Albert Coroz : George Floyd, élevé au rang de divinité, fait désormais concurrence à Jésus-Christ.
Lui qui venait d’essayer de refiler de la fausse monnaie à un honnête commerçant et dont l’estomac contenait encore la drogue qu’il avait ingurgitée peu avant, ferait maintenant partie des figures morales de l’humanité.
Rappelons-nous qu'il semble bien que Floyd est mort d'overdose, après avoir avalé sa réserve de drogue qu'il avait sur lui lors de son arrestation. Cela lui avait été fatal car il en avait déjà dans le sang. Avant cela, il avait déjà été hospitalisé pour overdose.
Ensuite, il a fallu quatre agents pour le maîtriser lors de son arrestation. La suite, on la connaît. Quant au passé de Floyd, il faut également avoir la berlue pour y voir beaucoup d’autres choses que la petite délinquance et la drogue.
Désormais, le toxico Floyd, repris de justice, multirécidiviste, qui a mené une vie de crapule est vénéré: pour citer la marxiste Nancy Pelosi, « il a sacrifié sa vie pour la justice ».
Mais surtout, Pelosi parle ici de sa justice, la justice de gauche, c’est-à-dire la justice idéologique. C’est la justice dévoyée, corrompue, qui juge, condamne ou sanctifie selon ses intérêts politiques.
Discerner la plus petite parcelle de justice ou de sacrifice dans le comportement de Floyd tient de l’illusion absolue. Pour oser une telle énormité, il faut venir du camp des gauchistes qui ont usurpé le pouvoir à la Maison Blanche.
Cette réécriture de la réalité nous transpose dans l’univers des délires gauchistes totalitaires.
[...] Le wokisme est une religion. Bien qu’il n’ait pas été organisé en une structure religieuse formelle, il a toutes les fonctions d’une doctrine religieuse. Il possède une épistémologie (théorie de la connaissance) qui lui est propre, une évaluation de la condition humaine et un récit de rédemption. [...]
[...]
La culture occidentale a déjà atteint son point de basculement. La théorie critique est devenue la philosophie sociale dominante, et le wokisme est devenu la nouvelle religion civile. Il y a deux manières concevables dont notre avenir va se dérouler.
La première est que le wokisme se dévorera lui-même et se dissoudra parce que ces idéologies sont intrinsèquement auto-destructrices.
Si la seule chose qui existe est le pouvoir, alors les structures de pouvoir corrompues doivent être détruites. Il se pourrait qu’un nombre suffisant de personnes commencent à se réveiller à la dissonance cognitive qui nous est imposée, mais c’est une vision incroyablement optimiste de la situation actuelle.
Ce qui est plus probable, c’est la deuxième option, à savoir que ces idées seront poussées jusqu’à leur conclusion logique. Dans l’interview mentionnée ci-dessus, Nathan Finochio a dit que «la culture de l’annulation est en fait la conclusion logique de la théorie critique... parce qu’elle doit se débarrasser de la classe oppressive». Rubin a répondu ainsi:
«Je déteste te le dire, mais je pense que c’est la décapitation qui est la conclusion logique de la culture de l’annulation.» [...]
[...] Nous avons déjà vu une zone autonome appelée CHOP (acronyme signifiant aussi ‘couper’: allusion à la Révolution française), et une guillotine montée devant la maison de Jeff Bezos.
Les gens semblent croire qu’une chose comme le «Grand Bond en avant» chinois ne pourrait pas se produire dans le monde occidental, mais c’est précisément cette croyance qui pourrait être notre perte. [...]
La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, remercie George Floyd d'avoir "sacrifié sa vie" pour la justice.
Lors de la conférence de presse organisée par le Congressional Black Caucus après le verdict de culpabilité rendu contre Derek Chauvin, Nancy Pelosi a déclaré:
"Merci, George Floyd, d'avoir sacrifié votre vie pour la justice. D’avoir été là et appelé votre maman, comme c’était poignant: appelé votre ta maman, 'je ne peux pas respirer'. Mais grâce à vous et grâce à des milliers, des millions de personnes dans le monde qui se sont manifestées pour la justice, votre nom sera toujours synonyme de justice."
Cette déclaration a soulevé un tollé sur les réseaux sociaux, y compris dans le camp Démocrate, les internautes qualifiant d'"ignorante" et "bornée" cette façon de laisser entendre que George Floyd serait mort volontairement.
Des images aériennes d’un rassemblement chaotique et violent à Tampa, en Floride, samedi, montrent des policiers repoussés par une foule de personnes dans ce que le chef de la police de la ville appelle un «coup monté».
Lors d’une conférence de presse qui a suivi l’incident, le chef de la police de Tampa, Brian Dugan, a déclaré aux journalistes que ses agents avaient été «pris en embuscade» par la foule et visés avec «des bouteilles et du verre».
«C’est une embuscade. Je n’ai pas d’autre mot pour ça. Quand il y a autant de gens et qu’il est clair que personne n’a été tué. C’était juste un coup monté pour amener les policiers là-bas», a déclaré Dugan, selon WFTS-TV.
Deux agents ont été blessés.
Le chef de la police a parlé de l’ampleur de la foule :
«Ils étaient des centaines – des centaines. Nous avons fini par devoir appeler tous les policiers disponibles cette nuit-là pour intervenir sur place, de New Tampa à South Tampa», a-t-il déclaré.
Un homme a été arrêté pour avoir résisté violemment lors d’un contrôle et violé sa probation,
L’incident de samedi soir a été suivi d’une autre embuscade lundi matin à 7-Eleven, où un suspect a résisté à l’arrestation et a tenté de prendre l’arme d’un officier. Il aurait également frappé l’agent au visage à plusieurs reprises, lui laissant des coupures et des contusions.
«Il y a eu des actes de violence. Les gens se mettent en colère. Ils croient qu’ils peuvent faire n’importe quoiaux policiers impunément.»
«La police ne vont pas se coucher. Nous allons continue à faire notre travail, mais nous sommes très prudents.»
Cenator : À Seattle, une centaine de « manifestants » d’extrême gauche ont pris le contrôle de plusieurs blocs et établi une « zone autonome » sans police. Peu après, un rappeur local en a revendiqué le contrôle et a mis sur pied une force de sécurité intérieure.
L'endroit est désigné sous le nom innocent de "Zone autonome de Capitol Hill" (CHAZ), et des rapports affirment que des activistes armés extorquent de l’argent aux commerces et aux entreprises, interceptent et fouillent les personnes qui entrent dans la zone pour les désarmer, et utilisent la "justice populaire" [lynchages] pour lutter contre la criminalité interne.
Et alors que des villes américaines commencent à déconfiner, des fonctionnaires pourraient être poursuivis en justice si leurs règles ont été trop strictes. Le sénateur Hawley demande au procureur général William Barr d'enquêter pour savoir si des fonctionnaires de l'État ou des collectivités locales ont violé les lois sur la protection religieuse.
Sources :
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Sur Fox News, cinq personnalités croisent le fer sur la légitimité de la « Zone autonome » de Seattle:
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Carmen Best, chef de la police de Seattle :
Dans la « zone autonome », les appels d’urgence ont triplé mais nous ne pouvons plus nous rendre sur place :
Chef de la police de Seattle : Viols, vols et toutes sortes d'actes de violence se produisant dans la zone autonome, sans pouvoir y accéder.
"Nos appels de service ont plus que triplé", a-t-elle déclaré aux journalistes. "Il s'agit de réponses aux appels d'urgence - viols, vols et toutes sortes d'actes violents qui se sont produits dans la zone que nous ne pouvons pas atteindre."
C'est ce qui se passe lorsque les démocrates lancent l'appel pour les citoyens américains. Ils semblent toujours se ranger du côté du mal et cèdent à ce qu'il veut, juste pour gagner plus d'électeurs.
Ils sont capables de les atteindre. Ils ont juste pour priorité de laisser une bande de crétins jouer les révolutionnaires plutôt que d'empêcher les vols et les viols.
- John Hawkins (@johnhawkinsrwn) 12 juin 2020
Tendance : Le juge de Washington condamne le choix de Sullivan d'argumenter ses raisons de continuer à persécuter Michael Flynn
- John Hawkins (@johnhawkinsrwn) 12 juin 2020
Oh mon Dieu, j'ai dit que c'est comme Jones Town, je ne pense pas que les gens connaissent la référence. C'est terriblement triste. Je suggère qu'un grand et beau mur autour de la ville la libère. Peut-être l'État entier. Broad Squad peut s'en occuper Wackastan. La destruction socialiste en temps réel. Le Seigneur des mouches
- Jannywonders (@czarofwonder) 12 juin 2020
C'est Occupy Seattle version 2020 - Les démocrates et les flics n'ont rien fait pour arrêter Occupy dans le passé où la violence, les viols et les crimes se produisaient sans opposition
- #MikeBrady#Dormouse#BelfastChancellor#Sneaksby (@trumpgender) 12 juin 2020
Que veut-elle dire par "ils ne peuvent pas les atteindre" ? C'est la POLICE. Allez-y et faites votre travail, @SeattlePD.
- GiraffinMeCrazy (@GiraffinC) 12 juin 2020
Je commence à voir un schéma ici....tous les départements de police dits racistes sont dirigés par des chefs noirs......Minneapolis, Seattle, et Portsmouth. S'ils sont si racistes, comment cela se fait-il exactement ?
- Warlord Murder Hornet (@HornetStings) 12 juin 2020
Donc c'est littéralement le FAR WEST ? est WYATT EARP ?
- (@MatthewAdessa1) 12 juin 2020
Seattle est choquante. Simplement choquantw. J'y suis allé l'année dernière pour la première fois dans l'espoir de voir la belle ville du passé. Tout ce que j'ai pu penser, c'est : Comment cela peut-il être les États-Unis d'Amérique ? C'est juste un dépotoir. Une décharge. Pareil pour San Francisco.
- Veronik (@nonsensebugs) 12 juin 2020
"Quand les élites culturelles et éducatives passent une génération à dire aux enfants à quel point ce pays est merdique, ils ne devraient pas être surpris que ces enfants deviennent des adultes désireux de le mettre en pièces. Rien de tout cela n'a commencé la semaine dernière ou l'année dernière. Le mal a été fait pendant des décennies" Dan Bongino
- Wayne Dunlap (@wdunlap) 12 juin 2020
La gouverneure d’extrême gauche @JayInslee et le maire de Seattle se font narguer et tourner en bourriques à un niveau que notre grand Pays n’a jamais connu auparavant. Reprenez le contrôle de votre ville MAINTENANT. Si vous ne le faites pas, je le ferai. Ce n'est pas un jeu. Ces sales anarchistes doivent être mis en échec IMMÉDIATEMENT. DÉPÊCHEZ-VOUS !
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Extrait du site web de Stephen Coughlin et Rich Higgins :
Ces dernières années, Antifa a fonctionné relativement sans entrave des forces de l'ordre malgré son recours à la violence. De nombreux analystes attribuent cette "clémence" au fait qu'ils bénéficiaient de la sympathie de la gauche libérale et de l'establishment politique et médiatique […]
"L'objectif d'Antifa n'est rien de moins que de fomenter la révolution, la guerre civile et de faire taire les anticommunistes américains", a déclaré M. Higgins, un ancien expert en guerres irrégulières du Pentagone.
"Le fait de qualifier les partisans et les patriotes de Trump de nazis et de racistes est la norme pour les groupes communistes de gauche".
L'idéologie d'Antifa est au centre du marxisme-léninisme, a-t-il dit.
"Actuellement, Antifa commande et contrôle les émeutes, qui sont elles-mêmes ouvertement utilisées pour exercer de la violence contre des symboles tels que les magasins : le capitalisme ; les monuments : l'histoire ; et les églises : Dieu."
Ce samedi, des manifestations "Black Lives Matter" ont eu lieu dans différentes villes suisses. À Zurich, un policier noir de la ville a été attaqué par un manifestant.
Samedi, des milliers de personnes se sont réunies pour protester contre la discrimination et la violence policière à l'égard des Noirs. Leur slogan : "Black Lives Matter", en allemand "schwarze Leben zählen".
Environ 1000 personnes se sont donné rendez-vous à Zurich. Les manifestants ont commencé leur marche de protestation dans la Bahnhofstrasse. Cette manifestation n'était pas autorisée. La manifestation s'est interrompue sur la Kasernenwiese. La manifestation de Zurich n'a pas été seulement pacifique et ordonnée. Comme on peut le voir sur une photo du site du "Tages-Anzeiger", une femme cagoulée a exhibé une pancarte sur laquelle on pouvait lire «die Spinnen», «die Bullen», «die Schweine.» [NDLR : termes insultants et provocateurs pour qualifier les policiers].
Policier attaqué avec un bâton
Il n'y a pas eu que des dérapages verbaux, mais également de la violence physique. Un reporter-lecteur de BLICK se rendait à son travail lorsqu'il a observé l'agression d'un policier. Ce policier était noir, a déclaré le témoin.
Le policier a été frappé avec un bâton. "Il est ironique qu'un policier noir soit précisément attaqué lors de la manifestation antiraciste", déclare le lecteur-reporter.
[...]
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Critiqué pour ses propos contre l’idée de poser un genou à terre pendant l’hymne américain pour protester contre les violences policières, Drew Brees aurait reçu des menaces de mort, selon sa femme.
Pour le dernier vainqueur français de Roland-Garros en 1983, le combat contre le racisme et les violences policières devrait concerner tout le monde.
« C'est bien que les jeunes s'en occupent mais moi ce qui me gêne c'est que ce sont tous des métis ou des noirs », a déclaré sur France 2 dimanche soir l'ancien champion de tennis, interrogé sur les prises de position de ses compatriotes sportifs Gaël Monfils, Kylian Mbappé ou Jo-Wilfried Tsonga sur ce sujet.
Texte scandaleux de ce média qui ne parle aucunement de toute l'aide que la Suisse envoie en Afrique et aux pays en voie de développement depuis des décennies sans aucun remerciement ni des crimes liés à l'immigration en Europe à l'encontre des Européens.
Tout ne doit être fait que dans un seul sens.
La situation du racisme en Suisse est, selon les spécialistes, sans commune mesure avec celle observée aux Etats-Unis. Les minorités, en particulier les personnes noires, sont toutefois plus souvent contrôlées par la police et toujours nettement pénalisées sur les marchés de l’emploi et du logement.
Samedi après-midi, plus de 5000 personnes se sont rassemblées à Bâle pour une manifestation non autorisée contre le racisme. La police était présente et a distribué des tracts concernant les règles de conduite à suivre du Conseil fédéral [NDLR : règles liées au Coronavirus], mais dans un premier temps, elle n'est pas intervenue.
[...]
Manifestation malgré le Coronavirus
Durant le manifestation, il y a eu également des manifestations spontanées de solidarité entre la police et les manifestants. Des policiers se sont mis à genoux avec les participants de la manifestation pour rendre hommage à George Floyd, tué lors d'une opération de police.
Des photos de cet événement circulent sur les médias sociaux. La police savait que de tels gestes pourraient se produire. "Le commandant de l'incident a laissé aux policiers la possibilité de décider s'ils voulaient participer au geste. Certains l'ont fait", a déclaré le porte-parole de la presse.
[...]
Pour des raisons de proportionnalité et pour éviter l'escalade, le rassemblement n'a pas été dispersé.
[...]
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Un ado ivoirien a mordu des agents lors de son interpellation, le week-end passé à Zurich. La Fédération suisse des fonctionnaires de police craint qu’après l’affaire Floyd les violences envers
Une arrestation en gare de Zurich fait actuellement beaucoup parler d’elle. Sur une vidéo, on voit des agents Securitrans ainsi que des agents de la police cantonale zurichoise en train d’interpeller un Ivoirien de 14 ans. L’ado avait été mêlé à une altercation avec autre jeune de 18 ans. L’enregistrement a été partagé à de multiples reprises sur les réseaux sociaux et associé au mouvement Black Livres Matter, dénonçant la violence policière envers les Noirs.
L’altercation entre les deux jeunes, âgés de 14 et 18 ans a eu lieu un peu après 06h15, indique la police cantonale de Zurich. Le plus jeune a frappé son adversaire à la tête. Le Suisse de 18 ans a dû être transporté à l’hôpital par ambulance.
Les forces déployées sur place ont tenté d’emmener le jeune homme, originaire de Côte d'Ivoire, au poste pour des éclaircissements supplémentaires. Celui-ci a toutefois riposté avec véhémence et à un mordu un employé de Securitrans au bras.
Màj. Cenator : Tout le déchaînement de barbarie qui balaie le monde sous prétexte de la mort de George Floyd et de l’antiracisme s’appuie sur une hypothèse sans aucune preuve : celle que le policier accusé du meurtre de George Floyd avait en tête des pensées racistes.
La seule chose qui est indéniable, c’est qu’il était un des quatre ou cinq policiers présents sur les lieux, et le seul Blanc. En plus, il est marié à une femme qui n’est pas Blanche.
Toute cette insurrection communiste orchestrée contre la réélection de Trump est alimentée avant tout par la haine, qui sert de prétexte aux destructions et à l’imposition de souffrances à des innocents, victimes de ces émeutes, le tout sous une couverture moralisatrice.
Ces émeutiers communistes ne s’embarrassent pas d’injustice lorsqu’ils brisent des vitrines pour « ouvrir » les commerces aux racailles qui les accompagnent. Pour aggraver le bilan final, les émeutiers ont exploité les plus bas instincts de cette frange de la population que sont les pilleurs opportunistes, qui traversent l’existence avec une morale au niveau zéro. Ces communistes sont tous des anticapitalistes, leur « moraline » a justifié l’accès de ces pilleurs aux « sacs Vuitton en libre service », avec en échange le chômage pour tous.
En écoutant nos médias, nous avons constaté que quiconque refuse d’être solidaire de ces émeutiers communistes est immédiatement suspect de racisme. Et donc coupable du pire des crimes, le plus inexcusable aux yeux de la bien-pensance.
Et comme toujours avec la pensée communiste, ici encore les faits réels n’auront aucune importance. Comme le fait que les vols avec violence commis par George Floyd chez des femmes seules ne visaient jamais des Noires.
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« La vérité est le plus grand ennemi de l’État »
Si vous proférez un mensonge assez gros et continuez à le répéter, les gens finiront par le croire. Le mensonge ne peut être maintenu que le temps que l’État puisse protéger les gens des conséquences politiques, économiques et militaires du mensonge. Il devient donc d’une importance vitale pour l’État d’utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, car la vérité est l’ennemi mortel du mensonge, et donc par extension, la vérité est le plus grand ennemi de l’État.
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« Ce qu’il y a d’encore plus effarant dans cette affaire #GeorgeFloyd, outre la mort prématurée d’un être humain, c’est que personne n’a apporté jusqu'à présent la moindre preuve qu’il a été tué à cause du racisme. C’est juste une supposition. Les 4 policiers arrêtés suite à ce drame sont chacun d’une ethnie différente, un est blanc certes mais les autres ne le sont pas. Un est asiatique (Hmong), un est noir et le dernier hispanique. Et rien ne prouve qu’ils auraient traité différemment un blanc arrêté dans le mêmes circonstances. »
Rien ne justifie la vague de racisme anti-Blancs en cours, rien ne donne raison aux masses de gauchistes et d’autres lobotomisés blancs qui plient le genou en mémoire d’un criminel, pour la seule raison qu’il était Noir.
La seule tragédie, c’est ce qui s’est passé après la mort de Floyd, dans le monde et surtout aux États-Unis : tout le pays a sombré dans le chaos, il est au bord de la guerre des races, les villes sont dévastées par les émeutes, les pillages et les destructions.
Toutes les manipulations de masses mondialisées (#metoo, pour le "climat", Floyd...) sont des démonstrations de force des médias de gauche et des néo-marxistes. Ils nous disent par là :
« C’est nous qui décidons l’avenir, votre destin est entre nos mains, nous avons gagné la guerre. »
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Deux jours après la mort de Floyd, ce policier blanc, Cody Holte, 29 ans, a été tué par l’homme à droite sur la photo. Retenez bien son nom, vous n’en entendrez plus jamais parler.
Le choc des civilisations est bien illustré par la différence entre ces deux vidéos:
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Commentaires déjà publiés avant la mise à jour :
OneShot le 06/06/2020 à 11 h 34 min
Un noir US dit la vérité : il a 2000 fois plus de chances de se faire tuer par un noir que par un blanc, un policier, ou un « neo-nazi » : https://www.youtube.com/watch?v=KRTY5BhIJhE
A remarquer que la gauchiste blanche ne supporte pas d’entendre cette vérité et s’en va…
poulbot le 06/06/2020 à 10 h 17 min
Autant de blaireaux qui suivent aveuglement un « gourou » sans prendre le temps de chercher si ce qui est dit est réel, si cela est digne de fois démontre une nouvelle fois le lavage de cerveau de la population de cette planète fonctionne a fond , cela grâce aux systèmes éducatif des pays , de la presse très largement orienter a gauche .
Davenport, Iowa — Italia Marie Kelly, 22 ans, sortait d’une manifestation lorsqu’elle a été mortellement touchée par un coup de feu.
Elle était venue participer à une manifestation contre les violences policières. Tout était d’abord pacifique, mais vers minuit, les manifestants ont commencé à se disputer bruyamment et elle a préféré partir. Elle s’apprêtait à monter dans la voiture d’une amie lorsqu’elle a été atteinte par une balle. Elle est décédée à son arrivée à l’hôpital.
Débat mené par Tania Sazpinar, journaliste de la RTS, avec une large majorité de gauchistes : Magali Philip, responsable réseaux sociaux à la RTS, Jonas Follonier, rédacteur en chef du magazine Le regard libre et journaliste à Bon pour la tête. (Rappel: Bon pour la tête est né le premier jour de l’été 2017, au lendemain de la disparition de L’Hebdo.) François Charlet, juriste spécialisé dans le droit du numérique.
Introduction par une journaliste RTS, ici Anouk Henry, pour donner le « la » anti-Trump aux invités :
Un tweet virulent de Donald Trumpau sujet des émeutes raciales à Minneapolis. Le président dit soutenir l’armée et qu’au moindre problème, quand les pillages démarrent, les tirs commencent. Pour Twitter c’en est trop : le message inciterait les forces de l’ordre à tirer sur les gens. Le réseau social n’a pas supprimé le tweet présidentiel mais il a collé un message d’avertissement : « C’est de l’apologie de la violence ». Ce n’est pas un algorithme qui a pris cette décision, mais le grand patron de Twitter, Jack Dorsey. Au réveil, nouveau tweet de Donald Trump, ulcéré, qui accuse de nouveau Twitter d’être biaisé politiquement.
[...]
Cenator: Pour la RTS, les émeutes en cours dans 140 villes des États-Unis, amenant destruction, pillages, le chaos, sont liées directement aux tweets de Trump et il en porte la coresponsabilité avec le policier qui a (aurait) étouffé George Floyd.
La responsabilité de Trump est mise en avant dans chaque émission de Forum depuis ce décès. C’est la dernière reductio ad Trumpum comme la RTS les affectionne tant.
Bien qu’on ne puisse pas déceler la moindre incitation à la violence ou au racisme dans les tweets de Trump, notre média public n’en est pas à ce menu détail près. Calomnier Trump, c’est une tâche à laquelle la RTS s’attelle chaque jour, car elle n’a jamais accepté le fait même qu’il ait été élu président.
De campagnes de calomnies en hystérie d’impeachment, depuis l’élection de Trump, la RTS n’a pas pris un millimètre de distance par rapport à la propagande démocrate, même la plus extrême, diffusée aux États-Unis.
La gauche suisse importe tout ce que la gauche américaine déverse par ses médias, et l’impose ensuite à notre population.
Et cette imposition du marxisme culturel a totalement gangrené notre société, notre système d’enseignement, nos médias, entraînant la transformation dramatique de notre pays en une société fragilisée par le multiculturalisme et l’incapacité de la majorité à penser par elle-même.
Le marxisme culturel enseigne aux autochtones la culpabilisation de soi (applicable uniquement aux Suisses blancs et forcément riches), la honte de notre histoire (copiée sur les revendications anachroniques faites aux États-Unis avec la chasse aux personnalités historiques), un féminisme totalement artificiel (comme les manifestations #me too), la promotion des déviances LGBT (les parlementaires suisses débattent actuellement du mariage pour tous, de la procréation pour tous et bientôt de la gestation pour tous), les délires du changement climatique érigés en science et suivi de mesures suicidaires pour le sauver... en somme, tout ce que la dégénérescence de la gauche américaine engendre est rapidement imposé d’une manière incontournable par la gauche en Suisse.
Cette vision déformée et destructrice du monde devrait trouver une certaine opposition, si la population était correctement informée.
Mais justement, la totalité de nos médias est dominée par la gauche, qui impose sa vision du monde, formate l’inconscient collectif, canalise les gens hypnotisés et foncent tête baissée pour défendre les causes gauchistes. Les voix dissidentes sont inexistantes ou inaudibles. Le dernier « dissident » de la RTS remonte au 26 novembre 2014, lorsqu’elle avait invité Zemmour à un débat.
Il y a tout un pan de la réalité dans le monde que la plupart des Romands ignorent. Par exemple, tout le monde a entendu durant les quatre ans écoulés que Trump était sur un siège éjectable, qu’il est nuisible, tricheur, sexiste, raciste, grossier, incapable, dangereux pour la paix aux États-Unis et dans le monde, etc. mais peu savent ce qu’est l’Obamagate.
La grande différence dans l’information aux États-Unis et en Suisse romande, c’est que TOUS les Américains ont appris, grâce à la présence de médias idéologiquement non biaisés, que les accusations de complot et de manipulation électorale contre Trump ont été fabriquées de toutes pièces. Cette information arrive même chez les Démocrates les plus fanatiques.
Chez nous, aucun démenti n’est fait, les journaleux passent sans broncher à la calomnie anti-Trump suivante. En Suisse romande, l’Obamagate n’a tout simplement jamais existé, tout n’est plus que de la propagande. Et cela se passe ainsi pour tout politicien qui est souverainiste, que ce soit Orban, Bolsonaro ou Salvini.
Il n’y a rien qui puisse freiner la diffusion de cette désinformation déferlante, ces mensonges, aucune voix ne s’élève publiquement pour exprimer le ras-le-bol.
L’État suisse se charge de sauver la presse chroniquement en péril, il s’abonne un maximum dans ses services tentaculaires et verse des dizaines de millions pour « sauver l’information indispensable à la formation de l’opinion des citoyens ».
La léthargie de la population à tout accepter vient de plusieurs facteurs.
Tout d’abord, en cas d’expression d’une idée mal-pensante, le poids des risques encourus : la crainte de perdre son emploi, d’être stigmatisé, malmené, rejeté.
La population suisse a intériorisé une certaine culpabilité permanente.
Ensuite, les villes sont si multiculturelles que les autochtones s’y trouvent minoritaires et en plus la gauche y est très organisée, accompagnée par la publicité des médias qui leur garantit le succès de leurs manifestations.
La tragédie de la Suisse, c’est aussi la pléthore d’ONG gauchistes sur son sol, qu’elle subventionne et chérit, gangrenées également par le marxisme culturel anti-occidental, tiers-mondiste, pro-chinoises. S’ajoute à cela une concentration d’associations gauchistes locales. Ensemble, elles représentent une force politique incontournable, définissent avec les médias les résultats des votations, en faisant un hold-up sur notre démocratie. Elles sont les juges officiels d’un tribunal au dessus des lois, hostile aux souverainistes, aux populistes. Les remettre en question s'apparente à une hérésie, et les hérétiques sont réduits au silence par tous les moyens.
Et le résultat est là : la Suisse a cédé insidieusement son libre arbitre à ces institutions, ils ne sont plus maîtres dans leurs propre pays, la « moraline » de gauche de ces institutions est imposée comme une identité aux Suisses, comme un ADN, comme notre réputation à laquelle personne ne peut se soustraire. Comme si l’histoire de la Suisse avait commencé après la Deuxième guerre mondiale, et comme si notre survie dépendait de ces institutions (ONU, HCR, OMS...). Dès qu’elles sont critiquées, la bienpensance sort ses griffes et les défend inconditionnellement, même les plus pourries.
Dans l'ensemble, démographiquement, la Suisse n'est pas encore menacée comme aux USA par le fait que des autochtones deviennent minoritaires sur leur sol. Mais dans les villes romandes, la bascule va arriver sous peu. L'identité de Blanc d'origine chrétienne y est menacée, et contrairement aux immigrés venant d'autres continents, les Blancs n'auront pas une patrie de rechange. Le fait que le plus haut taux d'infection au covid viennent aussi de ces endroits est un symptôme d'une maladie incurable parmi d'autres que nos médias, nos autorités refusent de voir en face.
Cette situation désastreuse pourrait être sauvée par l’internet, qui devient la principale source d’information pour ceux qui refusent l’endoctrinement.
Mais là aussi, les GAFA ont passé en main des Démocrates, et se permettent de filtrer l’information selon leur convenance idéologique ou électorale sous prétexte de fact checking, de lutte contre la désinformation et de blocage des fake news.
Dans les médias de Suisse romande, nous n’entendrons jamais, concernant cette censure, que ce ne sont que des gauchistes qui censurent ceux qui ne pensent pas comme eux.
Par exemple, dans cette logique gauchiste, il est tout à fait normal que Twitter censure Trump, le président démocratiquement élu des États-Unis, lorsqu’il se permet de parler de faire intervenir l’armée pour stopper des émeutes destructrices et sanglantes, ou de critiquer la validité du vote par correspondance.
Voici un extrait du Forum du 29.05.2020:
Magali Philip responsable réseaux sociaux à la RTS, se lâche (12:13) : « J’invite Monsieur Follonier à venir passer une journée à modérer les contenus sur Facebook avec nous pour se rendre compte un petit peu de ce qui est publié et surtout de la manière dont tout ça se propage. »
Donc Magali Philip censure non seulement les médias sociaux de la RTS mais apparemment aussi le contenu de Facebook Suisse !
Puis le rédacteur en chef de Bon pour la tête apporte sa solution « pour lutter contre la polarisation » :
La solution est la diversité des médias. Et déplore aussitôt que l’affaire Twitter/Trump va plutôt aider les Républicains dans leur côté binaire.
Sans commentaire!
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Forum revient sur les émeutes aux États-Unis le 1.06,le 2.06,le 3.06, et certainement les jours à venir.
Idem pour le TJ de 19h30. Les reportages sur la souffrance des Noirs américains se succèdent. Le 3.06, une star du basket suisse, Thabo Sefolosha, qui joue dans une équipe de la NBA, témoigne. Il a été blessé lors d’une arrestation en 2015 à New York en sortant d’une boîte de nuit. Il avait résisté à son arrestation et s’est retrouvé avec une fracture du péroné. Le Veveysan Thabo Sefolosha a gagné le procès contre la police de New York et a été indemnisé à hauteur de 4 millions de dollars, mais garde malgré tout un souvenir douloureux.
Philippe Revaz : Est-ce que vous sentez la discrimination au quotidien aux États-Unis ?
Thabo Sefolosha : Les lois ont été mises en place d’une façon qui empêche de les attaquer, le système est fait pour ralentir certains en termes de développement et mettre d’autres en avant !
Philippe Revaz : C’est du racisme ?
Thabo Sefolosha : Ça fait partie de la culture, de l’état d’esprit de beaucoup, ça dure depuis longtemps. Malgré les vagues de protestation, c’est toujours les mêmes problèmes, rien ne change.
Philippe Revaz : Ça vous inquiète d’entendre Trump évoquer « la loi et l’ordre » avec des accents nixoniens ? Il veut briser les émeutiers. Est-ce que tout ça va bien se terminer ?
On dirait que la RTS souhaite la guerre civile, la destruction des États-Unis pour arriver à l’accomplissement de son vœu le plus cher, la non-réélection de Trump.
Et les prises de positions victimaires du côté des Noirs continuent.
Le 19h30 s’est rendu à Genève dans un salon de coiffure africain pour dénicher la violence raciste. Une cliente se demande si elle est à l’abri de ces problèmes.
Une coiffeuse : Je n’ai jamais vécu ça ; je ne veux pas dire n’importe quoi devant caméra mais je veux que ça cesse.
Une employée du salon dit qu’en Suisse le racisme est plus latent qu’aux États-Unis où vit sa famille. Elle n’a pas été forcément insultée ou tabassée à cause de sa couleur de peau mais le racisme est indirecte. Cela lui est arrivé dans le train, que, lorsqu’elle s’asseyait, la personne en face se lève et parte et on comprend tout de suite que c’est du racisme.
En Suisse les plaintes racistes sont en hausse : 352 cas en 2019, soit 80 de plus qu’en 2018, 30% d’augmentation en un an.
Changement de ville : Lausanne. Chacun des six Noirs interviewés affirme avoir vécu des violences policières liées à leur couleur de peau. En 2016, ils ont créé leur association, « À qui le tour ».
Témoignages: « Tu dois faire attention à tout ce que tu fais quand tu rentres dans les magasins pour que les gens ne disent pas : c’est un voleur, qui va prendre un truc. » Les magasins auraient alors bien du boulot au centre ville de Lausanne, où souvent une grande partie des clients sont des Noirs...
« On doit montrer patte blanche absolument partout, dans tout ce qu’on fait. En Occident c’est épuisant d’être Noir. Nos parents ont dû baisser la tête et accepter cela. Mais nous, on est né ici. »
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Les journalistes ont de la peine à cacher la satisfaction que leur procurent ces émeutes, ces pillages, ces désordres, ces plaintes démontrant par là leur profonde immoralité.
Pour tous ces journalistes partisans, TOUT est préférable à une réélection du Président Trump. Exemples :
Le spécialiste invité de Tania Zaspinar au Forum du 3.06, Dominique Moïsi, géopolitologue et cofondateur de l’Institut français des relations internationales, conclut ainsi son interview : Le moyen pour les gens de dire ce qu’ils pensent de tous ces problèmes raciales, c’est de voter contre Donald Trump le 3 novembre 2020.
La veille, c’est Boris Vejdovsky, maître d’enseignement de culture et de littérature américaine à l’Université de Lausanne, qui vient battre sa coulpe de Blanc et justifier le déchaînement de barbarie qui secoue des villes aux États-Unis. Trump serait le responsable de tout, y compris du bilan économique désastreux, et Boris Vejdovsky pleure Obama, qui pourrait sauver les Noirs.
Lundi, c’est Élodie Grossi, maîtresse de conférence à l’Université de Toulouse, sociologue et historienne spécialiste des questions raciales aux États-Unis.
Les auditeurs apprennent que si le Covid-19 tue plus de Noirs, cela s’explique par des inégalités systémiques raciales et sociales post-esclavagistes, par manque d’accès aux soins, alors qu’il y a bien d’autres facteurs, comme le non-respect des consignes d’hygiène, qui est, comme nous le constatons, le dernier souci des émeutiers. Tout ce misérabilisme sur le classement des gens selon la couleur de leur peau est totalement clivant, néfaste, il est stigmatisant et raciste.
Les journalistes RTS, jubilent à l’idée d’une contagion des émeutes, et répètent depuis des jours: « Ça va venir aussi chez nous, comme le mouvement #me too ? »
Si ces journalistes avaient le moindre respect pour le peuple américain, Noirs et Blancs, ils ne chercheraient pas à justifier implicitement les pillages, les incendies, les vies détruites du fait de ces actes de vandalisme. Nier ou ignorer le travail de sape des Antifas, continuer à diffuser la propagande victimaire dans les médias, jetant ainsi de l’huile sur le feu en donnant raison aux émeutiers, c’est soutenir la destruction de la vie de beaucoup d’Américains innocents, c’est se faire coresponsable du chaos et des destructions en cours juste pour des raisons électorales. Aucun autre point de vue ne peut être entendu à la RTS, chaque jour c’est pareil.
La RTS et la totalité des médias officiels en Suisse romande haïssent le peuple américain, ou du moins la partie de ce peuple qui incarne les valeurs américaines. Ces émeutes vont amener la misère, des vies détruites, et la Gauche table sur le fait qu’ainsi Trump va échouer!
Ces émeutes en cours sont une dernière tentative pour renverser Trump, après que toutes les autres tentatives ont échoué.
La gauche ne connaît pas d’autres méthodes, c’est ainsi depuis 1917. Il faut toujours monter les groupes d’individus les uns contre les autres, pour tirer avantage des clivages ainsi fabriqués et arriver au pouvoir. La morale de la gauche est la suivante, la fin justifie les moyens. Et elle ne recule devant rien pour y arriver. Nous apprenons par la TV hongroise M1 (1er juin) que 85% des manifestants de Minneapolis sont arrivés en bus d'autres villes et que ce sont les plus violents.
Ces pillages, ces incendies vont laisser des gens économiquement détruits, il y a déjà eu plusieurs morts.
… These THUGS are dishonoring the memory of George Floyd, and I won’t let that happen. Just spoke to Governor Tim Walz and told him that the Military is with him all the way. Any difficulty and we will assume control but, when the looting starts, the shooting starts. Thank you!
(Ces VOYOUS déshonorent la mémoire de George Floyd, et je ne laisserai pas faire cela. Viens juste de parler au gouverneur Tim Walz et lui ai dit que l’armée est à ses côtés tout du long. À la moindre difficulté, nous reprendrons le contrôle, mais : quand les pillages commencent, les tirs commencent. Merci ! »)
La spécialiste Élodie Grossi, dans son interview à Forum citée plus haut, prétend que Trump « attise la contestation » en utilisant dans ses tweets des termes « extrêmement violents », et donne comme exemple le fait que Trump emploierait le terme de « thugs » pour désigner « la communauté africaine-américaine » !
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À notre connaissance, les médias en Suisse romande n'ont jamais parlé de l’assassinat, à Minneapolis, d’une femme blanche, Justine Damond, abattue à bout portant par un policier d’origine somalienne, « par erreur ». Cette femme sans histoires était en pyjama, non armée, et avait appelé la police parce qu’elle avait entendu dans son voisinage des bruits faisant penser à une agression. La photo des deux expliquera pourquoi cela n’a pas attiré l’attention de nos médias bien-pensants.
L’indignation variable en fonction de l’échelle chromatique, qu’est-ce que c’est, sinon du racisme ?
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Tony Timpa est mort dans les mêmes circonstances que George Floyd, mais comme il est Blanc vous n’en avez jamais entendu parler :
Vidéo en anglais : « Les caméras piétons des policiers de Dallas montrent le moment où Tony Timpa a cessé de respirer »
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Avant de classer la mort de George Floyd comme « crime raciste », il faut la remettre en perspective, en rappelant quelques statistiques officielles (source : Contre-Info) :
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