Berlin : Les Verts proposent de dépénaliser partiellement l’usage des drogues dures

Catherina Pieroth (Verts) demande que les règles concernant la consommation personnelle soient également appliquées aux drogues dures. La limite pour la cocaïne ou l’héroïne pourrait par exemple se situer à trois grammes, a déclaré la porte-parole des Verts berlinois pour la santé et la politique sur les drogues […]

Les règles sur la consommation personnelle actuellement en vigueur à Berlin ne concernent que le cannabis. Le ministère public peut classer les procédures pénales jusqu’à une limite de 15 grammes.

Quand un toxicomane est pris avec une petite quantité d’héroïne et qu’il doit payer une forte amende, cela ne sert pas à grand-chose, a déclaré Pieroth à l’Agence de presse allemande. Il s’agit de trouver une régulation réaliste pour les drogues dures. […] Pour Pieroth, « ce serait un soulagement pour la police, pour la société et pour toutes les personnes concernées ».

(Traduction Fdesouche)

Die Welt

4 commentaires

  1. Posté par Gérard Guichard le

    Et pis les pédophiles, seulement deux petites filles tous les 15 jours
    Et pis les nymphomanes, pas plus de 10 b…ses par jour
    Et pis les braqueurs, pas plus de 2 petits commerces par jour
    Et pis les immigrés en excès, pas plus de 200 000 par six mois
    Et pis, et pis, et pis…

  2. Posté par Aristocle le

    Oui, se mettre dans le pif de la cocaïne ou s’injecter (à petite dose bien sûr) de l’héroïne, c’est écologique ! Et dire qu’un quart des « suisses » votent pour cette sale engeance !

  3. Posté par miranda le

    Comme c’est « intéressant ». Et comment faisaient « nos » générations, nous qui n’avions ni cannabis, ni cocaïne, ni héroïne et tout le toin-toin?

    Et on n’ était pas non plus, bourrés aux drogues douces pleines de gras, de sucre et de sel des supermarchés. Et on faisait des beaux enfants qui ne présentaient pas les pathologies de beaucoup de pauvres petits enfants d’aujourd’hui.

    Allons toujours plus loin dans cette dépendance aux substances planantes et autres produits dégradant notre santé et les spermatozoïdes de l’homme blanc qui se font de plus en plus rares, atteindront « le point de non retour ».

    Bon, quand une société prend ce chemin, c’est qu’elle n’a plus rien à offrir à ses citoyens. C’est qu’elle est un DESERT CULTUREL ET AFFECTIF. Je parle du culturel populaire (pas celui des musées) qui depuis longtemps a été enseveli, ce qui fait que les gens n’avaient plus que l’église pour se rencontrer et comme l’église n’a pas su nous retenir, voilà où nous en sommes.

    Cela s’appelle le manque. Et ceux qui nous gouvernent cherchent à combler ce manque avec des moyens que l’on aurait déclarés jadis ILLICITES.

    Braves gens, recréez DE LA CULTURE POPULAIRE, celle qui réunissait les gens, qui les remplissaient, affectivement, socialement etc…..Inventez vous des fêtes de quartier, ça créé du lien, et les enfants adorent la vie de groupe, parce que cela les enrichit. Ce sont des buveurs de vie. N’en faisons pas de futurs consommateurs allant se consoler en goûtant à diverses substances qui dégraderont leur santé.
    Un exemple : nous gavons par notre « fric » les boîtes à vendre des tas de décors de NOËL (tous fabriqués en Chine), alors que si par quartier, nous nous réunissions pour décorer nous-mêmes et ensemble notre quartier (ce que j’ai vu dans des petits villages bretons) CELA CREE DU LIEN et les enfants en ont terriblement besoin. Ca les emplirait de souvenirs et ils auront envie de recréer ce lien plus tard quand ils seront adultes.

  4. Posté par Nicolas le

    Pieroth peinte en vert nous apprend à l’insu de son plein gré, comment elle et ses petits copains planent au-dessus des réalités.

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