L’attitude schizophrénique des médias conventionnels envers les « théories du complot »

Nos lecteurs nous communiquent

Internet est l’autoroute de l’information du bien comme du mal car sur le net, tous les contenus sont équivalents et les contenus dignes de confiance se disputent l’attention parmi toutes sortes de désinformations. Entre autres, les théories du complot et les médias alternatifs colporteurs sont largement répandus dans les profondeurs du net.

Rumeurs, propagande et autres embobinages du net sont devenus un problème tellement sérieux que le Forum économique mondial, qui se consacre à la surveillance de l’état du monde, l’a qualifié de plus grande menace pour les sociétés modernes aux côtés du terrorisme et de la cybercriminalité.

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Hollande annonce une “police de l’internet” chargée de la censure générale de l’expression publique

Le gouvernement socialiste mené par François Hollande et l’ambassadeur d’Israël ont annoncé ce jour la création d’une “police de l’internet” en charge de la censure du Web français.

Seront ciblés les publications désignées par l’Etat comme “racistes”, “antisémites” ou critiques à l’égard de l’islam ou des musulmans. C’est-à-dire toute forme d’opposition et de résistance identitaires. La mise en oeuvre de cette censure, identique à ce qui se pratique en Chine communiste, vise à imposer l’immigration de peuplement et à interdire toute critique du sionisme. Elle vise aussi à donner à la gauche socialiste les moyens de réprimer leurs opposants, devenus très majoritaires dans l’opinion.

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Harlem Désir à l’ONU réclame la censure mondiale d’Internet

L’ex-patron de SOS Racisme reconverti en pâle politicien socialiste s’est trouvé un nouvel hochet en tant que secrétaire d’Etat français aux Affaires européennes. Hier, il a pris la parole lors d’une session spéciale de l’assemblée générale de l’ONU consacrée… à l’antisémitisme. Harlem Désir est venu y plaider en faveur d’un « nouveau cadre juridique » permettant la censure mondiale d’internet.

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Belgique : Une douche et internet dans chaque cellule de prison [+vidéo]

Toutes les cellules de prison seront équipées, à terme, d'un téléphone ou d'une connexion internet ainsi que d'une douche. Et ce tant dans les anciens établissements pénitentiaires que dans les nouveaux, rapportent lundi Het Nieuwsblad et Gazet van Antwerpen.

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Ci-dessous le sujet dans "Le Journal RTL TVI"

 

“Pousse ton cri” : un nouveau site antiraciste

Les internautes sont appelés à crier contre le racisme sur un site ouvert mardi par quatre associations, qui ne veulent pas abandonner internet aux discours de haine.

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La campagne, portée par la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme (Licra), SOS Racisme, le Mrap et l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), est financée par Google.

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Google scanne tout le contenu des messageries Gmail

La nouvelle a de quoi étonner : un pédophile a été arrêté grâce à Google. A priori, on ne peut qu’applaudir à la mise sous les verrous du consommateur d’images pédopornographiques. Mais après quelques minutes de réflexions, il y a lieu de se demander quel a été le rôle de Google. Et là, c’est tout de suite plus inquiétant. En fait, Google scanne tous les e-mails des messageries Gmail. C’est ainsi que Google a pu identifier le contenu pédopornographique d’images trouvées dans la messagerie Gmail du détraqué sexuel.

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Cela devrait sembler évident mais rien n’est vraiment gratuit. Les utilisateurs de Google et Gmail acceptent distraitement des conditions générales qui précisent que Google se réserve le droit de prendre connaissance et d’utiliser les données des utilisateurs de ses services.

L’objectif est d’établir un profilage pour adapter et personnaliser les annonces publicitaires qui vont accompagner l’internaute. Mais combien d’internautes se rendent compte qu’ils ont accepté ainsi d’abandonner toute vie privée, livrant toutes leurs données aux méga-robots de Google…

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La France en route vers la censure d’Internet

Le pays des Lumières, havre des libertés, met en place petit à petit un système de blocage administratif des sites web, sans intervention de la justice.

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C'est le genre d'article qu'on espérait ne jamais devoir écrire... Les députés ont voté mardi soir en commission des Lois le blocage administratif de sites faisant l'apologie du terrorisme, et ce, sans intervention de la justice. L'Assemblée devra se prononcer en plénière mi-septembre sur l'ensemble du projet de loi de lutte contre le terrorisme. Si le but est évidemment louable, la mesure est largement critiquée, dans la droite ligne des blocages prévus pour lutter contre la pédopornographie.

Coprésidée par le député socialiste Christian Paul et l’avocate Christiane Féral-Schuhl, la commission explique notamment que le blocage des sites est très difficile à mettre en oeuvre. Mais le projet est bien parti pour être validé en septembre, d’autant qu’il est très cher au Premier ministre Manuel Valls, qui avait déjà fait un pas dans cette direction lorsqu’il était Place Beauvau.

Quelques heures avant le vote, une commission spécialisée avait durement contesté le projet du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve. Dans sa recommandation, cette commission de réflexion sur le droit et les libertés à l’âge du numérique, créée en février pour éclairer les parlementaires sur ces questions, rappelle que « le préalable d’une décision judiciaire apparaît comme un principe essentiel, de nature à respecter l’ensemble des intérêts en présence, lorsque est envisagé le blocage de l’accès à des contenus illicites sur des réseaux numériques ». […]

La commission craint par ailleurs les blocages de contenus par erreur, c’est-à-dire l’inscription sur la liste noire de sites n’ayant rien à voir avec le terrorisme ou la pédopornographie, comme cela a été prouvé, par exemple en Australie.

Comme c’est le cas dans les pays pratiquant déjà la censure d’Internet, la commission craint un contournement facile du blocage. Et c’est une crainte plus que fondée ! L’utilisation par les internautes de réseaux privés virtuels (VPN), par exemple, leur permet – en quelque sorte – de se connecter de façon chiffrée via le réseau d’un autre pays et donc d’échapper aux blocages décidés par un État ou par un autre. Ces services, qui coûtent quelques euros par mois et rapportent gros à leurs créateurs, sont souvent étrangers, et parfois fournis par des réseaux mafieux. Leur utilisation a explosé en France depuis la mise en place du gendarme du piratage, la Hadopi. […]

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Obsessions de la RTS: Cacher l’identité des criminels, brider la liberté d’expression…

Et comme à l'accoutumée, l'organe médiatique de gauche donne la parole à... un socialiste:

La publication sur Facebook du nom de l'assassin de cette jeune fille, retrouvée morte à Belmont-sur-Lausanne vendredi, relance la question de la liberté d'expression sur internet et sur les réseaux sociaux. Faut-il plus de contrôle et de sanctions et comment peut-on contrôler?

Débat entre Jean-Christophe Schwaab, conseiller national socialiste vaudois, et Stéphane Koch, spécialiste d'internet et des médias sociaux.

http://youtu.be/rqvbp3yLJco
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