Michel Garroté -- Comment est-on passé de l'islam (violent depuis sa naissance il y a quatorze siècles) au terrorisme islamique ? Avec Émile Durkheim (1912), T.W Adorno (1966), Achille Mbembe (2006), Revault d’Allonnes (1995), Thierry Garcia (2016), Judith Butler (2016) et d'autres encore, les Sociologues & Consorts ont légitimé la violence, le stalinisme génocidaire, le terrorisme gauchiste et enfin le terrorisme islamique au fil des décennies. On a voulu et on voudrait encore nous vendre l'idée nihiliste que la guerre terroriste djihadique, que le terrorisme islamique seraient une "expérience sensible".
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On voudrait nous vendre l'idée qu'il y aurait des "motifs existentialistes" du djihad, du terrorisme islamique. On voudrait nous vendre l'idée qu'il faudrait, à propos des terroristes islamiques et djihadiques, "comprendre leurs trajectoires biographiques, leurs rapports ordinaires au monde, à autrui et à eux-mêmes". On voudrait nous vendre l'idée qu'il faudrait "cerner les médiations sociales, historiques et contextuelles" qui "organisent l'expérience" de la guerre terroriste et djihadique.
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On voudrait nous vendre une "théorie de la réflexivité et de la subjectivité" en temps de guerre terroriste et djihadique. On voudrait nous vendre l'idée qu'il faudrait "appréhender les rationalités générales des actions, des objectifs, des conduites et des formes de vie des terroristes islamiques et djihadiques. On voudrait nous vendre une "nouvelle hypothèse relative à la dimension sensible" de la guerre dhihadique et islamique.
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On voudrait nous vendre l'idée qu'il faudrait "dégager les facteurs du contexte social qui expliquent le basculement de certains dans des parcours de radicalisation djihadistes, tels les inégalités sociales, les exclusions, les discriminations, les expériences de l'injustice". On voudrait nous vendre l'idée qu'il faudrait "analyser les processus et la dynamique des violences, en s'appuyant sur un profilage sociologique des parcours des candidats au djihad".
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On voudrait nous vendre l'idée que "la plupart des études s'accordent sur un diagnostic qui favorise l'expérience guerrière, avec la frustration sociale et la crise sociale". On voudrait nous vendre l'idée qu'il existerait "des configurations sociales spécifiques qui créent des conditions favorables à la violence".
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On voudrait nous vendre l'idée que l’islam aiderait, soi-disant, l’Occident, à redéfinir son identité ; à pratiquer le dialogue des cultures ; et à pratiquer le multiculturalisme. A cet égard, l’idéologie islamophile reproche, à l’Occident, d’avoir une identité judéo-chrétienne monolithique. Et dans ce cadre, l’islam apporterait, paraît-il, quelque chose de nouveau. L’islam aiderait, soi-disant, les Occidentaux, à redéfinir leur relation avec les autres.
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On voudrait nous vendre l'idée que l’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à lutter contre le racisme ; contre la discrimination ; contre le regard porté sur les musulmans. Un regard colonial, nous dit l’idéologie islamophile, un regard colonial influencé par l’histoire de l’Occident face à l’islam. L’islam aiderait, soi-disant, les Occidentaux, à transcender l’ère coloniale et les croisades. L’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à devenir multiculturels. Et l’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à faire de la lutte contre la discrimination, une priorité. Voilà résumée, en quelques lignes, l’idéologie islamophile.
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Je n’invente rien. C’est bel et bien ainsi, qu’est formulée, l’idéologie islamoPHILE, par des journalistes, des historiens, des sociologues, des enseignants, des chercheurs, des faiseurs d’opinion et des politiciens. Et quiconque n’adhère pas à cette idéologie islamoPHILE, est, automatiquement, accusé d’être islamoPHOBE. "Islamophobie", un délit pénal ?
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Michel Garroté pour Les Observateurs, 5.7.2017
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Sami Aldeeb: Comment soigner les malades du terrorisme islamique en Occident
Et les autorités britanniques s'attendent à d'autres attaques.
Ces autorités pataugent dans leurs déclarations: qui est responsable? L'islam ou l'islam politique?
«Guide-nous sur le chemin droit, non pas le chemin de ceux contre lesquels tu es en colère (les juifs), ni le chemin des égarés (les chrétiens)»..
1) Empêcher la diffusion du Coran sous sa forme actuelle, dans tous les pays occidentaux, et imposer une édition du Coran par ordre chronologique séparant le Coran mecquois du Coran médinois.
2) Placer un avertissement au début du Coran par ordre chronologique signalant le danger du Coran médinois et le fait qu'il viole les droits de l'homme, comme je l'ai fait dans mon édition arabe et mes traductions du Coran. Voilà l'avertissement que je propose:
Comme les autres livres sacrés, le Coran comporte directement, ou indirectement par le biais de la sunnah de Mahomet que les musulmans doivent suivre, des normes contraires aux droits de l’homme reconnus aujourd’hui dans les documents internationaux. Nous invitons donc les lecteurs à le lire avec un esprit critique et à le placer dans son contexte historique, à savoir le VIIe siècle. Parmi les normes qui violent les droits de l’homme, qui inspirent les lois des pays arabes et musulmans, et que les mouvements islamistes voudraient appliquer, en tout ou en partie, nous signalons à titre d’exemples:- L’inégalité entre les hommes et les femmes dans le mariage, le divorce, l’héritage, le témoignage, les sanctions et l’emploi, le mariage de filles impubères, et la circoncision masculine et féminine pratiquée sur des enfants.- L’inégalité entre musulmans et non-musulmans dans le mariage, le divorce, l’héritage, le témoignage, les sanctions et l’emploi.- La non-reconnaissance de la liberté religieuse, en particulier la liberté de changer de religion.- L’exhortation à combattre les non-musulmans, à occuper leurs pays, à imposer aux non-musulmans le paiement d’un tribut (jizya) et à tuer ceux qui ne suivent pas les religions monothéistes.- L’esclavage, la capture des ennemis et l’appropriation de leurs femmes.- Les sanctions cruelles comme la mise à mort de l’apostat (qui abandonne l’islam), la lapidation de l’adultère, l’amputation des mains du voleur, la crucifixion, la flagellation et la loi du talion (œil pour œil, dent pour dent).- La destruction des statues, des peintures et des instruments de musique, et l’interdiction des arts.- La maltraitance des animaux et l'abattage des chiens de compagnie..
1) Le retrait de la nationalité et du permis de résidence du malade et des membres de sa famille et leur renvoi dans une zone située hors d'Europe et que l'Occident doit créer. Je suggère à cet effet l'occupation de la moitié du territoire de l'Arabie Saoudite et la confiscation de la moitié de ses ressources pétrolières afin d'abriter ces malades.
2) L'expulsion de tous les prisonniers musulmans et des membres de leurs familles vers la zone susmentionnée.
3) L'interdiction de la construction de mosquées et la création de salles publiques ouvertes à tous dans le but d'accomplir la prière du vendredi en contrôlant strictement les prières et les sermons.
4) L'imposition d'un engagement à tout musulman qui se trouve dans le pays, ou y entre, à respecter les lois du pays sous peine d'expulsion vers la zone susmentionnée avec tous les membres de sa famille.
Dr Sami Aldeeb, Professeur des universités
Directeur du Centre de droit arabe et musulman
Traducteur du Coran en français et en anglais, et auteur de https://goo.gl/zHVYXb
Mais quelle guerre ?
Michel Garroté - Suite à l'attentat de Nice, le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF) ose demander au gouvernement français d'accentuer la surveillance de mouvements racistes et identitaires qui multiplient les appels à la haine et incitent explicitement à des représailles à l’encontre de nos concitoyens musulmans ; de réévaluer la politique antiterroriste, sur la base des rapports rendus récemment, de comprendre que les dérives de l’état d’urgence ou le ciblage abusif des musulmans amoindrissent la capacité de nos services de renseignement, et en définitive, ne garantissent pas notre sécurité, conclut avec culot le CCIF.
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Trois questions que moi je me pose : pour combattre le terrorisme islamiste, pourquoi ne pas passer à l’état de siège, puisque l’état d’urgence a prouvé son inefficacité ? Pourquoi les policiers, municipaux et nationaux, ne sont-ils pas équipés d'armes lourdes ? Pourquoi les militaires de la force Sentinelle ont-ils l'ordre de ne pas faire feu sur l'ennemi ? (à ce propos, lire l'interview de Pierre Martinet, ancien du Service Action de la DGSE ; voir lien vers source en bas de page).
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Et puis, je note, comme l'écrit d'ailleurs Jacques de Guillebon sur Causeur, je cite (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page), que "certains à gauche et à l’extrême gauche entendent à l’évidence faire monter la discorde un cran plus haut dans le pays. Quand ils affirment que l’islamisme et l’ultradroite recherchent la confrontation, c’est leur propre désir qu’ils expriment : celui d’une vraie guerre civile, contre les forces d’une extrême droite qu’ils ne trouvent plus depuis que Marine Le Pen a rationalisé le discours du Front national. Alors ils soufflent sur les braises, au besoin ils les fabriqueront eux-mêmes" (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Sur Boulevard Voltaire, l'éditorialiste Maxime de La Devèze écrit notamment, à propos de cette guerre, car s'en est une (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Ils déclarent une guerre qu’ils ne feront pas, craignant celle qu’on pourrait leur faire, qu’ils appellent déjà civile alors qu’elle s’appellera révolution. On ne peut plus regarder la guerre peinard à la télé. La guerre est en bas, dans la rue. Clic, un touitte « Je suis bidule », un portrait qui pleurniche sur fond de drapeau. Déjà des dizaines d’attentats en France. Plus de 200 morts en moins d’un an. 20 % d’homicides de plus que la moyenne annuelle.
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Maxime de La Devèze : Pour les glorieux qui nous gouvernent, le terrorisme, c’est un peu comme les accidents de la route : on ne pourrait jamais l’éradiquer, il faudrait apprendre à vivre avec pour vivre ensemble. C’est la guerre. On avait vu Johnny et Elvis partir pour l’armée. Est-ce qu’on verra David Guetta, Christophe Maé, Maître Gims ou Kendji Girac s’enrôler ? Que tout cela semble lointain et désuet dans ce nouveau monde électronique et sans limites, celui du confort en plastique, de Facebook, de Tinder, des centres commerciaux, des immeubles en verre, de la vie à crédit, des familles « recomposées » et du mariage gay, un monde qui se rêve immortel avec Google.
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Maxime de La Devèze : Rattrapé par des branleurs en claquette-jogging, armés d’un volant de camion, d’une machette, d’un flingue en tôle à 600 euros, au nom de quelques sourates de l’islam apprises sur le même Web que celui de notre bonheur égotique ; avec le même Instagram que nos selfies, le même mur Facebook que nos états d’âme. Nos politiques font la guerre, disent-ils, mais sans armée. C’est qu’ici, c’est le royaume de l’intérieur : les soldats font la guerre à l’extérieur. Où est la frontière entre l’intérieur et l’extérieur ? Ils l’ont abattue. Mais ils l’invoquent encore pour tracer les prés carrés des rentiers et découper des zones de chalandise électorale.
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Maxime de La Devèze : « L’intérieur », la France, est devenu un sanctuaire pour anciens combattants de l’État islamique. La vie est tout de même plus douce à Saint-Denis avec le RSA qu’affamé sous les bombes à Raqqa. Tout au long de ce quinquennat, des ministres ont encouragé d’une certaine façon des gens à partir combattre en Syrie. N’est-ce pas Laurent Fabius qui déclarait qu’il fallait abattre Assad, qu’« Al Nosra » faisait du bon boulot, et ordonnait qu’on leur livre des armes ? C’est Manuel Valls qui disait que lutter contre Assad était une priorité.
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Maxime de La Devèze : C’est toute cette haute administration méprisante de cabinets ministériels et de diplomates, hors-sol et en boucle courte, qui a formé ces décisions et soutenu ces positions. Confus, empruntés, ils vont moins vite que la musique. Comme toutes leurs promesses, ils déclarent une guerre qu’ils ne feront pas, tout en craignant celle qu’on pourrait leur faire, et qu’ils appellent déjà civile, alors qu’elle s’appellera révolution, conclut l'éditorialiste Maxime de La Devèze (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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De son côté, Bernard Antony écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L’abomination de l’attentat islamiste de Nice appelle d’abord l’expression de l’unité française dans le deuil et la prière à la pensée des morts et des immenses souffrances des blessés et de celles des proches des victimes. Mais elle suscite aussi indignation et colère devant l’incurie gouvernementale et aussi devant la continuation du déni de réalité sur les causes et l’extension de la barbarie. Car c’est depuis bien longtemps que le fanatisme islamiste ou islamo-gauchiste massacre ; dans l’indifférence hélas trop générale de notre peuple tant qu’il ne ciblait jadis que nos compatriotes d’Afrique du nord et ne se propageait qu’au Liban et au Proche-Orient.
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Bernard Antony : Après Al-Qaïda, et les immenses attentats du 11 septembre 2001 à New York, l’État islamique et ses filiales frappent désormais sur tous les continents. Mais surtout ils préparent, on le sait bien, d’autres moyens de terreur, chimiques, bactériologiques voire l’utilisation de produits nucléaires. La classe politico-médiatique fournit en abondance à chaque attentat son lot de communiqués pré-programmés d’une insigne indigence et répétitivité, ne trouvant souvent pas autre chose à dire que « les attentats sont lâches et abjects ». Un quidam de France-Info a même atteint un sommet d’une stupéfiante imbécilité en osant proférer l’interrogation : « Comment un Niçois a-t-il pu tuer d’autres Niçois ? ».
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Bernard Antony : On reste accablé devant pareille ineptie. Rares sont ceux voyant clairement que la tuerie de Nice, relevant certes du crime contre l’humanité, s’inscrit dans une stratégie puisant très loin dans l’histoire ses modèles de terreur, par exemple dans le jihâdisme des « hashishins ». Trop peu s’avisent de rappeler : Que l’État islamique a initialement bénéficié de l’appui de l’Arabie Saoudite, du Qatar et de la Turquie. Et d’exiger que vienne enfin de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) regroupant les 57 pays « d’islam », une unanime et solennelle Charte de condamnation du terrorisme. Ceci ne serait-il pas le plus sûr moyen d’éradication de l’islamophobie ?
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Bernard Antony : Or, on est stupéfait de constater qu’alors même qu’on est devant l’horreur et devant les immenses souffrances causées par un fou d’Allah c’est tout de suite la crainte de l’islamophobie qui semble prioritairement en émouvoir certains. La guerre que l’islam jihâdiste fait aux nations ne sera pas gagnée en France et ailleurs avec de dérisoires opérations « sentinelles » où l’on fixe en vain et épuise des milliers de nos soldats. La guerre à mener doit être simultanément celle de la lutte idéologique, de l’action psychologique et celle de la traque et de l’élimination des terroristes et de leurs réseaux de connivence et de soutien qui pullulent dans certains quartiers, conclut Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon/Actualite/Actualites/La-France-se-fait-infiltrer-par-l-islamisme-radical?ref=yfp
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http://www.causeur.fr/ultradroite-extreme-droite-plenel-dgsi-attentat-nice-39282.html
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http://www.bvoltaire.fr/maximedeladeveze/la-guerre-dites-vous-laquelle,272199
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http://www.bernard-antony.com/2016/07/massacre-de-nice-jusqua-quand-le-deni_15.html
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Le dessin du jour
Terrorisme islamique à Genève: “D’autres cas ont été gérés et jamais divulgués au public” dixit le Porte-parole de la police cantonale vaudoise
Genève? «Ce n'est pas une première»
S'agissant de la hausse du niveau de vigilance à Genève à la suite de la diffusion du signalement de potentiels suspects terroristes par la Confédération, Jean-Christophe Sauterel affirme «ne pas avoir augmenté la garde». «Ce n'est pas une première. Il y a eu d'autres cas de signalements depuis les attentats», précise-t-il encore. Des cas qui ont été gérés et jamais divulgués au grand public.
Le porte-parole n'en dira pas davantage sur la situation actuelle du côté de Genève.
https://youtu.be/J45OhtfcRV0
Source
Selon la «Tribune de Genève», ce sont les services de renseignements américains qui auraient transmis ces informations à la Confédération. Les quatre hommes sont présentés comme des sympathisants de l'Etat islamique dans une note de la police genevoise. Cette note, que la «Tribune» a consultée, fait également état de trois villes particulièrement menacées en ce moment: Genève, Toronto au Canada et Chicago aux Etats-Unis.
Un utilitaire repéré au centre-ville
Parallèlement à ces investigations, la police genevoise est actuellement à la recherche d'un véhicule utilitaire immatriculé en Belgique. Il a été aperçu à au moins deux reprises dans le centre-ville entre mardi soir et mercredi matin. Plusieurs sources ont confirmé à «20 minutes» les localisations successives de ce véhicule. Il aurait notamment été aperçu dans le quartier de Plainpalais durant la nuit de mardi à mercredi, puis dans un parking près de Rive mercredi matin.
Un ami de Salah Abdeslam
D'après letemps.ch, l'un des deux occupants de cette fourgonnette serait un ami de Salah Abdeslam, l'un des auteurs des attentats de Paris, en fuite. Ces deux individus avaient été signalés par les Français en raison de forts soupçons de radicalisation. Le véhicule serait parvenu à quitter la Suisse.
ONU fouillée et évacuée mercredi soir
Selon l'AFP, qui cite un vétéran des gardes de l'ONU, les quatre hommes recherchés sont bien liés au Groupe Etat islamique. Le Palais des nations fait ce jeudi l'objet d'une surveillance renforcée avec de nombreux gardes armés de fusils automatiques. Toujours selon le garde de l'ONU, l'alerte a été lancée mercredi soir à 20 heures. Le bâtiment a alors été évacué puis fouillé.
Hollande lâche les fauves : 168 perquisitons, 23 interpellations, 31 armes saisies !
Le quotidien Le Figaro a publié, sur son site internet, la carte de France des perquisitions (capture d’écran du site internet le Figaro)
Il y a eu, hier, 23 arrestations, qui auraient dues être menées avant les meurtriers attentats de Paris. Il y a eu, hier, 31 armes saisies, dont des armes de guerre, qui auraient dues être menées avant les meurtriers attentats de Paris. Il y a eu, hier, 104 assignations à résidence » à l’encontre « d’individus qui font l’objet d’une attention particulière des services de police, qui auraient dues être menées avant les meurtriers attentats de Paris.
D’après la RTBF, plusieurs policiers sont rassemblés devant un immeuble et lancent des sommations. Ils demandent notamment à une personne présente dans le bâtiment de sortir.
De nombreuses armes saisies lors des perquisitions dans les grandes villes de France
Cinq interpellations à Lyon, un véritable arsenal saisi
Des opérations spectaculaires et coordonnées dans le Nord et l’Isère
Marion dénonce les « turpitudes de personnages qui n’avaient rien à envier à celles de certains voyous « et tire à vue sur les services de renseignement, opaques, pas assez encadrés. Une guerre des polices et, de façon plus large, des clans (politiques) qui a provoqué » des dégâts que le citoyen peut parfois payer de sa vie « …
Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411
Lire aussi ces articles qui constituent un complément d’information :
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Qui a intérêt à transformer notre Occident qui était premier de la classe en foutoir?
Un enfant de huit ans convoqué avec son père à la police pour apologie du terrorisme…?
Cela me rappelle une autre histoire.
Dans les années 70 une cousine, institutrice, avait des élèves d’une dizaine d’années. Un jour elle punit un gamin d’origine marocaine et du tac au tac ce gosse lui répond “Aujourd’hui c’est vous qui commandez, mais bientôt ce sera nous qui commanderons”… Ma cousine a été tellement choquée qu’elle nous l’a raconté et que nous en avons longuement discuté en famille, d’autant plus que nous étions une “famille d’enseignants”. Nous sommes arrivés à la conclusion qu’il est impossible qu’un enfant de dix ans invente une chose pareille et que, probablement, il répétait ce qu’il entendait dire autour de lui dans sa famille…
De la perplexité a flotté dans l’air…
Autre épisode: un jour, j’ai voulu savoir ce qui était écrit dans les Conventions de Genève, je me suis fait envoyer les textes, je les ai épluchés et à la fin, la question que je me suis posée fut celle-ci : “Si un enfant de 5 ans vient vers vous en vous menaçant avec une arme de guerre, comment le considérez-vous? Comme un enfant de cinq ans ou comme un combattant?” (N.B. des enfants soldats de 5 ans ça existe et des enfants de 5 ans qui abattent leur petite sœur ou leur propre mère avec un révolver ça existe aussi.)
Le péché d’orgueil que commet l’Occident est que nous pensons que tout le monde est comme nous, que tout le monde pense comme nous.
Sur Internet, vous allez trouver un drôle de bonhomme qui, sous le pseudonyme “Aldo Sterone”, publie des vidéos dans lesquelles il parle non seulement de l’actualité mais aussi de l’islam et des musulmans. Il parle français et arabe, se dit Algérien, ni shiite, ni sunnite et apparemment, non seulement il a lu “les textes” des penseurs musulmans, mais il raconte surtout son expérience d’enfant éduqué dans l’islam et d’Algérien pendant “la décennie noire” en Algérie. Il a fini par s’exiler en Suisse, en France et vit actuellement en Angleterre.
Cet Aldo Sterone nous raconte les faits vus depuis l’autre côté, c.-à-d. du point de vue d’un arabo-musulman.
Une des choses qu’il nous explique c’est que la violence n’est pas le fait de “déséquilibrés” ni de “loups solitaires” mais le fruit de l’éducation qui se base sur des écrits centenaires comme ceux d’Ibn Taimir ou de Ibn Hajar, etc. https://www.youtube.com/watch?v=GkupktoNicQ dont nous ne connaissons même pas les noms et que peu de musulmans ont lus et analysés…(“Vous ne lisez pas vos propres livres, vous ne connaissez pas votre propre religion”) parce que tout simplement on continue à transmettre ce qu’on a reçu sans s’interroger, puisqu’il n’y a jamais eu de raison de se poser des questions. Exactement comme quand j’avais 7 ans. On me racontait que quand j’allais à communion, je ne pouvais pas mordre sur l’hostie car, étant donné que c’est le corps du Christ, si je mordais dessus, il allait y avoir des flots de sang qui allaient sortir de ma bouche… Peut-être mes grands-parents le croyaient-ils vraiment…
Or, voici Aldo qui nous explique que “ces histoires traditionnelles” qui comportent de véritables incitations à la violence (comme la pierre ou l’arbre qui dit au musulman qu’un juif se cache derrière lui et qu’il faut le tuer…) sont racontées aux enfants dès leur plus jeune âge. Cela signifie que “le virus de la violence et de la haine est instillé dans les cerveaux dès la naissance”.
Personne n’y a fait attention jusqu’à présent, mais aujourd’hui de nombreux musulmans se trouvent face à la violence faite au nom de l’islam et à leurs propres enfants qui se transforment en jihadistes et ils se posent la question de savoir pourquoi…
“Eh bien – répond Aldo Sterone – parce que la culture arabo-musulmane instille la violence dans les cerveaux de ses enfants dès leur naissance, violence qui finit par se retourner contre eux-mêmes”…
Dernièrement, on s’était indigné parce que “un enfant avait mimé l’égorgement d’une poupée blonde”…
Mais des vidéos macabres montrent des enfants qui font bien pire dans la réalité.
Maintenant, on en est aux enfants de 8 ans qui font l’apologie du terrorisme?
Les enfants de huit ans actuels ne son plus les benêts que nous étions. Ils voient la télévision et les jeux vidéo qui ont banalisé la violence. Ils vivent dans une ambiance de violence comme en témoignent les “faits divers” qui se passent dans les écoles.
“De mon temps”, dans les années 60, quand je recevais une punition au lycée, mes parents étaient convoqués par Mademoiselle la Préfète, on s’expliquait et mes parents doublaient la punition…
Aujourd’hui les parents vont voir la direction de l’établissement ; des professeurs et des directeurs sont agressés, blessés et même tués… Quoi d’étonnant que l’affaire en question ait fini au commissariat de police?
Quelle attitude adopter :
- “Ce n’est qu’un enfant de huit ans, détournons nos regards...”
Ou bien se demander
- “Comment se fait-il que des enfants de 8 ans se comportent comme ceci et que leurs parents se comportent comme cela ?”
Question: Qui a intérêt à transformer notre Occident qui était BCBG et premier de la classe en foutoir?
Question subsidiaire: Sommes-nous. nous allochtones et autochtones, obligés de continuer à l’accepter?
Anne Lauwaert
Verviers (Belgique) – Opération contre des terroristes islamistes : au moins 2 morts
Dans le cadre d’une opération antiterroriste contre des groupes islamistes menée en plusieurs endroits en Belgique, le Parquet annonce que deux personnes sont mortes et une a été gravement blessée suite à un assaut donné par la police dans le quartier de la gare dans le centre de Verviers vers 18h ce jeudi soir. Plusieurs personnes auraient aussi été interpellées.
Article complet sur fds
Il faut être con pour croire que cela va s’arrêter là !
L’attentat perpétré à Paris le 7 janvier n’est qu’un avant-goût de ce qui nous attend : le chaos, la peur, la désolation et la destruction de nos libertés individuelles…
Voilà où nous conduit le multiculturalisme : à un remplacement de nos populations par des gens d’autres cultures, dont certains, des barbares venus nous coloniser, ont un point commun : ils sont musulmans.
Suite
Allemagne: incendie volontaire d’un journal qui a publié les caricatures de Charlie Hebdo
Magdi Cristiano Allam: “On nie l’évidence : l’islam EST violent”
NDR : Une réponse pour Ada Marra........
Par Magdi Cristiano Allam:
Les "terroristes islamiques" n'existent pas. Aujourd'hui les médias de masse occultent cela avec le terme euphémique de "jihadistes". Mais combien d'Italiens savent ce que "jihadistes" ou "jihad" signifie ? Le mouvement des Frères Musulmans met en évidence la signification la plus naturelle du jihad :
"Allah est notre but. Le prophète est notre leader. Le coran est notre loi. Le jihad est notre chemin. Mourir sur le sentier d'Allah est notre plus grande aspiration".
L'interdiction d'employer le terme "terrorisme islamique" a été formalisée en 2006 par l'Union Européenne.
Il est bouleversant de constater que, pendant que les terroristes islamiques égorgent, décapitent et massacrent, obéissant ainsi aux versets du coran et aux paroles et aux faits attribués à Mahomet, l'Occident - en plus de nier l'évidence - va jusqu'à "excommunier" les terroristes islamiques. Le 14 septembre dernier, après la décapitation de l'otage britannique David Haines, le premier ministre David Cameron a déclaré que les terroristes islamiques de l'Isis "ne sont pas des musulmans mais des monstres", "ils disent qu'ils font ça au nom de l'islam. C'est absurde, l'islam est une religion de paix".
Le président américain Obama, dans son intervention à l'Assemblée générale de l'ONU, le 24 septembre, a disculpé l'islam : "Les Etats-Unis ne seront jamais en guerre contre l'islam. L'islam enseigne la paix".
Mais Obama et Cameron savent-ils que le chef suprême du prétendu "Etat Islamique", le calife autoproclamé Abu Bakr al-Baghdadi, en plus d'être musulman, a en poche un doctorat de recherche en Sciences Islamiques ?
Selon eux, si ces coupeurs de têtes ne sont pas musulmans, alors que sont ils ? Mais de quel islam parlent donc Cameron et Obama ? Le coran est unique et il n'y a qu'un seul Mahomet.
L'évêque de Mossoul, Emile Nona, interviewé par l'Avvenire le 12 août passé, a dit que l'idéologie des terroristes islamique "est l'essence même de la religion musulmane : dans le coran, il y a des versets où il est écrit que les Chrétiens doivent être tués ainsi que tous les autres infidèles et donc que les terroristes islamiques représentent le vrai visage de islam".
Et pourtant, ce 2 octobre, sous l'égide de la présidente de la Chambre, Laura Boldrini, la presse catholique (L'Avvenire, Famiglia Cristiana, la Fisc), a fait la promotion de la campagne "Les paroles aussi peuvent tuer", campagne qui dénonce l'emploi du terme "terroriste" par rapport à musulman.
La Boldrini avait déjà en 2007, en tant que porte-parole du Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, avec le soutien et de l'Ordre national des journalistes et de la Fédération nationale de la presse, la Carta di Roma, demandé de substituer le terme de clandestin par celui de migrant.
Et bien, depuis que plus aucun média de masse n'emploie le mot "clandestin", nous nous retrouvons dans une Italie où non seulement la clandestinité n'est plus un délit, mais où nous investissons nos ressources pour se faire envahir. Donc, inévitablement, la même chose se produira avec l'abolition du terme "terrorisme islamique".
Aujourd'hui déjà, les terroristes islamiques ayant la citoyenneté européenne qui reviennent après avoir tué, égorgé et décapité en Syrie et en Iraq, sont accueillis comme les fils prodigues de la parabole de l'évangile.
Nous acceptons que dans les mosquées et sur les sites Internet on prêche la haine et la violence à notre égard, considérant cela comme de la liberté d'expression, jusqu'au moment où ça se traduira concrètement par notre mort.
En continuant sur ce chemin, nous finirons non seulement par justifier le terrorisme islamique mais nous le considérerons comme légitime, nous condamnant ainsi au suicide et à la fin de notre civilisation.