La Suisse contribue indirectement à la guerre en Ukraine sans tenir compte de la situation économique catastrophique

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Cenator.

La Suisse verse 4 milliards par an d'aide au développement, somme doublée en quelques années par le Conseil fédéral et les Chambres fédérales, lesquelles carburent à l'idéologie au lieu de représenter les intérêts de leurs électeurs.

La Suisse hors sol prend l'initiative de tenir un sommet les 4-6 juillet dernier à Lugano pour la reconstruction de l'Ukraine, alors que personne ne voit la fin de cette guerre, ni même la moindre volonté du gouvernement de Kiev d'entamer des négociations de cessez-le-feu avec la Russie.

La Suisse si fière de son rôle diplomatique dans le monde, promotrice de la paix, du dialogue, coupe les ponts avec la Russie et se comporte comme une colonie des USA, non comme un pays neutre et fier.

Les informations dans les médias ont été remplacées par la propagande du côté des Ukrainiens, leurs exactions ne sont pas relevées, les actes de terrorisme envers les Russes ou les Européens sont déformés, tus.

Parallèlement, la Russie est diabolisée alors que durant huit ans la guerre au Donbass, menée par les Ukrainiens, n'a jamais déclenché l'indignation des journalistes. 

L'Europe, sous l'injonction des USA, pour servir exclusivement les intérêts de ces derniers, envoie des armes, forme militairement des soldats ukrainiens, s'endette, se ruine et fait durer cette guerre, alors qu'avec les confinements insensés les caisses étaient déjà vidées, elle participe par divers moyens (actes de terrorisme, services de renseignements, de propagande...) à faire durer cette guerre.

Le gouvernement ukrainien ultracorrompu est en faillite totale, artificiellement tenu en vie par l'Europe et les USA, et le président Zelensky exige 7 milliards mensuellement, rien que pour faire tourner l’État, alors que sa population est sacrifiée, à la fois au front et par la destruction physique et démographique du pays.

La population de l'UE et de la Suisse est sensibilisée aux réclamations quotidiennes de Zelensky, qui communique urbi et orbi ses besoins en armes et en  milliards; d'ailleurs, sa femme vient de publier son indignation de voir le soutien occidental commencer à faiblir.

Et nous nous laissons vampiriser par ce criminel de guerre, nous tendons même volontairement notre cou et nous nous pressons pour financer la reconstruction de ce pays de 603 500 km2, sans même connaître ses futures frontières.

En Suisse, nous nous attendons à 120'000 réfugiés d'Ukraine d'ici la fin de l'année, et une infime minorité d'entre eux est employable.
Ils ont tous traversé des pays en paix pour arriver en Suisse et auraient pu rester même dans l'Ouest, où il n'y a pas de bombardements.
Entretenir une telle masse humaine est au-dessus de nos forces et en plus, nous offrons de l'aide à l'Ukraine sans condition, alors que le gouvernement ne laisse voir aucun espoir de chercher la paix avec la Russie.
Selon l'UNHCR, à ce jour, il y a 14 millions d’Ukrainiens qui sont déjà devenus des réfugiés, alors que s'annoncent de prochaines vagues migratoires du fait de ceux qui fuiront un hiver sans énergie et sans nourriture, sans oublier la vague en provenance d'Afrique et des pays du Moyen-Orient.

Sans l'aide occidentale, les morts, la destruction et la ruine de l'Ukraine prendraient fin immédiatement. Et les centaines de millions, ou les milliards, pris dans la poche des contribuables européens et suisses n'y changent rien, ne feront que prolonger la guerre et l'agonie de l'Ukraine, et augmenter le nombre des victimes des deux côtés.
Cette fausse générosité au nom d'"aider sur place, plutôt qu'ils deviennent des réfugiés chez nous" contribue à la destruction de notre économie, de nos assurances sociales et à notre appauvrissement. 

Nous aurions besoin, en ces temps difficiles, d'élus qui soient capables de tenir notre pays hors des vagues, et non pas de ceux qui, comme la majorité des politicards qui remplissent nos parlements, cherchent à plaire, à sauver la planète, ou ont comme principal souci celui d'être réélus.

Le peuple suisse désinformé, endoctriné, a porté au pouvoir bien des idéologues, des incapables sans expérience, des opportunistes, des personnes sans vision pour notre pays, qui entraînent la Suisse à alimenter cette guerre totalement immorale.

Récemment encore, nous avons appris qu'une bonne partie des armes envoyées en Ukraine par les Occidentaux sont revendues au marché noir, finissent dans les mains de gangs européens, sur le marché en Afrique du nord ou sont revendues aux armées islamistes.

Quant aux milliards déversés, la fortune de Zelensky et  de son entourage a augmenté dit-on de centaines de millions durant la guerre.

La Suisse pourrait être totalement  ruinée si la Confédération ne fixe aucun plafond pour les demandeurs d'asile à venir, quelle que soit leur provenance. Il y a trop de monde qui vivent grassement de ce business.

Les pays européens pauvres en énergie et en matières premières comme la Suisse seront frappés de plein fouet par la crise énergétique et économique majeure qui s'annonce.  En plus, leurs contribuables doivent assumer les conséquences des sanctions contre la Russie, sanctions insensées, inefficaces, auxquelles la Suisse s'est jointe sans raison valable.

Les pays qui disposent d'une véritable diversité de médias engagent le débat avec leurs citoyens sur les gigantesques bouleversements économiques en cours, et concernant les sanctions contre la Russie.

La Hongrie, qui est prise en étau entre l'OTAN et l'UE, consulte néanmoins sa population sur les sanctions imposées par l'UE, et donc, en fin de compte, par les USA. La Suisse, sans être membre, ni de l'une, ni de l'autre, par son indigence médiatique, n'offre même pas la possibilité de mener une réflexion, et encore moins de mener un débat non orienté sur des décision aussi graves.

Ce n'est pas la guerre en Ukraine mais la pensée unique imposée, qui mène notre pays tout droit vers la récession et les pertes d'emplois.
Les entreprises en grande difficulté sont déjà de plus en plus
nombreuses– voici un petit extrait de la succession des nouvelles:

21 août 2022: Les 100 millions de l’aide humanitaire suisse ont déjà été investis en Ukraine

27 octobre 2022:Le Crédit Suisse licenciera 9 000 employés

27 octobre 2022: L'usine historique de tabac de Boncourt risque de fermer ses portes

1 novembre 2022: La perte totale de la BNS est 142,4 milliards de francs de janvier à septembre 2022

2 novembre 2022: La Suisse offre 100 millions à Kiev

1 novembre 2022: Les Suisses n'ont jamais été aussi pessimistes depuis cinquante ans

Dans ce contexte, nous allons simplement couler sous le poids de la nouvelle invasion migratoire qui va s'ajouter aux masses que nous entretenons déjà.

Un commentaire

  1. Posté par Albana.-A. Kind le

    Aider si les réfugiés, mais ne pas intervenir en au une manière en UKRAINE tant que la guerre perdure.
    Albana-A. Kind Ferla

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