A Rotterdam, l’alliance de la gauche et d’un parti musulman ébranlée par un tweet sur Daesh

Nous parlions de cette alliance déjà ici.

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Pour battre la droite coûte que coûte à Rotterdam, la gauche a fait alliance avec un parti musulman. Mais un tweet de ce dernier comparant Daesh à Israël a convaincu deux partis de quitter cette coalition, dont les socialistes restent membres.

Une ville dont plus de la moitié des habitants sont issus de l'immigration, un mouvement musulman allié à la gauche pour mettre en échec le parti qu'ils qualifient d'«extrême droite» et un tweet scabreux concernant l'Etat islamique... C'est un feuilleton politique digne d'une fiction qui se déroule depuis plusieurs semaines aux Pays-Bas, au point même que Marianne souligne sa ressemblance avec le roman de Michel Houellebecq Soumission.

Dans la ville de Rotterdam, le parti de droite Rotterdam vivable, très critique vis-à-vis de l'immigration, dirige le conseil municipal depuis quatre ans, aux côtés des libéraux et des chrétiens-démocrates. Face à eux, trois partis de gauche ont donc décidé de s'allier pour tenter de s'emparer du pouvoir lors des élections municipales qui se tiendront le 21 mars prochain.

Si l'alliance entre le Parti socialiste (PS), le Parti travailliste (PV) et le parti écologiste GroenLinks n'a certes rien d'extraordinaire, l'identité du quatrième membre de cette coalition électorale a de quoi surprendre : il s'agit d'un groupe islamique répondant au nom de Nida («l'appel» en arabe). C'est la première fois que la gauche néerlandaise fait le choix de s'associer à un mouvement ouvertement religieux. Nourdin el-Ouali, leader charismatique et tête de liste de cette formation politique confessionnelle, ne cache pas ses intentions : il espère que «les musulmans discriminés de Rotterdam se serrent les coudes» pour agir politiquement.

Dans cette ville multiculturelle où plus de 50% des habitants sont issus de l'immigration, les musulmans représentent plus de 13% de la population. L'audience politique dont jouit Nida n'est donc pas négligeable et l'intérêt stratégique d'une alliance avec ce protagoniste politique au potentiel certain n'a pas échappé aux formations de gauche. Celles-ci qualifient d'ailleurs volontiers Rotterdam vivable de parti d'«extrême droite» et s'opposent à son discours hostile à davantage d'immigration. Une position qui a servi de point de rapprochement avec Nida.

Un tweet sur Daesh met le feu aux poudres, sauf pour le PS

Mais le parti islamique, s'il se professionnalise et prend soin de lisser son image, semble toutefois dissimuler un passé plus trouble. A la mi-mars, un tweet datant de 2014 a refait surface : Nida y établissait alors un parallèle entre Israël et l'Etat islamique. Parmi les similitudes que relevait le parti musulman, le fait d'avoir «illégalement créé un Etat», de «terroriser les autochtones» ou encore d'être «financé par l'Occident».

 

nida

 

Une comparaison qui n'a pas été du goût du PV et de GroenLinks, qui ont donc annoncé leur retrait de la coalition. «Je n'ai plus confiance en Nida, et en ce qui me concerne, Nida n'a plus sa place dans notre alliance», a commenté la dirigeante de GroenLinks à Rotterdam, Judith Bokhove, citée par le site d'information en anglais Dutch News.

Nida, de son côté, estime que ce «tweet provocateur» doit être «replacé dans le contexte du débat public de l'époque» : assumant son contenu, le parti a décidé de ne pas le supprimer.

Quant au PS, il n'a pas souhaité rompre son alliance avec Nida, aux côtés duquel il continue donc de faire campagne pour promouvoir un «Rotterdam social, durable et inclusif». Le socle du programme n'a, quant à lui, pas subi de modifications après le départ du PV et des écologistes : octroi de jours fériés «non-occidentaux», lutte contre la pauvreté et soutien à Gaza.

Source

Nos remerciements à Λlex Λ

 

 

Le maire musulman de Rotterdam (2ème plus grande ville des Pays-Bas) déclare: “Chaque musulman est un peu salafiste.”

Christian Hofer: On perçoit à quel point ici les médias européens qui font de la propagande en liant Jésus à l'islam servent en réalité notre islamisation et nous mettent en danger.

Ainsi ce maire musulman peut faire un parallèle entre les chrétiens qui suivent Jésus, un prophète non violent, avec Mahomet qui est responsable de razzia, de meurtres, d'esclavagisme et de guerres d'expansion. Tant que nos médias mentiront, nous ne nous en sortirons pas!

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Aux Pays-Bas, une déclaration du maire musulman de Rotterdam, Aboutaleb, remue l'atmosphère. Dans une interview à la radio, il a déclaré que chaque musulman est un peu salafiste. Alors que le service de renseignement néerlandais met en garde contre le salafisme.

"J'ai aussi dit: je suis un djihadiste", explique Ahmed Aboutaleb. "Je me lève tous les jours à 7 heures du matin pour faire ce qu'il faut pour une ville aux Pays-Bas: c'est le djihad dans sa forme la plus pure." La lutte armée ou «djihad» armé est l'une des expressions du salafisme, un mouvement fondamentaliste au sein de l'islam.

 

 

L'état Islamique est un dissident du salafisme. Alors quand un maire déclare qu'il est salafiste, les Pays-Bas se sentent en danger.

Ahmed Aboutaleb, le maire de Rotterdam, justifie sa déclaration ainsi: "Des salafistes peuvent également être trouvés parmi les chrétiens, sur le plan linguistique: Salaf est un pasteur, et un salafiste est quelqu'un qui veut ressembler à son prédécesseur. Par exemple, un musulman qui veut ressembler à Mohammed. Dans le christianisme, vous avez aussi des gens qui veulent ressembler au Christ dans leurs actions. Chaque musulman est un peu salafiste. Mettre en place une politique contre le salafisme, viserait 1,7 milliard de musulmans dans le monde."

Le cabinet précédent du VVD et du PvdA a essayé de bannir le salafisme. "J'ai pensé qu'il était stupide d'interdire le salafisme", explique Aboutaleb. "Je ne suis pas en faveur de cela (...)"

Ahmed Aboutaleb est réticent à parler de sa foi dans son rôle de maire de la ville de Rotterdam. "Ma foi est très importante pour moi, je prie cinq fois par jour, mais ce que je ne veux pas, c'est que les gens me jugent sur ma foi." Aboutaleb veut principalement être un trait d'union.

"Renvoyez-le immédiatement", a tonné le leader du parti d'extrême droite, Geert Wilders. Sur Twitter, il a déclaré : "Un salafiste comme maire de la deuxième plus grande ville des Pays-Bas est une honte et un danger. Il doit être immédiatement libéré de ses fonctions."

 

 

Le service de renseignement néerlandais (AIVD) a qualifié «d'indésirables» les tentatives de diffusion du salafisme à cause du «message intolérant, isolationniste et antidémocratique».

 

Source Source2 Source3 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Rotterdam: Discrimination positive en faveur des migrants lors de l’embauche dans la Police

Christian Hofer: Pour ceux qui s'en souviennent, le comédien  Neel Kolhatkar avait tourné en ridicule la "discrimination positive" en forçant le trait (pour ceux qui veulent revoir la vidéo, elle est ici), démontrant que l'homme blanc est à présent l'ennemi à abattre. Anne Lauvergeon avait elle aussi démontré sa haine du "mâle blanc".

Aujourd'hui, cette même inégalité est réelle et revendiquée par les féministes et tout ce que l'Europe compte de destructeurs de notre nation.

Pire encore, cela s'ancre parfaitement dans la volonté du chef de la police d'Amsterdam qui veut toujours davantage de multiculturalisme dans la police: Ainsi les sales kouffars seront contrôlés par... des policiers musulmans qui auront été embauchés sur une base de discrimination positive. Inutile de dire que l'inégalité de traitement est prévisible.

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Les policiers furieux de la politique de préférence à Rotterdam.

La police de Rotterdam favorise les migrants et les femmes en leur attribuant des points supplémentaires. Ils étaient davantage susceptibles d'obtenir un emploi.

La direction reconnaît que des erreurs ont été faites. Les agents sont furieux.

La politique de la diversité de la police continue à provoquer des remous. Dernière raison de l'insatisfaction des agents: un processus récent dans lequel l'unité de police de Rotterdam était à la recherche d'un sergent-chef.

La police de Rotterdam a analysé les lettres de candidats sur sept critères, telles que la connaissance, l'expérience et la motivation. La septième catégorie était l'ascendance. Les hommes autochtones ont reçu 1 point, alors que les femmes immigrées engrangeaient 4 points.

Les agents sont furieux sur ce traitement préférentiel. "De cette façon, il y a des travailleurs qui ne sont pas sélectionnés seulement pour leurs qualités", a déclaré un fonctionnaire de police sous anonymat.

Selon le professeur Ferdinand Grapperhaus, avec le système de points utilisé à Rotterdam, les candidats masculins et autochtones sont en effet moins susceptibles de passer au prochain tour.

(...)

Selon la police de Rotterdam, une sélection techniquement correcte des lettres n'aurait pas conduit à un résultat différent.

La police nationale recrutera davantage d'agents des minorités ethniques. "Il faut rattraper un gros retard." Surtout dans les quartiers où vivent de nombreux immigrants, un service de police majoritairement autochtone ne peut pas fonctionner correctement."

(...)

Par rapport à 2013, l'afflux de candidats issus de l'immigration non-occidentale a presque doublé l'an dernier, selon les comptes annuels de la police nationale. En 2013, il était de 10,2 pour cent. En 2016, il a augmenté pour s'établir à 19,5 pour cent.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Le maire de Rotterdam aux migrants : « si vous n’aimez pas la liberté de l’Europe foutez le camp! »

Deux choses font que nous acceptons ces millions de migrants sur nos sols européens, d’abord un détournement de ce qu’est le véritable esprit ou dogme catholique. Chesterton, grand écrivain britannique parlait « d’idées chrétiennes devenues folles », je dirai plutôt d’idées chrétiennes du fait de la novlangue, et de la déculturation actuelle totalement incomprises par les uns et les autres, Jésus Christ parlant d’aider son prochain, c’est-à-dire son proche, son semblable, celui qui lui ressemble et non celui qui vient dont ne sait où.