« Procès de la violence machiste » : ou l’art de mettre sur le dos des hommes un crime odieux commis par la diversité

TDG, 24 heures, Le Matin Dimanche :

« Le procès de la violence machiste se tient mardi »

L’agression de cinq femmes à la sortie d’une boîte de nuit en été 2018 avait choqué. Un procès s’ouvre cette semaine en France. La défense plaide l’acquittement, au grand dam des victimes.

Julien Culet - extrait: « La violence et la gratuité de l’agression commise en vieille ville de Genève en août 2018 avaient choqué la Suisse. Le procès doit apporter un épilogue à cet épisode de brutalité misogyne et lâche, les faits ayant débuté parce que l’une des femmes avait refusé les avances d’un des auteurs. Les débats auront lieu mardi et mercredi à Thonon-les-Bains. L’audience se déroulera en France car les accusés sont Français et ont été arrêtés dans leur pays. [...] »

Résumé : Le journaliste Julien Culet parle de violence « machiste ». La réalité ne peut pas être dite à cause des origines de ces criminels, ce qui rend cette affaire criminelle gravissime, doublement indicible.

Nous nous rappelons que quatre hommes domiciliés en France voisine, entre 22 et 26 ans, ont tabassé gratuitement quatre femmes avec une violence inouïe et sans autre raison évoquée que le fait qu’une des femmes aurait refusé les avances d’un de ces criminels. Il lui a alors boxé le visage avec une telle violence qu’elle s’est retrouvée à terre évanouie. Puis trois femmes qui avaient été témoins de la scène sont accourues pour aider la victime.
Cela a déclenché un déchaînement de violence extrême de la part des quatre richesses : coups de pied donnés dans la tête avec élan, coups de béquille et de matraque sur la tête et le visage de ces femmes. L’une d’elles a été emmenée à l’hôpital entre la vie et la mort, elle a dû subir une intervention au cerveau, a été plongée dans un coma artificiel et restera handicapée à vie à cause de séquelles irréversibles.

Maître Assaël dit que les coups de pieds dans la tête ont été donnés comme on tire un penalty.

L’avocat du principal accusé, Me Fadila Tabani-Surmont, nie que son client ait participé au lynchage.
Les quatre accusés ont déjà tous eu à faire avec la justice ; le plus jeune, 22 ans, cumule douze condamnations (bien entendu, l’article ne donne pas plus de détails sur les crimes précédents).

Ils plaident tous l’acquittement, ce qui était tout à fait prévisible, même pour celui qui a laissé son ADN derrière les ongles d’une de ses victimes.

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Voir aussi :

https://lesobservateurs.ch/2018/09/23/apres-le-drame-des-femmes-tabassees-place-a-la-recuperation/

https://lesobservateurs.ch/2018/08/12/agression-de-geneve-le-blick-donne-la-description-de-lagresseur-cest-un-jeune-dorigine-maghrebine/

https://lesobservateurs.ch/2018/08/16/yvan-perrin-lagression-de-geneve-a-ete-un-revelateur-de-lhypocrisie-de-gauche/

https://lesobservateurs.ch/2018/08/17/apres-lagression-de-geneve-les-femmes-socialistes-vont-faire-une-campagne-de-prevention-mais-refusent-devoquer-la-nationalite-des-agresseurs/

https://lesobservateurs.ch/2018/08/31/geneve-pour-un-verre-refuse-il-frappe-plusieurs-femmes/

https://lesobservateurs.ch/2018/10/19/geneve-les-suspects-contestent-avoir-tabasse-les-jeunes-femmes/

https://lesobservateurs.ch/2019/08/13/la-criminalite-et-la-violence-notamment-contre-les-femmes-ont-une-cause-les-individus-non-integres/

https://lesobservateurs.ch/2019/07/10/pour-la-tribune-de-geneve-la-gauchiste-carola-rackete-qui-viole-les-lois-italiennes-est-un-symbole/

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Cenator : Le féminisme, tel qu’il est diffusé actuellement par la bien-pensance, a redéfini le sens des genres, le patriarcat, et bien sûr également le terme « macho ».
Jadis le macho rêvé était l’homme viril,  qui ose faire la cour à une femme, qui lui donne le sentiment d’être capable de la défendre, de lui faire des enfants, de remplir un rôle de chef de famille, ou plus simplement un homme « classe », courtois, celui qui aide une femme à mettre son manteau et lui tient la porte.
Autrefois ouvertement salué, le macho était l’amoureux entreprenant, auquel les femmes avaient de la peine à résister, au même titre que les hommes avaient de la peine à résister aux femmes fatales. C’était le temps où les hommes pouvaient encore représenter la force, la capacité de décision, l’amour courtois et la puissance sexuelle.

Bien sûr, il y avait également l’image du macho imparfait, le latin lover parfois lourdaud, qui essayait de séduire, puis souvent ratait son coup, mais il restait toujours bon perdant, toujours gentleman, fier malgré tout d’être un homme qui ose mettre au défi son charme.

Puis les féministes postmodernes sont arrivées. Avec leurs revendications pour la non-différentiation sexuelle, la féminisation de la société, le cortège des études de genre, une volonté d’imposer une vision anti-patriarcale et anti-capitaliste du féminisme, puis la mode hollywoodienne #me too, le macho est devenu le misogyne à abattre, le phallocrate sexiste, coupable des injustices et des inégalités sociales, ou pour les plus subtiles, un détraqué qui refoule sa féminité.
La masculinité à combattre est le corollaire du culte des minorités LGBT, dans une guerre totale livrée par tous les moyens contre l’homme blanc pour le rendre stérile.

Tous ces déversements idéologiques ne sont jamais critiqués par nos médias, ni par nos milieux académiques, bien au contraire.

Le couronnement est arrivé en 2019, avec des méthodes de manipulation mentale extraordinaires, pour déployer une manifestation qui a atteint des proportions jamais connues en Suisse, la Grève des femmes. Des slogans appelaient à l’instauration du matriarcat, à la castration, la vulgarité anti-masculine était sans retenue.
Le défilé avait duré toute la journée en Suisse romande, avec une couverture médiatique incroyable. Les médias et leurs spin doctors ont reformaté l’esprit de la population : désormais, il est admis qu’il y a un grave problème avec les hommes en Suisse.
Le macho est devenu celui qui diffuse une masculinité toxique, recourant à la violence physique sur les femmes pour les dominer, le violeur domestique, le harceleur sexuel, quelqu’un qui abuse de son pouvoir octroyé par une société patriarcale et capitaliste.

Ici, avec l’article de Julien Culet, nous franchissons un nouveau palier dans la définition du macho. Le macho devient celui qui tabasse à mort des femmes, qui leur boxe le visage et leur donne des coups de pieds lorsqu’elles sont déjà en sang, à terre et inconscientes, juste parce qu’il a essuyé un refus à ses avances.

Dès les premiers articles parus sur cette agression, comme cela se passe dans nos médias avec la plupart des faits divers de ce genre, la réalité a été réinterprétée avec la vision idéologique de la Gauche. Tout a été fait pour éviter de parler de l’origine de ces criminels, qui a été longtemps cachée à la population.

Et si les journalistes cherchent à nier la réalité au lieu d’informer le public, n’est-ce pas une incitation de leur part à ce que ces criminels nient également avoir commis ces actes abjects et se trouvent des excuses ?