20 Minutes avec AFP - Pour le locataire de la Maison-Blanche, s’il avait écouté l’immunologue les Etats-Unis auraient eu « 700.000 ou 800.000 morts »
Donald Trump continue de s’en prendre au docteur Anthony Fauci, figure pourtant respectée aux Etats-Unis et membre de la cellule de crise de la Maison-Blanche sur le coronavirus. Les propos du président sont une nouvelle fois très virulents. « Les gens en ont marre [d’entendre parler] du Covid […] marre d’entendre Fauci et tous ces idiots », a-t-il déclaré dans un échange téléphonique lundi avec des membres de son équipe de campagne, auquel plusieurs médias américains ont eu accès.
« Ce type est un désastre »
Pour le locataire de la Maison-Blanche, le docteur Fauci « est un désastre ». « Il est là depuis 500 ans », a-t-il encore ironisé, évoquant cet expert de 79 ans reconnu mondialement, qui dirige l’Institut des maladies infectieuses. « Si nous l’avions écouté, nous aurions eu 700.000 ou 800.000 morts », a affirmé Donald Trump, tout en jugeant qu’il serait contre-productif de le limoger à l’approche de l’élection présidentielle du 3 novembre.
La supportrice pro Trump Isabella Maria DeLuca affirme que des activistes de la Marche des femmes et de Black Lives Matter l'ont agressée à Washington, D.C., samedi, lors d'un rassemblement pro-Trump.
Madame DeLuca a partagé une photo de ses blessures sur Twitter samedi. Son message est rapidement devenu viral.
Madame DeLuca - directrice de l'information pour les Républicains pour le renouveau national - a déclaré qu'elle manifestait pacifiquement à Washington samedi avec un drapeau pro-Trump quand une femme s'est approchée d'elle et a commencé à essayer de lui enlever le drapeau.
Le journal a noté que Madame DeLuca manifestait également pour montrer son soutien à la juge Amy Coney Barrett, candidate à la Cour suprême.
Selon le rapport, lorsque la femme plus âgée s'est approchée de Madame DeLuca et n'a pas réussi à arracher le drapeau, elle a commencé à frapper et à donner des coups de poing à Madame DeLuca.
Dans une déclaration, Madame DeLuca a déclaré : "La première femme était une femme blanche plus âgée - elle portait des lunettes, la chemise noire étincelante et scintillante de Black Lives Matter. Elle aurait pu être ma grand-mère, honnêtement."
Elle a poursuivi en expliquant qu'une femme plus jeune s'est approchée. Celle-ci aurait alors également tenté d'arracher le drapeau pro-Trump de Madame DeLuca. Lorsque Madame DeLuca a refusé de le laisser, la jeune femme aurait commencé à la frapper et à l'étrangler.
Selon le communiqué, "Madame DeLuca a déclaré qu'elle se sentait réticente à se défendre en raison de l'âge avancé de son agresseur, mais qu'elle était déterminée à récupérer le drapeau lorsqu'il a été arraché".
Madame DeLuca a été hospitalisée après l'attaque et, selon le communiqué, elle a été traitée au moyen d'un collier cervical en raison de blessures à la tête et au cou.
Madame DeLuca a partagé une photo de ses blessures sur Twitter, avec la légende suivante : "Les conséquences du soutien à @realDonaldTrump lors de la Marche des femmes d'aujourd'hui"
Lundi matin, Madame DeLuca - qui a apparemment reçu des réactions négatives pour avoir partagé son histoire sur les médias sociaux - a tweeté : "Le fait que je doive même venir ici et me défendre devant une bande de gauchistes dégoûtants est triste. Elle m'a volé mon drapeau et j'ai levé la main pour le récupérer au sol afin de ne pas recevoir de coups de pied quand je me trouvais à terre".
The fact I even have to come on here and defend myself to a bunch of disgusting leftists is sad. I didn’t charge at a woman. She stole my flag and I put my hand up to retrieve it from the ground so I didn’t get kicked while I was down on the ground.
NBC News a, lors d’une session de questions réponses en début de semaine, présenté des électeurs “indécis”, qui avaient déjà déclaré leur soutien au candidat démocrate Joe Biden sur la chaîne sœur du réseau, MSNBC.
L’avocat Peter Gonzalez et le responsable marketing Ismael Llano avaient posé des questions à Joe Biden lundi, lorsqu’il était apparu au devant de ce que la chaîne avait qualifié de “public d’électeurs indécis de Floride”.
Cependant, Gonzalez et Llano avaient été présentés dans un segment de MSNBC en août pour expliquer pourquoi ils soutenaient Biden.“Si nous avons quatre années supplémentaires de Trump, bonne chance, et bonne chance pour que l’avenir attire des électeurs plus jeunes“, avait déclaré M. Gonzalez alors qu’un bandeau de MSNBC indiquait qu’il “va voter pour Biden”. Llano avait également été identifié comme “votant pour Biden” et avait fait l’éloge de l’ancien vice-président.
NBC's 'undecided' town hall voters already told network they were voting Biden pic.twitter.com/NmSAg3vrQn
Or lundi, Lester Holt de NBC déclara que Llano “a voté pour Hillary Clinton il y a quatre ans, mais avait voté républicain par le passé”. Gonzalez, dont l’historique de vote n’a pas été mentionné, avait demandé à Biden d’apaiser les inquiétudes de sa famille qui craint que le démocrate ne soit redevable à “la gauche radicale”.
“Les électeurs cubano-américains et vénézuéliens du sud de la Floride sont visés par les messages de la campagne Trump qui prétendent qu’un vote pour Joe Biden est un vote pour la gauche radicale et le socialisme, et même le communisme“, a déclaré M. Gonzalez. “Que pouvez-vous dire aux membres de ma famille, à mes amis – qui sont naturellement concernés par cette question – pour qu’ils se sentent à l’aise de voter pour Joe Biden et Kamala Harris ?“
Ce n’est pas la première fois que des réseaux de télévision présentent des opposants à Trump se faisant passer pour des électeurs indécis, difficiles à trouver et souvent moins bavards sur leurs opinions politiques. Le mois dernier, ABC News avait décrit plusieurs critiques de Trump comme des électeurs indécis, dont un qui avait précédemment décrit Trump comme un “crétin”, un “pathétique”, un “cochon”, un “porc” et un “vaurien d’âne” sur les médias sociaux.
Un autre électeur “indécis” présenté à l’émission de NBC, Mateo Gomez, avait déclaré à MSNBC le 30 septembre pencher plutôt pour voter Biden que Trump après avoir regardé le premier débat.
NBC News n’a pas répondu à notre demande de commentaires.
D’autres personnes présentées à l’émission avaient affiché une nette préférence pour Biden sur les réseaux sociaux. Michelle Cruz Marrero, décrite comme une ancienne républicaine, n’a pas semblé être indécise : Plusieurs de ses “photos de couverture” sur Facebook sont soit pro-Biden, soit anti-Trump.
Une autre électrice à l’émission, Cassidy Brown, avait demandé à Biden comment protéger “les droits reproductifs des femmes”. Biden avait ensuite tweeté l’échange et s’était engagé à codifier l’affaire Roe contre Wade. Mais l’utilisation des réseaux sociaux par Cassidy Brown suggère également qu’elle n’est pas une électrice indécise. […]
Important context: man in “Black Guns Matter” shirt urges conservatives to mace him. “F*ck around and find out,” he says. Another man shoots the victim off screen during the altercation. pic.twitter.com/hzPC1gmQvO
Une personne est décédée et un autre homme, qui, selon la police, était un garde de sécurité privé, est en garde à vue après une fusillade lors d’un duel de manifestations samedi au centre-ville de Denver.
9News a rapporté qu’un de leurs employés et un entrepreneur de la chaîne de télévision ont été placés en garde à vue. La chaîne a confirmé plus tard que le garde avait été embauché par Pinkerton et que «c’était la pratique de 9NEWS depuis plusieurs mois d’embaucher des services de sécurité privés pour accompagner le personnel lors des manifestations».
La police a d’abord déclaré que deux personnes avaient été placées en garde à vue, mais a déclaré plus tard que l’une d’entre elles n’était pas impliquée dans l’incident. Ils ont tweeté que le suspect était un agent de sécurité privé sans affiliation avec les antifas.
Un homme participant à ce qui a été présenté comme un «rassemblement des patriotes» a pulvérisé du gaz lacrymogène sur un autre homme et cet homme lui a tiré dessus avec une arme de poing. La police a déclaré samedi après-midi qu’elle travaillait sur une enquête sur l’homicide.
[…]
Au début des rassemblements, les deux groupes se criaient dessus et la police se tenait à côté. Un manifestant a brûlé un drapeau à fine ligne bleue devant les officiers.
Les manifestants de droite se trouvaient à l’intérieur de l’amphithéâtre tandis que les manifestants de gauche étaient à l’extérieur. La police ne laissait personne d’autre entrer dans la zone de l’amphithéâtre, mais à 15h30, la barrière a cédée.
Donald Trump est «raciste» et sème «la peur et la confusion» dans l'esprit des Américains, a fustigé mardi l'ancienne Première dame Michelle Obama dans un réquisitoire sévère, à moins d'un mois de la présidentielle américaine.
«Ce que le président fait est clairement faux, c'est moralement mal et, oui, c'est raciste», accuse-t-elle, en référence à la vague de manifestations contre leTim Pierces brutalités policières assimilées par Donald Trump à du «terrorisme intérieur».
Le militant pour le contrôle des armes David Hogg a condamné la violence lundi avant de faire marche arrière et de s’excuser d’avoir laissé entendre que ses commentaires incluaient des actes violents commis par des personnes non blanches.
Hogg, co-fondateur du groupe pour le contrôle des armes à feu March For Our Lives, avait appelé à une “révolution politique non-violente” et déclaré que les mouvements poussés par “la violence et la haine” sont contre-productifs. Ses commentaires ont été formulés après un été de manifestations “Black Lives Matter” qui a donné lieu à des centaines d’émeutes dans les principales villes américaines.
“Les jeunes peuvent organiser une révolution politique non violente au cours de la prochaine décennie, mais cela exigera de nous tous de voter à un niveau constamment élevé # CHAQUE élection, de protester, de s’organiser et de se présenter aux élections et surtout de faire preuve de persévérance, d’amour et de communauté pour surmonter les revers”, a tweeté Hogg lundi matin. “Pour ce faire, nous devons tous pratiquer l’humilité, la bonté et la grâce pour être les leaders politiques que nous devons être afin de créer un tel changement”.
“Nous ne devons pas tomber dans le mensonge de ceux qui, au pouvoir, disent que la violence va résoudre nos problèmes, ils disent cela uniquement pour avoir une excuse pour accroître leur autoritarisme. J’ai vu comment la violence et la haine détruisent des vies et des communautés – ce n’est pas la solution”, a-t-il poursuivi. “L’utilisation de la violence pour acquérir le pouvoir politique est profondément enracinée dans l’impérialisme, le capitalisme et la suprématie blanche […] Je refuse personnellement de croire que l’utilisation de cette même violence créera un jour des systèmes de gouvernement non violents qui représentent et soutiennent tout le monde”.
Young people can stage a nonviolent political revolution over the coming decade but it will require all of us voting in consistently high # EVERY election, protesting, organizing and running for office and most importantly the persistence, love and community to overcome setbacks
Young people can stage a nonviolent political revolution over the coming decade but it will require all of us voting in consistently high # EVERY election, protesting, organizing and running for office and most importantly the persistence, love and community to overcome setbacks
Hogg a ensuite clarifié que ses commentaires ne visaient que les “jeunes Blancs” qui ont utilisé les manifestations et les émeutes comme “couverture” pour piller, vandaliser et détruire des magasins et attaquer d’autres personnes. Il a déclaré que les “BIPOC” – un acronyme désignant les Noirs, les indigènes et les personnes de couleur – sont exemptés de sa déclaration condamnant la violence. Il a apparemment apporté cette correction après qu’un certain nombre de ses partisans lui ont reproché de ne pas séparer les actes de violence commis par les blancs de ceux commis par les non-blancs.
“Cela vise spécifiquement les jeunes Blancs que je vois s’armer ou vouloir s’armer pour pouvoir aller piller et agir de manière antagoniste contre l’État, tentant d’utiliser le vaisseau allié comme couverture”, a déclaré M. Hogg. “Laissez-moi être clair, ce que je n’essaie PAS de faire, c’est de dire aux personnes BIPOC comment elles doivent réagir face à la violence que l’État leur fait subir. Ce n’est pas à moi ni à aucun Blanc d’orienter ou de juger la façon dont les personnes BIPOC choisissent de se défendre contre cette violence de l’État”.
“Je suis désolé de la mauvaise interprétation que l’on a pu faire de ce qui a été dit”, a-t-il poursuivi. “J’apprécie ceux qui m’ont appelé et m’ont fait savoir à quel point ce tweet était offensant et je suis heureux de continuer à apprendre. Beaucoup sont, à juste titre, contrariés et offensés et je dois dois (sic) faire ma part en admettant les erreurs que je fais et en soutenant mes amis”.
Young people can stage a nonviolent political revolution over the coming decade but it will require all of us voting in consistently high # EVERY election, protesting, organizing and running for office and most importantly the persistence, love and community to overcome setbacks
Young people can stage a nonviolent political revolution over the coming decade but it will require all of us voting in consistently high # EVERY election, protesting, organizing and running for office and most importantly the persistence, love and community to overcome setbacks
Un “courtier en bulletins” se vante de conserver des centaines de bulletins de vote par correspondance dans le coffre de sa voiture. Il se vante qu’ils soient remplis par d’autres personnes que les électeurs. Souvent, de l’argent change de main. Des témoins relient la fraude généralisée au président de campagne d’un membre éminent de l’ “escouade” radicale de la Chambre des États-Unis. Des lois électorales peu contraignantes permettent aux gens de venir de l’extérieur de l’État, de voter, puis de repartir.
Cette activité se déroule réellement en Amérique en 2020, et elle a été mise sur vidéo par le journaliste guérillero James O’Keefe. Certaines de ces activités pourraient se dérouler dans des états-clés près de chez vous si on ne fait rien.
Un effort concerté est en cours pour se servir du coronavirus comme prétexte pour transformer la façon dont nous votons aux élections, en passant à des bulletins de vote par correspondance. On nous dit que la démocratie sera améliorée si nous permettons que les bulletins de vote soient traités en dehors du contrôle des fonctionnaires électoraux – et qu’il n’y a presque pas de fraude électorale, alors pourquoi s’inquiéter ?
Le bon sens et les observateurs électoraux s’opposent à tout changement soudain. “Les bulletins de vote par correspondance restent la plus grande source de fraude électorale potentielle”, a conclu la Commission bipartite sur la réforme électorale fédérale, coprésidée par l’ancien président Jimmy Carter [NdeFDS : Démocrate]. Autoriser de tels bulletins “augmente les risques de fraude et de contestation des élections”.
En 2012, un grand jury dans le comté de Miami-Dade avait mis en garde contre les risques de vote par correspondance : “Une fois que ce bulletin de vote n’est plus entre les mains de l’électeur, nous n’avons aucune idée de ce qu’il advient de lui. Les possibilités sont nombreuses et effrayantes”.
Omar Escobar, le procureur démocrate du comté de Starr, au Texas, affirme que dans sa région, la maltraitance des citoyens âgés pour leurs bulletins de vote par correspondance est telle que “le moment est venu d’envisager une alternative au vote par correspondance… quelque chose qui ne peut pas être détourné”.
Le guérillero-journaliste James O’Keefe est célèbre pour avoir coincé plusieurs institutions allant du frauduleux groupe d’enregistrement des électeurs ACORN [NdeFDS:fédération de syndicats de quartier] à la Radio Publique Nationale (NPR) en passant par Google. Son équipe de Project Veritas a également rassemblé un nombre impressionnant de vidéos documentant la fraude électorale et la facilité avec laquelle elle peut être commise.
Les reporters de Veritas ont constaté qu’il était facile de voter en utilisant le nom d’une personne décédée dans le New Hampshire. Ils ont filmé un militant de Greenpeace dans le Colorado se vantant d’avoir trouvé des bulletins de vote dans des poubelles qui pouvaient être envoyés frauduleusement par la poste. En Caroline du Nord, des agents politiques ont encouragé les représentants de Veritas à voter même s’ils n’étaient pas citoyens. En 2016, les caméras de Veritas ont filmé Alan Schulkin, le commissaire électoral démocrate de Manhattan, en train de dire : “C’est absurde. Il y a beaucoup de fraude. Pas seulement la fraude électorale, mais toutes sortes de fraudes”. Il a expliqué : “Ils mettent [les gens] dans un bus et vont de site de vote en site de vote.” La franchise de Schulkin avait rapidement déclenché son renvoi par le maire de New York, Bill de Blasio [NdeFDS: démocrate].
Aujourd’hui, O’Keefe a conduit ses caméras à la “récolte des bulletins de vote”, qui consiste pour des tiers à collecter des bulletins de vote par correspondance et à les remettre aux responsables des élections. Bien qu’illégale dans certains États, cette pratique est légale en Californie et dans d’autres États. La personne qui recueille les bulletins peut même être un travailleur de campagne rémunéré pour quelqu’un qui figure sur le bulletin de vote. Les soi-disant courtiers en bulletins de vote ciblent certaines communautés, complexes d’appartements ou maisons de retraite pour collecter des votes pour leur parti politique.
O’Keefe a mis au jour ce qui semble être une fraude électorale massive et continue à Minneapolis. Elle est liée à l’appareil politique d’Ilhan Omar, la députée du cinquième district du Minnesota (Minneapolis) et proche alliée d’Alexandria Ocasio-Cortez à la Chambre des représentants.
Ilhan Omar a été élue pour la première fois en 2018 et est rapidement devenue une figure controversée, blâmée pour ses propos antisémites et accusée de dépenses de campagne douteuses et d’avoir commis une fraude à l’immigration en épousant son frère. En 2020, elle a été contestée par Anyone Melton-Meaux, un avocat qui avait promis de moins se focalisé sur la politique progressiste nationale et qui a fait campagne sur le slogan “Concentré sur le 5ème”. Il avait été soutenu par le comité de rédaction du Minneapolis Star Tribune et par l’ancienne présidente de la NAACP de Minneapolis, Nekima Levy-Armstrong.
Melton-Meaux avait fini par perdre lors des primaires démocrates du mois d’août, 57% contre 39%.
Beaucoup de gens pensent que la domination totale d’Omar sur la politique du district est due à la capacité de son appareil à tromper, séduire ou soudoyer les membres de sa communauté somalienne pour qu’ils commettent des fraudes électorales.
La loi du Minnesota interdit à quiconque de collecter plus de trois bulletins de vote lors d’une élection. Alors pourquoi Liban Mohamed, un “courtier en bulletins”, se targue-t-il d’avoir dans sa voiture 300 bulletins de vote des primaires du mois d’août, dont beaucoup sont vierges et certains ouverts ? “L’argent, c’est tout”, dit-il en riant sur la vidéo. Les militants décrivent comment les gens reçoivent de l’argent liquide lorsqu’ils remettent leur bulletin de vote par correspondance pour qu’il soit rempli.
A. J. Awed, un Somalien qui avait été candidat perdant au conseil municipal dans le quartier 6 de Minneapolis, est choqué par la “corruption” qu’il voit. Il appelle l’appareil d’Ilhan Omar “une alliance entre [son] clan et la gauche progressiste”. Un militant politique somalien affirme que le Parti démocratique de l’État est au courant de ces combines. Elle décrit comment des Somaliens qui ont depuis longtemps quitté l’État, enregistrent temporairement leur résidence et votent le jour des élections, avec des locaux travaillant sur la campagne qui se portent “garants” pour eux. Ils disparaissent ensuite et retournent à leur vrai domicile et à leur vie normale. Aujourd’hui, avec l’assouplissement des lois sur le vote par correspondance, il est encore plus facile de tricher.
Omar Jamal est le guide et le facilitateur de O’Keefe pour la réalisation de ces vidéos d’infiltration. Somalo-Américain, Jamal travaille pour le bureau du shérif du comté de Ramsey et dirige également le groupe de vigilance somalien, qui lutte contre la corruption de certains dirigeants de la communauté.
Selon les sources d’O’Keefe, les pratiques qu’il décrit sont organisées par Ali (Isse) Gainey, le directeur adjoint du district d’Ilhan Omar. Isse a joué un rôle essentiel dans les deux campagnes réussies d’Omar au Congrès, en tant qu’organisateur de terrain pour sa course à la Maison du Minnesota et que directeur de la sensibilisation pour sa première campagne au Congrès. Jamal affirme qu’Ilhan Omar “brime sa propre communauté et sabote l’intégrité des élections”.
La corruption n’est pas nouvelle non plus. Phyllis Kahn, représentante démocrate de l’État à Minneapolis pendant 44 ans jusqu’à ce qu’elles soit battue par Ilhan Omar en 2016, se plaint depuis longtemps de la fraude électorale liée à l’appareil d’Omar ; elle pense que la fraude a contribué à sa défaite soudaine.
Mais Phyllis Kahn n’est pas la seul démocrate à s’inquiéter de l’existence d’une fraude électorale qui compromette sérieusement nos élections. La député Tulsi Gabbard, la démocrate hawaïenne qui a fait un peu parler d’elle en tant que candidate à la présidence cette année, est devenue l’un des principaux co-parrains d’un projet de loi visant à retirer l’aide aux élections fédérales aux États qui autorisent la récolte des bulletins de vote. Son homologue républicain sur la loi sur la prévention de la fraude électorale est le républicain de l’Illinois Rodney Davis.
“L’interdiction de la collecte de bulletins de vote n’est pas une question partisane… et elle est propice à la fraude”, dit-elle dans une vidéo. “Cela constitue une menace sérieuse pour l’intégrité de nos élections.”
Omar Jamal est encore plus direct. “Si les Américains ne font pas attention à ce qui se passe, le pays va bientôt s’effondrer”, prévient-il. “Il y a des règles et des réglementations, si vous les ignorez et que vous laissez la corruption et la fraude devenir une affaire quotidienne, alors tant pis. Le pays tel que vous le connaissiez n’existera plus”.
Les autorités fédérales ont arrêté vendredi un acteur et activiste basé à Atlanta pour fraude électronique et blanchiment d’argent, après qu’une enquête a suggéré qu’il avait acheté pour 200 000 dollars d’objets personnels avec l’argent donné à une organisation de collecte de fonds de Black Lives Matter.
Le Federal Bureau of Investigations (FBI) a identifié l’homme comme étant Tyree Conyers-Page, 32 ans, également connu sous le nom de Sir Maejor Page, dans un communiqué de presse détaillant son arrestation et les charges retenues contre lui.
[…]
Cependant, le FBI prétend qu’il a “utilisé à plusieurs reprises une carte de débit liée au compte bancaire de BLMGA” pour acheter un système de sécurité domestique, des meubles, des vêtements, des accessoires, des divertissements et de la nourriture tout au long de l’été.
En août, M. Page aurait acheté deux biens immobiliers, une résidence et un terrain vague, à Toledo, Ohio, avec 112 000 dollars de fonds provenant du compte BLMGA. Plus tôt en septembre, il aurait transféré de l’argent du compte bancaire de l’organisation vers un autre compte personnel et l’aurait utilisé pour acheter un pistolet et deux fusils. […]
Un groupe de "manifestants de Black Lives Matter" a tenté de bloquer l'entrée d'un hôpital où des policiers étaient soignés, en criant "J'espère qu'ils vont mourir", selon les rapports.
Les activistes présumés ont tenté de bloquer l'entrée d'un hôpital de Los Angeles tard dans la nuit de samedi à dimanche, selon des vidéos inquiétantes qui ont été diffusées sur Twitter et sur des comptes de témoins oculaires.
Deux adjoints de la municipalité de California city ont été emmenés d'urgence à l'hôpital St. Francis après qu'on leur a tiré dessus. Ils restent dans un état critique alors qu'ils subissent tous deux une opération chirurgicale d'urgence - mais le suspect est toujours en fuite.
Les témoins se rappellent que les manifestants présumés de Black Lives Matter ont déclaré espérer que les policiers blessés "meurent". Ils ont tenté de prendre d'assaut le service d'urgence où les policiers étaient soignés.
Dans une vidéo, on peut entendre une personne crier : "Je veux transmettre un message à la famille des porcs : J'espère qu'ils vont mourir".
Donald Trump a également condamné la fusillade de ces adjoints dans une déclaration enflammée sur Twitter dimanche.
BLM protesters trying to breach St. Francis hospital where two officers are fighting for their lives after being shot in an ambush.
"Des animaux qui doivent être frappés durement !", a écrit le président, ajoutant : "S'ils meurent, peine de mort expéditive pour le tueur. C'est la seule façon d'arrêter ça !"
[...]
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Note : Le 20min.ch romand refuse toujours de publier la vidéo montrant les gauchistes attaquer Kyle Rittenhouse alors que le propos de Trump vise justement les circonstances de cette fusillade.
Et cela alors que les vidéos ont été diffusées sur Twitter depuis de nombreux jours.
Les propos tenus par Donald Trump concernant la mort de deux personnes lors d’une manifestation contre la violence policière, la semaine dernière à Kenosha, sont venus mettre de l’huile sur le feu. Lors d’un point presse lundi, une journaliste a invité le président à condamner l’acte de Kyle Rittenhouse, l’adolescent pro-Trump qui a ouvert le feu.
Le président a botté en touche, estimant que le jeune homme de 17 ans avait agi en état de légitime défense: «C’était une situation intéressante. Il essayait de s’éloigner d’eux, il est tombé et ils l’ont très violemment attaqué. C’est quelque chose que nous étudions, ça fait l’objet d’une enquête. Je crois qu’il était dans de sales draps. Il aurait probablement été tué», a-t-il répondu.
Trump asked about Kyle Rittenhouse, the 17-yr-old arrested after 2 people were fatally shot during riot:
"That was an interesting situation... He was trying to get away from them, I guess ... & he fell & then they very violently attacked him...he probably would've been killed." pic.twitter.com/oSW0ZpOd4W
La vidéo que le @20minutesOnline ne montre pas concernant Kyle Rittenhouse
(Warning, Graphic/Violent)
A crowd chases a suspected shooter down in Kenosha. He trips and falls, then turns with the gun and fires several times. #Kenosha#KenoshaRiots
Donald Trump base sa réponse sur des vidéos montrant Kyle Rittenhouse armé, se faire courir après par des manifestants, dont au moins un portait également une arme.
Dans les cercles noirs américains, une vidéo circule montrant un adolescent noir assommant un homme blanc avec une brique dans la rue. En arrière-plan, on entend des acclamations d'approbation - probablement de la part des jeunes. Instagram ne veut pas supprimer la vidéo : elle ne viole pas les normes de la communauté.
Le conflit entre les Noirs et les Blancs se poursuit. La vidéo suivante de Baltimore montre à quel point les fronts se sont durcis aux États-Unis :
The person who posted this said “white lives do not matter.” They’ve always randomly attacked whites like this, but now they’re more brazen as the media ignores and encourages these attacks pic.twitter.com/PsZEQVqMx7
Dans la vidéo, on voit un homme blanc d'âge moyen, marchant sans se douter de rien sur un trottoir à Baltimore. Les complices de l'agresseur sont apparemment au courant depuis longtemps du projet et filment la situation depuis un lieu embusqué.
Il frappe brutalement le crâne et le cou de l'homme blanc par derrière, de telle sorte que ce dernier s'effondre immédiatement et se retrouve au sol. Les jeunes en arrière-plan crient avec enthousiasme. Ils célèbrent l'attaque lâche contre l'homme sans défense.
Les vies des Blancs ne valent rien
La vidéo a été publiée par Tray Savage sur Instagram (@traysavage_). L'homme noir célèbre l'attaque contre les Blancs : "La vie des Blancs n'ont pas d'importance, la vie des Noirs en ont".
L'utilisateur qui a signalé la vidéo est indigné. Instagram lui a répondu que la vidéo ne viole probablement pas les normes communautaires de la plateforme.
C'est ce qu'explique Instagram dans sa déclaration :
Nous n'avons pas supprimé le compte traysavage_s.
Nous pensons que cette vidéo ne viole probablement pas les directives de notre communauté. […]
Car Instagram est une communauté mondiale, nous comprenons que les gens s'expriment de différentes manières. […]
On ignore pour l'instant si l'homme a survécu au choc avec la brique.
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Une employée d'une crèche de Caroline du Sud a été arrêtée après que des images de surveillance ont montré qu'elle avait interrompu une bagarre entre deux enfants en frappant un garçon de cinq ans et en le jetant au sol à deux reprises.
Tiana McElveen, 24 ans, a été accusée de comportement illégal envers un enfant dans le comté de Sumter, en Caroline du Sud
Les images de surveillance la montrent en train de frapper un garçon de cinq ans et de le jeter au sol à deux reprises
McElveen a été licenciée vendredi dernier à la suite d'un incident distinct, après que des membres du personnel l'aient confrontée au sujet de la nourriture laissée sur le sol pour que les enfants "mangent comme des chiens".
Elle a été placée en détention le 20 août, mais a été libérée moyennant une caution de 1 500 dollars
Une vidéo prise le 14 août montre deux jeunes enfants se disputant un jouet à l'intérieur de la garderie alors qu'une femme, identifiée comme McElveen, se tient dans le coin de la pièce en train de regarder.
-Black child tries to steal toy from white child
-White child resists and tries to defend self
-Black daycare worker decides in a microsecond who the guilty party is
Les employées noires interviennent et Tiana McElveen jette à terre l'enfant blanc.
Elle le balance à terre une seconde fois.
Elle semble regarder si l'enfant noir n'a rien. L'autre employée noire n'a rien fait pour stopper cette violence. On peut légitimement se demander si tout cela ne suit pas une logique raciste.
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
États-Unis : des salariés de la recherche nucléaire américaine avaient l’obligation de rejoindre un camp de rééducation pour hommes blancs financé par le contribuable (Màj : rébellion interne)
28/08/2020
Une guerre civile éclate chez @SandiaLabs.
Suite à mon enquête, un ingénieur en électricité dissident du nom de Casey Peterson a envoyé un e-mail à l’ensemble des 16 000 salariés pour dénoncer la théorie critique de la race au sein du laboratoire et espérer déclencher une rébellion contre les cadres de Sandia.
Mardi, Peterson a réalisé une vidéo sur YouTube « se débarrasser du narratif sur le racisme systémique moderne et le privilège blanc ».
La vidéo a rapidement été visionnée par 10 000 personnes dans les laboratoires et des dizaines d’employés de Sandia ont contacté Peterson pour lui exprimer leur soutien.
En quelques heures, les dirigeants de Sandia ont chargé une équipe de bloquer Peterson hors du réseau et d’effacer ses communications des serveurs internes – ce qui, par l’effet Streisand, a rendu la vidéo encore plus virale et a déclenché des troubles généralisés contre les cadres de Sandia.
Dans l’après-midi, les dirigeants ont paniqué face à la rébellion qui se préparait, ont mis Peterson en congé administratif payé et ont créé un « comité d’examen de la sécurité » pour « évaluer si [ses] actions ont constitué ou constituent une menace pour les systèmes informatiques et de sécurité de Sandia ».
Peterson – qui a pris position au risque de sa carrière – dit qu’il parle au nom de tous les employés de Sandia qui ont « peur de parler » à cause de la culture répressive du laboratoire. « Si je suis viré à cause de cela », dit Peterson, « la lutte ne s’arrêtera pas, elle ne fera que s’intensifier ».
C’est la première rébellion explicite contre la théorie critique de la race au sein du gouvernement fédéral – et la coalition grossit. « Nous devons complètement éradiquer la théorie critique de la race de la racine à la tige de Sandia », dit Peterson. « C’est un cancer et nous devons le sortir des laboratoires dès maintenant. »
Les dirigeants de Sandia ont été clairs : ils veulent imposer à leurs employés la théorie critique de la race, des formations séparées selon les races et des camps de rééducation pour hommes blancs – et toute dissidence sera sévèrement punie. Les employés progressistes seront récompensés ; les employés conservateurs seront purgés.
Gardez cela à l’esprit : Sandia Labs est une agence de recherche financée par le gouvernement fédéral et conçoit les armes nucléaires américaines. Le sénateur @HawleyMO et @SecBrouillette ont lancé une enquête de l’inspecteur général, mais les dirigeants de Sandia n’ont fait qu’accélérer leur purge contre les conservateurs.
Les dirigeants de Sandia sont confrontés à un point de décision : ils peuvent faire marche arrière et la rébellion de Peterson marquera une victoire interne ; ou ils peuvent le licencier et Peterson deviendra une preuve supplémentaire de la culture corrompue et répressive de Sandia. Dans un sens, Peterson ne peut pas perdre.
Selon de multiples sources, les cadres qui ont poussé les éléments les plus toxiques de la théorie critique de la race et des séminaires sur la ségrégation raciale sont James Peerey, Dori Ellis, David White, et Mark Sellers. Ils doivent faire l’objet d’une enquête par l’inspecteur général.
Voilà le résultat : c’est le premier coup de feu de la rébellion contre la théorie critique de la race au sein du gouvernement fédéral. Casey Peterson a pris une position courageuse et l’inspecteur général doit mener une enquête complète sur les laboratoires Sandia – et tenir les cadres responsables de leurs actes.
« C’était un programme obligatoire pour les cadres masculins blancs dans lequel ils étaient grosso modo supposés briser leur identité d’homme blanc, confesser leurs péchés aux formateurs en matière de diversité », a déclaré Rufo à l’animateur Tucker Carlson à propos du séminaire aux Sandia National Laboratories. « Et à la fin de ce séminaire, ils devaient écrire des lettres d’excuses aux femmes et aux personnes de couleur en se basant sur ce qu’ils avaient appris sur leur propre privilège. »
« Ce n’est rien de plus qu’un séminaire d’endoctrinement sectaire basé sur une « théorie critique de la race », quelque chose qui se répand comme un feu de forêt à travers nos institutions publiques », a ajouté M. Rufo.
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Le gouvernement fédéral aurait organisé pour le principal laboratoire de recherche nucléaire, une retraite de trois jours spécialement conçue pour les hommes blancs, afin de les pousser à réfléchir à leurs idées ancrées de suprématie blanche et de racisme – et tout cela aurait été financé par les contribuables.
Quels sont les détails de l’histoire ?
Christopher Rufo, directeur du Center on Wealth & Poverty du Discovery Institute, a partagé cette nouvelle sur Twitter mardi.
Il a écrit : « Le laboratoire de recherche nucléaire N°1 du gouvernement fédéral a organisé un camp de rééducation de trois jours pour les « hommes blancs », dans le but de mettre en lumière leur « privilège blanc » et de déconstruire la « culture de l’homme blanc ». Voici les documents qui ont été divulgués lors de cette séance de ségrégation raciale financée par le contribuable.
Rufo a ensuite partagé des captures d’écran de documents relatifs à cette retraite.
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Dans les documents joints, Rufo a révélé qu’une grande partie des outils de formation était racialement biaisée contre les hommes blancs, et a rapporté que des notions telles que la suprématie blanche, le Ku Klux Klan, la nation aryenne et la « casquette MAGA » étaient intrinsèquement associées à la « culture masculine blanche ».
Rufo a rapporté que les formateurs avaient insisté sur le fait que les participants devaient « travailler dur pour comprendre … le privilège blanc », ainsi que le privilège masculin et le privilège hétéro.
« Ensuite, les employés masculins blancs doivent exposer les « racines de la culture masculine blanche », a ajouté M. Rufo, qui consiste en un « individualisme robuste », une « attitude positive », un « travail acharné » et « la recherche du succès ». »
De tels idéaux, auraient insisté les formateurs, ne sont rien de moins que « dévastateurs » pour les minorités et les femmes car ils conduisent intrinsèquement à « une qualité de vie moindre au travail et à la maison, une espérance de vie réduite, des relations improductives et un stress élevé ».
Rufo a souligné que lors d’au moins une session, les participants de sexe masculin blanc ont dû répéter des affirmations contre le privilège blanc et ont été obligés d’ « accepter leur complicité » dans le « système des mâles blancs ».
Pour conclure la formation, les participants auraient également été invités à écrire des lettres aux femmes et aux minorités au sujet de leur expérience lors de la retraite, et à s’excuser de participer à une culture toxique créée et encouragée par le privilège du mâle blanc.
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Un porte-parole de Sandia National Laboratories explique à The Blaze que l’entreprise est fière de sa diversité, mais ne confirme ni ne nie que les employés ont assisté à l’événement.
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Kyle Rittenhouse, jeune milicien de 17 ans, est devenu le symbole des tensions raciales aux États-Unis. Il a abattu froidement deux manifestants de Kenosha et laissé un 3e entre la vie et la mort.
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Pro-Donald Trump, le jeune milicien s'est déplacé lui même de son Illinois natal pour affronter les manifestants remontés contre la nouvelle bavure policière qui a laissé Jacob Blake
La RTS choisit de ne pas mentionner que le jeune a été poursuivi puis attaqué (durant la scène diffusée, la journaliste ne précise pas que c'est le jeune Blanc qui est attaqué alors qu'il se trouve au sol).
Bien entendu, la RTS en profite pour parler de "suprématisme blanc", en aucun cas elle ne pointe du doigt la violence des extrémistes de gauche à l'origine de cette fusillade. Faut-il considérer que selon la RTS, il est désormais tout à fait normal de se faire tabasser par des BLM et autres Antifas? Et que toute réaction serait considérée comme un regain de racisme, de suprématisme?
Nos remerciements à Victoria Valentini
La vidéo de ce qui s'est réellement passé à présent :
L'adolescent est à terre après avoir été poursuivi par les extrémistes. Ceux-ci tentent de le tabasser alors qu'il est encore au sol. L'agression est à sens unique.
La vidéo que le @20minutesOnline ne montre pas concernant Kyle Rittenhouse
(Warning, Graphic/Violent)
A crowd chases a suspected shooter down in Kenosha. He trips and falls, then turns with the gun and fires several times. #Kenosha#KenoshaRiots
A man encourages the BLM crowd to march through the part of town where the white people and cops live in Kenosha: “Take it to their shit!” pic.twitter.com/4cyIKo01Xi
Résultat: mâchoire cassée, plaies à recoudre, etc...
*****
Depuis le décès de George Floyd, la RTS ne parle JAMAIS des victimes blanches et accuse systématiquement Trump d’attiser la haine raciale. Les victimes des émeutes raciales sont systématiquement les Noirs et les responsables du racisme sont exclusivement les Blancs.
Les pillages, les destructions, les exactions envers la police et la population civile par les Antifa et BLM sont tues, et la RTS prend la défense de ces gangs criminels.
Voici la présentation des émeutes de Kenosha par un professeur de sociologie, invité du Forum de la RTS le 26.08 2020 :
Nouvelle nuit d'émeutes aux Etats-Unis: interview du politologue Romain Huret
Interview de Romain Huret, historien spécialiste des Etats-Unis, directeur de recherche à l’Ecole de Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris
Dimanche dernier, aux Etats-Unis, Cannon Hinnant, un garçonnet de 5 ans, était abattu alors qu’il jouait dans un bac à sable par Darius Sessoms, un voisin. Face au silence des médias et aux réactions de membres du mouvement racialiste Black Lives Matter, des internautes ont décidé de réagir.
PORTLAND - Un homme a été grièvement blessé dimanche dernier par des manifestants, l'homme venait de percuter un trottoir du centre-ville avec sa camionnette, ont déclaré les autorités. Les manifestants auraient accusé l'homme, qui n'a pas été identifié, d'avoir tenté de les frapper avec son véhicule avant l'accident [NDLR : On voit dans la première vidéo qu'il se fait déjà harceler avant l'accident par des Black Lives Matter/antifas alors que sa camionnette se trouve encore à l’arrêt].
#BLM & #antifa militants violently assault man after car accident in downtown Portland. This kick to the head came after several heavy blows from fists. pic.twitter.com/pyLWFOniSF
La police de Portland a déclaré avoir reçu dimanche vers 22h30 un rapport indiquant qu'un homme avait été blessé près de l'intersection de Southwest Broadway et de Southwest Taylor Street. L'incident s'est produit à plusieurs pâtés de maisons d'un rassemblement de Black Lives Matter devant le Justice Center, qui abrite la prison de la ville et un commissariat de police.
"Le rapport indique que les manifestants poursuivaient la camionnette avant qu'elle ne s'écrase, et qu'ils ont agressé le conducteur après l'accident", a déclaré le sergent Kevin Allen au Washington Post dans un communiqué publié lundi matin. "Le conducteur a été transporté à l'hôpital en ambulance avec de graves blessures."
Les vidéos tournées juste après l'accident du camion montrent un petit groupe de personnes faisant face aux conducteur, l'éloignant du véhicule et le frappant au sol.
[...]
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Des militants du mouvement Black Lives Matter ont manifesté cette semaine dans un quartier résidentiel de Seattle. Ils ont exigé des habitants qu'ils abandonnent leurs maisons.
Les tensions raciales ne s'apaisent pas outre-Atlantique. Selon une information rapportée par plusieurs médias américains, dont le New York Post et le Washington Times, des manifestants du mouvement Black Lives Matter ont protesté dans un quartier résidentiel de la ville de Seattle, dans le nord-ouest des États-Unis, mercredi 14 août. Vidéos à l'appui, on voit les militants prendre leurs aises... et demander aux habitants du quartier d'abandonner leurs maisons.
Seattle BLM protesters march through residential neighborhoods and demand white people give up their homes.
“Give up your house. Give Black people back their homes.” “what are you going to do about it? Open up your wallets.”
Un garçon de cinq ans a été abattu à bout portant par son voisin âgé de 25 ans alors qu'il faisait du vélo dans son propre jardin devant ses deux sœurs âgées de 7 et 8 ans.
La police de Caroline du Nord a accusé un voisin du meurtre d'un garçon de cinq ans qui roulait à vélo dans son propre jardin lorsqu'il a été abattu à bout portant dimanche soir.
La police de Caroline du Nord a inculpé lundi Darius Sessoms, 25 ans, du meurtre du Cannon Hinnant, âgé de cinq ans
La famille de Hinnant affirme que le garçon se déplaçait à vélo devant la maison de son père à Wilson dimanche dernier lorsque Darius Sessoms s'est approché et lui a tiré une balle dans la tête
Les deux sœurs du jeune garçon, âgées de 7 et 8 ans, ont été témoins de la fusillade
Darius Sessoms est leur voisin direct et les familles se connaissent depuis des années.
Le motif du meurtre n'a pas été révélé, mais un membre de la famille a déclaré que le jeune garçon était entré dans la cour de Darius Sessoms
Les voisins disent que Darius Sessoms avait rendu visite au père de Hinnant, Austin, plus tôt dans la journée
Darius Sessoms, 25 ans, a été placé en garde à vue par la police de Wilson environ 24 heures après qu'il se serait approché de Cannon Hinnant devant la maison du père du jeune garçon à 17h30. Il lui aurait tiré une balle dans la tête.
Les sœurs de Cannon Hinnant, âgées de sept et de huit ans, ont été témoins du meurtre, a déclaré leur mère à WRAL.
Darius Sessoms vivait à côté de la famille, et on ne pense pas que le meurtre soit dû au hasard. Les voisins affirment qu'il avait dîné avec le père de Hinnant vendredi et qu'il était venu à la maison plus tôt le dimanche.
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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Un homme de la Virgnie soupçonné du viol d’une femme qui avait été libéré de prison en raison du COVID-19 est désormais accusé du meurtre de celle qui l’avait accusé.
Ibrahim E. Bouaichi était initialement détenu sans caution, mais son avocat a demandé qu’il soit libéré en attendant son procès en raison du nouveau coronavirus.
Quelques mois plus tard, Karla Dominguez, sa présumée victime, a été retrouvée assassinée.
Les policiers ont retracé le suspect et l’ont appréhendé au terme d’une chasse à l’homme. Il s’était toutefois blessé avec une arme et se trouve dans un état grave.
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