Des professeurs d’Oxford qualifient la notation musicale de « colonialiste »

Selon eux, les programmes se concentrent trop sur la « musique européenne blanche de la période de l'esclavage ».

Il y a un an, Les Indes galantes de Rameau (sur un livret de Fuzelier) s'attiraient les foudres d'un critique new-yorkais : comment pouvait-on aujourd'hui jouer cette œuvre, quand bien même elle ne serait pas apologie du colonialisme et de l'esclavage, puisque toutes les œuvres de Rameau « reposaient sur la richesse produite grâce aux forces jumelles de l'esclavage et du colonialisme » ? Aujourd'hui, l'université d'Oxford va plus loin : c'est l'ensemble des programmes de musique qui est accusé de « complicité avec la suprématie blanche ». Des sources auxquelles a eu accès le quotidien britannique The Telegraph indiquent ainsi que, dans la mesure où le répertoire actuel est axé sur « la musique européenne blanche », les compétences musicales comme jouer du piano ou diriger un orchestre ne devraient plus être obligatoires. Elles seraient en effet l'objet d'une « grande détresse pour les élèves de couleur ». Il conviendrait aussi d'introduire davantage de diversité dans les musiques enseignées.

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Diapasonmag.fr

Nos rockers se revendiquent de droite: “La Suisse est trop à gauche”

Nos remerciements à 

Christian Hofer: Bien évidemment, on n'évitera pas le pseudo spécialiste (invité par la RTS qui démontre encore son total manque de neutralité) utilisant les mots de la gauche "droite décomplexée", "racisme" et autre rhétorique limitée au lieu de reconnaître que les peuples européens en ont plus qu'assez de l'immigration de masse. Un déni qui confine à la maladie.

Allemagne

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Ces rockers alémaniques qui s’affichent clairement de droite

La Suisse est trop à gauche, déclarait récemment le chanteur bernois Gölä dans la presse alémanique. Comme lui, d'autres stars pop-rock outre-Sarine ne cachent plus leurs affinités pour la droite populiste.

 

Source

En Ontario, des musulmans refusent que leurs enfants suivent les cours de musique obligatoires

«Nous ne faisons aucun compromis sur les commandements et principes clairs transmis par le prophète», a déclaré M. Ingar, qui dirige l'Association musulmane de Scarborough.

«M. Dasu […] a insisté pour que ses enfants soient exemptés des cours de musique, en invoquant la perspective de poursuites en justice et la liberté de religion garantie par la Charte canadienne des droits et libertés.»

(Globe and Mail) - Quand les cours de musique commenceront cette semaine à l'école primaire Donwood Park de Toronto, Mohammad Nouman Dasu enverra un membre de sa famille chercher ses trois jeunes enfants pour les ramener à la maison pendant une heure plutôt que de les laisser chanter et jouer des instruments de musique. M Dasu croit que l'enseignement de la musique, qui est obligatoire en vertu du programme scolaire de l'Ontario, contrevient à sa foi musulmane.

L'école de Scarborough et la Commission scolaire du district de Toronto ont d'abord proposé un accommodement : les enfants ne seraient pas totalement exemptés des cours mais pourraient taper des mains au lieu de jouer des instruments, ou écouter des versions a cappella du Ô Canada.

Selon des documents obtenus par le Globe and Mail, certains parents insistent qu'ils ne peuvent permettre à leurs enfants d'être dans une pièce où des instruments de musique sont joués. M. Dasu, qui enseigne le coran et conduit parfois la prière à la mosquée Jam'e Abu Bakr Siddique de Scarborough, dit qu'il a mené la lutte au nom des parents. Il a consulté des organismes islamiques nationaux, et a demandé une lettre au responsable de sa mosquée. «Nous croyons que la musique est haram [interdite]. Nous ne pouvons ni l'écouter ni en jouer», a déclaré l'imam de la mosquée, Kasim Ingar.

M. Dasu, qui dit représenter un grand nombre de parents touchés par cette question à l'école concernée, a insisté pour que ses enfants soient exemptés des cours en invoquant la perspective de poursuites en justice et la liberté de religion garantie par la Charte canadienne des droits et libertés. [...]

Source et article complet

Suède : 35 filles âgées de 12 à 17 ans agressées sexuellement par des migrants lors d’un festival de musique

Christian Hofer: A noter la phrase bien-pensante par excellence, sortie par la victime, qui démontre à quel point nos sociétés ont fait de nous des cibles parfaites, des moutons face à ces migrants:

«C'était probablement des migrants. Je déteste dire ça. Mais c'est la vérité », déclare-t-elle.

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«Il m'a attrapé, puis a touché mes organes génitaux. Les filles pleuraient partout » Une adolescente de 17 ans raconte l'horreur après qu'une foule de jeunes étrangers "agresse sexuellement 35 femmes, dont des filles de 12 ans au festival de musique suédoise"

  • Selon la police, les attaques se sont produites au cours du festival « Party in the Park ‘
  • Les autorités ont déclaré que les auteurs sont des "jeunes hommes étrangers"
  • Les agents ont arrêté deux garçons vivants dans un centre d’asile à proximité
  • Une victime, Alexandra Larsson, 17 ans, a renoncé à l’anonymat pour décrire son calvaire

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Elle déclare qu'elle pensait que le problème se répandrait "parce que les attaquants savent qu'ils ne seront pas pris."

«J' en ai parlé avec mon père et mes trois frères. Ils ont tous été dévastés quand ils ont entendu parler de ce qui était arrivé. Surtout mon père qui m'a dit que les hommes normaux savent qu'ils ne sont pas autorisés à toucher les femmes qui ne veulent pas être touchées. Il ne peut pas comprendre la morale que ces garçons doivent avoir.

Daily Mail

Bruxelles : des élèves musulmans refusent de participer aux cours de musique ou de natation

Les écoles de Bruxelles doivent souvent faire face, ces derniers temps, aux comportements de plus en plus religieux d’élèves musulmans.

Jacky Goris, directeur des écoles flamandes de Bruxelles, tire la sonnette d’alarme. « Ces derniers jours, nous recevons beaucoup de signaux inquiétants de nos écoles, peut-être en raison du Ramadan ».

Les élèves de première année du cycle secondaire [12-13 ans, NdT] refusent de participer aux cours de chant et de musique, considérés comme « haram » (interdit). «Si l’école leur dit qu’ils doivent y aller parce que c’est obligatoire, ils pleurent. Ils ont peur que le diable n’apparaisse dans la classe ».

Il n’y a pas que les adolescents qui sont récalcitrants, mais également les jeunes enfants. À l’école primaire, ils refusent d’aller aux cours de natation, parce qu’ils doivent jeûner pendant le Ramadan, et ne veulent pas risquer d’avaler de l’eau.

« C’est nouveau de voir des enfants de onze ou douze ans faire le Ramadan » affirme Goris. « Ce n’est pas nécessaire selon les règles islamiques officielles, nous ont assuré des experts »

Le phénomène se produit dans les écoles de Schaerbeek, Molenbeek-Saint-Jean et Anderlecht. « Les arguments utilisées par les enfants sont étrangement identiques», explique Jacky Goris. Cela l’a alerté sur l’origine du problème. « Ces enfants en entendent parler dans les écoles coraniques de l’ombre, des organisations à but non lucratif où l’on ne sait pas qui vient prêcher. Ils sont apparemment endoctrinés. » [...]

Traduction Fdesouche

De Standaard

Taylor Swift accusée de racisme parce qu’il n’y a pas assez de personnes noires dans son clip

Taylor Swift accusée de racisme à cause de son dernier clip

La dernière vidéo de la chanteuse, illustrant le titre Wildest Dreams, est accusé par certains journalistes de présenter une version "glamour de l'Afrique coloniale fantasmée par les Blancs."

Dévoilé il y a quelques jours, le clip de Wildest Dreamsmontre le tournage d'un film en Afrique, dans des décors somptueux, avec deux acteurs blancs qui sont également amants. Problème : cette vidéo, dans laquelle les personnes de couleur sont quasiment absentes, est accusée par certains éditorialistes de promouvoir un "cliché fantasmé" et dérangeant du "colonialisme blanc". En clair, la jeune femme est accusée de racisme par certaines voix.

Micro trottoir de France-Musique (années 70-80)

NDLR : A ne pas manquer

Dans les années 70 et 80, le journaliste Gérard Pabiot court les rues de France, micro à la main, pour tester la culture des passants, ce qui réserve parfois quelques surprises.

Le refrain du « c’était mieux avant » revient souvent pour parler de la culture musicale des Français. Ces deux vidéos de micro-trottoir nous prouvent - non sans humour – qu’en définitive, nous n’avons rien à envier aux connaissances de nos aînés.

Suite et autres vidéos ICI

 

Merci à Jérôme