Le chef de la diplomatie suisse défend le choix du Conseil fédéral d’un référendum facultatif sur les futurs accords avec l’Union européenne. Ignazio Cassis craint qu’une exigence de double majorité ne crée un précédent pour d'autres traités internationaux.
Le chef de la diplomatie suisse défend le choix du Conseil fédéral d’un référendum facultatif sur les futurs accords avec l’Union européenne. Ignazio Cassis craint qu’une exigence de double majorité ne crée un précédent pour d'autres traités internationaux.
Pour le ministre des affaires étrangères, interrogé dans l'émission «Rundschau», il convient d'appliquer correctement le droit constitutionnel.
Si la modalité du référendum obligatoire était retenue, Cassis craint un effet domino: des revendications pour une double majorité pourraient naître aussi sur d'autres dossiers comme les accords de libre-échange avec la Chine et avec des Etats latino-américains.
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