Le New York Times annonce qu’il écrira désormais « Black » avec une majuscule et « white » en minuscule

Le Times commencera à mettre des majuscules au mot «Black» pour décrire les personnes et les cultures d’origine africaine, aux États-Unis et ailleurs.

« (…) Ce changement correspondra à ce que de nombreux lecteurs voient ailleurs. L’Associated Press et d’autres grandes organisations de presse ont récemment adopté « Black », qui a longtemps eu la faveur de nombreuses publications afro-américaines et d’autres médias. Le nouveau style est également conforme à la manière dont nous traitons de nombreux autres termes raciaux et ethniques : Nous avons récemment décidé de mettre en majuscules les termes « Native » et « Indigenous », alors que d’autres termes ethniques comme « Asian-American » et « Latino » ont toujours été mis en majuscules. »

« Nous conserverons le traitement des minuscules pour « blanc »Bien qu’il y ait une question évidente de parallélisme, il n’y a pas eu de mouvement comparable vers l’adoption généralisée d’un nouveau style pour « blanc », et on a moins l’impression que « blanc » décrit une culture et une histoire communes. De plus, les groupes de haine et les tenants de la suprématie blanche ont longtemps favorisé le style des majuscules, ce qui en soi est une raison de l’éviter. »

« Le terme « brun » en tant que description raciale ou ethnique doit aussi généralement rester en minuscules et doit être utilisé avec précaution. Le terme « brun » a été utilisé pour décrire un éventail si disparate de personnes – latines, indigènes, asiatiques, moyen-orientales – que le sens n’est souvent pas clair pour les lecteurs. Une description plus précise est généralement préférable. »

Nytco

Via Fdesouche


Rappel :

Le nouveau règlement de Reddit (18ème site le plus visité au monde) précise que les « populations majoritaires » ne seront pas protégées contre les propos haineux

Tollé après l’embauche par le New York Times d’une journaliste accusée de racisme anti-Blancs

Nous en parlions déjà ici.

Il n'y a aucune publication dans nos médias romands à ce sujet. Naturellement.

 

 

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Une vague d'indignation a secoué les réseaux sociaux après le recrutement par le New York Times de la journaliste Sarah Jeong, épinglée pour une série de tweets racistes. Le quotidien new-yorkais a publié un communiqué pour justifier son choix.

La journaliste Sarah Jeong l'a mis en avant dans sa présentation Twitter : elle rejoint l'équipe du New York Times après avoir collaboré avec de nombreux médias comme The Verge, le Washington Post ou encore Vice. Un recrutement qui n'est pas passé inaperçu sur les réseaux sociaux, comme dans de nombreux titres de presse américains. Et pour cause, d'anciens tweets très agressifs à l'égard des Blancs postés par la journaliste de 29 ans ont refait surface.

Dans ces publications, la jeune femme américaine d'origine sud-coréenne ne cache pas sa rhétorique anti-Blancs. Elle s'est par exemple aventurée à comparer dans un tweet «les putains d'idiots de Blancs qui marquent internet avec leurs opinions» à «des chiens qui pissent sur les bouches d'incendie». Dans un autre, Sarah Jeong évoque la «logique» qui voudrait que les Blancs puissent «uniquement vivre sous terre, rampant comme des gobelins» puisqu'«ils brûlent plus vite au soleil». Par ailleurs, celle qui est désormais membre du comité de rédaction du New York Times n'avait pas hésité pas à exprimer dans le passé «la joie que [lui] procur[ait] le fait d'être cruelle avec les vieux hommes blancs».

 

Deux poids, deux mesures ?

Le compte Twitter «Garbage Human» a diffusé un message présentant plusieurs captures d'écran de tweets postés par Sarah Jeong, précisant que ces messages avaient été publiés avant l'annonce de son embauche par le célèbre quotidien américain fondé en 1851.

Parmi les nombreuses réactions d'internautes américains à cette série de tweets, certaines personnalités politiques et médiatiques n'ont pas manqué d'exprimer leur indignation.

Le racisme est-il acceptable contre les Blancs mais inacceptable contre les Noirs ?

S'adressant directement au quotidien new-yorkais, l'acteur américain James Woods a par exemple dénoncé une «comédie de haut vol» en partageant un article du site de la droite alternative, Breitbart, qui a recensé une série de tweets où Sarah Jeong critiquait le New York Times lui-même avant d'y être embauchée.

L'ancien gouverneur républicain de l'Arkansas, Mike Huckabee, a quant à lui estimé que le New York Times perdrait toute crédibilité en gardant Sarah Jeong dans sa rédaction.

L'auteur et avocat Reno Omokri a pour sa part déploré le fait que bien que le quotidien new-yorkais se soit débarrassé, six mois plus tôt, du journaliste Quinn Norton pour d'anciens tweets racistes contre les Noirs, «il embauche [aujourd'hui] Sarah Jeong, malgré ses tweets racistes contre les Blancs», et s'est ainsi interrogé : «Le racisme est-il acceptable contre les Blancs mais inacceptable contre les Noirs ?»

Un contraste également relevé par Greta Van Susteren, présentatrice de la chaîne de télévision MSNBC, qui s'est ouvertement interrogée : «Pourquoi Sarah Jeong obtient-elle un "laissez-passer" du New York Times et un autre (Quinn Norton) n'obtient-il pas le "laissez-passer" pour cause de tweets horribles ?»

D'autres, comme le lanceur d'alerte américain Edward Snowden, réfugié en Russie, ont préféré relevé la qualité journalistique de Sarah Jeong. «Les articles de Sarah Jeong ne sont pas seulement perspicaces, ils sont souvent importants», a-t-il fait savoir, relayant une publication dans The Atlantic de la journaliste spécialisée dans les technologies.

La polémique suscitée autour du recrutement par le New York Times de la journaliste avait poussé le quotidien new-yorkais à réagir rapidement, son équipe de communication ayant en effet souhaité justifier ce choix d'embauche par un texte mettant en avant «le harcèlement en ligne fréquemment subi par Sarah Jeong en raison de son origine asiatique». «Pendant un certain temps, elle a répondu à ce harcèlement en imitant la rhétorique de ses harceleurs [...] Elle le regrette et The Times ne le tolère pas», démine le communiqué, qui précise : «Sarah Jeong comprend désormais quelle rhétorique est acceptable ou pas au New York Times

RT France

États-Unis : une journaliste souhaitant « voir disparaître ces chiens de Blancs » rejoint le comité de rédaction du New York Times

Le New York Times persiste et signe, et défend l’embauche de la journaliste Sarah Jeong qui doit intégrer le comité de rédaction du journal, malgré ses nombreux tweets racistes envers les Blancs, qui ont récemment été retrouvés et mis en lumière par des internautes.

« C’est fou la joie que je ressens à être cruelle envers les vieux hommes blancs », écrit Jeong en juillet 2014 dans l’un des nombreux messages.

Le fil Twitter de Jeong est rempli d’une foule de messages pouvant être interprétés comme racistes et offensants. Jeong a comparé « les Blancs » à des chiens, a dit que « les vieux hommes blancs »étaient des « lemmings », s’est réjoui de voir « les Blancs disparaître bientôt », et a utilisé le hashtag #SupprimerLesBlancs.

« Les Blancs sont-ils génétiquement prédisposés à brûler plus vite au soleil, logiquement, ils ne peuvent vivre que dans la clandestinité », écrit-elle en 2014 avant d’ajouter un graphique affirmant que la « blancheur » était « horrible ».

 

 

Les réactions sur les réseaux sociaux ont abondé à partir de mercredi avec des images de tweets incendiaires provenant du compte Twitter de Jeong. Ils sont apparus peu de temps après que le prestigieux journal Times a annoncé que cette journaliste les rejoignait. Le Times a publié un communiqué jeudi déclarant qu’il avait passé en revue son histoire sur les réseaux sociaux pendant le processus d’embauche.

 

 

 

Fox News

L’État américain du New Hampshire est « blanc à 94% », et selon le New York Times, « il faut changer cela » en attirant « d’autres groupes ethniques »

MANCHESTER, N.H. – Catalina Celentano avait l’habitude d’organiser des sessions de formation pour les travailleurs hospitaliers à Lynn, Massachusetts, pour les familiariser avec les cultures des patients originaires du Cambodge, de Russie et de la République Dominicaine. Quand elle a déménagé dans le New Hampshire, elle s’est soudainement retrouvée dans un vide ethnique.

« (Avant de déménager dans le New Hampshire), Je parlais espagnol tous les jours mais maintenant je ne parle plus l’espagnol parce qu’il n’y a personne avec qui parler espagnol », déclare Mme Celentano, née en Colombie d’une mère colombienne et d’un père hongrois. « La seule personne avec qui j’ai parlé espagnol était une femme de ménage et elle est retournée en Colombie. »

 

 

Le New Hampshire, comme ses voisins le Vermont et le Maine, est presque tout blanc. Cela a posé un éventail de problèmes aux immigrés, qui se retrouvent souvent isolés et seuls, sans le confort et le soutien d’une communauté intégrée.

Cela a également posé des problèmes aux employeurs de ces États, qui trouvent que l’ homogénéité ethnique peut constituer un obstacle au recrutement et à la rétention de travailleurs de différentes origines ethniques et cultures.

La question a incité environ 100 chefs d’entreprise, fonctionnaires et membres d’organisations à but non lucratif à se réunir jeudi pour chercher des moyens d’attirer d’autres groupes raciaux et ethniques, ainsi que des jeunes, dans le New Hampshire – qui est blanc à 94%.

Selon eux, la diversité est devenue un impératif fondamental pour les entreprises qui se disputent les talents, en particulier les travailleurs pouvant parler d’autres langues. À l’heure actuelle, le New Hampshire est à 3% latino-américain, 2% afro-américain et 3% asiatique, selon le recensement, certaines personnes s’identifiant comme plus d’une race.

(…)

New York Times

Le New York Times diffuse les animations anti-Trump de Bill Plympton (Vidéos)

L'animateur et réalisateur Bill Plympton est connu pour son style atypique et ses projets surprenants, desMutants de l'Espace aux Amants Electriques en passant par Hitler's Folly ou La Vengeresse.

Récemment, il a animé trois petites vidéos destinées à être diffusées sur le site du New York Times et visibles plus bas. Ce projet, Trump Bites, est une satire politique (Christian Hofer : l'excuse éternelle de la gauche pour dénigrer les gens tout en employant les méthodes les plus abjectes). Des propos de Donald Trump bien réels sont illustrés par des animations qui le mettent en scène dans des situations souvent absurdes.

Bill Plympton et son équipe ne comptent pas en rester là, et aimeraient crééer au moins une douzaine d'autres épisodes. Pour y parvenir, il faudra cependant trouver de quoi rémunérer l'équipe : production, scénario, coloriste, compositing, montage, sound design.

L'équipe a opté pour une campagne de financement participatif, et espère récolter un peu plus de 50 000€ d'ici un mois.

Comme souvent, les personnes qui soutiendront le projet disposeront de quelques bonus : informations sur l'avancée du projet, impressions signées par Bill Plympton, Blu-Ray avec autographe ou même un dessin de Trump dessiné et signé spécialement pour vous.

Voici pour finir la vidéo de présentation de la campagne, suivie des trois vidéos déjà produites :

 

 

 

 

Source Source2

Nos remerciements à Devoir de précaution

Le stratège de Trump : « les médias devraient fermer leur gueule »

   
Michel Garroté - Comme déjà signalé sur Les Observateurs, Steve Bannon, le conseiller en stratégie du président Trump, a affirmé, au gauchisant New York Times, que les médias, qui représentent l'opposition, ont été humiliés par la victoire de Trump et devraient se taire. De son côté, Donald Trump a repris, le jeudi 26 janvier sur Fox News, sa riposte aux journalistes : « La plupart des médias, pas tous, sont très, très malhonnêtes. Honnêtement, c'est des fausses infos. C'est faux. Ils inventent des trucs ».
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Le même jour, son conseiller stratégique Steve Bannon, ancien directeur du site Breitbart News, a lui aussi riposté à la presse dans une interview au quotidien de gauche New York Times : « Les médias devraient avoir honte, être humiliés, fermer leur gueule et juste écouter un peu. Je veux que vous citiez ça. Les médias sont le parti d'opposition. Ils ne comprennent pas ce pays. Ils ne comprennent toujours pas pourquoi Donald Trump est président des Etats-Unis ».
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Il est vrai que la très grande majorité des journalistes américains (et européens) dénigre Donald Trump, sept jours sur sept, avec une hystérie et un acharnement sans précédent. La haine médiatique envers Trump frise "l'appel au meurtre", comme si dans leur fort intérieur, les journalistes rêvaient qu'un sniper "déséquilibré" décide d'assassiner le nouveau président.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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La gauche caviar veut encore « invalider » la victoire de Trump

   
Michel Garroté - Le collège électoral américain, composé de 538 Grands électeurs, doit confirmer, ce lundi 19 décembre 2016, le Républicain Donald Trump au poste de président des Etats-Unis. Ce vote ne devra pas modifier le scrutin, puisque le candidat républicain a été largement élu, avec 306 votes acquis, alors qu'il suffit de 270 pour l'emporter. Sa rivale Hillary Clinton n'a obtenu que 232 grands électeurs. Le vote de ces grands électeurs est une pure formalité et passe normalement inaperçu.
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Sauf que, détail aberrant,  les anti-Trump veulent convaincre 37 grands électeurs du Parti républicain "d'abandonner leur candidat". Bravo aux anti-Trump qui ne respectent pas le résultat des urnes, qui ne respectent pas le processus démocratique et qui espèrent encore "invalider" la victoire du Républicain Trump.
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Décidément, la gauche caviar américaine  et la "Grande presse" new-yorkaise et californienne  --  montre, une fois de plus, son vrai visage : elle se fiche de la démocratie et elle veut diriger elle-même le pays.
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Dans l'hypothèse - improbable - où les anti-Trump parviendraient à leurs fins, il reviendrait à la Chambre des représentants de désigner le successeur de Barack Hussein Obama. Si tel devait être le cas, le scandale serait évidemment de taille, mais la Chambre des représentants étant majoritairement aux mains des Républicains, Donald Trump l'emporterait tout de même. Les résultats seraient alors officiellement annoncés par le Congrès le 6 janvier. Quoi qu'il en soit, Trump entrera en fonction le 20 janvier 2017.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Le New York Times s’excuse et reconnaît avoir été malhonnête avec Trump

Dans une lettre à ses lecteurs, l’éditeur du New York Times Arthur Sulzberger Jr. s’excuse que l’icône emblématique du journalisme de gauche ait été malhonnête dans sa couverture de la campagne de Donald Trump.

«Nous entendons nous recentrer sur la mission fondamentale du journalisme du Times promet Sulzberger, et qui consiste à rapporter honnêtement ce qui se passe en Amérique et dans le monde, sans crainte ni faveur.» [...]

Dans sa lettre, Sulzberger le reconnaît, en promettant à ses abonnés que désormais son «journal va s’efforcer de comprendre toutes les perspectives politiques». [...]

La lettre aux abonnés est signée par Sulzberger et le directeur exécutif du journal, Dean Baquet, car le quotidien new-yorkais a été durement touché dans sa réputation et au portefeuille lorsqu’il a, par exemple, inventé les premières histoires de femmes se plaignant de Donald Trump, lesquelles, dès le lendemain, téléphonaient aux radios du pays pour dire qu’elles n’avaient jamais dit ça au journaliste, et qu’au contraire avaient couvert Trump de compliments !

Sulzberger conclut en promettant «vous pouvez comptez sur le New York Times pour couvrir avec honnêteté et indépendance le nouveau président et son équipe.» [...]

Dreuz.info

Réaction de Donald Trump :

Le président élu des Etats-Unis Donald Trump s’est abondamment exprimé dimanche sur Twitter, malgré sa promesse d’utiliser plus modérément les réseaux sociaux, pour y critiquer notamment le «New York Times», qu’il juge «malhonnête». [...]

« Ouah, le @nytimes perd des milliers d’abonnés à cause de sa couverture très mauvaise et hautement imparfaite du « phénomène Trump » », a-t-il écrit. [...]

Le directeur du quotidien Arthur Sulzberger a promis de couvrir «de manière juste» et «impartiale»la présidence de Donald Trump, ce que ce dernier a considéré sur Twitter comme des «excuses pour leur MAUVAISE couverture» de sa campagne.

ajoutant: « je me demande s’il va changer – Vous en doutez ? »

 

Direct Matin via Fdesouche.com

Le NYT et Reuters se payent le prix Pulitzer

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La remise des prix Pulitzer, récompenses mondaines du journalisme gauchiste et des arts loupés (photos politiquement correctes, voire même bidouillées, etc.), a donc eu lieu à New York. Deux prix ont été décernés dans la catégorie photo 'Breaking news', les deux prix distinguant des reportages portant sur l'invasion massive de "migrants" musulmans. Quatre photographes "engagés" du torchon gauchiste (torchon certes, mais version caviar tout de même) 'New York Times' (NYT) sont ainsi "récompensés" pour leur "travail" sur les "réfugiés".
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Un autre prix Pulitzer photo 'Breaking News' va aux équipes photo de l'agence de presse islamo-britanique Reuters (l'équivalent anglais de l'officine de propagande islamophile et palestinophile AFP) qui ont, paraît-il, suivi des migrants mahométans dans un "voyage incertain de centaines de kilomètres" (waouhhh... à pied ?), voyage qui, nous dit-on, serait une conséquence de la guerre en Syrie tout simplement (et si ces migrants ne sont pas toujours syriens, ça ne fait rien).
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Michel Garroté
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http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/21755-pulitzer-photographes-times-reuters-voient-decerner.html
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Bush père tue son fils George Walker



Lors d’une série d’entretiens avec le journaliste d’extrême-gauche John Meacham, George Herbert Walker Bush, en clair, le père Bush, qui n’est plus tout jeune et dont la santé physique et mentale est précaire, affirme - ou allègue - que l’ancien vice-président Dick Cheney aurait construit « son propre empire » à la Maison-Blanche.

Et le père Bush affirme - ou allègue – que Cheney aurait exercé une trop grande influence au sein de l’administration de son fils, Georges Walker Bush, dans la promotion d’une « ligne dure » en matière de politique étrangère. Dick Cheney, comme Georges W. Bush fils et John Bolton, sont depuis toujours les trois « bêtes noires » de la gauche américaine et européenne. Ce qu’en dit Bush père n’est donc pas nouveau.

George Walker Bush lui-même n’échappe pas aux critiques de son père George Herbert Walker Bush. Ce dernier lui reproche sa rhétorique, notamment lorsqu’il a regroupé l’Irak, l’Iran et la Corée du Nord dans un « axe du mal ». Bush père, sur ce point également, partage donc le point de vue de la gauche et de l’extrême-gauche, bien qu’il soit Républicain.

Le fait est qu’en 2003, l’Irak, l’Iran et la Corée du Nord représentaient effectivement une menace létale, existentielle, pour un certain nombre de pays. A supposer que l’intervention américaine en Irak, sous Bush fils, en 2003, fut une erreur, ce fut une erreur encore plus grande, de la part d’Obama, de retirer les troupes prématurément en 2008 (Bush fils voulait une région autonome chrétienne dans le secteur irakien de Ninive ce que personne ne dit).

Cela dit, en 2015, la donne a changé : Obama n’est absolument pas notre allié ; la Russie et la Syrie, en revanche, sont nos alliées, au moins tactiques à court terme, voire plus. Israël l’a compris depuis longtemps. L’Union européenne commence tout doucement à comprendre.

« Une rhétorique enflammée peut inspirer des manchettes mais ne règle pas nécessairement le problème diplomatique », ajoute Bush père dans sa confession intime au révérend John Meacham, dont la biographie de George Herbert Walker Bush, « Destiny and Power : The American Odyssey of George Herbert Walker Bush », est en voie d’être publiée.

Bush père se montre également critique dans la façon dont son fils Georges Walker a géré sa relation avec son vice-président, Dick Cheney. « La grande erreur aura été de laisser Cheney choisir son propre monde au département d’État. Je pense qu’ils ont été trop loin. Mais ce n’est pas la faute de Cheney. C’est la faute du président », donc la faute à son fils Georges, raconte Bush père.

C’est le très gauchiste New York Times qui sert de relai à John Meacham et à son livre « Destiny and Power : The American Odyssey of George Herbert Walker Bush ». La gauche caviar américaine a donc utilisé le vieux Bush pour enfoncer, une fois encore, Bush fils et Dick Cheney.

Alors que Jeb Bush, sauf erreur de ma part, est candidat aux primaires du Parti Républicain. C’est tout le problème avec Bush père : il n’a jamais eu le courage d’aller jusqu’au bout ; il s’est toujours laissé influencer, manipuler et intimider par les lobbies de gauche.

Et maintenant que Bush père est sénile, John Meacham lui fait dire ce que la gauche américaine a envie de lire. N’acheter pas « Destiny and Power : The American Odyssey of George Herbert Walker Bush ». Lisez plutôt (sur les sites Internet de la droite américaine décomplexée) ce que dit et écrit Donald Trump (dont la presse de gauche néo-kagébiste, américaine et européenne, déforment systématiquement les propos).

Michel Garroté

http://www.nytimes.com/2015/11/05/us/politics/elder-bush-says-his-son-was-served-badly-by-aides.html?ref=politics&_r=1

http://blogues.lapresse.ca/hetu/2015/11/05/george-bush-pere-fustige-cheney-et-rumsfeld/