La Suède, « l’exemple à ne pas suivre » : « Ce pays était connu pour sa musique pop et ses magasins IKEA. Il est désormais associé aux fusillades et aux attaques à la grenade »

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La Suède était connue pour sa musique pop, ses magasins IKEA et pour son État-providence. Le paye est désormais de plus en plus associé au nombre croissant de jeunes rejoignant l’État islamique, d’attentats à la bombe et d’attaques à la grenade.

En deux semaines, au début de cette année, cinq explosions ont eu lieu dans le pays. Ce n’est pas inhabituel ces jours-ci – les Suédois se sont habitués aux crimes violents, à l’intimidation des témoins et aux exécutions de gangs. Dans un pays depuis longtemps reconnu pour sa sécurité, les électeurs suédois citent «l’ordre public» comme le problème le plus important à résoudre.

Les meurtres par arme à feu liés aux gangs, qui concernent principalement les hommes issus de l’immigration dans les banlieues du pays, ont augmenté de 40% par rapport à l’année dernière. Pour cette raison, la Suède est passée d’un pays à faible taux de criminalité à un taux d’homicides nettement supérieur à la moyenne de l’Europe occidentale. Les émeutes, les incendies de voitures, les attaques contre le personnel médiale sont des phénomènes récurrents.

Les fusillades dans le pays sont devenus si fréquentes qu’elles ne font plus la une des journaux. (…) Il y a une génération pour qui les attentats à la bombe contre la police et les émeutes étaient des événements extrêmement rares. Aujourd’hui, la lecture de tels incidents est considérée comme faisant partie de la vie quotidienne.

La montée de la violence n’est pas passée inaperçue chez les voisins scandinaves de la Suède. Les Norvégiens utilisent couramment l’expression «conditions suédoises» pour décrire le crime et l’insécurité. Le point de vue du Danemark a été explicité lorsque l’ancien président de l’OTAN et premier ministre danois, Anders Fogh Rasmussen, a déclaré dans une interview à la télévision suédoise: « J’utilise souvent la Suède comme l’exemple à ne pas suivre. »

(…) Puisque le crime est intimement lié à l’incapacité du pays à intégrer ses immigrés, l’augmentation de la violence est un sujet sensible. Quand le gouvernement et l’opposition suédoies considèrent le pays comme une «superpuissance humanitaire» parce que le pays a ouvert ses portes à de très nombreux migrants. Cela a entraîné des contorsions impressionnantes.

En mars, la ministre du travail, Ylva Johansson, est apparue à la BBC, où elle affirmait que le nombre de viols et de cas de harcèlement sexuel «baissait et diminuait» en Suède. En fait, le contraire est vrai, ce que Johansson a admis plus tard en s’excusant.

(…)

Politico via Fdesouche.com

3 commentaires

  1. Posté par Carvalho le

    Bernard: Je partage votre scepticisme hélas, même si j’espère toujours un sursaut, ce qui arrive parfois dans les situations désespérées.
    A tous les acteurs qui encouragent cette destruction et que vous avez cité, il faut ajouter les soucis du quotidien et ils sont innombrables.
    Les politiques le savent et ceux qui veulent la destruction également et ont tout le temps pour eux, ce que nous n’avons plus, entre la travail, la fatigue et tout le reste.
    Bonne soirée.

  2. Posté par Bernard le

    Oui on savait.
    Mais devant les difficultés de la vie de tous les jours que rencontre les Suisses, ils n’ont plus la force de lutter contre cet envahisseur étranger .
    D’autant plus qu’il faut lutter contre l’immigration de masse mais qu’il faut lutter contre tout ce qui l’encourage : Autorités de gauche, média, ONG, mouvement religieux, immigrés déjà en Suisse etc.
    Le simple citoyen noyé dans les soucis quotidien baisse les bras.
    Tout cela pour dire que le mal est inéluctable, l’Europe la Suisse vont vers leur destruction.

  3. Posté par Carvalho le

    C’est malheureux à dire mais, comme je l’ai lu ici même il me semble, il est préférable que si la Suède doive tomber, cela arrive le plus rapidement possible, afin d’offrir un exemple de ce que peut devenir un pays islamisé.
    Les politiques européens, les medias et surtout les citoyens ne pourront plus dire: on ne savait pas.
    Ce n’est pas faute de les avoir inlassablement avertit pourtant.

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