Christian Hofer: On relèvera toute la naïveté de cette directrice qui pense encore qu'il y a une interaction possible alors que l'islam déteste tout ce qui est étranger à son mode de pensée.
Ce ne sont pas ces communautés qui changeront mais les Européens qui devront s'acclimater, face au nombre et par la force de leurs us et coutumes puisque la gauche a tout fait pour détruire les nôtres.
Quant à parler d'un "enrichissement mutuel", qu'elle nous explique où il se trouve lorsqu'une fillette de 8 ans porte le voile ou lorsque ces mêmes enfants sont interdits de cours de musique. On nous demande donc de nous ouvrir à des cultures complètement hermétiques qui ne sont ici que pour profiter. Je vous laisse deviner qui sera le perdant.
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La directrice de l'école polyvalente "Julius Caesar" dans la ville de Mestre a décidé d'introduire dans son école un quota maximum de 40% d'étudiants étrangers dans chaque classe.
Trop d’enfants étrangers dans les salles de classe, il est impossible d’étudier. A l'école polyvalente « Julius Caesar » à Mestre, près de Venise, 7 élèves sur 10 sont des étrangers.
Une classe est composée de 24 enfants bengalais et d'un italien et les leçons, comme on peut le lire sur Libero, progressent lentement parce que les étudiants étrangers n'arrivent pas à communiquer avec l'enseignante et les médiateurs culturels sont trop peu nombreux.
Les jeunes filles musulmanes, pour des raisons religieuses, ne peuvent pas jouer de la flûte, et donc ne participent pas au cours de musique, et celles de 8-9 ans se présentent à l'école avec le voile.
La directrice, Rachel Scandella, a déterminé que dès l'année prochaine dans les nouvelles classes, le pourcentage des élèves étrangers ne pourra pas dépasser 40%, tirant ainsi parti des possibilités offertes par une circulaire datant de 2010 du ministère de l' Education qui permet d'abaisser la limite jusqu'à un seuil de 30%.
"Les raisons de cette décision - dit -elle - sont loin d'être des questions politiques. La mienne est un choix de gestion. La direction que prend cet établissement n'est pas bonne. Avec de tels chiffres, nous ne sommes pas en mesure de garantir la qualité de l'éducation , ni aux enfants italiens ni aux étrangers ». La présidente parle de sections «ghetto» et explique: «Les classes monoethniques sont un problème encore plus important, il n'y a pas d'enrichissement, la question de l'inclusion est contournée. Je veux que cette petite fille qui ne peut pas jouer de la flûte sache qu'il est tout à fait permis de le faire", je veux que l'école, qui doit offrir un service éducatif, donne l'occasion d'en apprendre davantage sur les différentes cultures afin de lui permettre un jour, en tant qu'adulte, de choisir librement. «Si toutes les familles d'une classe sont bengalaises - continue Rachel Scandella - la confrontation et la contamination croisées avec la culture italienne deviennent presque impossibles." Les mères qui attendent leurs enfants à la sortie de l'école ne parlent pas italien et cela complique encore davantage l'apprentissage de notre langue.
A l’école maternelle de « Jules César », dans laquelle on atteint un pic de 96 % d'enfants extra-communautaires, avec tous les problèmes qui en découlent.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Nos remerciements à Victoria Valentini