de francs pour l'asile et l'aide au développement sont payés par les contribuables suisses. A la suite d'un taux de reconnaissance de 60% actuellement (trois fois plus qu'en 2012), il faut s'attendre à ce que 18 000 des quelque 30 000 requérants d'asile arrivant cette année pourront rester dans le pays. Ils y séjourneront durablement et occasionneront des coûts supplémentaires d'environ 600 millions de francs par an. La responsabilité de cette pagaille incombe à la direction politique du Département fédéral de justice et police, soit en particulier à la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga.

L'UDC a présenté lors de sa conférence de presse d'aujourd'hui son document de fond sur les dysfonctionnements du secteur de l'asile ainsi que deux initiatives parlementaires demandant des réformes constitutionnelles pour corriger cette situation. Les problèmes qui marquent l'asile en Suisse ont des causes internes. Ils sont le résultat d'une mauvaise politique des services fédéraux concernés. La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga mène depuis toujours une large politique d'accueil et d'intégration, mais néglige totalement l'exécution des décisions et l'application stricte des lois existantes. En accélérant la reconnaissance et en multipliant les admissions provisoires, ses services enjolivent la statistique des cas liquidés. Les mauvaises décisions et changements de pratique, par exemple à l'égard des Erythréens et des Sri-Lankais, ont provoqué une explosion des demandes d'asile en provenance de ces pays. La Suisse est une destination beaucoup trop attractive pour les migrants. La majeure partie des requérants ne proviennent d'ailleurs pas de région en crise ou en guerre. Les principaux profiteurs de cette situation intolérable sont les migrants économiques et l'industrie de l'asile. Les cantons et les communes, donc leurs contribuables, sont de plus en plus sollicités pour payer l'addition. La responsabilité de cette pagaille incombe à la direction politique du Département fédéral de justice et police (DFJP), soit en particulier à la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, qui élude systématiquement l'exécution lacunaire des décisions et les inquiétudes justifiées de la population. Ses propositions de restructuration sont inaptes ou inapplicables. Les réformes constitutionnelles proposées par les deux initiatives parlementaires de l'UDC ne permettent certes pas de remplacer la direction politique du DFJP, mais elles lui imposent un cadre stricte.

 L'UDC fait les propositions suivantes pour régler le chaos de l'asile:

  1. On cherche en vain un décompte complet de ce que coûte l'asile aux contribuables. Il faut enfin indiquer en toute transparence ce que coûte en moyenne un requérant d'asile par an durant les dix premières années de sa présence en Suisse (y compris les frais de procédure, l'aide sociale, le coût total de la scolarisation, l'accompagnement des familles, les frais de santé y compris le dentiste, les programmes d'intégration, etc.).
  2. La loi sur l'asile durcie en 2006 et 2013 doit être rigoureusement appliquée par toutes les autorités fédérales et cantonales ainsi que par les œuvres d'entraide. On fait ainsi comprendre aux bandes criminelles de passeurs que la Suisse ne tolère pas les abuseurs de son droit d'asile.
  3. Les possibilités de recours et moyens de droit doivent être restreints. Un seul recours doit être permis après la décision de première instance. Durant le traitement de leur demande, les requérants doivent être placés dans des centres contrôlés. S'ils violent leur devoir de participation ou le code pénal, ils seront installés dans des centres fermes.
  4. Les migrants économiques et requérants d'asile délinquants doivent être systématiquement renvoyés afin que l'aide puisse être concentrée sur les personnes qui sont réellement persécutées.
  5. Le Conseil fédéral doit à cet effet conclure des accords de réadmission avec les Etats du Maghreb et faire ratifier les accords qui ne le sont pas encore. La Suisse doit prendre des contre-mesures dans d'autres domaines (par ex., en matière d'aide au développement) à l'égard des pays qui refusent de réadmettre leurs ressortissants.
  6. Les personnes admises provisoirement doit être réexaminées renvoyées le plus rapidement possible dans leur pays. Le statut de l'admission provisoire doit être supprimé. Les personnes qui, sans leur faute, ne peuvent pas être renvoyées doivent bénéficier d'un statut de protection.
  7. Les personnes admises provisoirement et les réfugiés dont les motifs subjectifs avancés sont les conséquences de leur fuite (par ex., une activité politique menée après leur fuite) ne doivent pas avoir droit au regroupement familial.
  8. L'aide sociale pour les requérants d'asile et personnes admises provisoirement doit être ramenée au niveau de l'aide d'urgence. L'aide sociale accordée aux réfugiés reconnus doit également être réduite après un certain temps pour éviter que ces personnes ne s'installent durablement dans le filet social.
  9. Les personnes en séjour illégal en Suisse ou qui refusent de coopérer avec les autorités ne doivent plus avoir droit à l'aide d'urgence. Le soutien de l'Etat à ces personnes doit se limiter à l'organisation de leur sortie de Suisse.
  10. Le Conseil fédéral doit insister sur l'application de l'accord de Dublin et, par conséquent, ne plus accorder de procédure d'asile aux personnes entrant en Suisse en provenance d'un Etat tiers.
  11. La Suisse doit à cet effet renforcer les contrôles frontaliers, notamment vers l'Italie et si nécessaire soutenir les gardes-frontières avec l'armée.
  12. L'agence Frontex doit intercepter les bateaux d'émigrants immédiatement après leur départ et les ramener sur la côte. Il faudra éventuellement conclure des accords avec les Etats nord-africains. Le Conseil fédéral doit à ce sujet s'engager dans le comité de Schengen.
  13. Les réfugiés de la guerre doivent en premier lieu être aidés dans leur région d'origine. On obtiendra sur place de bien meilleurs résultats avec les mêmes moyens financiers que par des actions de transplantation de quelques élus.
Conférence de presse UDC du 19. mai 2015

Yverdon : Un couple endort l’aide sociale pendant des années

Le Tribunal d’Yverdon a jugé un cas d'école de dissimulation au RI d’un bon salaire par ailleurs déclaré aussi bien au fisc qu’à l’AVS. Plus de 173'000 francs de prestations sociales indues ont été versées.

Encaisser en un mois jusqu’à 9000 francs d’un salaire dûment déclaré au fisc et à l’AVS tout en continuant d’empocher près de 5000 francs d’aide sociale dont 2000 francs pour le loyer, c’est possible.

Suite

France: Le ministère de l’Économie a dépensé 754’500 euros en boucherie, charcuterie, fromages, etc.

On a d’abord cru à une blague. Mais non. Selon Le Canard enchaîné, l’administration de Bercy a lancé un appel d’offres pour couvrir les frais de bouche des sept ministres de Bercy et de leurs cabinets pendant une année sous la douce appellation de « Fourniture et livraison de denrées alimentaires pour les services d’intendance de l’hôtel des ministres et du cercle des directeurs des ministères économiques et financiers ». Rien d’anormal, il faut bien nourrir les cabinets et les ministres.

bouffe

« Les caisses de l’État sont vides, mais les frigos sont pleins ».

 

Sauf que cet avis a été publié au « Bulletin officiel des annonces des marchés publics » le 28 mars. C’est-à-dire entre les deux tours des municipales, juste avant le remaniement et la nomination d’un gouvernement « resserré ». Or, depuis, Bercy a fondu : de quatre ministres de plein exercice (avec des cabinets pléthoriques) et trois ministres délégués, le ministère de l’Économie est passé à seulement deux ministres et trois secrétaires d’Etat. Bercy compte donc deux membres du gouvernement en moins et des cabinets ministériels plus réduits (puisqu’un ministre de plein exercice dispose de davantage de conseillers qu’un secrétariat d’État).

La liste des courses

Trop tard pour réduire la facture du ravitaillement ? L’hebdomadaire ne précise pas si cet appel d’offres de 754 500 euros peut être remis en cause. En tout cas, la liste des courses fournie par Le Canard donne le tournis : « La boucherie au sommet de l’État (viande bovine, ovine, porcine, veau et produits tripiers), c’est 95 000 euros ; la volaille, 24 000 euros ; la charcuterie, 14 500 euros ; les fromages et crémeries, 43 000 euros ; la boulangerie, 19 000 euros ». Mieux : « pour les produits de la mer, le ministère évalue les besoins de ses patrons pour leurs réceptions à 152 000 euros pour un an ». Pour les fruits et légumes, la facture est de 156 000 euros. Quant aux produits frais et surgelés, c’est 143 000 euros. En revanche, pour les « mignardises, les macarons, chocolats fins et pièces salées apéritives », il faudra se serrer la ceinture : la facture n’est « que » de 14 000 euros.

Reste une question : alors que la presse évoquait depuis des semaines un futur remaniement, pourquoi l’administration de Bercy n’a-t-elle pas attendu ce fameux remaniement afin de connaître le nombre exact de ministres et de conseillers pour faire ses courses ? Mystère. Conclusion du Canard : « Les caisses de l’État sont vides, mais les frigos sont pleins ».

*** Source
- « Bonne bouffe à Bercy », Le Canard enchaîné n°4876, 09.04.2014