Le gouvernement polonais envoie balader l’UE, qui a condamné la Pologne à payer 500’000 euros par jour jusqu’à la fermeture d’une mine de charbon

Cenator: Notons qu'en Allemagne, en exploitant l'émotion créée par l'accident de Fukushima, les pastèques et d'autres opportunistes ont obtenu la fermeture de leurs centrales nucléaires, (comme ils l'ont aussi fait en Suisse), causant de graves pénuries et entraves à l'économie. 
Une fois la situation devenue intenable, les Allemands ont rouvert des mines de charbon très polluantes, même plus polluantes que la mine polonaise qui est la cible de Greenpeace Tchéquie depuis des années. 
Mais pour l'Allemagne, pas d'amende, pas de sanction, pas de reportages alarmants et diffusés à large échelle par les médias de Gauche.
Car dans la tête de l'UE, c'est à l'Est que se trouvent les élevages de dindons pour la farce, et à l'Ouest, les pays exemplaires pour tous par leur morale progressiste.

Surprise, surprise! La Pologne refuse de payer un sou!

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avec AFP. - 20/09/2021  - La Cour de justice de l’Union européenne a condamné Varsovie à verser une astreinte journalière de 500 000 euros à Bruxelles, jusqu’à l’arrêt d’une mine de charbon de Turow dont les effets nocifs pour l’environnement sont dénoncés par la République tchèque voisine.

La Pologne a été condamnée lundi 20 septembre 2021 par la justice européenne à verser une astreinte journalière de 500 000 euros à Bruxelles, jusqu’à l’arrêt d’une mine de charbon dont les effets nocifs pour l’environnement sont dénoncés par la République tchèque voisine.

Appelée à « cesser immédiatement » l’exploitation

Le 21 mai dernier, la Cour de justice de l’UE (CJUE) avait, dans une décision rendue en référé (en urgence), ordonné à la Pologne de « cesser immédiatement » l’exploitation de la mine de Turow, voisine de la République tchèque, à la demande de Prague qui dénonce ses nuisances pour l’environnement sur son territoire. L’affaire doit être examinée plus tard sur le fond.

Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki avait averti que Varsovie garderait ouverte la mine, estimant qu’une fermeture « pourrait mettre en danger l’approvisionnement en énergie de la Pologne ».

Prague avait demandé mi-juin à la CJUE d’imposer une astreinte de 5 millions d’euros par jour à la Pologne pour ne pas avoir respecté cette décision.

C’était la première fois qu’un État de l’UE réclamait une astreinte à l’encontre d’un autre État membre ne s’étant pas conformé à une ordonnance de la Cour.

L’institution basée au Luxembourg a finalement rejeté la demande polonaise d’un « report » pour l’arrêt de la mine et donné après la demande tchèque, en ordonnant à Varsovie de payer à la Commission européenne une astreinte de 500 000 euros par jour, « à compter de la date de notification et jusqu’à ce que [la Pologne] respecte l’ordonnance de référé ».

Prague réclamait une astreinte dix fois plus importante

« Il apparaît nécessaire » d’imposer une astreinte « aux fins de dissuader cet État de retarder la mise en conformité de son comportement avec cette ordonnance », a fait valoir la CJUE dans un communiqué.

Le montant de l’astreinte est dix fois moins important que ce que réclamait Prague : « Le juge des référés demeure libre de fixer l’astreinte au montant et sous la forme qu’il considère adéquats », celle-ci devant être « adaptée aux circonstances » et « proportionnée au manquement constaté ainsi qu’à la capacité de paiement de l’État membre », rappelle la Cour.

Selon les autorités tchèques, l’exploitation de cette mine, en service depuis 1904, a un impact négatif sur l’environnement des régions frontalières, où les habitants déplorent bruit, poussière et manque d’eau.

Cette mine de lignite (charbon de qualité médiocre) assure la fourniture d’environ 7 % de l’électricité en Pologne.

Le groupe énergétique public polonais PGE, qui la détient et l’exploite, compte en extraire du charbon jusqu’en 2044 et veut l’étendre de 25 à 30 kilomètres carrés.

source: https://www.ouest-france.fr/europe/pologne/mine-de-charbon-la-justice-europeenne-condamne-la-pologne-a-une-astreinte-de-500-000-euros-par-jour-8430d1e8-1a1f-11ec-af4b-bea41043e391

 

 

Le Parlement européen décrète l’Union Européenne «zone de liberté LGBTIQ»

Avec 492 voix pour et 141 contre, l’UE a été décrétée «zone de liberté LGBTIQ» (lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, intersexes, queers) par le Parlement européen. Cette déclaration symbolique vient tacler les «zones libres de toute idéologie LGBT» introduites par une centaine de collectivités locales en Pologne. 

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24Heures.ch

La Pologne va interdire l’adoption aux homosexuels célibataires

« Un couple homosexuel ne pourra pas adopter un enfant » a indiqué le vice-ministre polonais de la Justice Michal Wojcik, annonçant préparer un « changement », ce jeudi 11 mars.

Les personnes de même sexe vivant en couple en Pologne ne pourront pas adopter d’enfants, même en tant que parents célibataires, en vertu d’une nouvelle loi préparée par le parti Droit et Justice au pouvoir, qui a fait de la lutte contre l’homosexualité un élément majeur de son programme électoral.

Alors que la Pologne interdit déjà aux couples de même sexe d’adopter des enfants, certains ont pu contourner cette loi en adoptant individuellement. Cette pratique sera désormais interdite.

« Un couple homosexuel ne pourra pas adopter un enfant »

« Nous préparons un changement selon lequel […] les personnes vivant en cohabitation avec une personne du même sexe ne pourraient pas adopter un enfant, donc un couple homosexuel ne pourra pas adopter un enfant », a déclaré le vice-ministre de la Justice Michal Wojcik.

Les organismes chargés d’examiner les profils des candidats à l’adoption vont être tenus d’accorder une « attention particulière » à la question de savoir si la personne célibataire qui cherche à adopter vit avec une personne du même sexe, a-t-il déclaré.

Des critiques de la part de l’UE

Les restrictions imposées en Pologne et en Hongrie aux droits des personnes homosexuelles font partie des sujets qui valent à ces pays de vives critiques de la part de l’Union européenne, avec l’indépendance de la justice ou encore la politique d’immigration.

Au cours des deux dernières années, plus de 100 villes polonaises se sont déclarées « libres » de l’idéologie LGBT.

L’UE a réagi en menaçant de retirer des financements à ces villes, que le gouvernement polonais a proposé de remplacer.

source: https://www.ouest-france.fr/europe/pologne/la-pologne-va-interdire-l-adoption-aux-homosexuels-celibataires-7183148

La Pologne va infliger des amendes aux réseaux sociaux qui censurent sans raison

Une proposition de loi première mondiale

Les entreprises de médias sociaux qui censurent les utilisateurs ou suppriment des publications pour des raisons idéologiques pourraient bientôt faire face à des amendes en Pologne  dans le cadre d'une première tentative mondiale de limiter le pouvoir des Big Tech par la législation.

L'architecte de la loi, le vice-ministre polonais de la Justice, Sebastian Kaleta, a déclaré à FoxNews que les entreprises de médias sociaux ciblaient depuis trop longtemps les conservateurs, le christianisme et les valeurs traditionnelles en les interdisant et en supprimant des postes et le gouvernement polonais dit « assez! ».

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Des amendes sans précèdent

En vertu de la nouvelle législation, toute plate-forme interdisant un utilisateur s'exposerait à des amendes de 13,5 millions de dollars, à moins que le contenu ne soit également illégal en vertu de la loi polonaise. Un comité d'arbitrage serait mis en place pour superviser les différends.

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Francesoir.fr

Nos remerciements à Patrick Edery


Rappels :

Facebook censure les comptes de Marion Maréchal et Jordan Bardella après qu’ils ont publié un message de soutien à Génération Identitaire

"Nous vous arracherons vos cous impurs". Pour Facebook, cela n’enfreint pas les règles de "la communauté"

Robert Ménard suspendu de Facebook… pour avoir dit que les Soudanais ne font pas partie de la civilisation européenne

Facebook interdit les conversations disant que le coronavirus provient d’un laboratoire après consultation de l’OMS

En privé, Facebook reconnaît avoir “trop de pouvoir” et Zuckerberg veut “travailler” avec Biden sur ses “priorités”

Après avoir censuré Donald Trump, Facebook déclare « ne plus vouloir faire de politique »

La nouvelle loi polonaise pourrait imposer aux entreprises de médias sociaux des amendes pouvant atteindre 2,2 millions d’euros pour avoir censuré des propos licites

Si cette loi est adoptée, elle permettra aux Polonais de faire appel devant les tribunaux en cas d'interdiction et de censure injustes liées à la suppression de postes sur les médias sociaux

22 décembre 2020

Editeur: Remix News – Auteur: Grzegorz Adamczyk

Les défenseurs de la liberté d'expression de tout l'Occident célèbrent un nouveau texte de loi en cours de préparation par le ministère polonais de la justice, qui vise à garantir le respect des droits des utilisateurs de médias sociaux.

Le ministre de la justice, Zbigniew Ziobro, a souligné que "les utilisateurs de médias sociaux doivent avoir le sentiment que leurs droits sont protégés. Il ne peut y avoir de censure de l'expression. La liberté d'expression et de débat est l'essence même de la démocratie."

Un nombre croissant de messages sont supprimés par les sociétés de médias sociaux et les utilisateurs se voient imposer des interdictions ou même des suppressions de compte. Habituellement, à ce stade, ces utilisateurs sont à la merci des plateformes de médias sociaux et ont des options limitées.

Alors que la liberté de parole et d'expression est vitale dans les démocraties, les médias sociaux sont dominés par des entreprises qui peuvent introduire leurs propres directives. Dans le même temps, ces entreprises doivent respecter les lois des pays dans lesquels elles opèrent.

Le vice-ministre de la justice Sebastian Kaleta, qui supervise le travail sur les lois, a déclaré que le temps est venu pour la Pologne d'avoir des règlements qui protègent contre les abus des sociétés Internet géantes, selon l'agence de presse polonaise Benchmark.pl.

Il a ajouté que la nouvelle réglementation permettra à la Pologne de punir les sociétés de médias sociaux pour avoir violé les droits des utilisateurs, ce qui sera soutenu par le plein pouvoir du système judiciaire polonais. Si les sociétés sont reconnues coupables de violer les droits des utilisateurs et refusent d'obéir à la décision d'un tribunal, elles pourraient se voir infliger une amende allant jusqu'à 2,2 millions d'euros.

Dans le cas d'un conflit entre un site de médias sociaux et l'utilisateur, la nouvelle loi prévoit qu'un tribunal polonais décidera si une loi a effectivement été enfreinte, ce qui aurait justifié la censure.

Les conservateurs sont souvent la cible de la censure des médias sociaux

Après l'adoption de la nouvelle loi anti-censure, les médias sociaux ne pourront plus supprimer des messages ou bloquer des comptes à leur guise. Cette nouvelle loi concerne les messages qui n'enfreignent pas la loi polonaise. Ainsi, par exemple, les utilisateurs qui publient de la pornographie enfantine ou d'autres contenus illégaux n'auront aucun recours en vertu de la nouvelle loi pour faire rétablir leurs messages ou débloquer leurs comptes.

Cependant, une grande partie de la censure qui a lieu sur les plateformes de médias sociaux n'a rien à voir avec des contenus illégaux. Les conservateurs ont particulièrement insisté sur le fait que leur contenu a été interdit ou censuré sur les plateformes de médias sociaux, qui sont connues pour leur adhésion à la politique libérale. En fait, le média d'État polonais Poland Daily, qui publie des informations et des nouvelles sur la Pologne, a été interdit de Twitter au début de l'année et n'a pas été rétabli depuis des mois, bien qu'il n'y ait aucune violation évidente des directives de Twitter. Notre propre publication, Remix News, a également été interdite de la plateforme sans explication.

[…]

source: https://rmx.news/article/article/new-polish-law-will-fine-social-media-companies-2-2-million-for-censoring-lawful-speech

George Soros : « L’Europe doit tenir tête à la Hongrie et à la Pologne »

L’Union européenne ne peut se permettre de céder du terrain concernant le respect de l’Etat de droit. La manière dont elle répondra à Viktor Orbán et Jarosław Kaczyński, qui opposent leur veto au budget, sera déterminante, estime le président des Open Society Foundations.

(…)

www.nouvelobs.com

Via Fdesouche

La Pologne crée ses propres tests de coronavirus avec une efficacité de 100%

Cenator : Dans une vidéo que nous avons reprise ici, L. Toroczkai dénonce le fait que les tests produits par la Chine ne sont fiables qu’à 50%.

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La Pologne a créé son propre test de détection du coronavirus, qui fonctionne avec une efficacité de 100 %, selon l’Institut national de la santé publique (PZH).

Le Dr Luiza Handschuh, de l’Académie polonaise des sciences (PAN), a expliqué que les tests seront produits dans deux semaines déjà et qu’il y en aura entre 100'000 et 150'000.

Les autorités sanitaires polonaises ont commencé à travailler sur la création de ces tests afin de garantir que le pays dispose d’une quantité suffisante de tests en cas de pénurie mondiale.

Plus de 10'000 tests ont été effectués en Pologne dimanche (12.4), ce qui porte à 188 000 le nombre total de tests effectués depuis le début de la pandémie.

Le directeur de l’Institut de chimie bio-organique de la PAN, Marek Figlerowicz, a déclaré que les kits de tests polonais ont pris trois semaines pour être mis au point.

Il a ajouté que le gouvernement polonais a fortement soutenu les efforts des scientifiques impliqués et a donné à l’institut 3,29 millions d’euros pour créer un kit de diagnostic et en produire 100'000 exemplaires.

Mme Handschuh a expliqué qu’un kit de test coûte environ 11,60 euros à produire et qu’environ 1000 kits gratuits seront prêts la semaine prochaine pour être distribués par le ministère de la santé. La production de masse commencera la semaine suivante et jusqu’à 150'000 tests seront livrés au ministère et aux laboratoires de diagnostic en Pologne.

Source en anglais : Voice of Europe
Traduction Cenator

La Pologne dira «très probablement» non au pacte de l’ONU sur les migrations

Alors qu'il doit être entériné en décembre prochain, le pacte de l'ONU sur les migrations est de plus en plus contesté : après Washington, Budapest, Vienne et Prague, c'est au tour de Varsovie de s'en distancier.

Dans la foulée de l'Autriche et de la République tchèque, la Pologne a annoncé prendre ses distances avec le pacte des Nations unies sur les migrations. «Il est très probable que la Pologne [...] ne fera pas partie du pacte global sur les migrations», a ainsi déclaré le 2 novembre le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki lors d'une conférence de presse avec la chancelière allemande Angela Merkel à Varsovie.

«Nos règles, nos principes souverains concernant la protection des frontières et le contrôle des migrations sont pour nous une priorité absolue», a précisé le chef du gouvernement polonais.

Finalisé après 18 mois de négociations, le pacte des Nations unies prévoit notamment de renforcer la coopération internationale pour répondre au phénomène migratoire mondial. A l'exception notable des Etats-Unis, les pays de l'ONU avaient approuvé le document en juillet. Mais, alors qu'il doit être entériné lors d'un sommet à Marrakech les 10 et 11 décembre prochains, il apparaît de plus en plus contesté. Amorçant le mouvement de ses voisins européens, la Hongrie du Premier ministre Viktor Orban avait annoncé son retrait de l'accord fin juillet, au motif qu'il encourageait des flux de personnes jugés «dangereux».

RT

 

 

 

«Reviens d’où tu viens» : une télé-réalité sur les réfugiés débarque sur la télévision polonaise (Vidéo)

Et cela en sachant que les Polonais ne veulent pas de cette immigration très majoritairement musulmane. La télévision au chevet de la propagande pro-migrants...

 

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La chaîne de télévision privée polonaise TVN va diffuser une nouvelle télé-réalité courant automne 2018. L’émission, appelée Go back to where you came from, (Reviens d’où tu viens, en français) suit six Polonais qui « vivront comme des réfugiés pendant presque un mois», d’après TVN.

 

 

Une émission de télé-réalité pour changer les mentalités ? À l’automne, la chaîne privée TVNdiffusera Go back to where you came from (Reviens d’où tu viens, en français), une télé-réalité qui annonce faire vivre six Polonais « comme les réfugiés et avec des réfugiés, pendant près d'un mois ». Une émission calquée sur un format australien diffusé entre 2011 et 2015.

«Ce sera l’une des expéditions les plus difficiles de leur vie»

D’après Slate, les protagonistes de ce programme devront emprunter le parcours inverse des migrants. Munis d’un passeport, d’un peu d’argent et d’un téléphone (l’attirail habituel des réfugiés lorsqu’ils effectuent leur périple), ils se lanceront dans leur expédition à partir de Berlin puis passeront par l’Autriche, la Hongrie et la Serbie, pour finalement arriver en Grèce. Là, ils devront traverser la Méditerranée en bateau, puis gagneront le Kurdistan où ils s’installeront dans un camp de réfugiés. Et tout ceci, filmé sans arrêt par les caméras.

« Ce sera l’une des expéditions les plus difficiles de leur vie », explique la chaîne TVN dans un communiqué. « Comment cette errance affectera-t-elle les héros ? Vont-ils regarder leur vie différemment après ce voyage ? », voici les questions que devront se poser les héros de ce programme. Des personnes qui, d’après Slate, ont toutes un point de vue différent sur la question de la crise des migrants.

«Un sujet politique sensible et controversé»

Avant même la diffusion de l’émission, de nombreuses voix accusent déjà la production de profiter de la souffrance des migrants et migrantes pour faire de l'argent, rapporte Slate. Le directeur de la programmation de TVN estime que cette émission est d’utilité publique puisqu’elle permettra de contribuer au débat sur les migrations : «Nous sommes bien au fait que c'est un sujet politique sensible et controversé», s'est justifié Bogdan Czaja auprès de Press. La production insiste par ailleurs sur le fait que l’émission est plus un documentaire qu’une télé-réalité.

Les Polonais très réticents à l’idée d’accueillir des réfugiés

En Pologne, l’opinion publique sur la crise des migrants est claire, rappelle Slate. Comme le souligne un sondage du Centre de recherche sur l'opinion publique polonaise, seulement 5% des citoyens et citoyennes polonaises pensent que les réfugiés et réfugiées qui fuient une guerre devraient pouvoir s'installer dans le pays. Ils étaient 14 % en 2015, avant le début de la crise migratoire.

Au niveau politique, le ton est le même : le gouvernement polonais refuse d’accueillir des migrants issus de pays d’Afrique ou du Moyen-Orient.

LaDepeche

Emmanuel Macron veut priver Pologne et Hongrie d’aides européennes, car elles «ne respectent pas les valeurs de l’U.E.»

Alors que Bruxelles cherche à faire des économies pour pallier le départ du Royaume-Uni, le président français a proposé de conditionner le versement des fonds européens au respect des «valeurs» de l’UE, pointant du doigt la Hongrie et la Pologne.

Le Brexit devrait laisser un trou d’environ 10 à 13 milliards d’euros par an dans le budget de l’Union européenne : de quoi raviver les tensions entre les Etats membres et notamment entre les pays occidentaux et les pays de l’Est. A l’occasion d’un premier sommet européen consacré à la question budgétaire post-Brexit qui se tenait le 23 février à Bruxelles, le président français Emmanuel Macron a brandi la menace d’une éventuelle diminution des versements de l’UE aux pays ne respectant pas la ligne politique fixée par les 28 Etats, qui ne seront bientôt plus que 27.

Le chef de l’Etat estime en effet que la Pologne et la Hongrie tirent excessivement profit des règles européennes dans leur propre intérêt. «Ils nous prennent un peu pour des imbéciles», a-t-il déclaré au sujet de Viktor Orban et Mateusz Morawiecki, respectivement Premier ministre hongrois et Président du conseil des ministres polonais.

Si le président français tente bien évidemment de s’imposer comme le porte-voix de la refondation de l’UE sur la scène européenne, son irritation reflète bien les tensions qui s’accroissent depuis plusieurs mois entre Bruxelles et ces deux pays. Alors qu’une procédure contre la Pologne a été déclenchée par la Commission européenne le 20 décembre 2017, l’UE estimant que Varsovie commettait une «violation grave» de l’Etat de droit avec sa réforme judiciaire, Emmanuel Macron a fortement condamné les choix politiques du gouvernement polonais, allant jusqu’à évoquer des sanctions : «Il serait de bon sens de suspendre le versement de fonds […] quand les gens ne respectent pas les valeurs» européennes.

Quant à Viktor Orban, Emmanuel Macron lui a réservé ses propos les plus durs. Si les différends entre Bruxelles et Budapest sur la question des quotas de migrants font régulièrement surface dans le débat politique, le chef de l’Etat français a élargi sa critique de la ligne politique hongroise à la question économique. «Quand on détricote l’Europe, quand on utilise les fonds [européens] pour faire du dumping social et fiscal, on prend les contributeurs nets un peu pour des imbéciles : la solidarité se justifie parce que nous avons des valeurs et des projets communs. Ce n’est pas un self-service», s’est agacé Emmanuel Macron.

La perspective de la sortie du Royaume-Uni de l’UE impose aux 27 pays restants de rogner sur certaines dépenses. Si la Politique agricole commune (PAC) devrait en faire les frais, les fameux fonds de cohésion et les aides territoriales, supposés égaliser les niveaux économiques des différents Etats membres, devraient être les premières dépenses réduites : ils représentent près d’un tiers du budget de l’UE.

Or, la Hongrie et la Pologne comptent parmi les premiers bénéficiaires de ces aides, touchant respectivement 25 milliards et 80 milliards d’euros pour la période 2014-2020.

RT

Via Suavelos.eu

Un député polonais : « Notre pays est en sécurité parce que nous n’avons pas accepté les migrants musulmans illégaux; c’est la raison pour laquelle nous n’avons même pas eu une seule attaque terroriste »

Dominik Tarczyski député du PiS (Polish Law & Justice Party ) interviewé sur une chaîne britannique | 1-07-2018

La journaliste demande : "Combien la Pologne a-t-elle accueilli de réfugiés?"

Le politicien polonais répond : "Zéro. (...) C'est ce qu'attend notre peuple de notre gouvernement. C'est pour cela que notre gouvernement a été élu. C'est la raison pour laquelle la Pologne est à ce point en sécurité. C'est la raison pour laquelle nous n'avons pas d'attaque terroriste. On peut nous appeler populistes, nationalistes, racistes. Je m'en fiche. Je me soucie de ma famille et de mon pays."

 

 

Bruxelles menace: “la Pologne, la Hongrie, la République tchèque et la Slovaquie auront intérêt à se montrer beaucoup plus accueillantes avec les migrants.”

Les mauvais élèves en matière de démocratie pourraient être privés des aides européennes. Pour Valéry Lerouge, l'envoyé spécial de France 2 à Bruxelles, cela vise clairement la Hongrie et la Pologne, "deux états qui bafouent certaines valeurs européennes, qui menacent l'indépendance de leur justice, et qui pourtant sont les principaux bénéficiaires de l'argent européen".

 

 

Se montrer plus accueillant et solidaire

Bruxelles n'arrive pas à les remettre dans le droit chemin par la diplomatie, elle va donc les frapper au portefeuille. "Concrètement, explique le journaliste, on pourrait suspendre le financement de certains projets ou chantiers si l'État de droit est menacé. Il suffirait d'une majorité qualifiée d'États membres pour sévir, et non plus l'unanimité". Deuxième moyen de pression : ces subventions ne seraient plus liées au niveau de revenu par habitant, mais, par exemple, au nombre de migrants accueillis. "Autant dire que la Pologne et la Hongrie, mais encore la République tchèque ou la Slovaquie auront intérêt à se montrer beaucoup plus accueillantes et solidaires qu'aujourd'hui", note le journaliste.

Source

Nos remerciements Victoria Valentini

Pologne: les prêtres anti-migrants sont menacés par l’archevêque.

Le primat de l'Eglise catholique de Pologne, l'archevêque Wojciech Polak, a menacé de suspension tout prêtre qui participerait à une manifestation contre l'accueil de réfugiés, dans une interview publiée aujourd'hui.

"Si j'entends qu'il y a à Gniezno (NDLR: siège de son diocèse) une quelconque manifestation contre les réfugiés et que mes prêtres comptent y participer, je n'aurai qu'une réponse brève: chaque prêtre qui s'y joindra sera suspendu", a dit Mgr Polak à l'hebdomadaire catholique libéral de Cracovie Tygodnik Powszechny.

"Je n'ai pas d'autre chemin à prendre, car je suis responsable de ceux qui font partie de mon diocèse. Dans des situations où on (NDLR: un prêtre) appuie explicitement une des parties au conflit, il faut réagir immédiatement", a-t-il ajouté.

Selon plusieurs sondages, plus de la moitié des Polonais sont opposés à l'accueil de réfugiés dans leur pays, une position partagée par le parti conservateur au pouvoir Droit et Justice et par le gouvernement de Mme Beata Szydlo. Ce dernier a rejeté le système de quotas pour la répartition des réfugiés proposé par la Commission européenne.

Les déclarations de Mgr Polak ont provoqué une série de violentes critiques dans les médias sociaux, notamment sur des portails conservateurs.

Source

Youtube censure une vidéo sur l’immigration postée par le gouvernement polonais

Cette vidéo sur l’immigration postée sur le compte du ministère de l’intérieur polonais a subi la censure de Youtube. Elle ne peut pas apparaître dans les résultats de recherche et on ne peut pas arriver dessus via des suggestions liées à des vidéos que vous regarderiez. On ne peut pas non plus donner un avis, commenter ou sauvegarder la vidéo dans une liste de lecture sur son compte.

 

 

Traduction automatisée de la description de la vidéo:
Le gouvernement PiS s’est retiré de la décision nuisible du gouvernement PO-PSL de faire venir des immigrants du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord en Pologne. Nous avons été les premiers à dire que tous les immigrants ne sont pas des réfugiés, mais seulement quelques-uns fuient la guerre et la terreur. Deux ans après l’opposition du gouvernement polonais à l’admission des immigrants illégaux, les dirigeants européens commencent à comprendre l’absurde politique de réinstallation forcée des réfugiés.

Adresse Youtube de la vidéo :

Des sous-titres en anglais sont disponibles dessus si vous les activez.

Via Fdesouche.com

Pologne : points de vue des droites sur la Marche de l’Indépendance organisée par les nationalistes

Réinformation.TV a interrogé pour vous plusieurs responsables politiques de la droite polonaise pour comprendre comment en Pologne les nationalistes, dont le poids électoral est très faible, parviennent à rassembler chaque 11 novembre une centaine de milliers de patriotes à leur grande Marche de l’Indépendance, et aussi pour comprendre pourquoi avoir choisi le mot d’ordre « Nous voulons Dieu ». Voici donc l’explication de Robert Bąkiewicz, coordinateur régional du mouvement nationaliste ONR et président du comité organisateur de la Marche de l’Indépendance, de Piotr Gliński, vice-premier ministre et ministre de la Culture, de Ryszard Terlecki, vice-président de la Diète et chef du groupe parlementaire du PiS à la Diète, et de Wojtek Murdzek, député membre du parti Porozumienie (Entente), un petit parti de centre-droit allié au PiS dans le cadre de la coalition parlementaire Droite unie.

Qui sont les nationalistes polonais ?

Quand on lui demande à quoi sert une opposition nationaliste à un gouvernement PiS décrit à l’étranger comme étant lui-même nationaliste, Robert Bąkiewicz répond que les conservateurs ont effectivement repris à leur compte une partie de la rhétorique de la droite nationale, mais que sa politique s’inscrit bien dans le système démocratique libéral, qu’il appelle « démolibéral » et qu’il dénonce. Du point de vue nationaliste, le gouvernement de Beata Szydło reste soumis à Bruxelles et à Washington et ne défend pas les intérêts polonais. Contrairement aux conservateurs du PiS, les nationalistes polonais sont par exemple favorables à la sortie de l’UE et de l’OTAN. En revanche, ils rejettent les amalgames qui voudraient faire d’eux des fascistes ou des nazis, et Robert Bąkiewicz évoque l’action des nationaux-démocrates, mouvement dans lequel ils puisent leur tradition, avant et surtout pendant la Deuxième guerre mondiale, quand ces nationaux-démocrates avaient été nombreux à sacrifier leur vie dans le combat contre les nazis et pour sauver des compatriotes polonais ou juifs.

Le principe qui guide leur action, c’est celui de l’ordre de la charité : j’aime (et j’aide) d’abord ma famille, puis mes voisins, puis ma commune, puis ma patrie et enfin l’Europe et le monde. Le nationalisme polonais, insiste Robert Bąkiewicz qui est un catholique traditionaliste, est un nationalisme chrétien, et ce n’est pas un nationalisme qui cherche à construire un avenir meilleur pour sa propre nation en détruisant les autres nations.

De nombreux conservateurs proches du PiS à la Marche de l’Indépendance organisée par les nationalistes

Voilà donc ce qui explique comment tant de patriotes polonais, qui n’ont pas forcément les convictions des nationalistes, peuvent se joindre à la grande Marche de l’Indépendance organisée par ces derniers. « Les gens veulent fêter dans la joie ce jour où la Pologne a récupéré son indépendance », nous a expliqué le député Wociech Murdzek, « ils veulent montrer que c’est très important de bâtir sur ce fondement la Pologne d’aujourd’hui et de demain. C’est pourquoi les gens qui viennent ne partagent pas forcément les idées des organisateurs, mais ils veulent exprimer publiquement leur attachement aux grandes valeurs et à la patrie. »

Le ministre de la Culture Piotr Gliński, qui est le numéro deux du gouvernement Szydło et que nous avons rencontré dans son ministère en compagnie d’autres médias (le site Internet Visegrád Post et la télévision TV Libertés), a lui aussi tenu à souligner que, contrairement à ce que prétendent certains médias mal intentionnés, les nationalistes polonais n’ont rien à voir avec le fascisme et que leur combat politique entre dans le cadre du débat démocratique. D’autant, a souligné le ministre, que leur vision de la nation est culturelle et non ethnique.

A quoi doit-on le succès de leur manifestation annuelle ? Pour le ministre Gliński, « En Pologne, pendant des années on n’organisait pas de manière appropriée la commémoration de l’anniversaire de notre indépendance le 11 novembre. C’est pour cela que la droite nationale s’en est chargée ».

Même son de cloche chez le vice-président de la Diète Ryszard Terlecki, qui explique ainsi le succès de la Marche de l’Indépendance des nationalistes : « Après la chute du communisme, la gauche et les libéraux ont dit “Laissons tomber l’histoire, pensons à l’avenir.” (…) Il y avait une gêne vis-à-vis de ceux qui parlaient de patriotisme et montraient leur attachement à leur patrie. Mais cela a beaucoup changé ces dernières années. (…) La Marche de l’Indépendance en est un des symptômes, mais ce n’est pas le seul ».

Racistes, les nationalistes polonais ?

L’affirmation du vice-premier ministre selon laquelle le nationalisme polonais se fondait sur des critères culturels et non raciaux a été contredite par la publication dimanche après-midi d’une interview avec un représentant d’une des organisations membres du comité responsable de la Marche de l’Indépendance. Interrogé sur la présence de quelques banderoles revendiquant une Europe « blanche » dans la manifestation, le porte-parole de Młodzież Wszechpolska (Jeunesse pan-polonaise) a affirmé que cela ne le choquait pas et que son mouvement était contre le mélange ethnique qui se produit actuellement entre continents. Rejetant toute idée de racisme, Mateusz Pławski a évoqué un concept de séparation des races pour expliquer son opposition à l’immigration de masse. L’organisation Młodzież Wszechpolska l’a toutefois limogé lundi en affirmant qu’elle n’avait pas de critères raciaux et qu’elle comptait par exemple parmi ses membres des Tatars polonais qui sont des patriotes et des nationalistes [polonais] exemplaires. Le vice-président du parti nationaliste Mouvement national (Ruch Narodowy) représenté à la Diète a rappelé que les nationalistes polonais étaient guidés par l’idée nationale polonaise et l’enseignement moral de l’Eglise, et qu’aucune doctrine raciale ne pouvait entrer dans ce cadre : « Le racisme nous est étranger, tandis que l’opposition à l’immigration nous est proche », a résumé le député Krzysztof Bosak.

Les droites polonaises ensemble pour exprimer leur patriotisme et leur foi en Dieu

Pour Robert Bąkiewicz (ONR) comme pour Piotr Gliński (PiS), et également Ryszard Terlecki (PiS) et Wojciech Murdzek (Porozumienie) que nous avons interrogés à la Diète, le mot d’ordre « Nous voulons Dieu » est tout à fait naturel en Pologne dans la mesure où c’est un pays où patriotisme et foi catholique sont étroitement liés depuis très longtemps. « Le lien entre patriotisme et foi est très fort car à l’époque communiste c’est l’Église qui défendait l’identité et la conscience nationale », nous a expliqué le vice-président de la Diète dont l’activité d’opposant au régime communiste remonte à la fin des années 1960.

Pour le ministre de la culture Piotr Gliński, « La Croix et la foi sont très importants pour le patriotisme polonais ». Puis il précise : « même si je ne veux en aucun cas exclure les patriotes qui ne sont pas croyants ». « Depuis des siècles, le patriotisme polonais, l’amour pour la patrie, passe par le lien avec l’Église, par la foi en Dieu », nous a expliqué le député de centre-droit Wojciech Murdzek, « On sacrifie sa vie pour servir autrui en pensant à Dieu mais aussi par amour pour sa patrie. C’est pourquoi ce mot d’ordre aujourd’hui, avec tout ce qui se passe en Europe dans une Europe qui oublie ses racines chrétiennes, qui veut supprimer les croix sur les statues par souci du politiquement correct, ce mot d’ordre est important bien sûr pour la Pologne, mais il montre que les autres nations doivent aussi revenir à leurs racines. »

Le dirigeant nationaliste Robert Bąkiewicz nous a lui aussi expliqué ce mot d’ordre en référence à ce qui se passe en Europe : « C’est une réaction à ce monde d’hédonisme, de corruption, de décadence morale, éthique, et aux problèmes auxquels est confrontée l’Europe : l’immigration, le meurtre des enfants dans le ventre de leur mère, l’euthanasie, l’acceptation des pervers, l’acceptation des homosexuels, l’éducation sexuelle imposée aux enfants, la sexualisation omniprésente, la consommation. (…) Dans ce contexte, le retour aux valeurs catholiques, spirituelles, à un élément spirituel dans la vie de l’homme contemporain, du Polonais, de l’Européen, est indispensable pour permettre une certaine renaissance et peut-être sauver notre civilisation latine (…). Il nous faut l’absolu, le Dieu unique en trois personnes, le Dieu de la religion catholique, car nous considérons que c’est la seule vraie religion et cette religion a construit cette civilisation (…) elle est l’essence de l’Europe d’aujourd’hui, même si l’Europe aujourd’hui ne veut pas s’en souvenir. »

Le mot d’ordre « Nous voulons Dieu » vient d’un chant religieux que le ministre de la Culture chantait dans son enfance. Un chant religieux dérivé d’un cantique français du XIXe siècle, pour une France catholique !

Olivier Bault

La Première ministre polonaise qualifie “d’arrogants” les propos de Macron. “Je conseille à Monsieur Macron de s’occuper de ses affaires.”

La Première ministre polonaise a vivement critiqué Emmanuel Macron qui a estimé que les Polonais méritaient mieux que leurs dirigeants.

La Première ministre polonaise a taxé vendredi Emmanuel Macron d'arrogance et d'inexpérience, en réponse à ses propos sur l'isolement de Varsovie. Critiquant le refus par la Pologne de réviser la directive européenne sur le travail détaché, le chef de l'État a estimé que les Polonais méritaient mieux qu'un gouvernement qui trahit selon lui les valeurs européennes.

Szydlo pointe le manque d'expérience de Macron. "Peut-être que ses déclarations arrogantes sont-elles dues à son manque d'expérience et de pratique politique, ce que j'observe avec compréhension, mais j'attends qu'il rattrape rapidement ces lacunes et qu'il soit à l'avenir plus réservé", a déclaré Beata Szydlo au site wpolityce.pl.

"Je conseille à Monsieur le président qu'il s'occupe des affaires de son pays, il réussira alors peut être à avoir les mêmes résultats économiques et le même niveau de sécurité de ses citoyens que ceux garantis par la Pologne", a encore lancé Beata Szydlo, ajoutant rappeler "à Emmanuel Macron que la Pologne est membre de l'Union européenne au même titre que la France".

Elle appelle Macron "à rester plus conciliant". "Ce n'est ni le président de la France ni aucun autre dirigeant qui décidera personnellement de l'avenir de l'Europe mais l'ensemble des membres de la communauté", a-t-elle déclaré appelant "Monsieur le président à rester plus conciliant et à ne pas briser l'UE".

"Nous avons les mêmes droits que la France, que les autres pays membres, et nous allons en profiter pour le bien de la Pologne et des Polonais. La Pologne n'est en conflit avec aucun des pays de l'UE, ni avec l'UE elle-même", a encore dit Beata Szydlo.

Vives critiques de Macron envers la Pologne. Le président français a violemment critiqué vendredi le refus polonais de durcir la directive sur le travail détaché, "une nouvelle erreur" de Varsovie selon lui. "La Pologne n'est en rien ce qui définit le cap de l'Europe", a-t-il lancé lors d'un point de presse à Varna (Bulgarie), au dernier jour d'une tournée en Europe de l'Est pour rallier des soutiens à une réforme de la directive.

"Le peuple polonais mérite mieux que cela et la Première ministre aura beaucoup de mal à expliquer qu'il est bon de mal payer les Polonais", a répliqué Emmanuel Macron. La Pologne "se met en marge" et "décide d'aller à l'encontre des intérêts européens sur de nombreux sujets". Or "l'Europe s'est construite pour créer de la convergence, c'est le sens même des fonds structurels que touche la Pologne", a-t-il averti.

Source

Rediff. « Mohammed not welcome » disent la République tchèque, la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie

La Pologne a fermé ses frontières aux migrants islamiques pour empêcher les terroristes potentiels. Jared Kushner, le gendre du président Trump, déclarait à propos de l’immigration sans contrôle sérieux : « si on me présente un paquet plein de bonbons en m’expliquant qu’il y en a un d’empoisonné, je n’en prends aucun. »

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