France. Roubaix : un réfugié de 29 ans condamné pour atteintes sexuelles sur une fille de 11 ans

Depuis lundi, un habitant de Roubaix, âgé de 29 ans, était jugé devant la cour d’Assises du Nord, à Douai, pour une «  tentative d’agression sexuelle imposée à un mineur de 15 ans  » et pour «  viol sur un mineur de 15 ans  ». En raison de l’âge de la victime, qui avait douze ans au moment des faits, le procès s’est déroulé à huis-clos.

L’homme, de nationalité étrangère, est réfugié en France depuis 2013 après avoir été persécuté dans son pays. En 2015, il bénéficiait d’un titre de séjour. Il était accusé d’avoir agressé une mineure alors qu’il avait été recueilli dans une famille de Roubaix. Placé en détention provisoire depuis trois ans, cet homme n’a eu de cesse de clamer son innocence, évoquant des sentiments amoureux réciproques et une relation pleinement consentie avec l’adolescente.

Après trois jours d’audience, le mis en cause a été acquitté des faits pour lesquels il était poursuivi. Il a finalement été condamné à 5 ans de prison dont un avec sursis et mise à l’épreuve de dix-huit mois pour des «  atteintes sexuelles  ». La Cour d’Assises a estimé qu’en raison de l’âge de la jeune fille, celle-ci n’était pas en mesure de consentir «  en pleine conscience  » à des relations sexuelles avec un adulte. Son avocate s’est refusée à tout commentaire.

Nordeclair.fr

France. Roubaix: Les photos des pièges utilisés par la racaille pour blesser grièvement les policiers

Suite à notre article déjà publié ici, voici le compte rendu de deux autres sources, des sites d'informations reconnus pour ceux qui doutent de l'état de la France.

Pour ceux qui veulent savoir qui peut être derrière ces actes immondes, voici une vidéo de la ville de Roubaix elle-même et de sa braderie.

**********

Info Actu17. Plusieurs témoignages et photographies nous sont parvenus de la part de riverains du quartier des Trois Ponts à Roubaix. Un groupe de jeunes individus a creusé des trous de 60 cm de profondeur en moyenne puis les a recouvert pour les camoufler.

Leur but ? Attirer les policiers dans des courses-poursuite pédestres la nuit pour les piéger.

Selon plusieurs témoignages concordants, ces pièges dignes des trappeurs d’Amérique du Nord, comportent des objets métalliques tranchants dans le but de blesser les fonctionnaires de police.

«  C’est une histoire de fou et, franchement, si ça se confirme, c’est du jamais vu à Roubaix et peut-être même en France  », se désole un fonctionnaire de police du commissariat de Roubaix, sous le sceau de l’anonymat. La semaine dernière, une patrouille de police secours qui circule dans le quartier des Trois-Ponts est alertée : des trous auraient été creusés dans un terrain vague, à proximité de l’avenue Kennedy, à Roubaix.

Le service de quart de nuit se rend sur place quelques heures plus tard et s’aperçoit, selon plusieurs sources concordantes, que les trous en question ont finalement été remplis d’objets tranchants et coupants avant d’être recouverts de branchages et de tôles «  de telle sorte qu’on ne puisse pas les voir  ». On parle de morceaux de verre, de plaques de métal ou de chaises retournées, les pieds en l’air. «  Des choses placées pour faire mal  ». La découverte a, heureusement, été réalisée avant que des personnes soient blessées.

tiger-trap

tiger-pit-2

6174163-tiger_trap-0

«  Quand les collègues se sont rendus sur les lieux, des jeunes du quartier âgés de 15 ou 16 ans leur ont expliqué qu’ils creusaient des piscines pour s’y baigner en cas de fortes chaleurs, dit une source syndicale qui confirme l’information. Par mesure de précaution, les outils ont été confisqués  ».

L’affaire est prise très au sérieux. «  C’est un lieu de deal notoire, continue le syndicaliste. C’est problématique pour mes collègues car quand ils partent à la courette (course-poursuite à pied, ndlr), ils regardent la personne qu’ils poursuivent, pas forcément le terrain où ils mettent les pieds. Idem pour les chiens de la brigade canine ou chargés de la détection de produits stupéfiants. C’est une nouveauté. C’est la première fois que nous sommes confrontés à ce genre de pièges.  »

La ville de Roubaix confirme cette découverte pour le moins étrange. «  Les services techniques de la ville se sont rendus sur les lieux pour reboucher les trous, explique Margaret Connell. Cette intervention n’a pu se faire que sous la protection de nombreux effectifs des polices nationale et municipale.  » Nous avons contacté la Préfecture du Nord, qui n’a pas répondu à nos sollicitations. Dans le quartier, les rares personnes qui ont voulu nous répondre ont expliqué ne pas être au courant, expliquant que les trous avaient été creusés pour les travaux de l’ANRU. Ceci dit, des photos explicites prises par des riverains ont bien circulé sur les réseaux sociaux.

Les auteurs n’ont pas été interpellés, pour l’heure.

Source Source2

La Ville de Roubaix publie fièrement une vidéo de sa braderie. Elle révèle à quel point cette ville est africanisée et arabisée.

A noter que la Ville de Roubaix est devenue la risée de Twitter à la suite de sa vidéo.

 

 

roubaix2

 

 

roubaix3

 

Nos remerciements à Λlex Λ 

 

France. Roubaix: Quand des témoins interviennent pour empêcher des arrestations

Pour certaines professions, à Roubaix, la vie n’est plus « un long fleuve tranquille ». Si tous les services publics sont confrontés à une recrudescence d’incivilités, pompiers et policiers restent en première ligne. «  C’est Roubaix, qu’est-ce que vous voulez qu’on dise ? Quasiment toutes les interventions de police-secours deviennent compliquées  », dit l’un d’eux.

Par trois fois en moins de deux semaines, des fonctionnaires sont pris à partie lors d’interpellations. Chose inédite, il ne s’agit pas d’une personne arrêtée qui se rebelle mais de « passants » qui s’interposent.

Le 6 mai, au petit matin, une patrouille décide de contrôler le conducteur d’une voiture occupée par trois hommes. Bonne pioche, le conducteur se révèle positif au dépistage d’alcoolémie. Les passagers du véhicule s’opposent alors à l’interpellation du conducteur et permettent sa fuite. Une vitre d’une voiture de police sera brisée.

« Quand ils passent dans le quartier, ils nous gazent pour rien »

Trois jours plus tard, une patrouille intervient dans le quartier des Trois Ponts pour arrêter un homme recherché pour outrages. Un témoin se mêle à l’intervention et frappe les policiers. L’un d’eux s’en sort avec une grave blessure à la mâchoire. Pour calmer le Roubaisien, qui n’avait à l’origine rien à voir avec l’interpellation, un fonctionnaire de police devra lui asséner un sérieux coup de poing. Une vingtaine d’autres personnes interviennent alors et dans la rixe, trois policiers se retrouvent au tapis. «  Quand ils passent dans le quartier, ils nous gazent pour rien  », explique le prévenu au tribunal de Lille, où il écope de six mois de prison dont trois avec sursis.

Le 13, c’est une jeune femme policière qui recevra un violent coup de coude alors qu’elle vient de chuter au sol après une entorse. Son tort ? Être intervenue dans le quartier du Pile, à 200 mètres du commissariat, pour interpeller un homme suspecté de frapper une fillette de 10 ans au milieu de la rue. Ce qui n’a pas plu à des habitants du quartier qui se sont mis à poursuivre les policiers en les insultant et en les menaçant. Les fonctionnaires devront utiliser leurs bombes lacrymogènes.

Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

A Roubaix, la police ne peut plus protéger les Français

« 
La police Française n’a pas autorité à l’étranger… ». Un commentaire qui en dit long sur ceux qui occupent le terrain à Roubaix, ville connue pour être la zone de non droit la plus musulmane et la plus pauvre de France, en y faisant régner leur loi, celle qui oblige les Français originellement nordistes à partir pour ne pas mourir, et contraint ceux qui restent à subir leur calvaire en silence.

Au lieu de « veiller à l’exécution des lois, à assurer la protection des personnes et des biens, à prévenir les troubles à l’ordre public et à la tranquillité publique ainsi que la délinquance », la police ne sert plus aujourd’hui qu’à verbaliser les automobilistes et à protéger les squatteurs contre les dangereuses vieilles dames qui auraient des velléités coupables de récupérer ce qui leur appartient de droit.

Suite

Famille harcelée à Roubaix : La police déclare qu’elle ne peut rien faire.

A écouter attentivement: les déclarations de la police dans la vidéo. 9 plaintes toutes classées sans suite. La police a même confié son impuissance. "Des jeunes qui s'approprient les rues et effectivement c'est courant. Et ils sont là forcément pour plusieurs trafics, produits stupéfiants ou d'autres produits. On n'a pas vraiment de solutions à apporter par rapport à ça." La police de Roubaix explique cette situation par la perte d'un tiers de ses effectifs en 10 ans. Et puis parce que ces délinquants sont mineurs. Ils sont soit très vite relâchés à l'issue de leur garde à vue soit rappelés à l'ordre par le juge.

Tous deux, 17 et 18 ans, le reconnaissent volontiers : ils jouent au foot dans la rue et certains d’entre eux ont des « grandes gamelles » : Et puis, il y en a qui fument des joints et sont « un peu durs » : « On est une quinzaine. Beaucoup ont grandi là mais n’y habitent plus : ils sont de la Potennerie, des Trois-Ponts… Moi je reviens parce que je ne connais personne dans mon nouveau quartier. On se retrouve vers 18h, là au début de la rue, devant la maison de la famille dont tout le monde parle. »

Pour eux, c’est clairement Philippe Godefroy, le père de la famille harcelée, qui a commencé : « Un jour, il a pété les plombs parce qu’on faisait du bruit, il est sorti avec un flingue qui avait tout l’air de ne pas être en plastique (1). Je suis arrivé, j’ai vu mon pote les bras en l’air. »

« C’est normal »

Ce que confirment d’autres jeunes du voisinage : « Je suis allé le voir, je lui ai demandé de se calmer, il tremblait. » L’événement amène le duo à une étonnante conclusion : « Il a voulu faire sa loi, c’est normal qu’il y ait des représailles. » Plus tard, la réflexion devient encore plus sidérante : « Il se fait passer pour une victime mais une victime c’est quelqu’un qu’on frappe. On l’a pas touché ni lui ni ses enfants. Et puis, il a jamais essayé de nous parler comme d’autres le font, il n’y a jamais eu de dialogue. » Les cambriolages ? « Nous deux on vole pas, si on le faisait on irait plutôt au parc Barbieux. Ici, les gens n’ont rien, ils n’ont pas d’argent. » Et puis, expliquent-ils avec un remarquable sérieux, ils ne comprennent pas pourquoi « cette famille fait tout ce cirque » : « Il y a d’autres familles dans la rue avec lesquelles ça se passe très bien. Et avant, il y a deux ans, on faisait bien pire. »

Tout commence, expliquent-ils avec la maison voisine de celle des Godefroy. « Il y a une femme là-dedans qui nous a laissé rentrer chez elle après que son mari est parti. Elle connaissait un jeune de notre bande. Sa maison, c’est devenu une boîte de nuit. On buvait, on cassait tout, on faisait du bruit jusqu’à 4h du matin. Mais bon c’est de sa faute, elle avait qu’à pas nous inviter au départ. Depuis, on s’est quand même calmé. » Parce qu’ils ont commencé à avoir des « petits problèmes » : « On s’est battu, les gens nous engueulaient et puis on commençait à être repéré à l’extérieur du quartier, on nous associait à des Chabert (des cas sociaux) c’était mauvais pour notre réputation. » Bref, ce n’est plus ce que c’était. Reste les coups dans la porte, les insultes, le bruit le soir, les suspicions de trafic.

Les flics, on les caillasse

Pour la drogue, ils nient en bloc. « Oui, avant un peu mais aujourd’hui il n’y a pas un euro qui circule : on est entre deux gros terrains de deal, on va pas aller prendre des clients aux grands. Et puis moi j’ai 18ans, j’ai pas envie d’aller en prison, j’ai envie de faire quelque chose de ma vie. » Ils parlent de contrat d’apprentissage pour l’un et de néant pour l’autre : « J’ai envoyé je ne sais pas combien de CV, on me répond jamais. Je vis avec ma mère qui gagne 400 euros par mois. » Son copain, lui, c’est 500. Il veut travailler. « J’ai pas essayé en dehors de Roubaix parce que c’est ma ville. » En attendant mieux, ils squattent la rue Desaix, entre deux poursuites avec la police. Justement, une voiture stationne au début de la rue.

« Les flics, on les caillasse avec des briques et ils nous envoient des lacrymos. On dirait qu’on est en guerre. » D’ailleurs, racontent-ils, il faut faire de plus en plus attention : « On a un copain qui a sorti une arme de guerre près d’Eurotéléport, une demi-heure après les militaires étaient chez lui. Ici, il y a des armes partout, c’est facile d’en avoir. Il suffit de 300 euros. Mais il ne vaut mieux pas tremper là-dedans. » Enfin, quoi qu’il se passe avec la police ou les voisins, concluent-ils, ils ne bougeront pas : « Attends, on va pas partir, on est chez nous ici, qu’est-ce qu’ils croient ? »

La Voix du Nord via Fdesouche.com

Famille apeurée, voiture incendiée, porte du logis défoncée, deux cambriolages: Bienvenue dans la France enrichie

Ils sont venus pour camper dans le hall de la mairie de Roubaix. Pancartes à l’appui, cette famille est venue dénoncer les incivilités, violences, cambriolages dont elle est victime depuis un an. Quatre plaintes et une main courante ont été déposées. Ils veulent, disent-ils, briser l’omerta.

« On n’avait déjà pas grand chose. Alors là, on n’a vraiment plus rien. Ma mère nous a prêté une télé qui a plus de 30 ans. C’est tout ce qu’il reste dans la maison ! ». Une pancarte de revendications autour du cou, Philippe Godefroy a les larmes aux yeux. Le timbre pincé de ceux qui se retiennent de pleurer. La présence de ses enfants y joue beaucoup. La pudeur également. Car rien ne les prédestinait à s’exhiber ainsi dans le hall de la mairie de Roubaix.

Ce que ce couple de Roubaisiens décrit ressemble à un véritable calvaire. « Nous avons emménagé rue Desaix, dans le quartier du Pile, début avril 2014, explique ce père de famille. Les ennuis ont commencé immédiatement ». Quelques jours à peine après leur installation, deux pneus de leur AX sont crevés par une main anonyme et noctambule. Rebelote quelques jours plus tard. Les quatre pneus, cette fois-ci. « À peine le temps de les changer qu’ils étaient déjà crevés. Comme je me lève de bonne heure pour aller travailler, j’ai pris la décision de garer ma voiture un peu plus loin dans la rue. Le 29 avril, vers 4h15, en sortant de chez moi, j’ai tout de suite compris ». L’odeur caractéristique qui flotte dans l’air ne lui laisse guère de doutes. Sa petite Citroën, la seule de la famille, a été incendiée. Une plainte a été déposée. L’enquête est toujours en cours au sein de la sûreté urbaine de Roubaix.

Pneus crevés, voiture incendiée, porte défoncée, deux cambriolages

La suite, c’est une triste litanie d’incivilités, d’insultes ou de moqueries difficiles à expliquer. [...] Un soir, quelqu’un a donné un violent coup de pied dans ma porte d’entrée. Ça a créé un énorme trou. Ils ont cassé les fenêtres. On se fait insulter. On nous a même jeté des œufs pourris sur notre devanture. Et quand je suis sorti pour voir d’où venait cette odeur, on se foutait de notre gu… ».

Le pire, selon eux, c’est que des incivilités, à Roubaix, on s’en accommode. « On vit avec, reconnaît Vanessa, sa compagne. Le pire, c’est pour les enfants. Ils s’inquiètent pour nous. Quand ils partent à l’école, ils se demandent ce qui peut encore nous arriver. Mais ils sont compréhensifs. C’est une force d’avoir des enfants comme ça. On leur a tout volé mais ils ne réclament rien ».

La situation a dérapé une première fois, le 8 mars. « Nous avons été cambriolés par des individus qui sont entrés par l’arrière de la maison. Ils ont volé une télé et les consoles de jeux des enfants. Dans l’après-midi du 1er mai, nouveau cambriolage. Ils ont défoncé la porte de devant. Là, en notre absence, ils nous ont littéralement pillés. C’est clair, on n’a plus rien. Ils ont été jusqu’à voler les jouets des enfants, notre box internet ou une télécommande qui ne fonctionne plus ».

Philippe n’accuse personne. Mais il pointe du doigt, ces attroupements répétés devant son domicile. Ces scènes de deal où on exhibe des billets de 500 euros. « Alors que je bosse pour 1200 euros par mois, comment faire comprendre la valeur travail à mes enfants ? »

Pour le commissariat de Roubaix, si la rue Desaix est dans le collimateur « comme d’autres rues de Roubaix », impossible néanmoins de relier ces vols par effraction à certains « jeunes » du quartier « qui peuvent potentiellement poser problème ». « Ce serait un peu simpliste de leur faire porter systématiquement le chapeau », glisse un enquêteur. [...]

Au total, quatre plaintes et une main courante ont été déposées en moins d’un an. « À chaque fois, les policiers nous expliquent que la seule solution, pour nous, serait de déménager, car nous ne sommes pas en sécurité. Ceux qui nous ont fait ça devraient être en prison. Et c’est nous qui sommes obligés de partir comme des moins-que-rien. Quand on sort, on est obligé de laisser un adulte dans la maison par peur d’un nouveau cambriolage ».

Source

Roubaix: La police scientifique caillassée pour l’empêcher d’effectuer des relevés d’empreinte

Le 21 juillet, vers 15 h 25, deux « experts » de la police technique et scientifique (PTS) interviennent rue Horace-Vernet à Roubaix. Leur objectif est d’effectuer des constatations techniques (relevés d’empreintes et prélèvements) dans l’école Linné, suite à des dégradations survenues dans l’enceinte scolaire.

Ils effacent les traces à l’aide d’un chiffon


C’est à ce moment-là que cinq jeunes individus interviennent avec la volonté d’empêcher les fonctionnaires de travailler. Ils insultent les enquêteurs avant de leur jeter plusieurs pierres. Les fonctionnaires se réfugient alors dans leur voiture, sans être blessés. Mais tandis qu’ils alertent leurs collègues, l’un des individus récupère un morceau de tissu et efface à l’aide de ce chiffon les traces que les policiers avaient relevées sur une porte.

La Voix du Nord