Doubs : la revanche des petits blonds

Le 30 janvier 2015, alors en campagne pour les législatives partielles, M. Charles Demouge, candidat UMP, a affirmé au micro de BFMTV : « Ce sont les bons petits blonds qui m'emmerdent, pas ceux de l'immigration ». Il parle également de « Français autochtones », pour rendre les choses encore plus claires (si je puis m'exprimer ainsi)... (voir vidéo ci-dessous).

L'AGRIF a annoncé que ses avocats se concertaient afin d'envisager un recours au tribunal contre ce qui peut évidemment s'apparenter à du racisme pur et simple. Silence radical des "grands médias" sur la question.

On ne peut plus accepter, en France et en Europe, de tels propos. Lors du procès de l'AGRIF contre « Nique la France », j'ai entendu des arguments stupéfiants de la part de ceux qui « niquaient la France » : il n'y a de racisme qu'envers les Noirs et les musulmans, pas envers les "Français de souche" qui le méritent presque, puisqu'ils sont dans une « position dominante ». Le juge n'a pas bronché. La procureure a disserté sur l'existence de « français de souche », une « notion qui ne recouvre aucune réalité ».

Comment, dans cette situation médiatique, politique et juridique, pouvoir prétendre que nos sociétés oeuvrent à la concorde civile et à la non-discrimination ? Comment nos sociétés peuvent-elles prétendre qu'elles appliquent l'article 6 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 qui affirme que « la loi doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse » ?

Je pense aux « petits blonds », aux « français autochtones », qui « emmerdent » les élus de la nation. Ont-ils le droit d'être ainsi discriminés, ostracisés, insultés ?

Ils ont eu leur revanche, toutefois. Depuis cet épisode malheureux et significatif, Charles Demouge s'est fait expulsé du scrutin par les électeurs, laissant passer le Front National et le Parti socialiste au second tour. La revanche des petits blonds.

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Pourquoi nous ne sommes pas racistes

Tribune libre de Paysan Savoyard

Conséquence de l’invasion migratoire en cours, la question du racisme, omniprésente dans le débat public, est devenue un élément de structuration de la politique française. Gauche et droite se retrouvent en plein accord pour dénoncer « l’extrême droite », accusée d’être raciste voire fasciste ou nazie : cette unanimité antiraciste fonde la volonté de lui faire barrage en érigeant un « front républicain ».

Suite sur fds

Brésil : Un tueur en série avoue le meurtre de 42 victimes choisies parce qu’elles étaient blanches

À vingt-six ans, il aurait déjà assassiné quarante-deux victimes. Un Brésilien identifié comme étant Sailson José das Graças, arrêté sur les lieux du meurtre d’une femme à Nova Iguaçu, près de Rio de Janeiro, a avoué à la police avoir tué 41 autres personnes.

«À 17 ans, j’ai tué la première femme, ça m’a donné cette adrénaline, j’ai continué et j’ai aimé», a déclaré le tueur en série présumé, interrogé par le site G1 de Globo.

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Das Graças a raconté avoir tué 37 autres femmes, trois hommes et un enfant de deux ans au cours des neuf dernières années, la plupart dans la même région. L’enfant a été assassiné parce que le criminel qui venait d’étrangler la mère craignait qu’il pleure et attire l’attention des voisins.

«Il avait envie de tuer des femmes et des femmes blanches, pas des noires. Il suivait la victime, l’étudiait de près jusqu’à passer à l’acte», a expliqué ce jeudi le commissaire Pedro Henrique Medina, de Nova Iguaçu.

Source via Fdesouche

Les casseurs noirs de Ferguson appellent à « Tuer du Blanc »

Les casseurs de la communauté noire de St Louis sont très actifs sur les réseaux sociaux. Ils appellent à tuer du Blanc. Sur les premiers tweets de la photo ci-dessous on peut clairement lire malgré l’argot Afro-Américain que le mot « kill cracker » revient très souvent.

Ndlr : « cracker » ou son diminutif « cracka » est l’injure raciste suprême employée par les noirs envers une personne de race blanche. En quelque sorte l’opposé du mot « nigger » employé par les blancs envers une personne de race noire. Florilège :

« Vous allez devoir tuer du Blanc les mecs. Allez dans une ville proche de chez vous, un Blanc. Tranquille… »

« Pas de justice. Pas de paix »

« J’en ai rien à foutre. Je vais bousiller le premier Blanc que je vois. C’est clair. »

« Je donne encore 12 heures à vivre à ce sale blanc »

Etc.

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Le Ku Klux Klan avait de son côté mis en garde les casseurs émeutiers de la communauté noire de St Louis. Le message était le suivant :

« Les braves gens de St Louis quelles que soient leurs races, couleurs de peau et confessions religieuses ne toléreront sous aucune forme, vos menaces de violence envers les policiers, leurs familles et la population de St Louis. Nous ne resteront pas assis les bras croisés vous permettre de violenter nos familles, nos biens et détruire notre quotidien. Votre liberté de parole ne vous accorde pas pour autant le droit de terroriser les habitants. Nous nous réservons le droit d’utiliser des armes de défense pour nous protéger comme l’autorise l’état du Missouri texte # 563 031. Vous êtes maintenant prévenus par le KKK. Vos actes de violence contre les citoyens du Missouri désirant vivre en paix auront des conséquences »

 

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Les gangs armés de St Louis les attendent via une vidéo mise en ligne sur YouTube :

0’42″: Venez KKK, venez s’il vous plait. Vous êtes attendus. Vous savez bien que c’est nous qui contrôlons tout.

Pour ne rien arranger, la Sénatrice noire Maria Chapelle-Nadal a mis de l’huile sur le feu dans une interview accordée à la télévision MSNBC.

Pour ne rien arranger, la Sénatrice noire Maria Chapelle-Nadal a mis de l’huile sur le feu dans une interview accordée à la télévision MSNBC.

2’00″: En ce moment ma communauté (noire ndlr) est blessée. Elle est dans la douleur.

 

2’58″: Je dois vous dire que nous sommes entrés dans une guerre raciale. Nous ne sommes pas en guerre raciale comme cela pourrait l’être dans les autres villes du pays. C’est notre guerre des races à nous.

https://www.youtube.com/watch?v=cXrmnDwkXRw

Via Fdesouche

Grande-Bretagne – Trop d’élèves blancs : L’école est sanctionnée

Et ce n’est pas « raciste », ça ? Une école de la charmante petite ville rurale de Market Rasen, appelée Middle Rasen Primary School, a été sanctionnée par l’autorité de surveillance britannique des écoles publiques, OFSTED, parce qu’elle est trop… anglaise. Jusqu’ici qualifiée de « bonne », la note de l’école n’a pas été augmentée au grade « excellent » pour n’avoir pas assez d’élèves noirs ou asiatiques, et donc, trop de Blancs, a expliqué l’organe de contrôle.

Pensez : le « développement culturel » des élèves de cette école primaire est limité par « un manque d’expérience de première main de la diversité qui caractérise la société britannique moderne ». Comment enseigner à ces enfants –intellectuellement borgnes, forcément – qu’il faut respecter et tolérer toutes les croyances et toutes les couleurs de peau s’ils n’ont pas de quoi se faire la main sur place ?

« C’est du politiquement correct devenu fou », commente le membre du parlement conservateur de Gainsborough, Sir Edward Leigh (mais le politiquement correct peut-il prétendre à la sagesse) ? « L’école primaire Middle Rasen est une école excellente à n’importe quelle aune. Le multiculturalisme n’a pas de pertinence dans le Lincolnshire avec sa petite présence de minorités ethniques, qui sont déjà bien accueillies et bien intégrées dans nos communautés locales, comme elles doivent l’être. »

104 élèves, presque tous blancs

L’école primaire Middle Rasen compte exactement 104 élèves, âgés de 4 à 11 ans, c’est ce qui lui vaut d’être sanctionnée.

Dixit l’OFSTED : « La grande majorité des élèves sont des Britanniques blancs. Peu sont d’autres groupes ethniques, et à l’heure actuelle aucun élève ne parle l’anglais comme seconde langue. »

Que faire pour remédier à cet affreux handicap ? C’est simple : il faut « créer des occasions pour qu’ils puissent avoir une interaction de première main avec leurs homologues venant de contextes différents, au-delà du voisinage le plus immédiat », décrète l’organisme.

L’école sanctionnée envoie ses élèves à la mosquée

Message entendu par l’école. Elle cherche désormais à créer un partenariat avec une école de centre-ville pour remédier à la situation, et modifie sa pratique des voyages scolaires. La directrice, Melonie Brunton, a souligné que les sorties se font généralement à la campagne, pour visiter une ferme ou un zoo : les dernières ont conduit les enfants dans une mosquée et dans une usine.

Source

Comment répondre à un antiraciste?

Comment briller dans les dîners en exprimant des idées patriotiques?

 

Cela pourrait aussi faire l’objet d’un livre. Les livres dénonçant le racisme existent à profusion, mais développent-ils un argument recevable? Régulièrement, on constate que les partisans d’idéaux patriotiques et de préservation culturelle, sans même aller dans la continuité ethnique, trouveront toujours un contradicteur acharné pour leur fournir une répartie telle qu’ils perdront bientôt l’envie d’exprimer un peu trop ouvertement leur sensibilité.

 

Pourtant, on reste souvent certain d’avoir raison, ne serait-ce que par le bon sens et la dissonance flagrante que présente le mélange inadéquat et forcé des gens, et des cultures, dans un pays qui devrait être souverain. A-t-on, pour autant, raison de vouloir continuer dans cette voie qui déplait à la bien-pensence de gauche? Le problème semble évidemment complexe, la géographie politique a été forgée par des siècles de conflits (de quelque origine qu’ils fussent). Le métissage ethno-culturel a toujours existé et il semble qu’il découle de l’Ordre Naturel.

 

Seulement, il est aussi possible de retourner la question en se demandant si forcer sur le métissage et l’immigration ne serait pas, aussi, aller à l’encontre de cet ordre [naturel], en voulant supprimer ainsi la différence. En effet, l’idéologie du métissage, c’est tout aussi bien, à terme, la fin de la diversité et, donc, la fin de variations qui existaient pourtant dans la nature. De plus, on constate que, quel que soit le thème abordé, le but de l’anti-raciste est toujours de fournir un argument, afin d’imposer le modèle que la pensée médiatique et académique a imprimé en lui. De fait, l’anti-raciste est un sophiste, de l’école de pensée visant à donner l’impression d’un discours cohérent par n’importe quel détour, qui cherche à nous prêter des intentions implicites, conscientes ou inconscientes, de purification ethnique.

 

Il semble alors évident que, tout comme l’anti-métissage forcé, l’apologie du métissage pose un problème aux volontés de Mère Nature. En fait, celle-là le fait même bien davantage, car, en plus d’aller à l’encontre de sensibilités et de réflexes naturels de préservation, elle tente même de nous imposer une nouvelle façon de penser. Pire, on nous demandera toujours de concéder mille choses terribles liées au “racisme” pour que notre opinion soit, finalement, tamponnée comme “valide” (ainsi dépourvue de tout corps et n’intéressant donc plus ceux qui, curieux, ne feraient que se poser des questions)!

 

Comment répondre à un sophiste?

 

Peu importe la méthode qu’il emploie, le sophiste a un but. Son but n’est pas seulement d’avoir raison, mais d’avoir raison pour quelque chose. Identifier ce quelque chose permet déjà de structurer son discours convenablement face à un tel adversaire, car faire pivoter la conversation autour de ce quelque chose-là frustrera assez rapidement ledit sophiste, qui montrera de facto son incapacité à faire autre chose que contredire.

 

Et à l’accusation de “racisme”?

 

L’objectif principal de l’anti-raciste, c’est de tout ramener, directement ou par sous-entendus, à Hitler, à l’esclavage, à un génocide quelconque, afin de nous en faire porter la culpabilité. Tout “Crime contre l’Humanité” est un argument pour justifier à la fois un droit moral supérieur déterminé par le gauchisme, un gouvernement mondial et des restrictions politiques. Il lui faut à tout prix nous faire accepter le progrès et l’éthique telle qu’une poignée de gens l’a décrétée. Ainsi, la seule dénonciation de ce stratagème est suffisante pour en limiter la portée. Expliquer que le “racisme” est un anathème nous rend l’affrontement bien plus facile ; poser ensuite la question de la définition dudit “racisme” peut même être un argument déterminant. On constate effectivement que personne ne peut donner exactement une description de ce qu’est le “racisme”, car son invention est liée à son utilisation dans le débat philosophique. Le but derrière le “racisme” fut précisément d’en faire un concept flou afin de tout ramener au mal que serait le déterminisme biologique. Si celui-ci, à proprement parler, est tout aussi idéologique, on constate pourtant qu’il existe des différences entre les hommes, qui ont alors parfois naturellement des réactions ethno-centrées. On le voit surtout chez les enfants, lorsqu’à l’école, ils sont confrontés à l’Etranger (défini par un contraste ethnique ou culturel), sans, justement, de préparation idéologique. On remarque donc par ces détours que tout argument anti-raciste peut être tourné dans un sens ou dans l’autre.

 

Comment mettre tous ces principes en pratique?

 

Quand on est certain de défendre une idée légitime et une vision plus saine que son adversaire anti-raciste, une première moitié du trajet est faite. La seconde moitié du parcours sera de systématiquement en revenir au premier point de contradiction. En quoi, cher droit-de-l’hommiste, ce que vous dites infirme mon assertion? Quel modèle prônez-vous? N’y a-t-il pas une impression légitime de rejet, tant au niveau du sens des choses dans leur raison d’être que des mœurs? Doit-on accueillir les bras ouverts et sans crainte l’américanisation ou l’islamisation de notre territoire? On note également que a peur n’est jamais un argument et une peur peut être légitime, d’autant plus que nos adversaires anti-racistes craignent visiblement toujours le retour de Hitler.

 

Il y a d’autres arguments usuels qui n’en sont pas: l’esclavage n’est pas un forfait spécialement “raciste”. Il est effectivement souvent tribal, mais il a existé chez tous les peuples, parfois seulement entre familles différentes, voire dans la même famille. L’anthropologie de base nous apprend qu’avec l’Etranger, on peut tout faire, y compris le manger. Ce n’est donc nullement un crime idéologique et il faudra rappeler aux partisans de la théorie de la proximité temporelle que les caricatures sur les Afro-descendants proviennent d’avant la traite des noirs - elles sont au moins aussi vieilles que le XXIIe siècles, car on les retrouve chez Maïmonides - ; il faudra aussi leur rappeler que l’acheminement de ceux qu’on appelait autrefois “les nègres” vers les Amériques fut couplé à l’effroyable traite des Slaves et des Irlandais. De plus, comme il y eut peu de retours d’Américains en Europe, s’il existe bien des innocents récents dans les affaires d’esclavage, ce sont les blancs européens d’aujourd’hui. Tous les autres, y compris des chasseurs d’esclaves noirs, y ont participé. Rappelons aussi que la détention d’esclaves avait été interdite par l’Eglise! Accuser les peuples qui ont instauré ce progrès concernant la dignité humaine relève donc de la plus grande mauvaise foi! Lors des épopées coloniales, pour ce qu’elles furent en vérité, on ne fit souvent pas autant de misère aux indigènes que ce que l’on infligea en même temps aux ouvriers et paysans d’Europe ; et tout cela au nom d’idéologies progressistes qui donnèrent ensuite naissance à la gauche d’aujourd’hui. Il faut donc conclure qu’accuser les blancs descendant de familles modestes d’être des esclavagistes, cela n’a absolument aucun sens!

 

Empêcher notre adversaire d’avoir raison sur un point sera toujours profitable, mais il est nécessaire de ne pas s’y attarder et de toujours revenir à notre assertion de départ. Dès lors, au risque de fascisme, nous lui retourneront le risque de stalinisme, avant de lui faire remarquer que c’est un procès d’intention, une vulgaire façon nous faire passer pour un fou ou un inconscient, alors que ce que nous défendons est simple, envisageable légalement et possède même un intérêt culturel. En fait, une telle accusation est déjà assimilable aux procédés bolchéviques de contrôle de la pensée. Notre répartie est donc bien plus pertinente que la charge à laquelle elle répond. Aux accusations d’ignorance, nous rappellerons à notre interlocuteur que quelqu’un qui a conscience de ses origines et de sa culture est tout sauf un ignorant, avant de lui répéter que notre bon sens face à des problèmes évidents vaut mieux qu’un blabla technocratique sur la complexité des choses et la fatalité du phénomène multi-culturel. Nous débattons de stratégies et de conceptions concrètes à des problèmes concrets et légitimes ; nous prêter alors des intentions de génocide est bien plus spéculatif que la volonté de notre interlocuteur d’influer sur la façon de penser des gens, elle, pourtant bien réelle et concrète! Jusques à vouloir changer ceux-ci dans être profond!

 

Y a-t-il d’autres difficultés qui nous attendent?

 

Il sera toujours une répartie imprévue, une réaction inattendue, une situation où l’on ne saura pas directement quoi répondre. Gagner un débat, ce n’est pas convaincre son adversaire, mais c’est davantage convaincre ceux qui, alentours, souhaitent réellement remettre leur avis en question en l’exposant sur la table. Parfois, nous aurons même à faire à plusieurs personnes en même temps. Il ne faut pas se dérober pour autant. L’exercice forge petit à petit un système de réponses de plus en plus complet et modulable de par sa cohérence. En d’autres termes, après une déconvenue, il est à la fois nécessaire de ne pas abandonner, mais aussi d’en tirer les leçons! Plutôt que de régulièrement conclure à la vacuité de certains propos qu’on lirait ou entendrait dans les médias, il convient toujours de se demander si on est à même de formuler une réponse argumentée. C’est un exercice sans risque que chacun peut mener au quotidien et qui contribue aussi à forger son système de pensée. On remarque alors assez vite qu’un avis n’en vaut pas toujours un autre et que s’habituer à crier fort n’est pas toujours une bonne tactique.

 

Si l’on ignore quoi répondre, il faut gagner du temps, il faut essayer d’agrandir le champ de la réflexion pour montrer que la réalité est plus complexe, car chaque pensée n’est qu’une représentation imparfaite de celle-là. Aucun argument n’est une preuve définitive. On peut aussi tenter de creuser les raisons pour lesquelles cette répartie problématique qu’on nous oppose semble juste, alors que, malgré tout, notre point de vue est cohérent et sûr. Reformuler celui-ci avec un peu plus de profondeur philosophique peut parfois suffire à écarter une objection. Lui ajouter, au contraire, de la simplicité peut aussi être un moyen efficace. On se doit ensuite de rappeler à son interlocuteur qu’il lui est encore nécessaire de montrer en quoi cette contradiction soudainement opportune l’amènerait à son but (celui qu’on a identifié au départ).

 

Parfois, accepter quelques termes imprécis et désorganisés peut nous permettre de bâtir une contradiction sur un champ d’entente commun pour être plus percutant. Parfois, il n’est pas sage de faire une telle concession. C’est selon. Il faut tout de même faire bien attention à ce qu’on laisse dire, car le Diable est souvent dans les détails, comme disait Descartes. Plus un point de vue est profond et structuré selon un axe (avec des embranchements multiples et tangibles), plus il sera facile à défendre, car il inclura en lui les réponses aux objections usuelles. En cas de faiblesse intellectuelle devant l’Inattendu, reconnaître son impuissance tout en affirmant qu’on prendra le temps de réfléchir pour revenir plus sûr une autre fois peut même être une dernière porte de sortie. Il conviendra en plus d’énoncer une simple vérité profonde qui sied à notre point de vue et qui n’est pas expliquée par cet Inattendu. On demandera ensuite à notre contradicteur une explication au paradoxe que présente le dilemme impliqué par ces deux vérités côte à côte et visiblement contradictoires. Bien souvent, cela remettra, au pire, tout le monde dos à dos. Par exemple, si on nous dit que la distinction des “races” a parfois dérivé sur des idéologies d’épuration ethnique - si nous ne savons pas expliquer pourquoi ce sophisme ne dérange en rien notre point de vue - ; nous pourrons toujours répondre que c’est une question qui mérite réflexion, mais que cette distinction est liée au bon sens, à l’Histoire et à la diversité naturelle, et qu’il est dangereux de vouloir laver le cerveau des gens sous prétexte qu’ils seraient imparfaits ; nous conclurons ainsi, de bonne foi, à la nécessité d’un raisonnement plus complet.

 

La dialectique, chez les Grecs, c’était l’art philosophique du dialogue dans le but de faire évoluer sa pensée. Si vous, vous vous prêtez à ce jeu, vous ne pouvez, fondamentalement, qu’y gagner. L’anti-racisme représente, par essence, l’aveu de ne pas vouloir s’y plier et, avec le temps, avec l’ouverture nécessaire, ce sophisme universitaire se dégonflera.

 

Thomas Mazzone, le 6 novembre 2014

 

Note: Contactez-moi via Facebook si vous souhaitez me demander conseil ou m’interpeller au sujet d’un argument: je serai ravi de vous répondre dans la mesure de mes possibilités!

La police n’a plus le droit d’utiliser le terme “homme de couleur” pour décrire les délinquants

Fribourg • L’usage de l’expression «hommes de couleur» par la police cantonale a heurté certaines sensibilités.

La Commission fédérale contre le racisme (CFR) souligne que cette mention est à bannir dans le cas d’une communication sur un délit.

La police, elle, reconnaît le côté stigmatisant de l'expression et assure qu’elle ne l’utilisera plus.

Source

 

Alain Juppé victime de racisme anti-Blancs sur France 2

Faut-il en rire ou être sidéré ? Hier, jeudi 2 octobre, le très remplaciste et xénophile Alain Juppé a subi de plein fouet une attaque qui est caractéristique du racisme anti-Blancs.

Dès 2'14''

http://youtu.be/VWSk1PsNUls

Lors de l’émission Des paroles et des actes (vidéo ci-dessus), une certaine Sihame Assbague a repris au mot près ce que le sénateur écolo Jean-Vincent Placé avait asséné. Elle a ainsi asséné à Alain Juppé : “Vous êtes un vieux Blanc de plus de 60 ans”.

Suite

 

Grande-Bretagne : une œuvre de Banksy jugée raciste détruite

Jugée raciste, une œuvre de Banksy a été effacée à Clacton-on-Sea, dans le sud-est de l’Angleterre. La municipalité de la station balnéaire n’a réalisé qu’après coup qu’il s’agissait d’une œuvre de l’artiste de street art mondialement connu et que son dessin, satirique, dénonçait en réalité le racisme dont il était accusé.

Suite

Suède: Fifi Brindacier accusée de racisme

http://youtu.be/-dr6veytWio

Les films mettant en scène la fillette de 9 ans ont été passés au peigne fin afin de n’offenser personne.

La télévision suédoise SVT a annoncé, lundi 29 septembre, avoir expurgé les téléfilms mettant en scène Fifi Brindacier, héroïne extravagante de la littérature pour enfants, pour prévenir toute accusation de racisme.

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«SVT a coupé les éléments qui pouvaient être considérés comme choquants», a annoncé le groupe dans un communiqué.

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USA: «La police doit éliminer les préjugés»

Les Etats-Unis vont débloquer près de cinq millions de dollars pour rétablir la confiance entre la police et la communauté noire, après la mort d’un ado tué par un agent.

Le ministre américain de la Justice Eric Holder a annoncé jeudi, plus d’un mois après les émeutes raciales de Ferguson (Missouri, centre), l’octroi d’une enveloppe de 4,75 millions de dollars pour rétablir la confiance entre les forces de l’ordre et les populations locales.

chicago-gangAlors qu’on ignore encore si des poursuites judiciaires seront engagées à l’encontre du policier blanc qui a abattu un jeune Noir le 9 août à Ferguson, une banlieue de Saint-Louis à majorité noire, le ministre afro-américain a insisté sur «l’obligation» des forces de l’ordre «d’assurer la justice et d’éliminer les préjugés».

«Nous rapprocherons les communautés qui se méfient aujourd’hui des policiers, et les forces de l’ordre» qui sont à leur service, a-t-il déclaré à une poignée de journalistes, «nous inciterons au débat public sur les questions de race et de police».

«Les événements de Ferguson nous rappellent que nous ne pouvons pas laisser irrésolues les tensions présentes dans tant de quartiers à travers l’Amérique, et pas seulement à Ferguson», a déclaré M. Holder, entouré de différents procureurs, experts universitaires, organisations de droits de l’homme et acteurs locaux, qui formeront un bureau national.

Quatre heures de témoignages

Cette «Initiative nationale pour bâtir la justice et la confiance dans les communautés», mise en place pour trois ans dans cinq sites pilote américains en partenariat avec le ministère de la Justice, fournira une formation de part et d’autre pour aider à «la réconciliation» des minorités et des forces de l’ordre.

Darren Wilson, le policier blanc de 28 ans qui a tué Michael Brown, un lycéen noir de 18 ans, a témoigné pendant quatre heures mercredi devant un grand jury du Missouri, selon le journal local St. Louis Post-Dispatch. Mais on ignore encore si ce policier, suspendu mais laissé en liberté, sera inculpé.

Les versions diffèrent sur les circonstances de la mort de Michael Brown, qui avait déclenché une dizaine de jours de manifestations et d’émeutes.

Pour les uns, le garçon aurait tenté de se saisir de l’arme du policier qui l’a abattu. Pour d’autres témoins, il avait les mains en l’air lorsqu’il a été abattu d’au moins six balles, selon deux autopsies concordantes.

Une enquête fédérale a par ailleurs été ouverte sur les pratiques de la police de Ferguson ainsi que sur de possibles violations des droits civiques du jeune Noir.

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Rappel: La criminalité noire aux USA : 13% de la population, la moitié des meurtres

Maroc : chasse aux Noirs dans les rues de Tanger (vidéo)

Des milliers de migrants d'Afrique sub saharienne vivent à Tanger, au Maroc. Certains parce qu'ils attendent de pouvoir passer vers l'Espagne, d'autres tout simplement, pour y gagner leur vie. Mais certains Marocains voient d'un mauvais œil cet afflux d'étrangers, notamment dans le quartier de Boukhalef. Et ils organisent de véritables chasses aux immigrés. Un récit terrible de notre Observateur sur place.

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L’Europe sermonne la Suisse sur le racisme

Si la Suisse s'est améliorée en matière de discrimination, le Comité Théodule du Conseil de l'Europe auquel la Suisse  pointe du doigt le discours «xénophobe» de certains politiques.

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La commission antiracisme recommande ainsi aux autorités helvétiques d'adopter une législation complète contre toutes les formes de discrimination et de légiférer pour que toute contrainte policière soit justifiée par «un doute raisonnable». L'indépendance de la CFR devrait également être consolidée.

Les autres recommandations formulées visent notamment à renforcer les mesures d'intégration et à améliorer la sensibilisation aux discriminations dans les médias. Il s'agirait également de mettre en place des structures et des offres de soutien pour la communauté LGBT dans toute la Suisse.

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Le ministre bernois de la police suspecté de racisme

Hans-Jürg Käser a déclaré jeudi lors de la présentation à la population d'un centre pour requérants d'asile que chaque «Negerbubli» (petit nègre) sait que la Suisse est un pays de cocagne.

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Contactée ce vendredi 12 septembre, l'ancienne conseillère nationale genevoise Martine Brunschwig Graf a toutefois déclaré ne pas considérer le directeur bernois de la police et des affaires militaires comme un raciste. L'expression «Negerbubli» n'est en outre pas punissable pénalement, même si empreinte de colonialisme.

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