Une policière du 14ème arrondissement a fourni des renseignements à un fiché S sur des policiers catholiques pratiquants

Une policière, cheffe de brigade de nuit dans le 14ème arrondissement a fourni des renseignements à l’un de ses voisins. Un homme radicalisé, fiché S.

Des renseignements très détaillés et très personnels sur ses collègues policiers du 14ème arrondissement. Les forces de l’ordre du secteur vivent dans la crainte que ces informations aient été diffusées dans les réseaux djihadistes. Les faits remontent à il y a plus d’un an. Une enquête a depuis été ouverte par l’IGPN, une autre par les services de renseignement de la préfecture de police

 

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Fiché S pour islamisme radical, le patron d’une société de nettoyage travaillait pour le ministère des Armées

C’est une faute qui fait tache, et qui est intervenue quelques jours après l’attentat de la Préfecture de Police de Paris, le 3 octobre dernier, révèle le Canard Enchaîné ce mercredi. Une découverte plutôt gênante qui a été faite par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).

« À quoi bon s’embêter à répertorier et à surveiller les radicalisés, pour notamment s’assurer qu’ils n’ont pas accès à des informations sensibles, si les autres administrations se foutent de notre travail ? », a glissé un agent du contre-espionnage à l’hebdomadaire bien renseigné.

Vérifier systématiquement les antécédents et accréditer les personnels des entreprises prestataires du ministère font pourtant partie des missions de la Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense (DRSD). Mais le contrôle des chefs de ces entreprises n’est visiblement pas systématique, lui. Toujours selon le Canard Enchaîné, le contrat qui liait l’entreprise dirigée par cet homme fiché S pour islamisme radical au ministère, s’élevait à près de 73.000 euros hors taxes. Il portait sur le « nettoyage périodique des locaux et de la vitrerie » de la caserne Lourcine.

Située dans le XIIIe arrondissement de la capitale et jouxtant un lycée, cette caserne présente une capacité de 208 chambres. Elle héberge des « cadres célibataires » de l’armée, de passage à Paris. [..]

Actu17

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France. Laurence Blisson (magistrature) : expulser les fichés S mettrait “en danger notre démocratie”

Nous parlions déjà de cette femme ici: France : Une magistrate craint que les Fichés S soient stigmatisés par la population 

Loin d'avoir honte, elle prend encore une fois le parti des fichés S après un attentat, alors qu'elle sait pertinemment que la police française ne possède ni les moyens financiers ni les moyens humains pour contrôler tous ces fichés S.

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Invitée de Caroline Roux dans C dans l’air lundi 14 mai 2018, Laurence Blisson, secrétaire générale du Syndicat de la magistrature, défend son idée de la démocratie. Le problème, c’est que ses principes fonctionnent dans un État de droit avec des gens qui le respectent. Quand on bascule dans une situation plus dure, ces principes ne protègent plus la population. Ils se retournent même contre elle.

 

 

 

Le syndicat de la magistrature est cette chose de gauche créée en 1968 pour s’opposer à la « dictature » gaullienne en matière de justice. Un demi-siècle plus tard, ce repère de juges de gauche (à l’origine du « mur des cons ») a imposé à la France une justice qui pose problème, car les conditions ont changé : nous avons sur notre territoire entre 5 000 et 20 000 individus susceptibles de passer à l’acte... terroriste.

Il ne s’agit pas ici de savoir qui organise ces tueries dans la population, mais comment on peut, en amont, bloquer ou freiner le processus. Ce que nous propose Laurence Blisson, eh bien c’est de respecter le droit, et donc la présomption d’innocence de ceux qui peuvent basculer.

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Un fiché S devenu gardien de la Paix et un Sébastien Jallamion chassé de la police ??? Rêve ? Non cauchemar…

Par Christine Tasin

Une bonne âme, sans doute, a cafté en envoyant un courrier anonyme à RTL… Il reste forcément des policiers loyaux en notre beau pays.

Nous apprenons donc qu’un musulman adepte de « l’islam radical »,  avait été fiché S en 2012, identifié et repéré par la DGSI alors qu’il voulait faire carrière dans l’armée, puis, à défaut, dans la police.  Fiche transmise au Ministère de l’Intérieur…

Ce qui ne l’a pas empêché d’être recruté comme adjoint de sécurité… adjoint donc des forces de l’ordre !

Je connais, quant à moi, de vrais et authentiques patriotes, pas radicalisés du tout, évidemment, légalistes et tout et tout… qui n’ont jamais pu postuler même à un tel poste puisque le bureau chargé de donner le feu vert n’a jamais répondu à leurs multiples sollicitations.. Sans doute sont-ils fichés S pour patriotisme, et c’est bien plus grave que d’être un musulman « radicalisé ».

Bref, le bonhomme passe 3 années tranquilles comme adjoint de sécurité, il ne laisse rien paraître… et que croyez-vous qu’il advint ? La DGSI supprime sa fiche S !!! Comme si la DGSI n’était pas payée pour savoir ce qu’est un agent dormant, un terroriste dormant !

Et c’est ainsi que l’ex-fiché S, depuis le 22 septembre, est devenu gardien de la paix, après formation à l’école de police.

Il a ainsi peu bénéficier d’une formation  aux arts martiaux, au tir, au maniement des armes. Il a ainsi pu avoir accès à des données fort intéressantes sur les lieux où sont munitions et armes de la police, les caches, les rondes…

Et ce musulman est peut-être un terroriste en puissance qui va pouvoir entrer partout, même dans des écoles…

Et ce gardien de la paix, musulman, sera peut-être un jour recruté par les bureaux de la PJ pour interroger un Pierre Cassen ou une Christine Tasin et rendre compte au parquet qui devra, d’après son rapport, décider ou pas de poursuivre…  J’ai en effet découvert, en lisant le dossier d’une plainte contre Pierre Cassen que le policier qui l’interrogeait faisait des rapports avec moult modalisateurs ( petits mots donnant son avis, des « sic », des points de suspension…). J’ai eu le plaisir de le rencontrer il y a un mois pour un nouveau procès et je lui ai demandé la raison de son intrusion dans des rapports qui, pensè-je naïvement, devaient être objectifs. Il m’a assuré qu’il faisait son travail, qu’il devait donner, en sus des réponses des  interrogés, donner son sentiment, et que, d’ailleurs, il le donnait souvent par téléphone au parquet qui décidait, sur son rapport, de poursuivre ou pas. Je lui ai dit mon étonnement, doutant de l’impartialité des policiers selon leurs choix politiques… ou religieux. Il m’a assuré que naturellement les policiers chargés du droit de la presse et de l’apologie du terrorisme étaient, forcément impartiaux… Tu parles, Charles.

Pendant ce temps, Sébastien Jallamion, pour avoir mis sur son compte facebook anonyme une cible visant le chef de l’EI, a été mis dehors de la police et a dû payer 5000 euros d’amende.

Pendant ce temps, d’inoffensifs défenseurs de leur patrie sont poursuivis pour menace de mort pour avoir simplement mis une tête de sanglier sur une mosquée…

Nous sommes sous des gouvernements pourris depuis des lustres.

Nous sommes en danger, chaque jour davantage. L’armée et la police envahis, comme le veulent les Frères musulmans, avec la complicité de ceux qui sont à notre tête.

Christine Tasin

Source : Résistance Républicaine

France: Un fiché S encadrait les mineurs d’un foyer

En août, France Bleu révèle qu'un jeune homme de 24 ans a été licencié du foyer pour jeunes dans lequel il travaillait, à Caen. Son employeur a découvert qu'il était fiché S et mis en examen pour s'être rendu en Syrie.

Depuis décembre 2015, cet homme de 24 ans est mis en examen, avec son frère, âgé de 21 ans, pour "association de malfaiteurs en vue de préparer un acte de terrorisme". Ces deux habitants d'Hérouville-Saint-Clair, dans le Calvados, sont suspectés de s'être rendus en Syrieen 2014.

France Bleu révèle ce mardi matin qu'alors même qu'il était mis en examen, le jeune homme de 24 ans, qui est également fiché S, a travaillé de nuit dans un foyer pour jeunes de Caen. De juillet 2015 à août dernier, il a été engagé en CDD pour surveiller sept jeunes dans ce foyer d'une association pour la sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence (ACSEA).

Une soirée d'hommage à un djihadiste mort

Ses employeurs n'étaient pas au courant de sa situation judiciaire, car le jeune homme, qui a dû présenter un extrait de son casier, n'a jusqu'ici jamais été condamné. Son contrat a pris fin lorsque, en août dernier, le Normand a été arrêté chez lui, avec son frère.

Ils n'auraient pas respecté leur contrôle judiciaire, qui, selon France 3, les astreignait à ne pas entrer en contact avec certaines personnes de leur entourage. D'après la chaîne, les deux frères sont aussi poursuivis pour avoir rendu hommage à un djihadiste mort en Irak, lors d'une soirée. Un juge antiterroriste de Paris a demandé leur placement en détention, mais les deux hommes ont finalement été laissés libres. 

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Genève: La difficile surveillance de la grande mosquée

La situation est confuse. En plus des traditionnels conflits internes à la mosquée et des tensions avec des fidèles, une mésentente entre la direction de la FCIG et le consulat saoudien à Genève devient un secret de Polichinelle. Quant aux rapports entre la fondation et les autorités genevoises, ils relèvent de l’entente cordiale. (...) Pour le directeur du Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen, «l’Etat de Genève, de concert avec la communauté musulmane, devrait proposer cette option dans le but d’assainir les relations de la fondation avec ses interlocuteurs». Il n’est pas question pour l’Etat de s’ingérer dans les affaires d’un lieu de culte, mais de rester attentif à la FCIG, laquelle regroupe une école de langue arabe et de civilisation islamique, propose des activités culturelles, œuvre dans l’orientation professionnelle pour les jeunes et détient des biens immobiliers.

Dialogue maintenu

Le chef du Département de la sécurité et de l’économie, Pierre Maudet, «attend que la direction de la mosquée soit ouverte au dialogue. C’est une voie que le magistrat souhaite poursuivre», indique sa chargée de communication. (...) En clair, beaucoup reste à faire.

Voie diplomatique

La Suisse peut-elle manifester son inquiétude aux autorités saoudiennes liées à la mosquée du Petit-Saconnex? «Les autorités politiques observent de la retenue quand il s’agit de l’Arabie saoudite. (...)

Contrôle des employés

Comment savoir si une personne est fichée en France? Les autorités suisses n’ont pas accès au système de fiches S géré par les services de renseignement français. L’échange de ce genre d’informations ne figure pas dans l’accord de Paris qui encadre la coopération transfrontalière en matière judiciaire, policière et douanière. En fait, cette transmission se fait au cas par cas, avec difficulté.

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Genève: Boss de la sécurité de la mosquée, il est fiché S en France

Le nouveau responsable du lieu de culte chargé de surveiller les fidèles est soupçonné de radicalisme par Paris.

Le Département cantonal de la sécurité a récemment pris connaissance de sa présence et de son statut. Son chef, Pierre Maudet, a pris contact «avec la direction afin qu’elle fasse preuve de diligence dans les nominations internes». Le chef de la sécurité étant au bénéfice d’un contrat de droit privé et titulaire d’un permis frontalier, la marge de manœuvre de l’Etat est toutefois limitée pour intervenir.

Le directeur de la Fondation culturelle islamique de Genève, qui gère la mosquée, assure de son côté que «rien chez cet employé n’indique un mauvais comportement. Et le fait que les autorités suisses lui aient délivré le permis de travail nous donne un sentiment de sécurité».

 

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France. Nîmes: La victime n’avait pas de montre, Nasser (fiché S), la frappe avec un couteau

Le 19 septembre à Nîmes, Nasser, 20 ans, de nationalité djiboutienne, a frappé d’un coup de couteau Céline (le prénom a été modifié), qui promenait son chat, et l’a jetée à terre. Quelques secondes plus tôt, il avait abordé la victime dans la rue et lui avait demandé l’heure. La quadragénaire n’avait pas de montre. Le jeune homme l’a alors insultée, a sorti un couteau suisse et l’a frappée. Par chance, des passants qui se trouvaient à proximité sont intervenus pour porter secours à la victime.

Hier (jeudi 22/09), lors d’une comparution immédiate, Nasser a répondu de manière laconique aux questions du président du tribunal correctionnel. Quelques réponses concernant son identité. Rien de plus. Le jeune homme refuse de s’expliquer. Nasser est par ailleurs mis en cause dans deux cambriolages à la Maison de la main et au centre de formation des apprentis, qu’il a reconnus sans difficulté. Ses seules déclarations ont été recueillies lors de sa garde à vue.

Froidement mais toujours sans plus d’explications, ce jeune garçon fiché S et assigné à résidence depuis le 22 novembre 2015 aurait décrit l’agression particulièrement violente du 19 septembre. Défendu par Me Céline Moulinat, Nasser a été condamné à 10 mois de prison et écroué.

Midi Libre version papier du 23 septembre 2016

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France. Radicalisation : deux fichés S laissés en liberté après avoir rompu leur contrôle judiciaire

Selon RTL, deux frères mis en examen et considérés comme proches de la mouvance islamiste ont été laissés libres. Yassin et Cellal Killic avaient pourtant rompu leurs obligations de contrôle judiciaire et sont considérés comme dangereux.

Les deux frères originaires du Calvados avaient été interpellés le 17 août dernier pour n'avoir pas respecté leur contrôle judiciaire. Yassin et Cellal Kilic avaient été mis en examen en décembre 2015 après un voyage en Syrie. Les deux frères considérés comme dangereux et suspectés d'être proches de la mouvance radicale, ont été laissé libres bien que n'ayant pas respecté leur contrôle judiciaire.
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