La mansuétude des lois suisses en faveur des jihadistes

Dans notre pays, quelles sanctions risquent les prédicateurs radicaux ou les voyageurs du jihad par rapport aux autres pays?

Les personnes tombant sous cette catégorie devraient risquer au maximum une peine de prison de 10 ans. C'est ce que prévoient les nouvelles loi sur le terrorisme qui se trouvent actuellement en consultation. Pour l'instant, la loi helvétique prévoit 5 ans de prison au maximum pour participation à une organisation terroriste. Mais, même si la peine maximale devrait être doublée, la privation de liberté n'est pas systématique. Seuls les individus ayant «une certaine influence» sur l'organisation terroriste sont passibles d'au moins un an de prison. Des peines pécuniaires peuvent être prononcées dans tous les autres cas.

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4 commentaires

  1. Posté par Jim Droz-dit-Busset le

    C est a pleurer de degout .Des peines pecuniaires qui vont comme d habitude en Europe , etre payees par les citoyens victimes de ces hyenes qui devraient etre expulsees de suite et dechues de la citoyennete si double-national ! Sortez de votre jardin pour enfants citoyens !

  2. Posté par Marin breton le

    On est loin du rétablissement de la peine de mort, alors que les djihadistes ne pensent qu’à tuer. Il serait temps de revoir les priorités.

  3. Posté par Hotch le

    La sommaruga pense-t-elle vraiment que le risque de recevoir une amende va dissuader un seul de ces débiles islamiques de soutenir ses frères terroristes ?
    Il faudrait qu’elle se réveille (ou mieux, qu’elle retourne à son piano).
    La seule solution : des sanctions énergiques, allant jusqu’à la peine de mort, avec une marge d’appréciation très restreinte pour les juges. De plus, le soutien et la complicité doivent être punis des mêmes peines, considérant que sans un minimum de soutien l’acte terroriste n’aurait pas pu être commis. Ensuite, la tentative d’attentat doit être sanctionnée comme un attentat réussi, car l’échec ne résulte que du hasard ou de la maladresse, et que l’intention criminelle reste identique.
    Finalement, pour ceux qui seront relâchés après leur peine, bannissement à vie systématique, même si l’individu avait la nationalité suisse.
    Ça ne coûte rien d’essayer.

  4. Posté par Marco le

    Nos politiques ont intérêt à durcir le ton et modifier le droit pénal, sinon les Suisses vont se faire bouffer par ces cafards radicalisés!

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