Cenator : Comme devant toute manifestation du délabrement moral, nous sommes amenés à nous interroger :
Comment être encore fiers de notre civilisation occidentale ?
Comment est-il possible que l’Occident soit tombé si bas ?
À quelle frange de la population s'adressent ces mesures ?
Le fait même qu’un avertissement pareil soit devenu nécessaire, qu’il faille signifier aux voyageurs qu’ils ne peuvent plus satisfaire leurs petits et gros besoins dans le métro nous fait nous demander : que se passait-il avant ?
Est-ce que la population américaine s’interroge sur les raisons pour lesquelles les métros d’autres métropoles, comme Moscou, Pékin, Singapour, Prague, Budapest... sont propres, sans graffitis, sans déchets et qu’il n’est même pas pensable que les usagers se soulagent dans cet espace?
Et si New-York se retrouve dans cet état de délabrement sous la gouvernance du Démocrate Bill de Blasio, est-ce que les gens vont encore gober la propagande anti-Trump diffusée par la majorité des médias américains ?
Avec tout le vandalisme, les destructions et les meurtres que les BLM et les Antifa ont semés durant 2020, est-ce que les médias de gauche imaginent que leur propagande va suffire à empêcher les électeurs de réfléchir et de réélire Trump ?
Et si Trump est réélu, est-ce que nos médias en Suisse romande seront capables de comprendre la décision du peuple américain ? Nous avons des doutes.
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Daily Wire, 23.09.2020
Le conseil du métro de New York a voté sur l’interdiction officielle de déféquer dans les transports publics de la ville. Il craint que ce genre de souillure ne facilite la propagation du coronavirus, et constate que les équipes passent davantage de temps à nettoyer les wagons, rapporte le New York Post [19.09.2019].
[M. à j. : lors du vote, le nouveau règlement été accepté à l’unanimité.]
[…]
En théorie, comme le note le New York Post dans un autre article [22.09.2020], la grosse commission est déjà interdite dans le règlement antérieur, qui prévoit une amende de 100 dollars pour quiconque « crée une nuisance, un danger ou une condition insalubre (comprenant, mais sans s’y limiter, le fait de cracher ou d’uriner) ». Mais le nouveau règlement mentionnera la défécation explicitement.
La MTA (la société qui exploite le métro) avait déjà émis en avril une interdiction temporaire de la défécation, quand le gouvernement de la ville de New York a publié une série de nouvelles règles visant à prévenir la propagation du Covid-19. À l’époque, l’État de New York détenait le triste record national pour la prévalence du coronavirus, et la plupart des personnes infectées vivaient ou travaillaient à New York. Une étude du MIT avait conclu que le métro de New York fonctionnait comme un « super-propagaateur » du virus. […]
Quand la ville a levé ses restrictions liées au coronavirus, la situation des « métros souillés » s’est aggravée. Les plaintes à ce sujet se sont accumulées, les usagers mécontents signalant plus souvent des voitures souillées par des déchets, des restes de nourriture et des déjections humaines […].
La MTA a indiqué que ce n’était peut-être pas la situation qui avait empiré, mais les usagers qui y étaient plus sensibles à cause de la crainte du coronavirus.
Faute de pouvoir identifier précisément les auteurs des souillures (« ce ne sont pas seulement les SDF, c’est tout le monde »), la MTA a décidé que l’interdiction de la défécation dans les transports publics devait simplement être rendue plus explicite.
« Le règlement de la MTA est modifié périodiquement pour en améliorer la clarté, et c'est le cas ici », a déclaré le porte-parole. […]
Source : Daily Wire
Commentaire, traduction libre: Cenator