Comment l’Open Society de George Soros et Microsoft de Bill Gates financent le Conseil de l’Europe

Directeur de l’European Center for Law and Justice, le docteur en droit Grégor Puppinck dénonce la perméabilité du Conseil de l’Europe aux financements privés. L’indépendance politique de cette organisation est mise en cause. Entretien.

Valeurs actuelles. Six mois après avoir révélé le scandale Soros à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), vous montrez à présent que le Conseil de l'Europe dont dépend la CEDH a lui-même été financé par l’Open Society et Microsoft.
Grégor Puppinck. 
Effectivement, à la lecture des rapports financiers annuels du Conseil de l’Europe, il apparaît que l’Open Society de George Soros et Microsoft de Bill Gates sont les deux plus gros donateurs privés de l’organisation. Ces deux organisations ont donné respectivement au Conseil de l’Europe près de 1 400 000 euros entre 2004 et 2013 et près de 690 000 euros entre 2006 et 2014. L’Open Society soutient par ailleurs des initiatives du Conseil de l’Europe, notamment l’Institut européen des arts et de la culture roms. Depuis 2015, il n’y a plus trace de ces financements directs, en revanche, le Conseil de l’Europe a institué un fond spécial pour recevoir de telles contributions volontaires extra-budgétaires.

Ces versements n’ont pas manqué de questionner, car il est étonnant qu’une organisation politique intergouvernementale soit ainsi perméable aux financements privés. Un député du Conseil de l’Europe a saisi le comité des ministres à ce sujet pour demander aux 48 ambassadeurs qui le composent que soient rendus publics tous les documents relatifs à ces financements.

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Valeurs Actuelles

George Soros : « L’Europe doit tenir tête à la Hongrie et à la Pologne »

L’Union européenne ne peut se permettre de céder du terrain concernant le respect de l’Etat de droit. La manière dont elle répondra à Viktor Orbán et Jarosław Kaczyński, qui opposent leur veto au budget, sera déterminante, estime le président des Open Society Foundations.

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www.nouvelobs.com

Via Fdesouche

Lorsqu’Alexander Soros, fils de George Soros, félicite la démocrate Kamala Harris pour son poste de future Vice-Présidente

Pour ceux qui n'auraient pas compris les implications d'une victoire des Démocrates et le télescopage de ce parti avec George Soros. Alexander Soros ne cache pas ses intérêts.

 

 

 

Nos remerciements à Victoria Valentini

Comment George Soros a infiltré la Cour européenne des droits de l’homme

Un rapport accablant démontre la mainmise du réseau d'ONG du milliardaire sur la CEDH, qui impose à l'Europe son idéologie de la “société ouverte”. Première partie de nos révélations exclusives sur les arcanes de la Cour européenne des droits de l’homme.

L'Autriche, la Grèce et l'Italie sont forcées de légaliser les unions homosexuelles ; la Pologne est sommée de favoriser le droit à l'avortement ; la France est obligée d'autoriser le changement de sexe “sur le papier” ; la Hongrie est contrainte d'abolir la prison à vie ; la Russie est santionnée pour avoir condamné les activistes féministes punks des Pussy Riot ; l'Autriche doit légaliser l'adoption par les couples homosexuels ; l'application de la charia en Grèce est validée. Des affaires sans lien entre elles ? Au contraire. Chaque fois, c'est la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) qui dicte sa loi à un pays européen.

Chaque fois, une ONG liée au réseau de l'Open Society Foundations (OSF) est impliquée dans l'affaire. Chaque fois, l'un des magistrats qui prononcent le jugement est un ancien collaborateur de l'OSF ou de ses affiliées. Chaque fois, la sentence porte la marque de George Soros.

Chapitre 1 : Aux sources d'une enquête, dans les arcanes du Palais des droits de l'homme

Il est “celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom”. En mai 2018, Valeurs actuelles consacrait un dossier au milliardaire américain d'origine hongroise qui, écrivions-nous, « est passé maître dans l'art de désordonner le monde sous couvert d'altruisme ». En dévoilant « la machination Soros », notre journal recevait, comme tous ceux qui voient en lui autre chose qu'un philanthrope désintéressé, l'infamant label “complotiste”.

Critiquer ses desseins, son idéologie et ses méthodes, c'est la certitude d'être rangé dans la case “fachosphère”, populiste ou antisémite ce qui prête à sourire quand on sait que Benyamin Nétanyahou, le Premier ministre israélien, est un virulent anti-Soros. Si le front d'opposition au milliardaire est aussi large, de Viktor Orbán à Donald Trump en passant par Vladimir Poutine, c'est que l'idéologie qu'il diffuse à travers son Open Society Foundations et sa myriade d'ONG a pour but de mettre fin aux nations et d'imposer à l'Occident son idéal de “société ouverte” et sans frontières, chère au philosophe Karl Popper dont il fut le disciple. Deux ans après la publication de cette enquête, un rapport accablant, que Valeurs actuelles révèle en exclusivité, vient éclairer la manière dont George Soros a infiltré la Cour européenne des droits de l'homme.

Tout commence à Strasbourg, dans les arcanes du Palais des droits de l'homme, emblématique siège de la CEDH conçu par l'architecte britannique lord Richard Rogers. Parmi les nombreuses ONG évoluant ici, le European Centre for Law and Justice (ECLJ) participe depuis plus de vingt ans au jeu d'influence et de lobbying qui se noue auprès des magistrats. Son directeur, Grégor Puppinck, intervient à la Cour dans de nombreuses affaires et entretient de bonnes relations avec la plupart de ses membres.

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Valeursactuelles.com

George Soros a rencontré en secret le premier ministre espagnol pro-migrants

Le rendez-vous confidentiel a eu lieu, mercredi dernier, dans la résidence de Pedro Sánchez, selon un média espagnol.

Le milliardaire américain George Soros a rencontré en secret le nouveau premier ministre espagnol socialiste, Pedro Sánchez, favorable comme lui à la cause des migrants, rapporte le média local Okdiario. Le rendez-vous confidentiel, qui n’était pas mentionné à l’agenda officiel, a eu lieu, mercredi dernier, au palais de la Moncloa, la résidence du président du gouvernement espagnol.

« La discussion a duré environ une heure et demie. Ont assisté à la réunion deux autres personnes non identifiées, qui pourraient être des conseillers financiers », précise le site de presse espagnol, rappelant qu’il y a un mois, l’homme d’affaires d’origine hongroise, dont la fortune personnelle a été estimée à 8 milliards de dollars par le magazine Forbes, avait averti à Paris que l'Europe en danger préparait « une autre crise financière majeure ».

Soros, qui a investi dans plusieurs entreprises locales, a aussi rencontré le ministre espagnol des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération, Josep Borrell, « pour pouvoir partager leurs points de vue économiques et futurs », ajoute Okdiario. Dans la lignée du combat du milliardaire progressiste, dont l’organisation Open Society Foundations soutient l’ouverture des frontières, Pedro Sánchez avait lui accepté d’accueillir, il y a deux semaines, les 630 migrants du navire Aquarius, refoulé par le gouvernement italien.

Valeurs Actuelles

George Soros explique à l’Europe ce que devrait être sa politique migratoire

[Dans une tribune libre parue le 4 octobre 2016 dans le quotidien allemand Die Welt, George Soros explique en sept points ce que devrait être la politique migratoire de l'UE. Extraits :]

Premièrement, l’UE doit accueillir un nombre considérable de réfugiés directement des États de la ligne de front, et ceci de façon sûre et ordonnée. Deuxièmement, l’UE doit retrouver le contrôle de ses frontières. Rien n’irrite et n’inquiète davantage l’opinion publique que les scènes de chaos.

Troisièmement, l’UE doit dégager des moyens financiers suffisants pour financer une vaste politique migratoire. Selon des estimations, il faudra pour cela, pendant un certain nombre d’années, au moins 30 milliards d’euros par an.

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Le dernier pilier est la création à long terme d’un climat engageant pour les migrants économiques. Au vu du vieillissement de la population européenne, les avantages liés à l’immigration dépassent nettement les coûts de l’intégration des migrants.

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(Traduction Fdesouche)

Die Welt

Orban : « Nous le sentons tous, c’est le calme avant la tempête »

Publié par Dreuz.info le 6 juin 2016

Interview de Viktor Orban à la radio Kossuth, au cours de l’émission « 180 minutes » du 3 juin 2016.

Viktor Orban vient de rentrer d’une visite officielle en Egypte, où il a rencontré son homologue le président Sissi et l’imam suprême sunnite, qu’il a invité pour une visite en Hongrie.

Viktor Orban explique sa vision de la relation que le monde chrétien devrait entretenir avec le monde musulman. Il souhaite une rencontre entre la civilisation musulmane et la civilisation chrétienne au lieu d’un choc des civilisations.

Orban reconnait la civilisation musulmane, dit qu’il ne faut pas comparer le musulman délinquant avec les imams hautement éduqués. Il faut arriver à faire vivre les différentes civilisations en paix, non pas en se mélangeant mais côte à côte, en se respectant. Selon Orban, un vrai chrétien ne peut pas être contre les musulmans. Le premier ministre hongrois dit également que si les musulmans n’avaient pas leur religion, il n’y aurait pas de civilisation chez eux mais du chaos et de la barbarie.

« À présent, ils vivent dans un monde qui obéit à leurs propres lois, à leur propre logique. Nous avons nos principes de vie, nous aussi. Nous respectons les leurs et nous attendons également d’eux qu’ils nous respectent à leur tour. »

Viktor Orban explique :

« C’est dans l’intérêt de l’Europe d’avoir une Egypte politiquement et militairement stable, et nous ferons tout notre possible pour que cela perdure.

La Syrie avait une population de 30 millions habitants, elle s’est effondrée et à présent nous arrivons à peine à supporter, en Europe, les conséquences de ce désastre.

L’Egypte a 90 millions d’habitants. Si elle devient instable et qu’ils partent vers l’Europe, nous n’arriverons plus du tout à faire face. »

C’est dans l’intérêt de l’Europe que l’Egypte arrive à la stabilité, sinon, rien ne résistera à ce courant qui l’inondera

Orban dit qu’il donne raison à l’imam qu’il a rencontré lors de son voyage. Il faut mettre de côté les préjugés habituels de l’UE, et se concentrer sur le gouvernement égyptien, … que le gouvernement, avec son Président et son armée, restent unis et qu’il subsiste une force en Egypte qui maintienne l’ordre public et l’unité du pays, et donner la possibilité à la population de vivre correctement.

Si cela n’est pas possible, le courant qui va inonder l’Europe sera trois fois plus fort que ce que l’Europe a enduré jusqu’à présent. Rien n’y résistera. C’est dans l’intérêt de l’Europe que l’Egypte arrive à la stabilité.

Orban fait un bref bilan de l’Egypte, qui a actuellement une armée unie, le président a été élu au suffrage universel, la constitution a été démocratiquement votée, … chaque pilier de la constitution a renforcé l’économie.

Il rappelle que chaque année, 2,6 millions de personnes naissent en Egypte, et qu’avec une telle taille de population, nourrir un peuple, lui donner du travail, un niveau de vie acceptable, un avenir, est une tâche très ardue, bien plus que ce que l’UE a l’habitude d’affronter.

Un nouveau contexte est apparu récemment concernant le flux migratoire : les « trafiquants-passeurs » ont mis le cap sur l’Egypte. L’Egypte sera-t-elle le prochain pays pour l’invasion de l’Europe ?

Il y a également un nouveau point d’engorgement migratoire en Irak.

Tout cela devrait amener l’UE à repenser sa politique extérieure.

« Dans les trois pays où nous nous sommes mêlés de la vie des gens, il y a eu un effondrement global, explique Orban. Nous avons causé le chaos en Irak, en Libye et en Syrie, et aucun de ces pays n’a plus de gouvernement fonctionnel capable de garantir l’ordre public, la justice, et de défendre la population … et du même coup de défendre l’Europe contre une invasion de migrants. »

La journaliste demande si l’Europe porte l’entière responsabilité d’avoir voulu les forcer à adopter nos valeurs, d’avoir voulu exporter notre démocratie.

Viktor Orban  : « Il est impossible de dire qui est responsable de cette dégradation de la situation, chaque camp met la responsabilité sur l’autre », mais précisant que son opinion n’engage pas d’autres chefs d’Etats de l’UE il ajoute : « le fait que l’UE ait voulu exporter la démocratie et sa culture est un délire total. »

Viktor Orban  : « Avoir voulu rendre les peuples d’une toute autre culture « heureux » avec les méthodes qui ont fait leurs preuves chez nous a totalement échoué et cela a engendré des conséquences très douloureuses pour l’Europe.

On ne peut pas exporter la démocratie, ni d’une manière pacifique, ni avec les armes. Il faut laisser chaque peuple bâtir son système politique et économique, selon sa propre culture. Nous pouvons avoir des échanges commerciaux, et collaborer mutuellement. C’est une meilleure politique que le ‘nous savons tout mieux que les autres’, ‘nous savons ce qu’est la démocratie’, ‘nous savons ce que sont les vrais droits de l’homme’, …. [il est délirant de vouloir] imposer de bâtir leurs sociétés, selon nos normes, alors qu’ils pensent d’une manière très différente ! Néanmoins, si nous continuons, encore et encore, à ‘mettre notre toit en feu au-dessus de notre tête’ nous n’en sortirons pas.

Actuellement, pour sortir de cette situation désastreuse, nous avons le choix entre 2 solutions… mais la vérité est que nous n’avons absolument plus le choix, nous sommes juste emportés par le flot des événements.

Pour obtenir une solution interne, nous pourrions soutenir inconditionnellement le gouvernement libyen, sans vouloir imposer nos valeurs démocratiques, nos conditions.

La journaliste demande : « L’UE fait déjà cela, non ? »

Viktor Orban  : « Non, parce que l’UE continue avec ses critiques ‘droits de l’hommistes’, avec des exigences, en posant des conditions, … comme désarmer l’armée libyenne. Alors que sans un équipement adéquat, il sera impossible que l’armée libyenne puisse maintenir l’ordre. Que cela plaise ou non à l’UE peu importe, il n’y a pas de solution de rechange : il faut armer, fortifier l’armée libyenne pour qu’elle puisse rétablir l’ordre et il faut que nous collaborions à cela, sinon il y aura des conséquences très douloureuses pour nous vu que la Libye est à la frontière de l’Europe.

La coalition occidentale pourrait également débarquer avec des forces militaires européennes et mettre de l’ordre, établir des camps de réfugiés, y refouler ceux qui débarquent en Europe et les maintenir sur place. Ainsi nous garantirions également notre sécurité.

Nous devrions financer tout cela et tout ça a un coût … mais un coût bien inférieur et des dégâts bien moindres que d’accepter des millions de migrants qui viendront, sans contrôle, sur les terres européennes.

Que ce soit la première ou la deuxième solution, l’UE en parle sans cesse, sans être capable d’arriver à une décision finale. »

Le premier ministre parle également du fait qu’il a rencontré la communauté copte, qui a été victime d’exactions.

« Ces gens étaient des employés agricoles, des ouvriers, des honnêtes gens qui ont subi un martyre. Chaque membre de cette communauté a perdu des membres de famille. La Hongrie fait beaucoup pour les chrétiens persécutés mais, contrairement aux habitudes occidentales, la Hongrie ne crie pas sur les toits ce qu’elle fait à ce sujet, elle aide discrètement les chrétiens persécutés, sans s’en vanter, … un peu partout où c’est nécessaire. »

Orban dit qu’il a toujours été dégoûté par l’attitude vantarde des Occidentaux qui amènent leurs aides avec beaucoup de publicité. « Nous avons des obligations morales envers les chrétiens du Monde et nous remplissons cette obligation ».

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Puis la journaliste parle de la tension, quasi palpable, dans toute l’Europe, une sorte de « calme avant la tempête » !

Viktor Orban  : « Effectivement, il y a une tension qui augmente. Il y a une explication tactique à cela ; c’est le BREXIT. Nous ne devons pas nous mêler de cette décision qui appartient totalement aux anglais.

[…]

Il y a également un problème stratégique qui amène cette tension en Europe. Ceci provient de la structure de l’organisation de l’UE. Les dirigeants de l’UE se sont opposés à leurs populations. Nous pouvons tourner cette réalité dans n’importe quel sens, ruser, faire des variations sur la réalité, les explications sont inutiles, … c’est une réalité.

Les états occidentaux, avec leur politique migratoire, se sont opposés à leurs peuples respectifs et l’opposition à cette politique migratoire est de plus en plus grandissante. »

Orban dit qu’il est conscient du ras-le-bol des populations hongroises qui vivent près des camps pour migrants, et promet leur fermeture dès que cela deviendra possible, dans un avenir proche, car les lois sont durcies, le refoulement deviendra systématique. Ceci ne se passera pas sans l’agissement d’autres forces antagonistes.

Viktor Orban  : « George Soros est l’ennemi déclaré du gouvernement actuel de la Hongrie. Il soutient toute opposition qui cherche à renverser son gouvernement. Il est opposé à notre politique migratoire. Il finance des journalistes, des partis politiques, des bourses individuelles, des ONG … Il exige le démantèlement des barrières, la suppression des lois sur l’asile qu’il juge trop sévères, et veut faire reculer notre gouvernement. C’est typiquement la pensée socialiste. Soros pense que s’il met le paquet il arrivera à acheter les gens.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © P. Kandel pour Dreuz.info.

Source (audio) : mediaklikk.hu

Première parution en français sur Dreuz.info

Rockefeller, Soros, Pigasse, Bergé, et les autres

A peine accouché de la fange journalistique, le «Panama Papers» dégage déjà tous les parfums de la manipulation d’opinion publique. Certes l’information neutre n’existe pas, ne serait-ce parce qu’une information a été sélectionnée parmi d’autres. Mais la confiscation de la presse et des systèmes électifs par quelques grandes fortunes, de ce fait compromises avec le pouvoir politique, reformule exactement le problème posé par Montesquieu au XVIII ème siècle : comment diviser les pouvoirs pour garantir la liberté des citoyens ?

Ainsi, il aura fallu attendre plus de deux ans pour finalement apprendre que le richissime Georges Soros finançait les Femen «pour s’amuser». Les seins nus d’Inna Schevchenko et de ses comparses avaient donc été loués. Or, louer son corps, cela s’appelle de la prostitution.

Suite

 

Merci à Pierre H.

Soros veut la peau de Poutine, puisque les Panama Papers ont fait flop !

De Hildegard von Hessen am Rhein.

Les forces obscures du N.O.M (Nouvel Ordre Mondial), dont nous connaissons les acteurs, ne lâchent pas prise après le flop des Panama Papers qui s’essoufflent plus vite qu’ils ne sont apparus sur la place mondiale. Quelques coquins sans grande importance se font virer par leurs peuples, comme en Islande, mais pas de quoi fouetter un chat sur la scène géopolitique majeure.

La Süddeutsche Zeitung et The Guardian avaient transformé les documents en une attaque en règle contre le Président Poutine, servilement relayé par le Monde. Grosse ficelle que tout le monde a comprise. Circulez, c’est terminé. Le scoop de l’année est devenu le flop du siècle. Les menaces contre le Président Poutine se font désormais plus précises.

C’est ainsi que nous apprenons par l’agence Tass, que la garde nationale doit désormais protéger le Président des ennemis intérieurs et extérieurs. Vladimir Poutine transforme les troupes du Ministère de l’Intérieur en Garde Nationale, sous son commandement personnel. C’est ce qu’il a annoncé, mardi, dans une réunion avec les dirigeants du ministère à Moscou.

La Garde est prévue contre le crime organisé, la lutte contre le terrorisme et le trafic de drogues. Est inscrit mot pour mot, dans la réglementation de cette Garde : « Il est interdit d’user des armes contre des femmes visiblement enceintes, contre des gens qui sont visiblement handicapés et des mineurs. Des exceptions seront faites, si ces personnes opposent une résistance armée, s’ils font partis d’un groupe d’agresseurs, ou s’ils portent atteinte à la vie et à la santé de citoyens, ou menacent la Garde Nationale, lors d’une attaque. Enfin, l’utilisation d’armes est également interdite dans des lieux fréquentés, ce qui mettrait en danger des citoyens. »

En effet, le chef du Kremlin craint des révolutions fomentées de l’extérieur, ainsi que des machinations des services du FSB destinées à le renverser. Cette inquiétude est confirmée. En effet, l’ancien chef de la CIA et Ministre de la Défense, Robert Gates, déclarait en janvier, durant une conférence au Council on Foreign Relations, « que la Russie, par son intervention en Syrie a fait une faute grave. »

Et comme la Russie est une démocratie, malgré ceux qui prétendent le contraire, le chef du Kremlin, propose à la Douma, cette nouvelle organisation de la Garde Nationale.

Puis nous retombons dans l’enfer Soros. Un membre du conseil d’administration de la Open Society Foundation, considérée comme l’initiatrice des révolutions de couleur, Ivan Krastev, écrit dans le journal IP : « La révolution orange en Ukraine était le 11 septembre de Poutine. Depuis, le Président russe considère que les manifestations sont téléguidées de l’extérieur afin de mettre en péril son régime. Comme le Kremlin est d’ailleurs convaincu que toutes les révolutions de couleur dans l’espace post-soviétique, ainsi que des protestations russes internes, sont fomentées, financées et guidées par Washington. » Krastev qui a la confiance de Soros, estime que les soupçons de Poutine sont infondés. On le croira sur parole …

Le Guardian, pourtant connu pour sa poutinophobie, avoue qu’il y a des indications dans les « médias sérieux » qui démontrent que derrière les révolutions de couleur, se cachent bien des organisations occidentales membres de l’OTAN.

Par exemple, ce sont la Open Society, en collaboration avec l’ONG, United States Agency for International Development (USAID), la NED (National Endowment for Democracy), la PNAC (Project for the New American Century), qui ont organisé les manifestations de masse en Macédoine contre le gouvernement de Skopje. Pour cette action, Soros et les ONG cités, ont engagé le CANVAS (Centre contre les actions violentes et stratégies). Des documents Wikileaks révèlent que CANVAS est financés par les organisations US, Freedom House, The International Republican Institute, NED, Open Society Foundation, United States Institute of Peace et l’USAID !

Le Centre de Recherche sur le Renseignement français rapporte, que l’ancien directeur de la CIA, James Woosley, était responsable de la formation des activistes de CANVAS.

Apparemment, le Président Poutine, par la transformation de son Ministère de l’Intérieur, veut aussi se protéger contre ses propres services secrets. Stratfor rapporte : « Même si Poutine n’a jamais été au centre du pouvoir du FSB, il est taillé dans son costume. Il l’a dirigé dans les années 90. Cependant, des rumeurs courent depuis longtemps, qu’il a dû se reposer sur les membres de son élite, afin de garder la loyauté au sein du service. Ces mêmes élites qui sont aujourd’hui dans des positions clés du Kremlin : Sergey Ivanov est responsable de la Direction Présidentielle, Igor Setchin est le chef de Rosneft et Nicolai Patrutchev est Secrétaire du Conseil de Sécurité Russe. Ils forment le noyau du clan FSB. »

Seules, ces personnes ne peuvent rien entreprendre contre Poutine, mais ensemble, ils pourraient agir contre lui, sans craindre les conséquences. Poutine le sait. Le FSB a toujours voulu influencer le Ministère de l’Intérieur, puisqu’il ne possède pas de force militaire ni de police.

Le Ministère de l’Intérieur a sous ses ordres des troupes de 200.000 policiers. Le FSB a prit en mai 2014 les commandes de la Direction Générale pour l’Energie et la Sécurité et de la lutte anti-corruption, qui représente l’administration clé du Ministère de l’Intérieur.

Il est donc facile de comprendre aux vues de toutes ces données, l’épée de Damoclès Soros et les tenants du N.O.M au-dessus de la tête, que le chef du Kremlin doit se protéger.

 

Hildegard von Hessen am Rhein, le 7 avril 2016

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LE SATANIQUE GEORGES SOROS VEUT DÉTRUIRE L’EUROPE ET IL SIGNE EN PERSONNE !

Par Hildegard von Hessen am Rhein

Pour mémoire une courte biographie des calamités sorties du cerveau malade de Satan Soros (SS).

SS se qualifie lui-même de chef d’Etat, sans Etat. Il vit le jour en 1930, sous le nom de György Schwartz, dans une famille juive non pratiquante. Son père changeât le nom de famille pour Soros afin de se protéger des nazis.

En 1993, le multimillionnaire, inaugure le Open Society Institute, afin de porter ses « fantaisies messianiques » dans le but  de « rendre le monde meilleur ». « Mon but est de devenir la conscience du monde » avance-t-il à son biographe Michael Kaufman. La mégalomanie ne l’étouffe pas.

Afin de réaliser son projet utopique, il doit démanteler l’indépendance Américaine. « L’obstacle principal à un monde plus juste et stable sont les Etats Unis » lance-t-il sans mettre de gants, désignant l’ennemi. Le choix des armes ; l’argent.  Les auteurs du livre : In the shadow party (Dans le parti de l’ombre), David Horowitz et Richard Poe, comparent Satan Soros (SS) à Lénine, qui fait la guerre « par manipulation des forces économiques et politiques au plus hauts niveaux.

Le numéro de décembre 2010 du magazine « Whisleblower » liste plus de 150 organisations appartenant à « SS », destinées à influencer les politiques publiques et manipuler l’opinion. Par exemple le « Institute for New Economic Thinking » subventionne des conférences sur le besoin d’un gouvernement central qui doit contrôler l’économie. « SS » finance également des médias web, dont l’un, sous le nom très orwellien : « Free Press » . Le plus troublant chez Satan Soros (SS) est son passé nazi qu’il confesse avec bonne conscience. « 1944 était l’année la plus heureuse de ma vie, c’était l’aventure la plus excitante que quelqu’un puisse vivre » écrit-il en 1995 . Selon un grand nombre de médias internationaux que vous pouvez consulter sur Google, Satan Soros (SS) était traitre aux juifs. Il a participé à leur pillage, les a envoyé à la mort pour se préserver lui-même. Vidéo SS en lien et autres allégations en lien.

Nous n’oublierons pas non plus son incroyable « exploit » contre la £ et a fait sauter la Banque d’Angleterre le 16 septembre « mercredi noir » 1992 pour l’Angleterre, tout en se remplissant les poches ! Lorsque je déclare souvent que la gauche est le mal absolu, Georges Soros en est son flamboyant représentant psychopatique. Le Monde en lien. En conclusion, on se passerait bien de Georges Soros le satanique sur cette terre.

Et voici donc sa dernière « pensée » de psychopathe, écrite de sa plume venimeuse,  pour détruire l’Europe, qui vient de paraître dans Project Syndicate, traduction française en lien.  Il évoque l’implication des Nations Unies. Sauf que les Nations Unies sont à l’origine une assemblée, destinée à protéger la souveraineté des Nations. Le mot « souveraineté » étant devenu un gros mot de nos jours … Il faudrait faire disparaître les Nations Unies, comme d’ailleurs l’OTAN qui fut fondé pour se protéger de l’URSS. Cette dernière n’existant plus, l’OTAN aurait dû disparaître avec elle, si les US ne l’avait pas détourné à son avantage pour en prendre les commandes, dirigées contre l’actuelle Russie de Vladimir Poutine et perpétuer une « guerre froide ». Quand un Georges Soros se permet de vouloir utiliser les Nations Unies, l’on peut dire que les affaires du monde sont en grand danger. En outre, vous constaterez que pour l’accueil des « réfugiés », il ne propose jamais que les pays du Golfe en acceptent. Que c’est à l’Europe de payer les erreurs cruelles des USA auxquels, grand prince, il demande tout de même une contribution. Pire, il estime que les envahisseurs sont les victimes sans jamais évoquer les peuples qui doivent subir cette massive invasion, qui eux, sont les victimes majeures de cette crise sans précédent depuis la seconde guerre mondiale.

Hildegard von Hessen am Rhein

Voici son texte en lien en français:

 

REBÂTIR LE SYSTÈME DU DROIT D'ASILE !

 

NEW YORK – L’Union européenne doit admettre sa propre responsabilité dans l’absence de politique commune en matière d’asile, absence qui a cette année changé une situation gérable d’arrivée croissante de réfugiés en une nouvelle crise politique majeure. Chaque État membre s’est égoïstement concentré sur ses propres intérêts, au point d’agir bien souvent au détriment des intérêts d’autrui. C’est ainsi qu’est née une panique chez les demandeurs d’asile, au sein de l’opinion publique, et du côté des autorités en charge de l’application de la loi, une situation dont les demandeurs d’asile sont les premiers à souffrir.

L’UE a désormais besoin d’un plan global de réponse à cette crise, qui réaffirme l’efficacité de la gouvernance sur les flux de demandeurs d’asile, afin que les migrations puissent s’effectuer dans l’ordre et la sécurité, à un rythme adapté aux capacités européennes d’absorption des réfugiés. Afin d’être complet, ce plan devra s’étendre au-delà des frontières de l’Europe. La situation est moins chaotique, et beaucoup moins coûteuse, lorsque les demandeurs d’asile potentiels demeurent au sein ou proches de leur localisation actuelle.

En tant qu’origine de la crise actuelle en Syrie, le sort de la population syrienne doit être inscrit au plus haut des priorités, sans pour autant que soient oubliés d’autres demandeurs d’asile et migrants. De même, ce plan européen devra s’accompagner d’une réponse mondiale, sous l’autorité des Nations Unies et avec la participation de ses pays membres. Ceci viendrait répartir la charge de la crise syrienne sur les épaules d’un plus grand nombre d’États, tout en permettant l’instauration de normes mondiales pour la gestion des difficultés plus largement liées aux déplacements forcés.

Les six composantes de ce plan global doivent être les suivantes.

Premièrement, et au cours d’un avenir proche, il appartiendra à l’UE d’accepter au moins un million de demandeurs d’asile chaque année. Pour ce faire, il lui faudra répartir la charge de manière équitable – principe enfin approuvé par une majorité qualifiée lors du sommet de mercredi dernier.

Un financement adéquat se révélera crucial. Il s’agirait pour l’UE d’apporter 15 000 € par demandeur d’asile au cours de chacune des deux premières années, afin de contribuer à couvrir le logement, la santé et les coûts d’éducation de ces populations – et d’inciter plus activement les États membres à accepter les réfugiés. L’UE pourrait lever ces fonds en émettant des obligations à long terme via sa capacité d’emprunt AAA largement inexploitée, ce qui aura pour bénéfice ajouté de susciter une stimulation budgétaire fort nécessaire à l’économie européenne.

Il sera tout aussi important de permettre à la fois aux États et aux demandeurs d’asile d’exprimer leurs préférences, en usant le moins possible de la contrainte. Le placement des réfugiés là où ils le souhaitent – et là où ils sont désirés – constituera une condition sine qua non de réussite.

Deuxièmement, l’UE doit conduire l’effort mondial d’apport d’un financement adéquat au Liban, à la Jordanie et à la Turquie, afin de venir en aide aux quatre millions de réfugiés vivant actuellement dans ces pays.

Jusqu’à présent, seule une part minime des financements nécessaires aux soins les plus basiques a été levée. Si l’on y intègre l’éducation, la formation et d’autres besoins essentiels, les coûts annuels s’élèvent à au moins 5 000 € par réfugié, soit au total à 20 milliards €. L’aide actuelle de l’UE à la Turquie, doublée la semaine dernière, ne s’élève encore aujourd’hui qu’à 1 milliard €. Il s’agirait également pour l’UE de contribuer à la création de zones économiques spéciales, bénéficiant d’un statut commercial privilégié dans la région, y compris en Tunisie et au Maroc, afin d’attirer l’investissement et de créer des emplois à la fois pour les locaux et les réfugiés.

Il appartiendrait à l’UE de s’engager financièrement en faveur des pays frontaliers, à hauteur chaque année d’au moins 8 à 10 milliards €, le reste des financements provenant des États-Unis et du reste du monde. Ceci pourrait s’ajouter au montant des obligations à long terme émises en soutien aux demandeurs d’asile en Europe.

Troisièmement, l’UE doit immédiatement commencer à bâtir une Agence des migrations et du droit d’asile, et plus tard un corps commun de gardes-frontières en son sein. L’actuel patchwork de 28 systèmes distincts en matière d’asile ne fonctionne pas : il se révèle couteux, inefficace, et produit des résultats extrêmement incohérents sur le plan de la détermination des personnes admissibles au droit d’asile. Cette nouvelle agence pourrait ainsi progressivement harmoniser les procédures ; instaurer des règles communes en matière d’emploi et d’entrepreneuriat, ainsi que des avantages adaptés ; et élaborer une politique efficace de retour au pays pour les migrants non admissibles au droit d’asile, dans le respect des droits de la personne.

Quatrièmement, il est nécessaire d’établir des voies sécurisées pour les demandeurs d’asile, en commençant par leur permettre de passer de Grèce et d’Italie vers leur pays de destination. Il s’agit là d’une urgence extrême si l’UE entend mettre un terme à la panique. L’étape suivante logique consisterait à étendre ces voies sûres jusqu’aux régions frontalières, en réduisant ainsi le nombre de migrants entreprenant une traversée périlleuse de la Méditerranée. Si les demandeurs d’asile peuvent avoir une chance raisonnable d’atteindre enfin l’Europe, il est alors peu probable qu’ils restent là ils se situent. Ceci exigera une négociation avec les pays situés en première ligne, en coopération avec l’Agence de l’ONU pour les réfugiés, afin que puissent y être installés des centres de gestion – avec pour priorité la Turquie.

Les arrangements opérationnels et financiers développés par l’UE devront être utilisés aux fins de l’instauration de normes mondiales pour la gestion des migrants et demandeurs d’asile. Il s’agit là de la cinquième composante du plan global.

Enfin, afin de pouvoir absorber et intégrer plus d’un million de migrants et demandeurs d’asile chaque année, l’UE devra mobiliser le secteur privé – ONG, organismes humanitaires, et entreprises – afin que celui-ci apporte son parrainage. Ceci exigera non seulement des financements suffisants, mais également les capacités humaines et technologiques nécessaires à la mise en contact de ces migrants et soutiens privés.

L’exode né d’une guerre syrienne déchirante n’aurait jamais dû se changer en crise. Accentué au fil du temps, facile à entrevoir, cet exode aurait pu être pleinement gérable pour l’Europe et la communauté internationale. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a lui aussi récemment présenté un plan en six points de réponse à la crise. Seulement voilà, en subordonnant les droits humains des demandeurs d’asile et migrants à la sécurité des frontières, ce plan menace de diviser et de détruire l’UE, en lui faisant renoncer aux valeurs sur lesquelles elle s’est bâtie, et violer les lois censées la gouverner.

Il est grand temps que l’UE réagisse en produisant une politique de droit d’asile véritablement européenne, afin que puissent cesser la panique et les souffrances humaines inutiles.

Traduit de l’anglais par Martin Morel

Source

Clinton et Soros sont les fomentateurs des incidents dans les meetings de Trump, non Sanders !

Par Hildegard von Hessen am Rhein.

Dans les colonnes de Boulevard Voltaire, j’avais déjà lancé le doute sur les incidents qui se produisaient lors des réunions Trump depuis Chicago, historiquement corrompue. J’alléguais, sans preuves, me basant sur ce qui se passe en Allemagne contre PEGIDA, dont j’apportais les preuves, encore une fois, ici, sur mon blog, mais aussi dans les colonnes de Boulevard Voltaire, que les contre manifestants à PEGIDA étaient payés 20 €/h par le Land de Saxe. Je supposais que les troubles au sein des réunions électorales de Trump étaient le fait d’agitateurs payés aussi.

Voici que mes doutes sur ces agitations organisées dans les meetings de Trump sont confirmés par Roger Stone, que j’évoquais également ici et dans les colonnes de BV.

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Soros et le CFR exploite la crise des réfugiés pour le Nouvel Ordre Mondial

Après avoir littéralement créé la crise des réfugiés du début à la fin – détruisant plusieurs pays du Moyen-Orient pour ensuite exiger que l’Europe accepte des millions de victimes déplacées – les élites internationalistes exploitent maintenant le chaos qu’elles ont déclenché pour pousser plus avant le mondialisme et l’étatisme. L’Europe, l’Afrique et le Moyen-Orient sont tous dans le collimateur du milliardaire George Soros (en photo), du gouvernement global promu par le Council on Foreign Relations, et d’autres forces mondialistes incontournables.

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Merci à Pierre H.

A Calais les « no borders » sont soutenus par le milliardaire George Soros

A Calais les « no-borders » sont soutenus par le milliardaire George Soros

Alors que la ville de Calais tombe un peu plus chaque jour dans le chaos face à l'invasion de migrants, qui sont ces « no-borders », ces militants d'extrême gauche qui enfreignent les lois pour venir en aide aux clandestins ?

Les « no-borders » forment un collectif de militants fondé en 1999 et que l'on retrouve aujourd'hui dans l'ensemble de l'Europe et qui lutte pour la disparition des frontières. A Calais, ces militants sont regroupés autour du collectif Calais Migrant Solidarity. Ce sont ces extrémistes qui le 23 janvier dernier, ont aidé les migrants à s'introduire illégalement dans le port de Calais et à prendre possession d'un ferry.

Mais derrière l'image d'anarchistes et de militants d'extrême gauche se cache une réalité bien peu glorieuse. On est pour le moins surpris de voir que ces gens là n'hésitent pas à présenter les organismes qui les soutiennent, des organismes qui révèlent la vraie nature de ce lobby pro-immigration.

Sur leur site internet, les « no-borders » affichent une liste de plus de 550 organisations dans tous les pays d'Europe qui les soutiennent. Et là, grande surprise, on est très loin d'organisations d'extrême gauche. Pour en citer quelques unes, on retrouve, entre autre, le Conseil de l'Europe, la Commission Européenne, plusieurs groupes parlementaires du Parlement Européen, le Home Office (ministère de l'intérieur britannique), le Département fédéral des affaires étrangères suisse, le conglomérat d'entreprises suisses Migros, etc...

Cerise sur le gâteau, on retrouve également parmi ces soutiens, la très puissante et ultra-libérale Open Society Foundation, la fondation fondée par le milliardaire George Soros. Une fondation qui est tristement connue pour avoir, entre autre, créé l'organisation OTPOR qui a renversé le gouvernement Serbe de Slobodan Milosevic avec le concours de la CIA. En France, l'Open Society a également financé le Collectif Contre l'Islamophobie en France (CCIF), une organisation dont le président Marwan Muhamad, avait déclaré en 2011 :

« Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. »

La nature de ces soutiens et le fait qu'ils soient clairement affichés sur leur site internet démontrent sans ambiguïté la réalité du mouvement « no-border ».

Jordi Vives, le 11 février 2016

Mise à jour. Une ONG qui fait débat bénéficie de dons de la Loterie romande

NDLR. "Fact checking" de la minimisation de l'affaire de la part de l'administration de la Loterie Romande: après examen, ledit "projet cartographique" de l'ONG, mentionné par Bernard Favre, président de l’Organe genevois de répartition des bénéfices de la Loterie Romande, semble consister, simplement, à répertorier sur des cartes les centres de détention des illégaux (en Europe). Sachant que ces informations sont faciles d'accès aux administrations étatiques concernées, on voit mal comment - si l'on ne se moque pas du monde - elles pourraient être "d'utilité publique". C'est évidemment une façon de déguiser sous un nom, un projet dont l'objectif est purement militant et ne bénéficiera à personne d'autre que des activistes… à moins de planifier, évasions et manifestations - ce qui ne reviendrait en rien à quelque chose de différent. Dans un état qui aurait effectivement pour but la poursuite de sa raison d'être (fondatrice) - à savoir la mise en œuvre du "bien commun" - , il y aurait largement matière à une mise en examen des fonds (d'utilité publique) alloués par la Loterie Romande. Ceci en vertu des lois qui s'y rapportent. Affaire à suivre.

 

 

(Re)lire l'article:
http://lapravda.ch/index.php/2016/01/30/une-ong-qui-fait-debat-beneficie-de-dons-de-la-loterie-romande/

 

Une ONG qui fait débat bénéficie de dons de la Loterie romande

La Loterie Romande verse l’intégralité de ses bénéfices à des entités qui sont désignées comme étant d’utilité publique. Des règles précises dictent l’attribution des dons : 5/6èmes sont destinés aux six Organes de répartition cantonaux; 1/6ème est attribué au sport. Dans le domaine de l’Action sociale, un des bénéficiaires attire notre attention et suscite notre interrogation : Global Detention Project.

Global Detention Project est une organisation non gouvernementale basée à Genève qui se focalise sur la détention administrative liée à la migration. Elle produit toute une série de rapports pour fournir  aux différents acteurs des données sur la question. En lisant attentivement les rapports de l’ONG, on perçoit qu’il y a une volonté d’influencer les gouvernements pour qu’ils assouplissent leurs pratiques liées à la détention administrative des migrants.

Soutenue également par Soros

Sur le site internet de l’ONG, il est indiqué que l’Etat de Genève, la Loterie Romande et l’Open Society Foundations, présidée par le milliardaire américain George Soros, font notamment partie des donateurs.

400 entités bénéficient de dons 

Contacté, Bernard Favre, président de l’Organe genevois de répartition des bénéfices de la Loterie Romande, rappelle que de nombreux projets sont évalués : « A Genève, la Loterie romande accorde chaque année près de 30 millions de frs. de dons à plus de 400 entités. » Il souligne également que les projets soutenus ne doivent pas comporter de caractéristiques lucratives, politiques ou religieuses de manière prépondérante : « Dans le cas présent, nous ne soutenons pas les activités de cette ONG, mais seulement un projet de cartographie. Ce projet ne paraît pas avoir un caractère politique prépondérant. Cette carte peut être utile à tout acteur académique, humanitaire ou politique et, selon notre compréhension, ne doit pas contenir d’éléments militants.»

ONG décriée

La légitimité de l’attribution est en tout cas remise en cause par le polémiste Thomas Mazzone, collaborateur du site lesobservateurs.ch : « Sans remonter au sens premier des mots et à la notion anthropologique de « bien commun », que je différencie radicalement de l’expression apparemment synonyme d’ « intérêt général » ; une organisation destinée à adoucir les déjà bien faibles mesures punitives qu’on destine à un crime-en l’occurrence: la clandestinité -, sanctionné, précisément, pour protéger la population autochtone et légitime d’une invasion sans foi ni loi, va précisément à l’encontre de ce qui est bien pour la communauté ethno-culturelle que celle-là représente. Le bien commun des uns peut être exclusif pour le bien des autres, lequel correspond parfois à une barbarie antinomique à notre Civilisation. »

 

Alimuddin Usmani

 

 

image: "lot avec deux dés truqués" chez http://www.toysnyou.com/

Georges Soros écrit et signe qu’il veut détruire l’Europe

Courte biographie des calamités sorties du cerveau malade de George (Satan) Soros, juif qui travailla pour les Nazis.

Reproduction autorisée  : © Hildegard von Hessen am Rhein pour Dreuz.info.

Soros se qualifie lui-même de chef d’Etat, sans Etat. Il vit le jour en 1930, sous le nom de György Schwartz, dans une famille juive non pratiquante. Son père changeât le nom de famille pour Soros afin de se protéger des nazis.

En 1993, le multimillionnaire inaugure l’Open Society Institute afin d’imposer ses « fantaisies messianiques » dans le but de « rendre le monde meilleur ».

« Mon but est de devenir la conscience du monde » avance-t-il à son biographe Michael Kaufman, sans que la mégalomanie l’étouffe.

Afin de réaliser son projet utopique, il doit démanteler l’indépendance Américaine.

« L’obstacle principal à un monde plus juste et stable sont les Etats Unis » lance-t-il sans mettre de gants, désignant l’ennemi. Le choix des armes : l’argent et l’agitation.

Les auteurs du livre The Shadow Party* (Le parti de l’ombre), David Horowitz et Richard Poe, comparent Soros à Lénine, qui fait la guerre « par manipulation des forces économiques et politiques aux plus hauts niveaux. »

Le numéro de décembre 2010 du magazine Whistleblower liste plus de 150 organisations appartenant à Soros, destinées à influencer les politiques publiques et manipuler l’opinion.

Par exemple l’«Institute for New Economic Thinking» subventionne des conférences sur le besoin d’un gouvernement central qui doit contrôler l’économie.

« Satan Soros » finance également des médias web, dont l’un au nom très orwellien : «Free Press».

Le plus troublant chez Soros est son passé nazi, qu’il confesse avec bonne conscience – et qui ne dérange absolument personne, dans son camp à gauche :

« 1944 était l’année la plus heureuse de ma vie, c’était l’aventure la plus excitante que quelqu’un puisse vivre » écrit-il en 1995.

Selon un grand nombre de médias internationaux, que vous pouvez consulter sur Google, George Soros était un traitre aux juifs. Il a participé à leur pillage, les a envoyé à la mort pour se préserver lui-même.

Vidéo « les plus beaux jours de ma vie » :

https://youtu.be/c1Qr7TnWG74

Nous n’oublions pas non plus son incroyable « exploit » contre la Livre Sterling, quand il a fait sauter la Banque d’Angleterre « mercredi noir » 16 septembre 1992, tout en se remplissant les poches.

Lorsque je déclare souvent que la gauche est le mal absolu, Georges Soros en est son flamboyant représentant psychopathe. On se passerait bien de Georges Soros le satanique sur cette terre.

Voici sa dernière « pensée » de psychopathe, écrite de sa plume venimeuse pour détruire l’Europe, qui vient de paraître dans Project Syndicate.

Quand un Georges Soros veut utiliser les Nations Unies pour ses funestes projets d’extrême gauche, l’on peut dire que les affaires du monde sont en danger.

Pour l’accueil des « réfugiés », Soros ne propose jamais que les pays du Golfe en acceptent. Il dit que c’est à l’Europe de payer les « erreurs » cruelles des USA auxquels, grand prince, il demande tout de même une contribution. Pire, il estime que les envahisseurs sont les victimes, sans jamais évoquer les peuples qui doivent subir cette massive invasion. Comme les Européens sont les victimes majeures de cette crise sans précédent depuis la seconde guerre mondiale, et que plus il y a de victimes, plus la gauche pense imposer son idéologie, Soros garde ses critiques virulentes pour Viktor Orban, celui qui mène la fronde anti UE sur les questions de l’invasion migratoire.

Reproduction autorisée : © Hildegard von Hessen am Rhein pour Dreuz.info.

Sources :

george-soros-says-he-feels-no-remorse-for-collaborating-with-nazis

project-syndicate.org

 

Merci à Pierre H.

 

Georges Soros réclame une réforme du droit d’asile en Europe

L’Union européenne doit admettre sa propre responsabilité dans l’absence de politique commune en matière d’asile, absence qui a cette année changé une situation gérable d’arrivée croissante de réfugiés en une nouvelle crise politique majeure. Chaque État membre s’est égoïstement concentré sur ses propres intérêts, au point d’agir bien souvent au détriment des intérêts d’autrui. C’est ainsi qu’est née une panique chez les demandeurs d’asile, au sein de l’opinion publique, et du côté des autorités en charge de l’application de la loi, une situation dont les demandeurs d’asile sont les premiers à souffrir.

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George Soros, architecte du chaos

Là où Soros apparaît, il faut s'attendre à des troubles sanglants

Nombreux sont ceux qui se souviennent avec colère et exécration du nom de George Soros, né György Schwartz, financier et investisseur américain, d'origine hongroise: des banquiers britanniques touchés au début des années 1990 à cause de la chute de la livre au politiciens d'Europe orientale victimes des révolutions de velours organisées avec son implication directe, écrit vendredi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.

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