PEGIDA sera à Rome ce week-end

Pegida Allemagne participera à la grande manifestation qui aura lieu à Rome ce 28 février pour protester contre le gouvernement Renzi.

C'est Vicenzo Sofo, président du cercle culturel Il Talebano , qui a toujours été proche du parti de Matteo Salvini, qui l'a annoncé. Il Talebano sponsorise aussi une rencontre intitulée "Milles Patries pour l'Italie" dans le but de créer un front uni de patriotes européens.

"Ce jour là, Rome n'assistera pas à une seule manifestation - a expliqué Sofo - mais aussi et surtout à la naissance d'un nouveau projet politique qui dépassera les frontières nationales pour se tourner vers tous les patriotes européens. Nous sommes en train d'organiser un congrès pour donner vie à ce projet et nous avons le plaisir d'annoncer la présence d'une délégation du Bloc Identitaire et une de Pegida Allemagne".

La participation de Pegida à la manifestation de la Lega a également été confirmée par l'éditeur allemand Götz Kubitschek qui a toujours été très proche des positions politiques et des théorie culturelles de Pegida, bien différentes de celles prônées par la culture "officielle" . [...] Kubitschek explique que Pegida partage avec la Lega la volonté de défendre l'unité européenne en préservant sa diversité.

L'intellectuel allemand a déclaré : "Nous voulons une Europe qui veuille et surtout qui puisse se défendre, avant tout de manière pacifique, à la différence des Etats-Unis qui, pour se défendre, créent des guerres dans d'autres pays":

Ses positions ont attirées depuis quelques temps l'attention de Matteo Salvini. D'autre part, il y a un peu moins d'un an, le secrétaire du Carroccio  avait béni la naissance de l'association "Patriae", qui, justement sous l'impulsion de "Il Talebano", s'était proposé comme point de référence pour les eurosceptiques avec  Marine Le Pen. Une alliance avec la droite française a ainsi pu se faire. Nous verrons maintenant comment cela se passera avec les Allemands de Pegida.

Source en italien (trad. D. Borer)

 

Pegida perd à nouveau un dirigeant

Le mouvement anti-islam allemand a encore perdu un leader mercredi en la personne de Kathrin Örtel, qui évoque des «menaces». Elle venait de succéder à Lutz Bachmann.

Le mouvement a annoncé sur sa page Facebook que Kathrin Örtel, 37 ans, ainsi qu'un autre membre du conseil dirigeant, avaient renoncé à leurs fonctions.

Pegida (Européens patriotes contre l'islamisation de l'Occident) indique que Kathrin Örtel, qui avait succédé à Lutz Bachmann la semaine dernière seulement, a démissionné «à cause d'une hostilité massive, de menaces(...)».

Lutz Bachmann a démissionné mercredi dernier après la publication par le journal à grand tirage «Bild» d'une photo qu'il avait postée sur Facebook, le montrant avec une petite moustache et une coupe à la Hitler.

Pegida organise des rassemblements hebdomadaires, à Dresde ainsi que dans d'autres villes d'Allemagne, contre l'immigration et pour défendre les valeurs «allemandes».

Source

Adolf Pegida Hitler

 

Chaplin-dictator

 

Michel Garroté -- Un membre de Pegida, Lutz Bachmann, a annoncé, le soir du mercredi 21 janvier 2015, sa démission après la parution dans la presse d'une photo le montrant grimé en Hitler, les cheveux humides plaqués sur le côté avec une petite moustache style brosse à dents. Lutz Bachmann a confirmé qu’il a quitté Pegida au quotidien Bild. L'information a été confirmée par Kathryn Oertel, porte-parole du mouvement. Kathryn Oertel aurait par ailleurs confirmé l'authenticité de la photo publiée par Bild et par la Dresdner Morgenpost.

Déguisé en Hitler, ce n’est pas gros, c’est énorme. On peut donc légitimement se demander pour qui travaille réellement Lutz Bachmann, s’il a été manipulé ou s’il n’est simplement qu’un débile profond. Son gag hitlérien à la noix, ça tombe à pic, car Pegida, même si les médias allèguent le contraire, est en plein essor en Allemagne, en France, en Belgique et en Suisse.

Revenons sur quelques faits : 15.000 personnes ont manifesté mercredi 21 janvier 2015 au soir à Leipzig contre l’islamisation de l’Allemagne, sous le sigle Legida (Legida pour Leipzig ; à Dresde et ailleurs, le mouvement manifeste généralement sous le sigle Pegida) alors qu’ils n’étaient que 5.000 personnes la semaine dernière. Des gauchistes ont lancé des bouteilles sur les manifestants de Legida qui eux marchaient pacifiquement.

Les médias audiovisuels allemands ont cité les faits, mais se sont bien gardé de montrer les images correspondantes. Le message que ces médias veulent faire passer est clair : les marcheurs pacifiques de Pegida sont dangereux ; et les gauchistes violents ne sont pas dangereux. La manœuvre intoxicatoire est encore pire que d’habitude et nous entrons clairement dans la phase de vaste opération de propagande islamophile et islamo-gauchistes visant à faire passer Pegida pour un mouvement qui serait soi-disant « violent » et « néo-nazi ».

Autre fait important : un rassemblement anti-islamiste organisé par l'écrivain Renaud Camus devait se tenir dimanche 18 janvier à Paris, avant d'être interdit (çé pa Charlie…) par la Préfecture de police. En lieu et place de cette manifestation, ses organisateurs ont donné une conférence de presse afin d'annoncer le lancement en France d'une section du mouvement Pegida.

La manifestation qui devait avoir lieu place de la Bourse aurait dû être un grand rassemblement de résistance à l’islamisation des pays européens, organisé par plusieurs collectifs, dont Riposte laïque et Résistance républicaine. Lors de cette conférence de presse, étaient notamment présents Pierre Renversez, de l’association belge Non à l’islam, le député suisse libéral-conservateur (UDC) Jean-Luc Addor et Melanie Dittmer, du mouvement allemand Pegida.

Michel Garroté, 22 janvier 2015

 

Une conférence de presse européenne historique : ensemble pour désislamiser nos pays

Ci-dessus, de gauche à droite : Pierre Renversez (Belgique), Mélanie Dittmer (Allemagne), Christine Tasin (France), Pierre Cassen (France), Renaud Camus (France), Armando Manocchia (Italie), Jean-Luc Addor (Suisse).

 

Nous étions tristes pour tous nos amis qui attendaient fébrilement le 18 janvier afin d’avoir enfin d’autres discours que ceux véhiculés sur les ondes par l’islamiquement correct depuis 10 jours mais nous sommes heureux de dire que la conférence de presse qui s’est tenue à la place a été un franc succès et qu’elle demeurera un témoignage essentiel des analyses et propositions des différents intervenants à propos de la crise, gravissime, que nous traversons.

Vous en trouverez à partir de mardi 20 les images intégrales via les videos que nous avons tournées, sur les sites de Résistance républicaine et Riposte laïque.

En attendant, nous tenions à redonner un peu de baume au cœur à tous  les militants de la cause anti-islam. En effet, la salle où nous tenions la conférence de presse était comble, avec au moins une quinzaine de journalistes, photographes ou équipes de télé, françaises, comme Présent, TV libertés, France 4, Radio France, Le Monde… et étrangères, venues qui d’Allemagne, qui d’Italie, qui d’Angleterre, sans parler de journalistes américains. Un grand absent, l’AFP, qui voulait savoir au téléphone quelles révélations nous allions faire mais n’a pas cru bon devoir participer…

Chacun des intervenants présents à la tribune a présenté son combat, les limites de la liberté d’expression dans son pays et expliqué comment il voyait la suite de la lutte, dans une idée d’indispensable coopération européenne entre les différents mouvements de Résistance. La tribune en a constitué une belle ébauche avec Renaud Camus, le théoricien du Grand remplacement, Pierre Renversez qui vient de lancer le mouvement Pegida en Belgique, Jean-Luc Addor qui appelle de ses vœux un rapprochement entre son parti, l’UDC et Pegida suisse qui vient de se créer, Mélanie Dimmler, responsable Pegida à Cologne et Düsseldorf qui a annoncé qu’elle continuait la lutte malgré l’annonce des responsables de Pegida à Dresde d’annuler la manifestation de ce soir, Armando Manocchia prêt lui aussi à lancer en Italie un mouvement populaire du même genre, Pierre Cassen et moi-même qui avons insisté sur l’indispensable liaison de tous les mouvements, partis et associations opposés à l’islamisation de la France pour mener des actions régulières, informer nos compatriotes et Résister, pas à pas, au rouleau compresseur qui voudrait nous faire disparaître.

melanie-dittmerCi-dessus : Mélanie Dittmer et Christine Tasin

Après les interventions de nos invités, les journalistes multiplièrent les questions, donc certaines étaient de toute évidence des chausse-trappes dans lesquelles aucun des orateurs n’est tombé,  parce que les choses sont simples, les solutions sont simples et que si nous avons tous la haine de l’islam, aucun de nous n’a la haine des hommes. Avec calme, mais surtout beaucoup de pédagogie, les orateurs élaborèrent un véritable programme de désislamisation de nos pays, multipliant des arguments qu’on n’entend nulle part ailleurs. On comprend mieux, quand on les a entendus, et qu’on sait que leurs propos sont majoritaires dans l’opinion, la panique qui atteint tous les gouvernements européens, et le rouleau compresseur politico-médiatique qui se met en branle.

C’est en effet un véritable rouleau compresseur qui s’avance face à nous, partout, à Paris où, parce que nous sommes anti-islam on voudrait nous interdire la liberté de manifester. Nous y reviendrons là aussi demain avec une analyse des arrêtés d’interdiction et des référés. Partout, à Bruxelles, et même en Suisse, où,  malgré un modèle unique, la démocratie recule aussi peu à peu comme nous l’a expliqué Jean-Luc Addor, et même en Allemagne malgré les apparences.

En effet, Melanie Dittmer nous a confirmé que Pegida Dresde a annoncé qu’en raison de menaces de l’EI contre un des organisateurs de leur mouvement ils renonçaient à la manifestation de ce soir.

Fort heureusement, notre invitée d’honneur, Mélanie Dimmler, n’est pas de ceux qui renoncent et grâce à elle et ses pairs, le peuple allemand va continuer de descendre dans la rue, n’en doutons pas.  Et les Italiens, les Suisses, les Espagnols, les Français vont eux aussi apprendre à faire trembler tous ceux qui veulent restaurer le délit de blasphème et, avec, nous imposer la charia.

Nous avions donné un rendez-vous à des adhérents de Résistance républicaine et des lecteurs de Riposte laïque  dans un café proche de la Bourse, et nous avons eu  la surprise, après une conférence de deux heures trente, suivie de nombreuses interviews, de retrouver près d’une centaine d’entre eux, ce qui a permis des retrouvailles pleines d’émotion et d’amitié.

Finalement, je me demande si je ne vais pas remercier Boucault de son interdiction, car je me demande si nous aurions eu autant de journalistes, si notre rassemblement avait été maintenu  !

Christine Tasin

Contre l’islamisation de l’Europe, Pegida en France le 18 janvier

Depuis plusieurs semaines, le mouvement Pegida (Patriotes Européens contre l’Islamisation de l’Occident), parti de Dresde, se développe dans toute l’Allemagne. Lundi dernier, plus de 30.000 patriotes manifestaient dans les rues de Dresde.

Des mouvements Pegida voient le jour en Suisse, en Italie, en Espagne et en France.

Dimanche prochain, Mélanie Dittmer, responsable de Pegida-Kögida-Dügida de Dusseldorf et de Cologne, sera à Paris, à l’invitation de Riposte Laïque et Résistance républicaine, et prendra la parole, place de la Bourse, à partir de 14 heures 30. Interviendront également le député suisse Jean-Luc Addor, l’Italien Armando Manocchia, le philosophe Renaud Camus, et une dizaine d’orateurs, dont un apostat de l’islam.

D’autres rassemblements auront lieu en France, à Lyon, Montpellier et Bordeaux, sous l’égide de groupes locaux se réclamant de Pegida.

Ce gouvernement nie la guerre qui est déclarée à la France par l’islam et les musulmans radicaux, et ne prend aucune disposition sérieuse pour protéger la vie et la sécurité des Français. Nous encourageons nos compatriotes, partout où cela est possible, à développer des groupes locaux de résistance à l’islamisation de notre pays, et à participer aux différentes initiatives annoncées, dont le rassemblement parisien sera le moment fort.

Contacts presse :

Christine Tasin

Pierre Cassen

Merkel défilera aux côtés des musulmans contre PEGIDA

Angela Merkel participera ce mardi à une marche organisée par le conseil central des musulmans en Allemagne pour défendre  la liberté d'opinion, la liberté religieuse et la liberté de la presse.  Une bonne partie du gouvernement sera également présente à cette manifestation qui se déroulera sur la Pariser Platz, donc devant l'ambassade de France.

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Pegida : La mouvance anti-islam débarque en Suisse

L’attaque de la rédaction de Charlie Hebdo a donné des ailes à Pegida Suisse. Présente sur les réseaux sociaux depuis quelque temps, la version helvétique de la mouvance anti-islam allemande est passée du virtuel au réel. Une association s’est créée vendredi à Zurich, rapporte la SonntagsZeitung. Une première manifestation aura lieu le 16 février, dans un lieu qui reste à déterminer, selon ses organisateurs qui restent anonymes.

Pegida Suisse? Selon les statuts qui circulent sur Internet, ses buts seraient avant tout identitaires. Il s’agit de «lutter contre le radicalisme, qu’il soit politique ou religieux», de «résister contre les idéologies violentes et misogynes mais pas contre les musulmans intégrés qui vivent ici». L’association veut aussi «mettre en œuvre l’initiative UDC contre l’immigration de masse», «protéger notre culture judéo-chrétienne», «interdire la burka», ou encore «refuser des écoles d’imams.»

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Pegida : ces manifestations contre l’islamisation de l’Occident qui inquiètent la classe politique allemande

Depuis quelques semaines, un mouvement anti-immigration, Pegida («Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident»), enfle dans plusieurs villes du pays. Personne n’avait vu venir la manifestation. Lundi soir, 10 000 personnes ont protesté pacifiquement dans les rues de Dresde malgré le froid mordant « contre l’islamisation de l’Occident » à l’appel de Pegida, un mouvement inconnu voici deux mois. Ce mouvement parti de rien et échappant à tout contrôle des partis inquiète la classe politique allemande alors que le pays est confronté à un mouvement d’immigration sans précédent.

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