Ces vieilles qui veulent divorcer

Les couples seniors divorcent de plus en plus facilement

Le Matin Dimanche: 2020-02-09 - Les couples ... - PressReader

- Le taux de séparation après plus de trente ans de mariage a triplé.

Le plus souvent, c’est la femme qui veut mettre fin à l’union. Actuellement, 10% des divorces sont le fait de couples de plus de 65 ans. Les dernières données de l’Office fédéral de la statistique montrent qu’entre 1970 et 2018, le nombre de divorces après trente ans de mariage a été multiplié par trois. L’espérance de vie prolongée a un effet pervers : un couple doit être soudé plus longtemps. Mais les femmes d’aujourd’hui aspirent à mieux qu’arroser les géraniums et cuisiner: plus d’autonomie, de liberté, voire plus de tendresse. On est plus longtemps en forme, sexuellement actif, et surtout plus exigeant en matière de relations. [...]

Il faut dire qu’avec la drague numérique, les époux ont plus de choix, et changer de partenaire n’a jamais été plus tentant.

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L’âge venu, les partenaires ont des attentes différentes : les hommes rêvent plutôt de rester avec leur compagne (quitte à entretenir une relation adultère) et s’empressent de se remarier après un divorce, dans l’idéal avec une femme ayant entre cinq et quinze ans de moins qu’eux. [...]

En revanche, 96% des divorcées n’envisagent pas du tout de reformer un couple. Elles préfèrent avoir des arrangements amicaux sans partager de nouveau leur toit.

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Conséquence de l’immigration démesurée: risque accru d’aide sociale dès 46 ans déjà

Les conséquences nuisibles de l’immigration démesurée s’avèrent de plus en plus clairement. La pression sur les salariés nationaux a massivement augmenté, comme le confirment les chiffres publiés aujourd’hui de l’initiative des villes pour la politique sociale. Le risque de finir dans l’aide sociale a considérablement augmenté dès l’âge de 46 ans déjà.

Le dernier constat de l’initiative des villes pour la politique sociale est inquiétant: aujourd’hui des salariés âgés de seulement 46 ans sont de plus en plus souvent poussés vers l’aide sociale. Selon le rapport publié aujourd’hui, le risque d’aide sociale chez les 46 à 55 ans a passé de 4,9 à 5,7% durant les dix années écoulées.

Ce développement a une double conséquence: d’une part, les charges de l’aide sociale croissent constamment, d’autre part, la proportion d’assistés sociaux de longue durée augmente. Un chômage durable accroît le risque de maladie psychique qui, à son tour, rend plus difficile une réinsertion dans la vie professionnelle.

L’immigration démesurée menace la paix sociale

Selon le rapport de l’initiative des villes pour la politique sociale, ce développement s’explique surtout par le changement structurel et une formation insuffisante, voire inexistante. En revanche, ses auteurs passent systématiquement sous silence la cause première de ce développement, à savoir l’immigration démesurée. C’est elle qui pousse de plus en plus de travailleurs nationaux dans l’aide sociale. Selon une étude, les ressortissants UE/AELE sont presque deux fois plus souvent au chômage que les Suisses et tirent beaucoup plus d’argent des caisses de chômage qu’ils n’y versent. Alors qu’aujourd’hui déjà six bénéficiaires de l’aide sociale sur dix sont des étrangers, la forte immigration – le plus souvent de personnes mal qualifiées – via la libre circulation des personnes et l’asile se poursuit. Ce même rapport de l’initiative des villes pour la politique sociale relève pourtant qu’en raison de la numérisation le nombre d’emplois pour des travailleurs mal qualifiés diminue constamment.

Pour sauvegarder les institutions sociales et, surtout, la paix sociale dans notre pays, l’UDC demande que la Suisse gère à nouveau l’immigration de manière autonome et selon ses propres besoins. Grâce à l’UDC, les citoyennes et citoyens suisses pourront probablement dans sept mois déjà, soit le 17 mai 2020, trancher cette question en votant sur l’initiative de limitation.

source: Communiqué de presse UDC

Lausanne : une vingtaine de seniors dépouillés par des malfrats issus de la banlieue parisienne

Un butin de plus de 100'000 francs, soustrait sur une période de deux ans aux domiciles d’une vingtaine de seniors lausannois, dans les quartiers sud de la ville. En journée et en présence de leurs victimes. Toutes des femmes, vivant seules, et très âgées: la moitié était des nonagénaires. Depuis, certaines sont tombées en dépression, d’autres hospitalisées ou décédées.

À la manœuvre, un trio de malfrats – un sexagénaire et ses fils – venus de la banlieue parisienne pour duper les aînés en se faisant passer pour des plombiers et policiers. Condamné la semaine dernière à 4 ans de prison ferme et à une expulsion de Suisse d’une durée de dix ans, le trio fera appel, a appris «Le Matin Dimanche».

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24 Heures

Belgique : un parti écolo veut « détourner » les colis des seniors pour les donner aux migrants

L’association Écolo Genappe s’oppose fermement à la distribution de colis aux aînés telle que réalisée annuellement. Cette année, elle propose donc de détourner ces « cadeaux » pour les offrir aux réfugiés de la province.

L’opération « Détournement de colis pour seniors » est lancée. Cette année, les « paquets cadeaux » adressés aux plus de 65 ans de la commune risquent de ne pas atterrir dans les mains de leurs destinataires d’origine. En cause : une initiative du groupe Ecolo… qui en marre. « Chaque année, au mois de septembre, la Ville distribue des « cadeaux » aux seniors. Une opération selon nous vide de sens, et à laquelle nous voudrions en donner », explique Anne Beghin, chef de groupe.

Cette année, Ecolo propose donc aux personnes âgées de redistribuer leurs colis, à destination des réfugiés. « Nous avons eu cette idée l’année dernière, mais nous la concrétisons cette année, développe-t-elle. Il s’agit véritablement d’une action de détournement. Quatre points de dépôts sont prévus: à Genappe, Vieux-Genappe, Baisy-Thy et Bousval. Une fois collectés, nous nous engageons à redistribuer ces colis, éventuellement reconditionnés, pour les fêtes de fin d’années. » L’initiative vise en premier lieu les réfugiés présents sur le territoire de la commune, mais aussi les centres Fedasil de la province.

Deux raisons sont avancées pour justifier l’opposition d’Ecolo face à ces colis pour seniors. Tout d’abord, leur contenu. [...]

La Capitale