Selon une source de la NZZ am Sonntag, «les discussions avec les conseillers fédéraux UDC, Ueli Maurer et Guy Parmelin ont été le facteur décisif pour l'accession de Christian Levrat à la présidence de la Poste». Le socialiste aurait obtenu leur soutien «en tant que président et pour son plan, qui impliquerait des investissements substantiels dans le service public.»
(...) les conditions requises pour la présidence stipuleraient une vaste expérience et une activité réussie à des postes de direction dans des entreprises de grande taille, si possible actives au niveau international. Or, «Christian Levrat ne répond pas à cette exigence. Il n'est pas un entrepreneur, mais il peut former des alliances pour une entreprise.»
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La nomination de Christian Levrat à la tête du conseil d’administration de La Poste par la conseillère fédérale socialiste Simonetta Sommaruga a suscité de vives critiques chez les parlementaires lors de son annonce.
Rappels :