Vaccination et Obligation

Dans deux jours, la France entame le régime du "pass sanitaire étendu". L'agitation gronde, alors que la foule se rebelle, conséquences prévisibles de l'autoritarisme du Président Macron. Le nudge a laissé place à la matraque.

Las! La France n'est pas la Suisse. Jamais sa Majesté Macron ne s'abaisserait à faire ce qui en Suisse relève de l'évidence - demander son avis au peuple à travers un référendum. Le système suisse le permet, et le permettra inévitablement. Après un premier vote contre la Loi COVID - accepté après avoir été faussement présentée par les médias comme un vote "sur les mesures financières d'urgence" - un second est en route, et d'autres pourraient suivre encore.

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Protestations anti-pass sanitaire à Paris

En France, le débat politique se limite à la rue, entre tirs de gaz lacrymogène et incendies de poubelles. La perspective de laisser le peuple s'exprimer n'augure évidemment pas d'un résultat acceptable pour tout le monde, mais il permet au moins d'habiller la décision d'un minimum de légitimité. Et le débat a déjà lieu en Suisse sur le pass sanitaire, le certificat COVID, ou quel qu’autre nom dont on l'affuble ici-bas.

Il suffit de lire la presse locale pour s'en convaincre. Aujourd'hui, Le Matin s'alarme du ralentissement des vaccinations en l'assortissant bien entendu de l'obligatoire comparaison internationale (dûment échantillonnée). Allons-y les gars! Hop Suisse! Il faut remonter au classement! Oubliés le nombre de cas, le nombre de malades, le nombre d'hospitalisés dans un état grave, le nombre de morts - le taux de vaccination est devenu le nouveau chiffre du moment, à l'exclusion de tout autre. Peut-être parce que les autres ne permettent pas de susciter l'état de panique souhaité au sein de la population? "Il va maintenant falloir trouver une parade et de nouveaux moyens pour convaincre les hésitants de passer par la case piqûre pour contrer la pandémie", conclut le journaliste sur un ton inquiétant.

Crise de confiance

Les complotistes sont partout, entend-t-on. Après les accusations de fascisme, de racisme, d'extrémisme (de droite cela va sans dire) le complotisme est désormais l'accusation disqualifiante par excellence. Comme les précédentes, elle dispense celui qui la formule de toute charge de preuve.

Les complotistes existent, c'est un fait, mais l'appellation recouvre désormais quiconque n'est pas enthousiaste face à la doxa gouvernementale. Par exemple, le cri "complotiste!" permet d'éviter de répondre aux interrogations suivantes:

  • Pourquoi a-t-il été si longtemps interdit de supposer que le COVID venait d'un laboratoire chinois?
  • Si les gestes barrières et la distanciation sociale sont efficaces, pourquoi obliger à porter le masque?
  • Si le masque est efficace, pourquoi forcer la vaccination?
  • Si la vaccination est efficace, pourquoi forcer le port du masque?
  • Si la vaccination est efficace, pourquoi prétendre que le Variant Delta implique la fin du monde?

Et enfin, si la vaccination n'est pas aussi efficace qu'on le dit, pourquoi vouloir à tout prix la rendre obligatoire? Si une proportion non négligeable des professionnels de la santé refuse le vaccin, la moindre des choses serait d'écouter leurs arguments de gens du métier, plutôt que de les défausser d'un revers de la main.

Depuis plus d'un an, les autorités enchaînent les conférences de presse devant un public de journalistes conquis. Jamais ils ne leurs posent ces questions.

Dans une logique sanitaire saine, il suffirait de vacciner les groupes à risques autant que possible, et les gens à leur contact (le personnel des EMS par exemple) et la messe serait dite. Le reste de la population se contenterait de se vacciner selon son désir. Nous avons quitté ces eaux calmes depuis longtemps. Est-ce par volonté de contrôle? Parce qu'il faut écouler les stocks de vaccin, ou en commander d'autres? Parce que des gens ont pris goût à la crise, et veulent la poursuivre pour leurs propres buts, heureux qu'ils sont de la chute du transport aérien ou du ralentissement de l'économie?

Le complotisme est l'enfant naturel du climat de mensonge et de contradiction dans lequel baigne le grand public depuis le début. Les masques étaient contre-productifs et inutiles jusqu'à ce qu'aujourd'hui ils fassent partie du paysage. Le vaccin était la solution alors que désormais il ne l'est plus, sauf à atteindre 100% de la population. Des molécules comme la chloroquine ou l'ivermectine sont arbitrairement défaussées comme des poisons alors qu'elles sont consommées depuis plus de cinquante ans contre de multiples maladies. On demande à toutes les populations de s'injecter un vaccin expérimental sur la base d'une technologie à ARNm sur laquelle nous n'avons aucun recul - et ce n'est pas comme si les scandales sanitaires n'existaient pas... On affirme que le vaccin est la solution à un retour à la normale, puis que les vaccinés sont contaminants et doivent toujours porter le masque. Et ainsi de suite.

Comme toujours les élites sont les premières à s'affranchir des règles qu'elles imposent d'une main de fer à la plèbe - qu'il s'agisse du port du masque, de dîners en ville ou des principes de quarantaine. C'est la variante sanitaire de la Davos crowd qui vient en jet privé se plaindre que M. Tout-le-monde puisse partir en vacances.

L'hystérie vaccinale pousse les autorités à réclamer la vaccinations d'enfants de plus en plus jeunes, une aberration alors qu'ils sont plus vulnérables à d'éventuels effets à long terme des "vaccins" à ARNm, et qu'ils se sortent beaucoup mieux d'une infection au COVID que leurs aînés. Elle pousse les autorités à bouleverser le secret médical en obligeant chacun à dévoiler des informations personnelles à son employeur ou pour prendre un simple café en terrasse. Elle amène certains à plaider la fin de la notion de solidarité au cœur de l'assurance-maladie, comme le propose le conseiller national PLR Kurt Fluri.

Heureusement, nous pourrons compter sur l'UDC pour mener le combat - contre l'ensemble des autres partis, semble-t-il, mais c'est devenu une habitude.

Vaccin et Gilets Jaunes

Lundi, la Tribune de Genève ouvre ses colonnes à un avocat. L'homme incarne parfaitement le mépris de classe face aux gueux qui ont l'outrecuidance de refuser la libération vaccinale. Ne sauraient résister à l'obligation que "ceux qui hésitent encore" et les "antivaxx convaincus". Ces derniers sont selon lui "plutôt jeunes, (entre 18 à 50 ans [sic] environ), souvent conservateurs, sans avoir un parcours scolaire jusqu’à des études supérieures ou issus de milieux aux revenus moins élevés et le plus souvent le nez plongé sur les applications TikTok, Snapchat et autres balivernes à neurones produites sur leur smartphone."

Le subtil portrait est brossé, suivi de plusieurs salves du même calibre. L'avocat pose finalement le sommet de son argumentation, sa question de bon sens: "Iriez-vous en vacances en Tanzanie ou en Ouganda sans être vacciné contre la malaria?" Une interrogation pour le moins intéressante vu qu'il n'existe pas, pour l'heure, de vaccin contre la malaria!

C'est un peu le problème avec tous ces gens qui tancent les réfractaires à la vaccination forcée. Suintant de mépris, ils tombent assez vite dans les travers - compréhension très parcellaire de la science, données approximatives et théories du complot - qu'ils projettent constamment sur leurs adversaires.

Si on est contre la vaccination obligatoire on est forcément "antivaxx", par exemple. C'est-à-dire un peu con et plutôt de droite (pardon pour le pléonasme), pauvre, abreuvé de bêtises et anti-science. Il ne vient même pas à l'esprit de la plupart de ces beaux parleurs qu'on peut être à la fois vacciné et contre la vaccination obligatoire. Ce cas de figure pourtant banal équivaut à une division par zéro dans leur logiciel intellectuel.

Croire que la vaccination implique un désir de vaccination obligatoire est une erreur grossière. Journalistes et politiciens en France comme en Suisse romande la commettent quotidiennement. Les adultes vaccinés et contre la vaccination obligatoire, à mon avis nombreux en Suisse, ramènent le débat à sa quintessence, la souveraineté de chacun sur son propre corps. Le vaccin permet-il de se protéger suffisamment? Vaut-il les risques encourus, y compris les risques à long terme que personne n'est en position de mesurer? Il ne peut pas y avoir de réponse universelle à cette question ; seulement des décisions personnelles.

Le pass sanitaire gagne du terrain, clame Le Matin avec gourmandise. Voulons-nous d'une société basée sur la ségrégation sanitaire? Ce n'est pas qu'une vue de l'esprit. Un rapport sénatorial en France - qui sera lu à l'étranger, n'en doutons pas - fait la liste de toutes les mesures de contrôle social qui pourraient survenir en cas de nouveau super-COVID... Ou peut-être juste si "la situation l'exige", selon l'appréciation des pouvoirs publics. Bracelets électroniques, alertes de proximité, portiques sous alarme pour prendre le train ou le métro, le contrôle social à la chinoise s'invite sous nos latitudes à une vitesse effrayante.

Les autorités nous manipulent par la peur depuis un an et demi, et elles l'admettent. Allons-nous accepter de renoncer pour toujours à notre vie d'avant, face à une maladie qui effraie de moins en moins? Voilà le combat pour la liberté que nous devrons mener.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 28 juillet 2021

Covid-19 : Les Seychelles, pays le plus vacciné du monde, réinstaurent des restrictions

Albert Coroz: Actuellement, les fabricants des vaccins Covid travaillent sur une troisième injection, qui comprendra également des séquences spécifiques aux variants.

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CNEWS - 5.05.2021

Bien que plus de 60 % de leur population ait déjà été complètement vaccinée, soit plus que n'importe quel pays au monde, les Seychelles font face à une nouvelle hausse des cas de coronavirus. En réponse, l'archipel a remis en place des restrictions sanitaires.

Et celles-ci sont strictes : fermeture des écoles, interdiction de se rassembler entre membres de foyers différents, fermeture anticipée le soir des bars, restaurants et commerces, ou encore incitation à télétravailler... Le couvre-feu à 23h reste en vigueur. Ces mesures doivent durer trois semaines minimum.

«Malgré tous les efforts exceptionnels que nous déployons, la situation du Covid-19 dans notre pays est critique en ce moment», a déploré lundi la ministre de la Santé seychelloise, dans des propos rapportés par Bloomberg.

En trois jours, entre jeudi et samedi, près de 500 nouvelles contaminations ont été enregistrées, portant le nombre de cas actifs dans le pays à environ un millier. Sur l'ensemble de ces malades, 65 % n'avaient pas été vaccinés ou avaient reçu seulement une dose, et les 35 % restants avaient reçu les deux doses du vaccin.

L'efficacité des vaccins en question ?

Les autorités de l'archipel n'ont pas vraiment donné de raisons derrière cette flambée des infections, évoquant seulement le moindre respect des gestes barrières et les célébrations de Pâques. La question de l'efficacité des vaccins n'a pas été abordée.

Pourtant, elle est cruciale. Comment expliquer une telle hausse des cas alors que plus de 60 % des quelque 98.000 habitants de l'archipel  sont d'ores et déjà totalement vaccinés ? Soit davantage qu'en Israël, vu comme le champion mondial de la vaccination. Pour leur campagne de vaccination, entamée en janvier, les Seychelles ont utilisé deux vaccins : le chinois Sinopharm et Covishield, la version du sérum d'AstraZeneca fabriquée en Inde. Or, il y a quelques semaines, les Chinois eux-mêmes ont annoncé que leur vaccin n'était pas vraiment efficace.

Extraits de: https://www.cnews.fr/monde/2021-05-05/covid-19-les-seychelles-pays-le-plus-vaccine-du-monde-reinstaurent-des-restrictions

Un EMS de Sierre: quatre pensionnaires vaccinés infectés par le Covid, l’un d’eux décède

Coronavirus: un EMS de Sierre touché malgré la vaccination

Visites limitées Un pensionnaire de l’EMS Saint-Joseph de Sierre est décédé du Covid et cinq ont été infectés par le virus. Parmi eux, quatre étaient vaccinés. Cela reste dans la marge d’efficacité du vaccin, selon la faîtière des EMS.

Cet article a été modifié le 11 avril à 11 h 30 suite à une nouvelle information qui nous est parvenue.

Un pensionnaire est décédé du Covid en fin de semaine passée à l’EMS Saint-Joseph, à Sierre. Cinq autres sont actuellement touchés par le Coronavirus. «Parmi ces derniers, un seul a développé une forme un peu plus sévère de la maladie, mais... [...]

le reste de l'article est réservé aux abonnés: https://www.lenouvelliste.ch/dossiers/coronavirus/articles/coronavirus-un-ems-de-sierre-touche-malgre-la-vaccination-1065193

Covid-19 : la CEDH juge la vaccination obligatoire «nécessaire dans une société démocratique»

La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH), saisie par des parents d'enfants refusés par des écoles maternelles faute d'avoir été vaccinés en République tchèque, a estimé jeudi 8 avril que la vaccination obligatoire était «nécessaire dans une société démocratique», dans un arrêt de sa formation suprême, la Grande chambre.

«Cet arrêt vient conforter la possibilité d'une obligation vaccinale sous conditions dans l'actuelle épidémie de Covid-19», a commenté Nicolas Hervieu, juriste spécialiste de la CEDH. (...) Et la cour, poursuit-il, endosse «le principe de solidarité sociale qui peut justifier que l'on impose la vaccination à tous, même ceux qui se sentent moins menacés par la maladie, dès lors qu'il s'agit de protéger les personnes les plus vulnérables».

(...)

Lefigaro.fr

Nos remerciements à Victoria Valentini

Production de vaccins: Lonza serait à la limite

Valais - 19 mars 2021- (cht) Pression folle, employés épuisés, ambiance tendue: la firme de Viège, qui produit la substance active du vaccin Moderna, serait au bout de ses capacités. [...] Pénurie de personnel qualifié

[...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/production-de-vaccins-lonza-serait-a-la-limite-972240968182

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Cenator : La Hongrie projette de sortir son propre vaccin contre le Covid, car depuis le début de l’épidémie, elle a aidé la recherche dans ce sens et elle a mis en route la construction d’une usine de vaccin. Les Hongrois n’ont pas réagi d’une manière passive à la crise sanitaire, mais ont aussi investi pour que l’épidémie n’apporte pas que des pertes.

Récemment, Orban s’est rendu en Israël et a conclu avec Netanyahu un contrat pour la co-construction d’une usine pharmaceutique en Israël.

Le gouvernement hongrois a tiré les leçons de son expérience avec l’UE, après la gestion calamiteuse du début de l’épidémie (masques, désinfectants, respirateurs). Les prémisses d’une nouvelle catastrophe se profilaient pour la phase « vaccin » et le gouvernement hongrois a décidé de prendre les devants.

Orban, en novembre 2020, a conclu rapidement des contrats pour des vaccins avec la Russie et la Chine. Grâce à ces apports, la Hongrie est actuellement le pays le mieux vacciné de l’UE.

L’UE avait d’abord vertement blâmé la Hongrie et affirmé qu’Orban n’avait pas le droit de faire « bande à part », que toutes les commandes devaient être faites par les bureaucrates de l’UE pour « faire baisser les prix ». Après que la Hongrie ait demandé quelle était la loi européenne qui interdirait d’acheter ce qu’elle voulait, l’UE a averti la Hongrie que les vaccins chinois et russe, non homologués par l’UE, étaient considérés comme dangereux. À présent, Merkel fait des courbettes devant Poutine pour s’en procurer.
Puis Von der Leyen, qui n’a jamais froid aux yeux, s’est mise à mentir en disant que les contrats entre l’UE et les producteurs de vaccins n’avaient jamais existé.
La Hongrie vient de prouver le contraire : elle a réussi à se procurer, et à publier, ces contrats – tous ridiculement mal fagotés,
sans conditions, à l’image de cette usine à gaz dangereuse, dirigée par des incompétents, qu’est l’UE.

Orban, sur la base des évaluations de sa task-force Covid, a promis le 20 mars : dès que le nombre des vaccinés atteindra 2,5 millions, la Hongrie pourra commencer la relance. La vaccination est freinée parce qu’il n'y a pas assez de vaccins, mais les centres de vaccinations sont en nombre suffisant.
Actuellement, la Hongrie compte plus de 1,5 millions de vaccinés, mais la 3ème vague est encore en phase d’augmentation.

Pendant ce temps, en Suisse, l’usine Lonza est au bout de ses forces.
Il y a quelques mois, les journalistes romands ont jubilé : les contrats de l’usine Lonza avec l’étranger seraient honorés, le principe « les autres avant les nôtres » était à nouveau appliqué. Les autres pays appliquent le principe « les nôtres avant les autres », ce qui est normal, sauf pour la Suisse progressiste et vertueuse des
journaleux et du monde académique.

Un seul exemple de cette dérive : l’argent des contribuables devrait voler au secours de la presse (« de gauche », il va sans dire) que plus personne ne lit, tant elle est prévisible et moutonnière.

De son côté, l’UE, tant par son degré de corruption, que par l’idéologie de Gauche qui la domine, a perdu la capacité d’appréhender le monde tel qu’il est réellement.
En Suisse, le majorité bien-pensante tente de toutes ses forces d’occuper l’espace médiatique
et public pour que seule soit audible sa « ritournelle » politiquement correcte.

Dans ces conditions, les démarches audacieuses d’un Orban ne sont pas imaginables et encore moins réalisables.

Les véritables descendants de Guillaume Tell n’en croient pas leurs yeux et leurs oreilles et se disent que leur fin est vraiment proche… surtout, lorsqu’on voit qu’en pleine crise grave, des milliards sont encore dilapidés pour l’entretien d’une parasitocratie toujours en augmentation.

Bruxelles a menti concernant les contrats de vaccins - 4 preuves signées par l'UE

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(vidéo en hongrois)

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Parler franchement - 13 mars 2021 par Suzette Sandoz

Rien n’encourage plus le « complotisme » que le sentiment désagréable que quelque chose d’important n’est pas dit.

En cette époque de pandémie où malheureusement les vraies incertitudes politico-scientifiques côtoient les demi-vérités, on attend des autorités qu’elles jouent franc-jeu si elles veulent être respectées.

Il est donc temps de dire clairement, en relation avec la pandémie :

  • Quelles sommes ont été investies par nos pouvoirs publics dans les recherches des pharmas. Pour quelles recherches ? Chez quelles pharmas ? A quelles conditions ?
  • Quelles sommes ont été dépensées par nos pouvoirs publics pour acquérir quels remèdes ou/et quels vaccins, à quelles conditions ?

La solidarité et les énormes sacrifices imposés à la population méritent une pleine franchise de la part des autorités. La vraie difficulté réside peut-être dans l’absence de franchise des autres Etats.

source: https://blogs.letemps.ch/suzette-sandoz/2021/03/

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Dreuzinfo - Une preuve supplémentaire de l’efficacité des vaccins : En Israël, le nombre de décès et de cas continue de baisser alors que le pays sort du confinement.

Israël est le premier pays qui permet de vérifier en taille réelle les effets immédiats du vaccin, puisqu’environ 60 % de la population adulte israélienne a reçu son premier vaccin contre le Covid chinois, et que la pandémie est en fort déclin.

Le gouvernement israélien a annoncé qu’hier jeudi 18 mars, le nombre de nouvelles contagions est tombé à 1 225, avec 6 décès.

  • Depuis le pic de la pandémie à la mi-janvier, cela représente une baisse de 91 % du nombre de décès, 86 % de cas en moins et 73 % de patients gravement malades en moins, chez les personnes âgées de plus de 60 ans.
  • Les données montrent que 196 personnes sont mortes au cours des 11 premiers jours de mars contre plus de 1 400 personnes en janvier, et le taux a été divisé par trois.
  • Fin février, une étude A/B réalisée par le prestataire de soins de santé Maccabi Healthcare Services (3), indique que sur 163 000 Israéliens ayant reçu les deux injections, seuls 31 ont été infectés, contre près de 6 500 contaminés dans le groupe témoin de personnes non vaccinées, ce qui suggère que le vaccin est efficace à 92 %.

« C’est une très, très bonne nouvelle », a déclaré le Dr Anat Ekka Zohar, vice-présidente de Maccabi.

Le ministre de la Santé, Yuli Edelstein, a salué cette nouvelle jeudi, alors que le pays se prépare à un nouvel assouplissement des restrictions dès aujourd’hui vendredi.

Edelstein a déclaré :

« Avec toute la prudence nécessaire, je commence à croire que nous ne reviendrons pas en arrière. Par le passé, pour obtenir de tels chiffres, il fallait un verrouillage strict du pays. Aujourd’hui, tout est ouvert et tous les indices sont en baisse. Je commence à croire que les temps difficiles sont derrière nous ».

  • À partir de vendredi, les lieux intérieurs d’une capacité de 5 000 personnes pourront accueillir jusqu’à 1 000 personnes, soit jusqu’à 20 % de leur capacité.
  • Les lieux plus grands pourront accueillir jusqu’à 3 000 personnes, avec un maximum de 30 % de leur capacité.
  • Les lieux en plein air pouvant accueillir jusqu’à 10 000 personnes seront autorisés à accueillir 3 000 personnes,
  • Les stades de plus de 10 000 places seront autorisés à accueillir jusqu’à 5 000 personnes.
  • Les bars et restaurants, les salles de manifestations, les événements sportifs, les hôtels et toutes les écoles primaires et secondaires ont été autorisés à rouvrir il y a près de deux semaines.

Toute personne entièrement vaccinée ou ayant guéri du coronavirus peut prétendre à un « passeport vert », introduit fin février.

Ces passeports donnent accès aux repas en salle dans les bars et restaurants (les personnes non vaccinées doivent manger en terrasse, aux lieux de culte en salle (limités à 20 personnes), ainsi qu’aux attractions touristiques.

Les passeports délivrés par le ministère de la Santé sont disponibles via une application ou peuvent être imprimés, et permettent d’accéder à divers lieux en intérieur. L’entrée des centres commerciaux n’est pas limitée aux personnes possédant le passeport vert.

  • Plus de 52 % de la population de 9,3 millions d’habitants a reçu une dose et plus de 4 millions deux doses du vaccin Pfizer, soit le taux par habitant le plus élevé au monde.
  • Près de 90 % de la population de plus de 50 ans du pays a été vaccinée ou s’est rétablie du coronavirus.
  • Cette population à haut risque étant largement vaccinée, les décideurs ont conclu que la sécurité était suffisante pour rouvrir d’autres secteurs de l’économie.

Une économie moins affectée que prévu

Le taux de chômage en Israël reste élevé, mais de manière conjoncturelle, et se dirige rapidement vers le presque plein emploi.

Alors qu’Israël célèbre la réouverture de son économie, stimulée par la rapidité sans précédent de sa campagne de vaccination, les réservations de restaurants sont en plein essor, certains affichent complet pour 10 jours, les bars et les cafés grouillent de monde, et les hôtels sont complets pour les prochaines vacances de Pessah, qui commencent vendredi en huit (1).

Sharon Mizrahi, propriétaire du restaurant de fruits de mer Manta Ray à Tel-Aviv, a déclaré avoir reçu plus de 400 appels et des dizaines d’emails de personnes souhaitant réserver, qu’elle n’a tout simplement pas eu le temps de traiter. « C’est frustrant, mais les gens comprennent ».

  • En janvier, 18,4 % de la population active était sans emploi à cause de la pandémie, selon le Bureau central des statistiques d’Israël.
  • Selon les prévisions du Fonds monétaire international, le taux de chômage en Israël devrait tomber en dessous de 6 % à 5,557 % en 2021, comparé à 3,9 % pour l’année 2019.
  • Mais en 2020, l’économie a régressé de 2,5 %, soit beaucoup moins que ce qui était craint auparavant.
  • Le 12 mars, les sociétés de cartes de crédit ont signalé (1) une forte hausse des dépenses du vendredi matin, jour de congé pour de nombreux Israéliens et période populaire pour les brunchs.Par rapport au vendredi précédent, les dépenses ont augmenté de 15 % entre 9 heures et 13 heures, les Israéliens ont dépensé 538,9 millions de NIS (près de 162 millions de dollars) sur leurs cartes de crédit pendant cette période, selon Automated Bank Services.

Si cette nouvelle est la bienvenue pour les restaurateurs et l’économie, on ne peut passer sous silence que quelque 4 000 des 14 000 restaurants qui fonctionnaient avant la pandémie ont fermé définitivement, tandis que, paradoxe, certains nouveaux commerces ont ouvert en pleine pandémie.

Des jeunes peu motivés

L’Institut de géocartographie a fait un sondage en février (2) pour connaître la volonté des Israéliens de recevoir le vaccin en fonction du niveau de religiosité et de l’âge, et a constaté qu’un cinquième de cette population n’a pas l’intention d’être vacciné.

  • Au 19 février, un tiers des jeunes adultes âgés de 18 à 29 ans n’ont pas souhaité être vaccinés – selon l’étude, soit,
  • 48 % des jeunes adultes du secteur Haredi (très religieux),
  • et 30 % dans le secteur général.
  • En outre, les jeunes juifs laïcs estiment que leur probabilité moyenne de contracter le coronavirus sans vaccination est de 32,8 %, tandis que les religieux du même groupe d’âge estiment que leurs chances d’être infectés sans vaccination sont assez similaires – 30,9 %.
  • Quand il s’agit d’évaluer la gravité de la maladie, 63,9 % des juifs laïcs dans le groupe d’âge 18-29 estiment que s’ils attrapent le coronavirus, ils éprouveront des symptômes bénins qui passeront après quelques jours.
  • Chez les jeunes religieux, le chiffre est encore plus élevé, avec 92,6 % qui pensent qu’ils n’auront que des symptômes bénins.
  • À partir de ces données, on peut conclure qu’une majorité écrasante de jeunes considère que même s’ils sont infectés, leur maladie sera bénigne, et n’est pas convaincue de la gravité de la maladie ou des dommages qu’elle peut causer à court et long terme.

Les ultra-orthodoxes sont les plus touchés et les plus réticents, mais ils font volte-face

Les 1,2 million de juifs ultra-orthodoxes d’Israël sont non seulement la communauté la plus durement touchée par le coronavirus, mais également celle accusée par de nombreux Israéliens laïcs d’avoir prolongé la pandémie en ignorant les règles de confinement.

Aujourd’hui, le taux d’infection parmi les Haredim, c’est ainsi qu’on les appelle en Israël, a fortement diminué, passant même sous la moyenne nationale pour la première fois depuis le début de la pandémie. Pourquoi ? Parce qu’ils se sont décidés à se faire vacciner.

  • Les cas de maladies graves ont également diminué,
  • le taux de vaccination est passé à 72 %, un taux relativement élevé, bien que toujours inférieur au taux national de 86 %.

Cette évolution fait suite à un décret des principaux rabbins des Haredim, qui approuvent maintenant le vaccin (7).

« L’essentiel est le verdict rabbinique selon lequel le vaccin est sûr et efficace et doit être pris. » a déclaré Ran Balicer de Clalit, le plus grand fournisseur de soins de santé d’Israël.

La décision des rabbins a marqué un tournant fondamental.

  • En février, un juif israélien ultra-orthodoxe sur 100 âgé de plus de 60 ans était mort du COVID-19 – soit près de 6 fois plus que le reste de la population.
  • Les Haredim, qui représentent environ 12 % des 9,3 millions d’habitants d’Israël, constituent 28 % du total des 800 000 cas de contaminés par le coronavirus recensés, selon Eran Segal, spécialiste des données à l’Institut Weizmann des sciences d’Israël.
  • Mais selon le ministère de la Santé, les Haredim représentent désormais à peu près la même part des nouveaux cas d’infection que leur proportion de la population, voire un peu moins.
  • Ils ont également enregistré la plus forte baisse de maladies graves de tous les secteurs depuis le pic de la troisième vague à la mi-janvier – merci à la vaccination.

Méfiance, rancœur et rejet

Malgré ce renversement de tendance chez les ultra-orthodoxes, les Israéliens leur en tiennent une immense rancœur d’avoir été si négligents, si égoïstes envers le reste de la population, d’avoir refusé les appels au confinement malgré l’hécatombe qu’ils ont subie, et obligé tout le pays à subir un confinement plus long que nécessaire.

« Lorsqu’un homme haredi monte dans un bus, tout le monde le regarde comme si c’était un lépreux. Les Haredim se sentent persécutés, il y a un manque d’empathie à leur égard », a déclaré Roni Numa, qui dirige le groupe de travail ultra-orthodoxe du ministère de la Santé.

Beaucoup d’Israéliens, disais-je, blâment les Haredim, parce que certains rabbins ont ouvertement demandé à leurs fidèles de défier la loi et d’envoyer les élèves en classe, provoquant la colère des Israéliens dont les écoles sont restées fermées.

« On a pu constater des violations du confinement dans tous les secteurs… mais ce qui s’est passé dans la communauté haredi… c’est que des appels à violation sont venus des dirigeants », a déclaré Yair Ettinger, analyste des affaires religieuses pour la radio publique Kan.

La colère des Israéliens s’est accrue lorsque les journaux télévisés du soir ont diffusé des images de funérailles massives auxquelles assistaient des milliers de Haredim entassés, et que les réseaux sociaux montraient des vidéos de mariages immenses – plusieurs milliers de personnes – et de célébrations de fêtes, en plein confinement où les gens ne sortaient que pour faire leurs courses et des activités physiques.

Même si les vidéos sont bien réelles, il est impossible d’ignorer le parti-pris fortement anti-religieux des médias et de la gauche en général, qui n’a pas été avare de Fake News. Ainsi, Numa a déclaré que sur le terrain, l’écrasante majorité des Haredim ont respecté le confinement. Rares sont les médias qui ont donné un droit de réponse aux Haredim pour expliquer leur situation, que voici :

  • De nombreux ultra-orthodoxes ont été lents à obtenir des informations sur la pandémie que les autres Israéliens ont obtenues par la télévision, les journaux et Internet, du fait qu’ils fuient la culture laïque et vivent dans leur bulle – sans jugement de valeur.
  • En outre, avec sept enfants par famille en moyenne, ils vivent souvent les uns sur les autres, et le confinement a été une difficulté pour beaucoup de Haredim qui l’ont respecté.

« Nous n’avons pas Zoom [outil choisi par les écoles israéliennes pour les cours à distance], tout se faisait par téléphone, chaque famille devait s’emparer de téléphones et chaque enfant devait trouver un espace tranquille dans la maison », a expliqué l’organisation Chadad.

La « négligence criminelle d’Israël face au coronavirus »

Le site Middle East Eye (4), un média pro-palestinien qui décrit Israël comme un Etat d’Apartheid et soutient le militantisme actif contre Israël, dénonce « la négligence criminelle de la réponse d’Israël au coronavirus », et affirme que les médias ont « aidé Israël à aseptiser les retombées de sa réaction criminelle et négligente face au coronavirus. »

La journaliste antisioniste Belen Fernandez (5) explique, en commentaire d’un article d’ABC News (6) (« Israël célèbre la 5 millionième vaccination contre le coronavirus ») qu’il s’agit d’une « course du pays pour prouver sa supériorité mondiale en vaccinant ses neuf millions d’habitants plus rapidement que quiconque ».

La journaliste ajoute cette remarque, que l’on trouve souvent reprise sur les réseaux sociaux sous la plume de personnes habituellement plus prudentes à reprendre la propagande antisioniste :

Le fait qu’Israël ait pu conclure un accord de partage des données avec Pfizer-BioNTech, selon lequel tous les besoins israéliens en matière de vaccins ont été rapidement satisfaits en échange d’une somme gargantuesque et de violations flagrantes de la confidentialité médicale, n’est pas étranger à cette situation.

Mais cette sorte de logique du capitalisme coronaire, où le gagnant prend tout, signifie qu’il y a beaucoup de perdants. Les consommateurs de nouvelles qui lisent au-delà des titres découvriront dans le deuxième paragraphe de l’article d’ABC que, par coïncidence numérique, il y a aussi cinq millions de Palestiniens en Cisjordanie et à Gaza occupés – qui, comme d’habitude, n’ont rien à fêter.

  1. Oui, Israël a payé le vaccin près de trois fois plus cher. Si l’on compare cette « somme gargantuesque » en termes de coût/bénéfice, le retour à une économie normale dépasse de très très loin le surcoût. Si l’on évalue cette « somme gargantuesque » en termes de coût/maladie, il est scandaleux qu’on reproche à un gouvernement de faire des efforts pour le bien-être de sa population quand dans le même temps on reproche aux autres dirigeants du monde de les négliger.
  2. Non, l’accord de partage n’est pas une violation de la confidentialité médicale, car il n’est pas obligatoire : les personnes souhaitant se faire vacciner doivent spécifiquement donner leur accord pour partager leurs données – et leur refus n’entraîne aucun rejet de leur demande d’être vacciné.
  3. Oui, il s’agit d’une logique de « capitalisme coronaire », et sauf erreur de ma part, c’est le capitalisme qui apporte le bien-être à la planète, pas le socialisme.
  4. Non, Gaza n’est pas occupé, les Israéliens ont quitté la bande de terre en 2005, une information qui n’est toujours pas parvenue aux oreilles des militants, quant aux Palestiniens, ils reçoivent des vaccins … s’ils les payent, ce qui n’est pas vraiment le cas, Mahmoud Abbas et sa clique ne sont pas très intéressés à réduire le montant de leurs ponctions personnelles. De plus, qu’est-ce qui empêche les pays européens à envoyer des vaccins aux Palestiniens ? Ou à cette militante et aux organisations antisionistes de se cotiser pour acheter des vaccins et les leur envoyer ?

Conclusion

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a promis que d’ici la fin du mois d’avril, il offrirait le vaccin à toute la population adulte qui le souhaite, ce qui, selon lui, signifierait « que nous sommes sortis de la crise corona ».

Conclusion : Les Israéliens sont heureux d’en sortir, au milieu d’une minorité de mécontents, et de militants de gauche qui tentent de récupérer les hostiles au vaccin en un rejet du Premier ministre pour lui faire perdre l’élection, à une semaine du vote.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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  1. https://www.timesofisrael.com/restaurants-fully-booked-as-israelis-flock-back-after-year-of-restrictions/
  2. https://news.walla.co.il/item/3419490
  3. https://www.islandernews.com/coronavirus/israeli-report-shows-pfizer-biontech-vaccine-to-be-92-percent-effective-one-week-after-vaccination/article_73b18da8-7943-11eb-bc0c-13c5ac76713a.html
  4. https://www.middleeasteye.net/opinion/covid-israel-palestine-vaccine-miracle-apartheid
  5. https://www.middleeasteye.net/users/belen-fernandez
  6. https://abcnews.go.com/Health/wireStory/delays-israel-starts-vaccinating-palestinian-workers-76317639

Israel’s Ultra-Orthodox Jews Get COVID Vaccine But Still Face Resentment

source: https://www.dreuz.info/2021/03/19/vaccin-tous-les-lecteurs-de-dreuz-ne-vont-pas-apprecier-mais-les-chiffres-sont-tetus/

Les Pays-Bas suspendent l’utilisation du vaccin AstraZeneca

Les Pays-Bas ont suspendu dimanche par précaution l’utilisation du vaccin AstraZeneca contre le coronavirus, jusqu’au 28 mars inclus, après que des «effets secondaires possibles» ont été rapportés au Danemark et en Norvège, sans lien avéré à ce stade.

«Sur la base de nouvelles informations, l’Autorité néerlandaise des médicaments a conseillé, par mesure de précaution et dans l’attente d’une enquête plus approfondie, de suspendre l’administration du vaccin AstraZeneca» contre le Covid-19, a indiqué le ministère de la Santé dans un communiqué.

(...)

Capital.fr

Coronavirus : La Suisse doit se préparer au passeport vaccinal

L’idée de laisser plus de liberté aux personnes immunisées fait son chemin. Reste à savoir comment mettre en place un système équitable.

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L’Office fédéral de la justice estime néanmoins qu’il faudrait une base légale pour que l’État puisse contrôler le statut vaccinal des clients, et donc le respect des règles.

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24Heures.ch

Suisse. Vaccin contre le coronavirus : en cas de problème, « à peu près personne ne sera responsable »

Parmi les critiques les plus courantes contre les vaccins autorisés contre le Covid-19, l’une revient souvent: on n’aurait pas assez de recul sur les effets secondaires à long terme. Mais s’ils se déclarent, qui sera tenu pour responsable? Le fabricant du produit? Le médecin ou le pharmacien qui a administré la dose?

Les autorités qui ont autorisé et recommandé la vaccination? Ou le patient lui-même, sur qui repose la décision finale de recevoir sa piqûre? Mettons fin au suspense: à l’exception de quelques cas bien définis, la réponse risque souvent de rester: «à peu près personne».

(...)

20min.ch

L’Agence européenne a subi des pressions pour approuver au plus vite le vaccin Pfizer-BioNTech

Ces données dérobées, puis diffusées sur le Dark Web, montrent la pression à laquelle faisait face l’agence pour approuver au plus vite le vaccin Pfizer-BioNTech.

[...]

Le 19 novembre, un haut responsable de l’EMA évoque également une conférence téléphonique avec la Commission européenne qui se serait tenue dans « une atmosphère plutôt tendue, parfois même un peu désagréable, qui donne une idée de ce que à quoi l’EMA peut s’attendre si les attentes ne sont pas satisfaites, que ces attentes soient réalistes ou non ». Le lendemain, dans un échange avec l’Agence danoise du médicament, le même responsable se dit surpris qu’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, ait « clairement identifié les deux vaccins qui pourraient être approuvés avant la fin de l’année [Pfizer-BioNTech et Moderna]. Il y a encore des problèmes avec les deux », souligne l’agent.

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Lemonde.fr

Nos remerciements à Victoria Valentini

Le pape incite à « se faire vacciner » et fustige un « négationnisme suicidaire »

François a indiqué, dans un entretien à la chaîne italienne de télévision Canale 5, que la campagne de vaccination allait démarrer au Vatican et qu’il se ferait lui-même vacciner « la semaine prochaine ».

Face au vaccin, « il y a un négationnisme suicidaire que je ne saurais pas expliquer, mais aujourd’hui il faut se faire vacciner », martèle François. « Je crois que d’un point de vie éthique tout le monde doit se faire vacciner, c’est un choix éthique, parce ce qu’on met à risque sa santé, sa vie, mais aussi la vie des autres », explique-t-il dans cet entretien.

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La Croix


Rappel :

Médecins également critiques face au vaccin

Le pape François : « La migration n’est pas une menace pour le christianisme. Rejeter un migrant c’est déformer le christianisme. »

Discours d’extrême gauche sur les migrants : Le Pape François cite désormais le grand imam du Caire

Le pape va lancer un appel à la fraternité avec les réfugiés : « Cet appui pontifical sera utile à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen « 

Erdogan s’offre une prière à Sainte-Sophie reconvertie en mosquée. Comble de la provocation, il invite le Pape à la prière musulmane.

Espagne : Les personnes refusant le vaccin seront fichées

Dans une interview à la chaîne de télévision La Sexta, Salvador Illa a de nouveau souligné que la vaccination contre le coronavirus, qui a débuté dimanche en Espagne comme dans de nombreux autres pays de l'UE, ne serait pas obligatoire.

En ce qui concerne les personnes qui ne voudront pas se faire vacciner, «ce qu'on va faire, c'est un registre qui, de plus, sera partagé avec d'autres pays européens», a-t-il poursuivi, précisant qu'il se référait «aux personnes auxquelles on l'aura proposé (de se faire vacciner, NDLR) et qui, tout simplement, l'auront refusé». «Il ne s'agit pas d'un document qui sera rendu public», a-t-il toutefois assuré, ajoutant que ce fichier serait élaboré «avec le plus grand respect pour la protection des données».

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Le Figaro

 

Suisse : Donner 1000 francs à tout ceux qui se font vacciner?

Alors que la vaccination a déjà débuté dans certains cantons de Suisse, un professeur d’économie de l’université de Zurich propose de donner mille francs à chaque personne qui choisit de se faire vacciner. «Ainsi, nous atteindrons plus facilement le seuil nécessaire pour atteindre l’immunité collective», explique-t-il à nos confrères de 20 Minuten.

[...]

 

Philippe Nantermod, vice-président du PLR : «Il faut se grouiller de vacciner tout le monde»

Le conseiller national valaisan Philippe Nantermod, vice-président du PLR, critique la lenteur de Berne pour le vaccin. Selon lui, les Helvètes doivent être vaccinés en un mois et demi.

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Philippe Nantermod ne serait pas opposé au fait d’accorder des avantages aux personnes vaccinées si la part de la population réticente à se faire vacciner reste à un niveau élevé.

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20min.ch

Coronavirus : Le Royaume-Uni a le vaccin Pfizer avant tout le monde; grâce au Brexit?

Cenator: Orban, dans son interview hebdomadaire du 4 décembre, a pointé du doigt le fait que l’UE a parlé durant quatre ans de la grande catastrophe qui atteindra la Grande-Bretagne si elle quittait l’union : effondrement économique, chaos. Le résultat, la Grande-Bretagne a pu bénéficier de son autonomie vis-à-vis de l’UE et commencer ce jour même les vaccinations de masse. L'UE a reçu une grosse gifle concernant le vaccin contre le coronavirus. Et Orban est en colère, car son pays a financé la recherche, payé et commandé le vaccin à l’avance, mais à cause de sa dépendance envers l’UE, la Hongrie sera servie plus tard et Orban est certain que s'il avait pu tout négocier seul, les Hongrois auraient également été servis en premier. Et Orban pose la question: ne serait-ce pas mieux que chaque pays suive son propre chemin dans la recherche de sa propre solution, au lieu de faire comme ceux qui sont restés membres de l'UE?

Nb: Le vaccin russe est déjà sur le sol hongrois, mais les chercheurs hongrois le retiennent dans leurs labos pour l'examiner de plus près. Le vaccin chinois va arrivé prochainement. La Hongrie négocie actuellement avec deux firmes chinoises privées et une firme chinoise étatique. (Les chercheurs hongrois travaillent avec les russes sur un prochain vaccin anti-cocvid, un sorte de sputnik-VI.)

Orban relève que l’UE érige des lois concernant la manière de forcer les pays récalcitrants à accepter 34 millions de migrants selon le projet de Soros, désormais accessible à tous (les loger, les assister, leur donner la nationalité et par conséquent le droit de vote). Pour y arriver et forcer les états récalcitrants à l'accepter, l’UE est en train de créer une législation et a déjà mis au point un instrument juridique pour pouvoir imposer aux états membres pratiquement tout ce qu'elle veut.

L'UE est incapable de mener une politique qui ait une vision à moyen ou long terme. Dorénavant, il n’y a qu’une chose qui compte, se faire élire. Et les parlementaires européens sont dans ce mode de fonctionnement, ils ont un horizon qui ne va pas plus loin que le bout de leur nez. Ils savent que, dans un premier temps, les migrants vont voter pour ceux qui les ont fait venir, c'est-à-dire les gouvernements de gauche. Pour eux, c’est TANT PIS si à moyen terme ces migrants vont submerger en nombre les Européens de souche et créer des partis hostiles au christianisme et aux autochtones et favorables à la transformation de l’Europe. Depuis quinze ans, la vision politique se raccourcit de plus en plus. Le mode de pensée que crée l’internet, c’est l’immédiateté: ce qui compte, c’est ce qui fait le buzz, ce qui plaît dans l’immédiat. La Hongrie ne veut pas détruire la vie des générations futures par la migration.
Orban: Nous avons une responsabilité envers eux, nous ne voulons pas transformer notre pays selon le plan de Soros.

Sources (en hongrois): https://magyarnemzet.hu/belfold/orban-viktor-a-jogallamisagot-es-a-koltsegvetest-szet-kell-valasztani-9054260/

https://www.youtube.com/watch?v=4F60-Z-7rqc

https://magyarnemzet.hu/belfold/hamarosan-erkezik-a-kinai-vakcina-dokumentacioja-9059132/

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Jean-Loup Delmas - UNION EUROPEENNE Le Royaume-Uni est le premier pays au monde à valider le vaccin Pfizer-BioNtech. Un succès qu'il estime devoir au Brexit. A tort ?

  • Ce mercredi, le Royaume-Uni a validé le vaccin Pzifer-BioNtech, ne devenant rien de moins que le premier pays au monde à le faire.
  • Une avance sur le reste du globe que de nombreux politiciens britanniques estiment devoir au Brexit et au départ d’une Union Européenne trop lente et bureaucratique.
  • En réalité, la manœuvre opérée, offrant un gain de temps marginal, s’est totalement déroulée dans le cadre de l’Union Européenne.

On s’est tellement moqué des Britanniques et de leur enlisement dans ce Brexit sans queue ni fin qu’il fallait bien se douter que dès que l’occasion se présenterait, ils voudraient prendre leur revanche. L’aubaine est venue avec l’autorisation ultra-express du vaccin Pfizer-BioNtech outre-manche​, ce mercredi 2 décembre, soit avant les Américains, l’Union l’Européenne, et tout le reste du globe. Une rapidité rendue possible « grâce au Brexit », à en croire le secrétaire d’Etat britannique à la Santé, Matt Hancock, au micro de Times Radio le jour même.

Un tacle aux 27 trop tentant pour ne pas être bientôt partagé par de nombreux politiques. Jacob Rees-Mogg, leader conservateur de la Chambre des communes reprenait de volée : « Nous n’avons pu approuver ce vaccin si rapidement que parce que nous avons quitté l’Union européenne. » En version lyrique par Alok Sharma, secrétaire d’Etat aux affaires : « Dans les années à venir, nous nous souviendrons de ce moment comme du jour où le Royaume-Uni a mené la charge de l’humanité contre cette maladie ». Rien que ça.

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Un Brexit ? Quel Brexit ?

è...]

Rien ne sert de courir, il faut partir à point

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Vaccin mondial plus qu’une victoire nationale

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article complet: https://www.20minutes.fr/monde/2924655-20201204-coronavirus-royaume-uni-vaccin-avant-tout-monde-grace-brexit

La Suisse a conclu un accord pour l’achat de 4,5 millions de doses de vaccin

nr avec l'ats
La Suisse a signé un accord avec la société américaine Moderna portant sur l'achat de 4,5 millions de doses de vaccin, communique vendredi l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Objectif: s'assurer un accès rapide au vaccin.

Berne discute en parallèle avec d’autres entreprises. Au total, 300 millions de francs ont été débloqués pour l'achat de doses de vaccin.

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article complet: https://www.rts.ch/info/suisse/11517021-la-suisse-a-conclu-un-accord-pour-lachat-de-45-millions-de-doses-de-vaccin.html

La Chine promet de fournir son vaccin contre le Covid-19 en priorité… aux pays africains

Lors du Sommet extraordinaire Chine-Afrique tenu en vision conférence, Xi Jinping a promis de fournir l’éventuel vaccin chinois contre le nouveau coronavirus, en priorité, aux pays africains. Le Président chinois n’a pas manqué d’annoncer le soutien financier au pays africains jugés vulnérables.

Quand la Chine aura terminé la mise au point d’un vaccin contre le Covid-19, les pays africains seront parmi les premiers à l’obtenir, a déclaré le Président chinois. «Nous promettons qu’une fois les études et le développement du vaccin chinois contre le Covid-19 terminés et son utilisation débutée, les pays africains seront parmi les premiers à en bénéficier», a assuré Xi Jinping lors de son intervention au Sommet extraordinaire Chine-Afrique consacré à la lutte contre le nouveau coronavirus.

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Perspectivesmed.com

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Suisse. Covid19 : On pourra toujours refuser le vaccin, mais avec conséquences

Un juriste explique que la loi prévoit bien l’obligation de se faire vacciner, mais sans pouvoir faire usage de contrainte.

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Cette obligation, sur papier, tient plus pour les conséquences d’un tel refus. La loi sur les épidémies prévoit aussi que les Cantons puissent mettre en place des mesures d’éloignement de certains lieux, voire même de quarantaine et d’isolement, et qu’ils puissent faire respecter les mesures «sous la contrainte». «Ceux qui refusent de se faire vacciner pourraient être restreints dans l’accès à certaines professions ou activités, ou des lieux publics, voire à l’extrême être mis en isolement. Ça, la loi sur les épidémies le permet», note le professeur de droit dans le quotidien fribourgeois.

20min.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini 

Coronavirus : trouver un vaccin est « un défi idiot » pour Didier Raoult, le défenseur de l’hydroxychloroquine

Orange avec Media Services, publié le jeudi 30 avril 2020 à 09h31

Le professeur Didier Raoult a accordé deux interviews dans les médias, l'une à Paris Match, en kiosque ce jeudi 30 avril, et l'autre à BFMTV, diffusée en intégralité ce soir. Le scientifique reste le grand défenseur de son traitement contre le coronavirus.

Le professeur Didier Raoult revient à la charge.

Le chantre de l'hydroxychloroquine, traitement controversé pour soigner les patients atteints de Covid-19, s'exprime ce jeudi 30 avril, dans les pages de Paris Match et sur l'antenne de BFMTV. Il évoque notamment la recherche de vaccin, autre arme avancée pour lutter contre la pandémie de coronavirus. Le scientifique se montre dubitatif. "Trouver un vaccin pour une maladie qui n'est pas immunisante... c'est même un défi idiot. Près de 30 milliards de dollars ont été dépensés pour celui contre le VIH, voyez le résultat ! (...) Il est déjà difficile de vacciner correctement contre la grippe, alors contre un nouveau virus... Honnêtement la chance qu'un vaccin pour une maladie émergente devienne un outil de santé publique est proche de zéro", argumente le professeur auprès de l'hebdomadaire.

 

Alors que les médias se font l'écho d'un nouveau médicament aux premiers résultats encourageants - l'antiviral remdesivir, développé par le laboratoire américain Gilead Sciences - le professeur Raoult cherche toujours à convaincre sur l'efficacité du traitement qu'il propose. "Le monde des pauvres, des moins riches du Sud qui ont utilisé la chloroquine, ensuite l'hydroxychloroquine, et l'azithromycine, comme on a fait nous, d'une manière massive, et qui ont des taux de mortalité très bas", explique l'infectiologue de l'IHU Méditerranée Infection, à Marseille, à BFMTV. Le médicament est notamment utilisé en Afrique - Bénin, Cameron, Burkina Faso ou encore Sénégal.

Le traitement reste néanmoins controversé, des études ont pointé des effets secondaires graves, parfois fatals. L'EMA, l'Agence européenne des Médicaments, a également mis en garde contre son utilisation. Didier Raoult reste droit dans ses bottes. "L'hydroxychloroquine est le traitement de références pour les pneumopathies [infections du système respiratoire]. Un Américain sur huit en prend une fois par an ! Une étude internationale sur la sécurité du traitement hydroxychloroquine, bientôt publiée, démontre la fiabilité de cette molécule", promet le professeur dans les colonnes de Paris Match. "Quant à l'azithromycine, il est le médicament le plus prescrit au monde après l'aspirine... Ce traitement est bête comme chou, c'est pour ça qu'il irrite", complète-t-il.

[...]

article complet: https://actu.orange.fr/france/coronavirus-trouver-un-vaccin-est-un-defi-idiot-pour-didier-raoult-le-defenseur-de-l-hydroxychloroquine-magic-CNT000001pPaRe.html

vidéo Youtube:

Coronavirus : un espoir de vaccin?

Coronavirus : un espoir du côté d’Israël ?
11 avril 2020 - par

Il y a déjà quatre ans que les laboratoires de recherche travaillent sur le Coronavirus du poulet, très proche du Covid-19. Il y a deux mois, ils nous annonçaient la production d’un vaccin dans les deux mois. Eh bien nous y sommes : ILS ONT SORTI LEUR TRAITEMENT ET BONNE NOUVELLE POUR LE MONDE, ÇA FONCTIONNE, avec un taux de survie à 100 % !

https://infos-israel.news/un-nouveau-traitement-israelien-contre-le-corona-permet-aux-malades-un-taux-de-survie-a-100/

Le traitement a été mis au point par le laboratoire Pluristem de Haïfa, et vient d’être testé sur 6 patients très gravement atteints, présentant insuffisance respiratoire aiguë, complications inflammatoires, insuffisance cardiovasculaire et rénale, qui seraient certainement décédés sans ce traitement vu la gravité de leur cas à haut risque de mortalité.

Selon le site d’informations israélien,

1. Tous les patients ont survécu »,  ce qui est en soi déjà prodigieux. Le site précise encore que :

2 – Quatre patients ont montré une amélioration des paramètres respiratoire,

3 – Trois patients sont au stade avancé du sevrage des ventilateurs,

4 – Deux patients avec des conditions médicales préexistantes montrent une récupération clinique en plus de l’amélioration respiratoire.

La nouvelle est tellement prometteuse que le laboratoire « prévoit de demander le lancement d’un essai clinique multinational et cette société est déjà en pourparlers avec les États-Unis et l’Europe pour définir une stratégie clinique contre le Covid-19 ».

Bien sûr, l’affaire est à suivre. Alors que le traitement israélien semble fonctionner à merveille, nos Ineffables du gouvernement feront-ils comme avec la chloroquine du professeur Raout :  tester durant des mois pendant lesquels les malades continueront à tomber comme des mouches, c’est-à-dire laisser mourir les patients plutôt que de prendre « le risque » de les guérir ?

On parle aujourd’hui de sortir du déconfinement. Certes la situation économique est devenue ingérable et va précipiter dans la pauvreté et le chaos nos populations. Qui paiera les salaires, les retraites, les émoluments divers ? Comment les familles pourront-elles nourrir les leurs ? Combien d’entreprises de petite taille, soit celles qui font le véritable tissu économique de notre pays, disparaîtront-elles ? Dans quelle proportion le chômage va-t-il augmenter, apportant son lot de misère, la colère, et la violence à laquelle on ne pourra échapper ?

Oui mais … !

Il semble qu’en Chine, et à Wuhan même, où l’on a pris pour la première fois conscience de l’importance du virus, même si son origine reste sujette à caution, il semble qu’une deuxième vague de Coronavirus se prépare et ait peut-être déjà commencé.

On se souviendra alors de la grippe espagnole, dont c’est précisément la deuxième vague qui fut la plus mortelle. Il convient d’en rappeler ici le processus et les conséquences.

Selon un livre publié  en 2018 par F.Vinet,  « La Grande Grippe. 1918. La pire épidémie du siècle », l’épidémie aurait commencé dès les années 1916-1917, par ce que l’on a appelé la « pneumonie des Annamites », faisant  des ravages parmi les ouvriers ou soldats d’origine indochinoise présents en France, qui mouraient de façon fulgurante de syndromes respiratoires aigus. Elle fut rapidement suivie par ce que l’on a appelé  la première vague de l’épidémie, d’abord dès le 4 mars 1918 dans un camp militaire du Kansas, puis dans un cantonnement britannique à Rouen, se répandant à la faveur des mouvements de troupes, avant d’atteindre le reste de l’Europe et du monde. En juillet 1918 on déclara que la pandémie était terminée. En somme elle n’avait pas tué tant que cela, comme c’est le cas aujourd’hui avec le Covid-19, peut-être grâce au confinement, mais enfin le nombre de morts comparé aux nombre de personnes atteintes n’est pas si élevé.  Worldmeter indique aujourd’hui 1 715 590 contaminés parmi lesquels 103 840 décès, ce qui représente 6 %. 6 % c’est certes trop. Mais ce n’est pas du 30 à 60 % comme lors de la grande peste.

Erreur tragique que d’avoir déclaré la pandémie de 1918-1919 terminée. Car la seconde vague toucha le monde de plein fouet, et ce fut elle qui fut la plus mortelle, tuant entre 40 et 50 millions d’hommes,  submergeant les villes et les campagnes, les hôpitaux incapables de suivre, le monde médical qui ne savait que faire devant l’ampleur du désastre.

La seconde vague du Coronavirus est donc à craindre à notre époque, avec un virus qui aura muté.

Aussi saluons l’espoir donné par ce laboratoire israélien.

Louise Guersan

source:

4 vaccinateurs contre la polio abattus car le vaccin « n’est pas islamique »

Quatre vaccinateurs contre la poliomyélite ont été tués dans l'ouest du Pakistan, alors qu'ils s'apprêtaient à immuniser des enfants, mercredi 26 novembre. Les sept membres d'une campagne de vaccination se trouvaient dans la banlieue de Quetta, capitale de la province du Baloutchistan, lorsque des hommes armés circulant à moto ont ouvert le feu sur eux, selon le ministre provincial de l'intérieur.

UN VACCIN « NON ISLAMIQUE »

Aussi, le Pakistan a déclaré début novembre « la guerre à la polio » et mis en place de nombreuses campagnes de vaccination. Mais dans les régions conservatrices où l'influence talibane est forte, certains affirment à tort que le vaccin contient du porc et ne peut donc être administré aux musulmans. D'autres prétendent que l'immunisation rend stérile et nourrissent l'idée d'un complot qui serait destiné à anéantir la population musulmane. Cette semaine, une branche de talibans pakistanais a rappelé :

Le vaccin contre la polio est « dangereux pour la santé » et « non islamique » 

Source

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