Production de vaccins: Lonza serait à la limite

Valais - 19 mars 2021- (cht) Pression folle, employés épuisés, ambiance tendue: la firme de Viège, qui produit la substance active du vaccin Moderna, serait au bout de ses capacités. [...] Pénurie de personnel qualifié

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article complet: https://www.20min.ch/fr/story/production-de-vaccins-lonza-serait-a-la-limite-972240968182

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Cenator : La Hongrie projette de sortir son propre vaccin contre le Covid, car depuis le début de l’épidémie, elle a aidé la recherche dans ce sens et elle a mis en route la construction d’une usine de vaccin. Les Hongrois n’ont pas réagi d’une manière passive à la crise sanitaire, mais ont aussi investi pour que l’épidémie n’apporte pas que des pertes.

Récemment, Orban s’est rendu en Israël et a conclu avec Netanyahu un contrat pour la co-construction d’une usine pharmaceutique en Israël.

Le gouvernement hongrois a tiré les leçons de son expérience avec l’UE, après la gestion calamiteuse du début de l’épidémie (masques, désinfectants, respirateurs). Les prémisses d’une nouvelle catastrophe se profilaient pour la phase « vaccin » et le gouvernement hongrois a décidé de prendre les devants.

Orban, en novembre 2020, a conclu rapidement des contrats pour des vaccins avec la Russie et la Chine. Grâce à ces apports, la Hongrie est actuellement le pays le mieux vacciné de l’UE.

L’UE avait d’abord vertement blâmé la Hongrie et affirmé qu’Orban n’avait pas le droit de faire « bande à part », que toutes les commandes devaient être faites par les bureaucrates de l’UE pour « faire baisser les prix ». Après que la Hongrie ait demandé quelle était la loi européenne qui interdirait d’acheter ce qu’elle voulait, l’UE a averti la Hongrie que les vaccins chinois et russe, non homologués par l’UE, étaient considérés comme dangereux. À présent, Merkel fait des courbettes devant Poutine pour s’en procurer.
Puis Von der Leyen, qui n’a jamais froid aux yeux, s’est mise à mentir en disant que les contrats entre l’UE et les producteurs de vaccins n’avaient jamais existé.
La Hongrie vient de prouver le contraire : elle a réussi à se procurer, et à publier, ces contrats – tous ridiculement mal fagotés,
sans conditions, à l’image de cette usine à gaz dangereuse, dirigée par des incompétents, qu’est l’UE.

Orban, sur la base des évaluations de sa task-force Covid, a promis le 20 mars : dès que le nombre des vaccinés atteindra 2,5 millions, la Hongrie pourra commencer la relance. La vaccination est freinée parce qu’il n'y a pas assez de vaccins, mais les centres de vaccinations sont en nombre suffisant.
Actuellement, la Hongrie compte plus de 1,5 millions de vaccinés, mais la 3ème vague est encore en phase d’augmentation.

Pendant ce temps, en Suisse, l’usine Lonza est au bout de ses forces.
Il y a quelques mois, les journalistes romands ont jubilé : les contrats de l’usine Lonza avec l’étranger seraient honorés, le principe « les autres avant les nôtres » était à nouveau appliqué. Les autres pays appliquent le principe « les nôtres avant les autres », ce qui est normal, sauf pour la Suisse progressiste et vertueuse des
journaleux et du monde académique.

Un seul exemple de cette dérive : l’argent des contribuables devrait voler au secours de la presse (« de gauche », il va sans dire) que plus personne ne lit, tant elle est prévisible et moutonnière.

De son côté, l’UE, tant par son degré de corruption, que par l’idéologie de Gauche qui la domine, a perdu la capacité d’appréhender le monde tel qu’il est réellement.
En Suisse, le majorité bien-pensante tente de toutes ses forces d’occuper l’espace médiatique
et public pour que seule soit audible sa « ritournelle » politiquement correcte.

Dans ces conditions, les démarches audacieuses d’un Orban ne sont pas imaginables et encore moins réalisables.

Les véritables descendants de Guillaume Tell n’en croient pas leurs yeux et leurs oreilles et se disent que leur fin est vraiment proche… surtout, lorsqu’on voit qu’en pleine crise grave, des milliards sont encore dilapidés pour l’entretien d’une parasitocratie toujours en augmentation.

Bruxelles a menti concernant les contrats de vaccins - 4 preuves signées par l'UE

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(vidéo en hongrois)

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Parler franchement - 13 mars 2021 par Suzette Sandoz

Rien n’encourage plus le « complotisme » que le sentiment désagréable que quelque chose d’important n’est pas dit.

En cette époque de pandémie où malheureusement les vraies incertitudes politico-scientifiques côtoient les demi-vérités, on attend des autorités qu’elles jouent franc-jeu si elles veulent être respectées.

Il est donc temps de dire clairement, en relation avec la pandémie :

  • Quelles sommes ont été investies par nos pouvoirs publics dans les recherches des pharmas. Pour quelles recherches ? Chez quelles pharmas ? A quelles conditions ?
  • Quelles sommes ont été dépensées par nos pouvoirs publics pour acquérir quels remèdes ou/et quels vaccins, à quelles conditions ?

La solidarité et les énormes sacrifices imposés à la population méritent une pleine franchise de la part des autorités. La vraie difficulté réside peut-être dans l’absence de franchise des autres Etats.

source: https://blogs.letemps.ch/suzette-sandoz/2021/03/

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Dreuzinfo - Une preuve supplémentaire de l’efficacité des vaccins : En Israël, le nombre de décès et de cas continue de baisser alors que le pays sort du confinement.

Israël est le premier pays qui permet de vérifier en taille réelle les effets immédiats du vaccin, puisqu’environ 60 % de la population adulte israélienne a reçu son premier vaccin contre le Covid chinois, et que la pandémie est en fort déclin.

Le gouvernement israélien a annoncé qu’hier jeudi 18 mars, le nombre de nouvelles contagions est tombé à 1 225, avec 6 décès.

  • Depuis le pic de la pandémie à la mi-janvier, cela représente une baisse de 91 % du nombre de décès, 86 % de cas en moins et 73 % de patients gravement malades en moins, chez les personnes âgées de plus de 60 ans.
  • Les données montrent que 196 personnes sont mortes au cours des 11 premiers jours de mars contre plus de 1 400 personnes en janvier, et le taux a été divisé par trois.
  • Fin février, une étude A/B réalisée par le prestataire de soins de santé Maccabi Healthcare Services (3), indique que sur 163 000 Israéliens ayant reçu les deux injections, seuls 31 ont été infectés, contre près de 6 500 contaminés dans le groupe témoin de personnes non vaccinées, ce qui suggère que le vaccin est efficace à 92 %.

« C’est une très, très bonne nouvelle », a déclaré le Dr Anat Ekka Zohar, vice-présidente de Maccabi.

Le ministre de la Santé, Yuli Edelstein, a salué cette nouvelle jeudi, alors que le pays se prépare à un nouvel assouplissement des restrictions dès aujourd’hui vendredi.

Edelstein a déclaré :

« Avec toute la prudence nécessaire, je commence à croire que nous ne reviendrons pas en arrière. Par le passé, pour obtenir de tels chiffres, il fallait un verrouillage strict du pays. Aujourd’hui, tout est ouvert et tous les indices sont en baisse. Je commence à croire que les temps difficiles sont derrière nous ».

  • À partir de vendredi, les lieux intérieurs d’une capacité de 5 000 personnes pourront accueillir jusqu’à 1 000 personnes, soit jusqu’à 20 % de leur capacité.
  • Les lieux plus grands pourront accueillir jusqu’à 3 000 personnes, avec un maximum de 30 % de leur capacité.
  • Les lieux en plein air pouvant accueillir jusqu’à 10 000 personnes seront autorisés à accueillir 3 000 personnes,
  • Les stades de plus de 10 000 places seront autorisés à accueillir jusqu’à 5 000 personnes.
  • Les bars et restaurants, les salles de manifestations, les événements sportifs, les hôtels et toutes les écoles primaires et secondaires ont été autorisés à rouvrir il y a près de deux semaines.

Toute personne entièrement vaccinée ou ayant guéri du coronavirus peut prétendre à un « passeport vert », introduit fin février.

Ces passeports donnent accès aux repas en salle dans les bars et restaurants (les personnes non vaccinées doivent manger en terrasse, aux lieux de culte en salle (limités à 20 personnes), ainsi qu’aux attractions touristiques.

Les passeports délivrés par le ministère de la Santé sont disponibles via une application ou peuvent être imprimés, et permettent d’accéder à divers lieux en intérieur. L’entrée des centres commerciaux n’est pas limitée aux personnes possédant le passeport vert.

  • Plus de 52 % de la population de 9,3 millions d’habitants a reçu une dose et plus de 4 millions deux doses du vaccin Pfizer, soit le taux par habitant le plus élevé au monde.
  • Près de 90 % de la population de plus de 50 ans du pays a été vaccinée ou s’est rétablie du coronavirus.
  • Cette population à haut risque étant largement vaccinée, les décideurs ont conclu que la sécurité était suffisante pour rouvrir d’autres secteurs de l’économie.

Une économie moins affectée que prévu

Le taux de chômage en Israël reste élevé, mais de manière conjoncturelle, et se dirige rapidement vers le presque plein emploi.

Alors qu’Israël célèbre la réouverture de son économie, stimulée par la rapidité sans précédent de sa campagne de vaccination, les réservations de restaurants sont en plein essor, certains affichent complet pour 10 jours, les bars et les cafés grouillent de monde, et les hôtels sont complets pour les prochaines vacances de Pessah, qui commencent vendredi en huit (1).

Sharon Mizrahi, propriétaire du restaurant de fruits de mer Manta Ray à Tel-Aviv, a déclaré avoir reçu plus de 400 appels et des dizaines d’emails de personnes souhaitant réserver, qu’elle n’a tout simplement pas eu le temps de traiter. « C’est frustrant, mais les gens comprennent ».

  • En janvier, 18,4 % de la population active était sans emploi à cause de la pandémie, selon le Bureau central des statistiques d’Israël.
  • Selon les prévisions du Fonds monétaire international, le taux de chômage en Israël devrait tomber en dessous de 6 % à 5,557 % en 2021, comparé à 3,9 % pour l’année 2019.
  • Mais en 2020, l’économie a régressé de 2,5 %, soit beaucoup moins que ce qui était craint auparavant.
  • Le 12 mars, les sociétés de cartes de crédit ont signalé (1) une forte hausse des dépenses du vendredi matin, jour de congé pour de nombreux Israéliens et période populaire pour les brunchs.Par rapport au vendredi précédent, les dépenses ont augmenté de 15 % entre 9 heures et 13 heures, les Israéliens ont dépensé 538,9 millions de NIS (près de 162 millions de dollars) sur leurs cartes de crédit pendant cette période, selon Automated Bank Services.

Si cette nouvelle est la bienvenue pour les restaurateurs et l’économie, on ne peut passer sous silence que quelque 4 000 des 14 000 restaurants qui fonctionnaient avant la pandémie ont fermé définitivement, tandis que, paradoxe, certains nouveaux commerces ont ouvert en pleine pandémie.

Des jeunes peu motivés

L’Institut de géocartographie a fait un sondage en février (2) pour connaître la volonté des Israéliens de recevoir le vaccin en fonction du niveau de religiosité et de l’âge, et a constaté qu’un cinquième de cette population n’a pas l’intention d’être vacciné.

  • Au 19 février, un tiers des jeunes adultes âgés de 18 à 29 ans n’ont pas souhaité être vaccinés – selon l’étude, soit,
  • 48 % des jeunes adultes du secteur Haredi (très religieux),
  • et 30 % dans le secteur général.
  • En outre, les jeunes juifs laïcs estiment que leur probabilité moyenne de contracter le coronavirus sans vaccination est de 32,8 %, tandis que les religieux du même groupe d’âge estiment que leurs chances d’être infectés sans vaccination sont assez similaires – 30,9 %.
  • Quand il s’agit d’évaluer la gravité de la maladie, 63,9 % des juifs laïcs dans le groupe d’âge 18-29 estiment que s’ils attrapent le coronavirus, ils éprouveront des symptômes bénins qui passeront après quelques jours.
  • Chez les jeunes religieux, le chiffre est encore plus élevé, avec 92,6 % qui pensent qu’ils n’auront que des symptômes bénins.
  • À partir de ces données, on peut conclure qu’une majorité écrasante de jeunes considère que même s’ils sont infectés, leur maladie sera bénigne, et n’est pas convaincue de la gravité de la maladie ou des dommages qu’elle peut causer à court et long terme.

Les ultra-orthodoxes sont les plus touchés et les plus réticents, mais ils font volte-face

Les 1,2 million de juifs ultra-orthodoxes d’Israël sont non seulement la communauté la plus durement touchée par le coronavirus, mais également celle accusée par de nombreux Israéliens laïcs d’avoir prolongé la pandémie en ignorant les règles de confinement.

Aujourd’hui, le taux d’infection parmi les Haredim, c’est ainsi qu’on les appelle en Israël, a fortement diminué, passant même sous la moyenne nationale pour la première fois depuis le début de la pandémie. Pourquoi ? Parce qu’ils se sont décidés à se faire vacciner.

  • Les cas de maladies graves ont également diminué,
  • le taux de vaccination est passé à 72 %, un taux relativement élevé, bien que toujours inférieur au taux national de 86 %.

Cette évolution fait suite à un décret des principaux rabbins des Haredim, qui approuvent maintenant le vaccin (7).

« L’essentiel est le verdict rabbinique selon lequel le vaccin est sûr et efficace et doit être pris. » a déclaré Ran Balicer de Clalit, le plus grand fournisseur de soins de santé d’Israël.

La décision des rabbins a marqué un tournant fondamental.

  • En février, un juif israélien ultra-orthodoxe sur 100 âgé de plus de 60 ans était mort du COVID-19 – soit près de 6 fois plus que le reste de la population.
  • Les Haredim, qui représentent environ 12 % des 9,3 millions d’habitants d’Israël, constituent 28 % du total des 800 000 cas de contaminés par le coronavirus recensés, selon Eran Segal, spécialiste des données à l’Institut Weizmann des sciences d’Israël.
  • Mais selon le ministère de la Santé, les Haredim représentent désormais à peu près la même part des nouveaux cas d’infection que leur proportion de la population, voire un peu moins.
  • Ils ont également enregistré la plus forte baisse de maladies graves de tous les secteurs depuis le pic de la troisième vague à la mi-janvier – merci à la vaccination.

Méfiance, rancœur et rejet

Malgré ce renversement de tendance chez les ultra-orthodoxes, les Israéliens leur en tiennent une immense rancœur d’avoir été si négligents, si égoïstes envers le reste de la population, d’avoir refusé les appels au confinement malgré l’hécatombe qu’ils ont subie, et obligé tout le pays à subir un confinement plus long que nécessaire.

« Lorsqu’un homme haredi monte dans un bus, tout le monde le regarde comme si c’était un lépreux. Les Haredim se sentent persécutés, il y a un manque d’empathie à leur égard », a déclaré Roni Numa, qui dirige le groupe de travail ultra-orthodoxe du ministère de la Santé.

Beaucoup d’Israéliens, disais-je, blâment les Haredim, parce que certains rabbins ont ouvertement demandé à leurs fidèles de défier la loi et d’envoyer les élèves en classe, provoquant la colère des Israéliens dont les écoles sont restées fermées.

« On a pu constater des violations du confinement dans tous les secteurs… mais ce qui s’est passé dans la communauté haredi… c’est que des appels à violation sont venus des dirigeants », a déclaré Yair Ettinger, analyste des affaires religieuses pour la radio publique Kan.

La colère des Israéliens s’est accrue lorsque les journaux télévisés du soir ont diffusé des images de funérailles massives auxquelles assistaient des milliers de Haredim entassés, et que les réseaux sociaux montraient des vidéos de mariages immenses – plusieurs milliers de personnes – et de célébrations de fêtes, en plein confinement où les gens ne sortaient que pour faire leurs courses et des activités physiques.

Même si les vidéos sont bien réelles, il est impossible d’ignorer le parti-pris fortement anti-religieux des médias et de la gauche en général, qui n’a pas été avare de Fake News. Ainsi, Numa a déclaré que sur le terrain, l’écrasante majorité des Haredim ont respecté le confinement. Rares sont les médias qui ont donné un droit de réponse aux Haredim pour expliquer leur situation, que voici :

  • De nombreux ultra-orthodoxes ont été lents à obtenir des informations sur la pandémie que les autres Israéliens ont obtenues par la télévision, les journaux et Internet, du fait qu’ils fuient la culture laïque et vivent dans leur bulle – sans jugement de valeur.
  • En outre, avec sept enfants par famille en moyenne, ils vivent souvent les uns sur les autres, et le confinement a été une difficulté pour beaucoup de Haredim qui l’ont respecté.

« Nous n’avons pas Zoom [outil choisi par les écoles israéliennes pour les cours à distance], tout se faisait par téléphone, chaque famille devait s’emparer de téléphones et chaque enfant devait trouver un espace tranquille dans la maison », a expliqué l’organisation Chadad.

La « négligence criminelle d’Israël face au coronavirus »

Le site Middle East Eye (4), un média pro-palestinien qui décrit Israël comme un Etat d’Apartheid et soutient le militantisme actif contre Israël, dénonce « la négligence criminelle de la réponse d’Israël au coronavirus », et affirme que les médias ont « aidé Israël à aseptiser les retombées de sa réaction criminelle et négligente face au coronavirus. »

La journaliste antisioniste Belen Fernandez (5) explique, en commentaire d’un article d’ABC News (6) (« Israël célèbre la 5 millionième vaccination contre le coronavirus ») qu’il s’agit d’une « course du pays pour prouver sa supériorité mondiale en vaccinant ses neuf millions d’habitants plus rapidement que quiconque ».

La journaliste ajoute cette remarque, que l’on trouve souvent reprise sur les réseaux sociaux sous la plume de personnes habituellement plus prudentes à reprendre la propagande antisioniste :

Le fait qu’Israël ait pu conclure un accord de partage des données avec Pfizer-BioNTech, selon lequel tous les besoins israéliens en matière de vaccins ont été rapidement satisfaits en échange d’une somme gargantuesque et de violations flagrantes de la confidentialité médicale, n’est pas étranger à cette situation.

Mais cette sorte de logique du capitalisme coronaire, où le gagnant prend tout, signifie qu’il y a beaucoup de perdants. Les consommateurs de nouvelles qui lisent au-delà des titres découvriront dans le deuxième paragraphe de l’article d’ABC que, par coïncidence numérique, il y a aussi cinq millions de Palestiniens en Cisjordanie et à Gaza occupés – qui, comme d’habitude, n’ont rien à fêter.

  1. Oui, Israël a payé le vaccin près de trois fois plus cher. Si l’on compare cette « somme gargantuesque » en termes de coût/bénéfice, le retour à une économie normale dépasse de très très loin le surcoût. Si l’on évalue cette « somme gargantuesque » en termes de coût/maladie, il est scandaleux qu’on reproche à un gouvernement de faire des efforts pour le bien-être de sa population quand dans le même temps on reproche aux autres dirigeants du monde de les négliger.
  2. Non, l’accord de partage n’est pas une violation de la confidentialité médicale, car il n’est pas obligatoire : les personnes souhaitant se faire vacciner doivent spécifiquement donner leur accord pour partager leurs données – et leur refus n’entraîne aucun rejet de leur demande d’être vacciné.
  3. Oui, il s’agit d’une logique de « capitalisme coronaire », et sauf erreur de ma part, c’est le capitalisme qui apporte le bien-être à la planète, pas le socialisme.
  4. Non, Gaza n’est pas occupé, les Israéliens ont quitté la bande de terre en 2005, une information qui n’est toujours pas parvenue aux oreilles des militants, quant aux Palestiniens, ils reçoivent des vaccins … s’ils les payent, ce qui n’est pas vraiment le cas, Mahmoud Abbas et sa clique ne sont pas très intéressés à réduire le montant de leurs ponctions personnelles. De plus, qu’est-ce qui empêche les pays européens à envoyer des vaccins aux Palestiniens ? Ou à cette militante et aux organisations antisionistes de se cotiser pour acheter des vaccins et les leur envoyer ?

Conclusion

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a promis que d’ici la fin du mois d’avril, il offrirait le vaccin à toute la population adulte qui le souhaite, ce qui, selon lui, signifierait « que nous sommes sortis de la crise corona ».

Conclusion : Les Israéliens sont heureux d’en sortir, au milieu d’une minorité de mécontents, et de militants de gauche qui tentent de récupérer les hostiles au vaccin en un rejet du Premier ministre pour lui faire perdre l’élection, à une semaine du vote.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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  1. https://www.timesofisrael.com/restaurants-fully-booked-as-israelis-flock-back-after-year-of-restrictions/
  2. https://news.walla.co.il/item/3419490
  3. https://www.islandernews.com/coronavirus/israeli-report-shows-pfizer-biontech-vaccine-to-be-92-percent-effective-one-week-after-vaccination/article_73b18da8-7943-11eb-bc0c-13c5ac76713a.html
  4. https://www.middleeasteye.net/opinion/covid-israel-palestine-vaccine-miracle-apartheid
  5. https://www.middleeasteye.net/users/belen-fernandez
  6. https://abcnews.go.com/Health/wireStory/delays-israel-starts-vaccinating-palestinian-workers-76317639

Israel’s Ultra-Orthodox Jews Get COVID Vaccine But Still Face Resentment

source: https://www.dreuz.info/2021/03/19/vaccin-tous-les-lecteurs-de-dreuz-ne-vont-pas-apprecier-mais-les-chiffres-sont-tetus/

La vie continue, les combats débiles aussi

http://h16free.com -Vert et fluffy

 

Cette année, le succès n’a guère été au rendez-vous de la récurrente idiotie qui consiste, tous les ans depuis 2007, à éteindre ses lumières pendant une heure en mars : ce fut une « Earth Hour » absolument invisible et ce d’autant plus que les petits couinements stridents des écologistes sont maintenant totalement couverts par le bruit chaotique d’une pandémie et d’une catastrophe économique d’ampleur biblique.

Et à la panique qui se lit dans les yeux des dirigeants de beaucoup de pays ayant maintenant amplement démontré leur plus opaque incompétence devant un phénomène qui les dépasse très largement, s’ajoute maintenant l’effarement de toute la frange la plus militante des écolos qui découvrent, hébétés, que cette crise – qui fait de vrais morts par dizaine de milliers et qui va provoquer une récession carabinée – mobilise beaucoup plus et plus vite que leurs petits agendas tout chamboulés par ce gênant virus.

Bien évidemment et comme je l’ai déjà écrit, une telle crise est toujours l’occasion d’une tentative de rattrapage par nos amis collectivistes de tous bords. Si les étatistes sont évidemment les premiers dans la course et gagneront probablement le concours de celui qui proposera le plus de mesures liberticides et économiquement suicidaires, les écologistes n’entendent pas non plus se faire dépouiller d’une magnifique occasion de pousser leurs idées ridicules dans le maximum de têtes.

C’est pour cela qu’à mesure que les cadavres s’empilent, on voit apparaître des petits pamphlets et autres éditos plus ou moins enflammés réclamant un nouveau monde,

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article complet: http://h16free.com/2020/04/13/65718-la-vie-continue-les-combats-debiles-aussi