Ndt: La Suisse est également infiltrée par le réseau Soros, mais aucun journaliste d'investigation à notre connaissance n'a cherché à savoir à quel point nos ONG, associations et fondations d'inspiration gauchiste sont commanditées par ce réseau et par d'autres progressistes étasuniens, ni même à dénoncer l’influence du Klaus Schwab Economic Forum, sur la Suisse.
Nous savons seulement que des milliards sont ponctionnés sur les contribuables suisses pour le financement de ces œuvres de "bienfaisance", nationales ou internationales (aide au développement et le reste). Parmi elles, beaucoup sont liées à Soros directement, comme celles impliquées dans le "commerce" des demandeurs d'asile. Mais qu'en est-il des autres gardiens du politiquement correct?
Nous constatons avec sidération que malgré la crise économique qui secoue notre pays depuis les confinements, leur nombre augmente d'une manière illimitée et que leur influence grandit. Ce genre de débouché promet une carrière très agréable à la masse des diplômés en "progressisme" (coûteux, et très nuisibles).
Tous ceux qui poussent à féminiser les conseils d'administrations, à "verdir" nos entreprises, à mobber nos banques pour des "investissements responsables", font partie de cette parasitocratie qui agit chez nous comme le réseau Soros en Hongrie. Avec cette différence que chez nous, ils disposent d'une armada d'idiots utiles, prêts à tout pour les servir.
Un régiment de journalistes du système font régulièrement leur promotion, le monde académique, les administrations, les institutions, les ONG leurs réservent des places de choix.
L’infestation idéologique est partout, et pratiquement personne ne bronche. Ensemble, ils pointent le doigt sur la chimère d'une extrême droite inexistante en Suisse, ce qui leur permet de détourner les regards du réel.
Lors des votations, nous voyons circuler les mêmes têtes qui s'unissent contre les initiatives qui défendent les intérêts nationaux (exemples: ici, ici, ici, ici).
Il serait vital de chercher à savoir qui se cache derrière ces combattants unis contre les intérêts de la Suisse, qui ils servent, qui les corrompt (hors des fanatisés), afin de pouvoir organiser une vraie résistance.
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Hongrie: Washington et Bruxelles complètent les subventions de Soros
Il est courant depuis des années que les organisations nationales du réseau Soros reçoivent l'équivalent de millions de dollars de subventions de Bruxelles et d'outre-mer.
Dans notre série d'articles, nous détaillons les flux de dollars et d'euros, et montrons que des fonds européens et américains viennent souvent en Hongrie en vue d'objectifs politiques spécifiques, en plus de financer des organisations dites civiles qui propagent la vision du monde d'une société ouverte avec une propagande agressive.
La tentative d'intervention la plus évidente a eu lieu avant les élections législatives de 2022, lorsque les Soros ont envoyé plus de dix millions de dollars à l'opposition de gauche.Alors que la direction de l'Union européenne, pour des raisons politiques, retient depuis longtemps les subventions qui reviennent de droit à notre pays, elle soutient avec des sommes importantes les organisations civiles hongroises qui appartiennent au réseau de George Soros et sont cofinancées par lui. Ces dernières années, un total d'environ 12 millions de dollars a été reçu dans le cadre de divers appels d'offres pour les promoteurs de l'idéal de la "société ouverte" en Hongrie.
Cette année, Bruxelles a ouvert un fonds d'appel d'offres de quatre millions d'euros pour les organisations civiles (ndt: ONG).
Anna Donáth, députée au Parlement européen pour Momentum (ndt: l'opposition de gauche), a révélé que ces fonds ne sont pas "civils", mais servent plutôt à des fins politiques. Depuis décembre dernier, elle a annoncé l'arrivée des subventions sur sa page de médias sociaux. En outre, elle a qualifié sa mission personnelle de "combat" pour que des organisations "indépendantes du gouvernement" reçoivent le plus possible de fonds européens. Or on sait que, dans le cas des organisations "civiles" en question, l'indépendance signifie toujours l'opposition au gouvernement et la promotion des objectifs de la société ouverte de Soros.
La Fondation Ökotárs (Partenaire écologique) est un des distributeurs de fonds nationaux
Les 3,8 millions de dollars mentionnés seront répartis entre les organisations candidates par un consortium de quatre membres dirigé par la Fondation Ökotárs et comprenant également la Fondation pour l'autonomie, la Fondation hongroise des Carpates et l'Association des développeurs communautaires.
Les organisations participant au programme Citoyens, égalité, droits et valeurs de l'Union européenne dépenseront cet argent pour la protection et la promotion de l'État de droit, de la démocratie, de l'égalité et des droits de l'homme, selon l'annonce faite par Ökotárs en décembre dernier. En pratique, cela signifie avant tout agir contre le gouvernement, comme l'a également souligné Magyar Nemzet dans un précédent article. [...]
La Fondation Ökotárs a déjà reçu plusieurs fois des fonds de l'UE ces dernières années.
Un de ces projets est l'évaluation, le suivi et la motivation des campagnes de mobilisation des électeurs appartenant à ces ONG, dont l'objectif principal était de les encourager à voter aux élections locales et au Parlement européen de 2019.
Ils ont reçu une subvention de 145,5 milliers d'euros pour le programme.
L'Union pour les libertés civiles (TASZ), la Civil College Foundation (CKA) et la Power of Humanity – Cum Virtute Humanitatis Foundation ont également participé à la mise en œuvre. Chaque institution reçoit divers fonds du réseau Soros depuis des années.
Ökotárs était le leader de l'action "Reconquérir notre espace civique ! – Coopération civile d'Europe centrale" pour un projet global de politique sociale civile de l'UE, réalisé avec le financement de la Commission européenne et du Fonds norvégien de soutien civil. TASZ était le participant hongrois au programme d'une valeur de près de 180'000 euros.
Ökotárs était également une des neuf ONG qui collaboré à l'édition 2023 du rapport annuel d'évaluation des pays membres publié par la Commission européenne. Ökotárs, Amnesty International, l'Institut Károly Eötvös et le Comité hongrois d'Helsinki ont participé à la rédaction du chapitre IV.
Après cela, il n'est pas surprenant que la Commission européenne et l'USAID, l'Office américain pour le développement international, figurent parmi les soutiens d'Ökotárs.
Cette fondation proche de Soros a également été la partenaire de l'USAID dans la rédaction du chapitre sur la Hongrie dans l'indice de durabilité civile de l'Europe centrale et orientale et de l'Eurasie, qui examine la durabilité des organisations civiles.
Le dernier rapport annuel d'Ökotárs montre qu'en 2021, elle a reçu presque deux fois plus d'aide de l'UE et d'autres sources étrangères (609'000 euros) qu'en 2020 (320'000 euros).
Les euros roulent pour l'entreprise de Somogyi
Un autre acteur du réseau Soros, Political Capital (PC), une société de conseil, a également reçu pas mal d'argent de l'UE.
L'idée du hub hongrois EDMO contre la désinformation peut être réalisée sous la coordination de PC, fondée par le politologue Zoltán Somogyi, qui était de l'ancienne Alliance des démocrates libres (SZDSZ), puis au Forum démocrate hongrois (MDF), et gravite aujourd'hui aux environs du Jobbik, étroitement tenu en laisse par les Etats-Unis.
L'objectif du projet est de créer un nouveau centre multinational indépendant en Hongrie. Le rapport publié sur le site Web de PC révèle également que l'Observatoire hongrois des médias numériques (HDMO) fonctionnera sous une forme élargie à partir de janvier 2023.
Dans la première phase du projet, depuis son lancement en 2021, le portail de vérification des faits Lakmusz.hu a atteint plus de 1,5 million de lecteurs, et ce travail se poursuivra.
Political Capital a reçu 313'000 euros, Magyar Jeti (444.hu) 406'000 euros, Mérték Médiaelemző Műhely 163'000 euros et Idea Foundation 132'000 euros pour la mise en œuvre du projet.
Political Capital a également reçu de l'argent pour la lutte contre les discours de haine contre les Roms, les personnes LGBTQ, les communautés juives et migrantes. Le projet se déroule d'avril 2022 à fin mars 2024 et le coordinateur en est Herfort Marietta, directeur général du RGDTS (Roma Gadje Dialogue Through Service), qui est consultant sur les affaires roms pour le gouvernement fantôme de la Coalition démocratique. Political Capital, qui est impliqué dans le projet, recevra 31'000 euros. la Haver Informal Jewish Education Foundation 33'000 euros et la Rainbow Mission Foundation collectera 15'000. Coût total du programme: 168'000 euros.
Political Capital a empoché 62'000 euros dans le cadre d'un modèle d'action harmonisée coopérative entre 2019 et 2021 pour enrayer la "polarisation" dans nos nations. Toujours avec le soutien du Fonds européen pour la sécurité intérieure - Police, il a reçu 83'000 pour un projet (Do One Brave Thing), dont l'objectif est de permettre aux jeunes de mettre en question les narratifs extrémistes rencontrés dans leur vie quotidienne, de s'assurer qu'ils sont conscients dans leur consommation des médias, afin de contrer les défis en ligne du discours de haine et de la rhétorique extrémiste. Ils ont remporté 40'000 euros directement de la Commission européenne pour une plateforme européenne 2020-2021 contre la polarisation et la radicalisation : des outils pratiques pour les professionnels de première ligne.
L'argent pleut de Bruxelles pour Republikon
La Fondation Republikon, dirigée par l'ancien secrétaire d'État de l'Alliance des démocrates libres de Ferenc Gyurcsány, Gábor Horn, a également reçu de nombreux fonds de l'UE. Déjà en 2018, la Republikon a reçu 100'000 euros de l'UE pour influencer les élections législatives hongroise.
La fondation des Horn est une favorite de longue date de la Commission européenne, ayant reçu 120'000 euros en 2020 dans le cadre du programme "L'Europe pour les citoyens - Subventions de fonctionnement". Entre autres choses, le programme portait sur les primaires de la gauche. Les rapports annuels révèlent également que 163'000 euros lui ont été versés par l'Union européenne en 2021. L'année dernière, Republikon a reçu 158'000 euros pour l'appel d'offres European Values for Conscious Choice. L'objectif non divulgué du projet était d'influencer l'équilibre des pouvoirs au Parlement, car, selon eux, les élections en Hongrie ne concernent pas seulement le pays, mais peuvent affecter toute la région et même la politique européenne.
De plus, ils ont créé des ateliers pour les jeunes pour lutter contre les fake news et développer leur esprit critique. Cette année, il a également reçu environ 160'000 euros pour le concours "Republikon - Débat sur l'avenir de l'Europe".
L'objectif principal du programme est de préparer les élections du Parlement européen en 2024, et d'encourager les gens à exprimer leur opinion autant que possible.
Soutien aux avocats sorosistes
Une organisation également proche de Soros, le Comité hongrois d'Helsinki, a aussi reçu une part importante des subventions de l'UE ces dernières années.
Avec l'Union pour les libertés civiles déjà mentionné, elle a remporté l'appel d'offres intitulé Faire de la Charte de l'UE un instrument majeur pour le règlement des en matière de droits de l'homme en Hongrie, pour un montant total de 190'000 euros. L'objectif du projet, lancé cette année, est de placer la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne au centre des procès en matière de droits de l'homme dans le pays. Par ailleurs, un plan de formation est en cours d'élaboration pour 45 avocats. L'autre objectif est de sensibiliser la société hongroise à la protection des droits fondamentaux, afin que les citoyens soient en mesure de reconnaître les violations et de les contester par voie judiciaire.
Le Comité hongrois d'Helsinki s'est également intéressé à un autre appel d'offres similaire en coordination avec une société allemande : ici, ils ont remporté 60'000 euros. Le projet vise à donner au droit de l'UE, et en particulier à la Charte des droits fondamentaux, un rôle plus important dans l'application du droit par les États membres. Des formations sont organisées pour les avocats et les ONG afin qu'ils soient capables de formuler des arguments juridiques efficaces et de mener une représentation efficace des intérêts. Le Comité hongrois d'Helsinki a déjà reçu des subventions de sources européennes. Le montant des fonds de l'UE déclaré dans le rapport 2021 était de près d'environ 250'000 euros.
L'argent de l'UE va aussi à la propagande arc-en-ciel
Un groupe bien connu de militants des droits des homosexuels proches de Soros apparaît également comme bénéficiaire des fonds européens. Le dernier rapport annuel du Háttér Társaság révèle que le groupe a reçu quelque 208'000 euros en 2021 et 210'000 en 2020, provenant du budget de l'Union européenne ou d'autres États ou organisations internationales. L'année dernière, Háttér Társaság a reçu près de 74'000 euros dans le cadre d'un appel d'offres visant à visibiliser les arcs-en-ciel en Hongrie. L'objectif du projet est de réduire la discrimination contre les personnes LGBTQ dans les domaines de l'éducation, de la santé et des services sociaux. Le coût total du programme était de 170'000 euros. Háttér Társaság et la fondation Valeurs Subjectives ont reçu environ 50'000 euros pour une campagne visant à lutter contre l'intolérance, le racisme et la xénophobie.
L'organisation arc-en-ciel a lancé conjointement un autre projet de sensibilisation avec Amnesty International Hongrie, qui est également liée aux organisations de Soros, projet visant à réduire le harcèlement et la discrimination des personnes LGBTQ dans les écoles et sur les lieux de travail. Parmi les participants, Amnesty recevra 76'000 euros, le Háttér Társaság 47'000, la Labrisz Lesbian Association 31'000 et la Rainbow Mission Foundation 21'000.
En 2019, la Commission européenne a accordé à Háttér Társaság 45'000 euros pour la mise en œuvre du programme Diversité et enfance.
Avec un autre programme destiné aux écoles, l'UE vise à mettre fin à la violence sexiste en s'attaquant à la masculinité et à changer le comportement des jeunes grâce à l'éducation aux droits humains. Amnesty International Hongrie a reçu 120'000 euros pour sa campagne lancée en mai 2022, dans laquelle certaines écoles éduquent les élèves dans ce domaine et leur donnent les moyens d'agir contre le problème susmentionné. Amnesty a reçu un montant similaire dans le cadre de l'appel d'offres intitulé "Étendre les opportunités des jeunes à des métiers atypiques".
On voit donc que Bruxelles soutient pleinement la diffusion dans notre pays de l'idéologie du genre avec l'aide du réseau Soros et finance la sensibilisation des jeunes à accepter la propagande arc-en-ciel.
Les institutions de l'UE n'ont évidemment pas oublié non plus les organisations "vertes", autres favorites du célèbre spéculateur. Ainsi, l'Air Working Group, qui est également proche de Gergely Karácsony, a remporté le concours intitulé Les droits verts pour un avenir durable: accroître la participation des citoyens à la politique climatique de l'UE. Dans le cadre du projet, l'organisation dispose de quelque 60'000 euros pour accroître le soutien aux actions luttant contre le changement climatique.
Les défenseurs nationaux des migrants s'en tirent bien également
Bien entendu, les ONG nationales favorables aux migrants ne sauraient non plus être exclues de la pluie d'argent de l'UE. Le Refuge - Association d'aide aux migrants dans la ville pour tous - action responsable pour les communautés d'accueil, qui est proche de Soros. a reçu environ 87'000 euros. Le programme a débuté le 1er avril 2023 et son objectif est l'intégration des migrants, la politique antiraciste et l'élimination de la discrimination. Le projet est à plus long terme, jusqu'au 25 mars 2025.
D'autre part, la Commission européenne a alloué 200'000 euros au projet RAISD, destiné à étudier les contextes de vulnérabilité parmi les réfugiés. Le projet a également reçu la somme record de 290'000 euros du Fonds d'asile pour la migration et l'intégration. La Commission européenne a également soutenu l'association à hauteur de 25'000 euros par le biais du programme Erasmus plus. 140'000 euros supplémentaires ont été attribués pour un programme appelé ReRoot (Infrastructures d'arrivée comme sites d'intégration pour les nouveaux arrivants récents), pour la période 2021-2025, qui vise également à soutenir les migrants arrivant en Europe.
Transparency International (TI) Hongrie, l'autre gros canon du réseau Soros, reçoit depuis des années diverses subventions de l'Union européenne, mais ici nous n'avons relevé que les montants indiqués dans le dernier rapport d'intérêt public. La Commission européenne lui a accordé près de 75'000 euros dans le cadre de l'accord d'intégrité.
Un montant de 2500 euros a été reçu de la Commission européenne et de l'Office européen de lutte antifraude (OLAF) pour le programme intitulé Nouveaux mécanismes européens de lutte antifraude en Hongrie : défis et opportunités manquées. En outre, l'association a reçu un financement de 55'000 euros dans le cadre de l'appel d'offres L'Europe pour les citoyens de la Commission européenne. 82% des revenus de Transparency International Hongrie proviennent %). Sur ce montant, 187'000 euros sont des fonds reçus de l'Union européenne.
La Fondation Igazgyöngy (Perle), créée par Nóra Ritók, est aussi soutenue par Soros mais a reçu près de 80'000 euros en 2020 et 120'000 en 2021 des fonds structurels de l'Union européenne et du Fonds de cohésion.
La fondation Partners Hungary a reçu une subvention de près de 200'000 euros pour un programme en cours depuis septembre 2020 et financé par la Fondation publique Tempus et par Erasmus+. En outre, elle a reçu 48'000 euros de la Commission européenne pour promouvoir l'éducation et la formation inclusives, ainsi que pour l'éducation des élèves défavorisés, notamment en soutenant les enseignants, les formateurs et les directeurs d'établissements d'enseignement. De plus, elle a reçu 37'000 euros de la Commission européenne pour arrêter la ségrégation dans les jardins d'enfants du VIIIe arrondissement de Budapest. Outre la municipalité de gauche, la Fondation Rosa Parks participe au projet. Le dernier rapport financier de cette dernière organisation montre qu'elle a reçu 76'000 euros du budget de l'Union européenne ou d'un État étranger ou d'une organisation internationale.
L'Association d'intérêt public des Acheteurs conscients, également soutenue par Soros, a reçu environ 360'000 euros d'aide en 2021 provenant de l'Union européenne ou d'un État étranger ou d'un organisation internationale.
La liste pourrait être prolongée encore longtemps, des organisations - peut-être moins connues - liées à Soros qui ont également bénéficié de fonds européens et étrangers, comme l'Association pour le développement communautaire (166'000 euros), l'Association Számá dă Noj / Vigyázz Reánk (33'000 euros), l'Association de jeunesse Egyesek (174'000 euros), la Fondation Casse-Noix (245'000 euros) ou l'Institut de politique énergétique et centre méthodologique Energiaklub (240'000 euros).
(À suivre)
Source: https://magyarnemzet.hu/belfold/2023/04/washington-es-brusszel-kiegesziti-a-soros-tamogatasokat
Traduction: Albert Coroz
Photo en une : Fidelitas attend toujours la réponse de la « gauche dollar » au sujet de ce que George Soros a demandé en contrepartie pour soutenir sa campagne avec six millions de dollars. (Photo: István Mirkó (MI))
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26 oct. 2021 COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L'HOMME [3:31]
En février 2020, l'ECLJ (Centre européen pour le droit et la justice) a publié un rapport démontrant des conflits d'intérêts entre certains juges de la Cour européenne des droits de l'homme et des ONG. Depuis, des réformes ont commencé et des recommandations de l'ECLJ so
https://www.youtube.com/watch?v=3-27P4x1nX8
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Voir aussi:
https://lesobservateurs.ch/2020/03/08/main-mise-de-soros-sur-la-cedh-nouvelles-reactions/
https://lesobservateurs.ch/2020/02/23/illustration-de-lactivisme-gauchiste-de-la-cedh/
https://lesobservateurs.ch/2020/02/22/mainmise-du-milliardaire-soros-sur-lue/
Un an après le rapport sur Les ONG et les juges de la CEDH : État des lieux
Comment George Soros a infiltré la Cour européenne des droits de l’homme
François d’Orcival : «La charia s’invite dans le droit européen»
Terres de Mission n°107 : l’évolution des droits de l’homme depuis 1948
La CEDH se soumet à la loi sur le blasphème – au nom de laquelle un mot de travers peut vous coûter la vie
Et vous, qu'en pensez vous ?