Une belle semaine pour la liberté d’expression

Jolie semaine qui vient de s'écouler, avec plusieurs bonnes nouvelles, ce qui n'arrive pas si souvent.

Le 27 octobre, Facebook - pardon, Meta - perdit 20% de sa valeur boursière, touchant un plus bas depuis 6 ans. Il semble que les milliards dépensés dans le "metaverse" n'ont donné qu'un échec prévisible. Au cours de la session boursière, Mark Zuckerberg perdit 11 milliards de dollars dans l'aventure. Possédant 350 millions d'actions de Meta, le milliardaire de gauche se plaçait troisième dans la liste des plus riches de Bloomberg, derrière Jeff Bezos et Bill Gates. Avec les 38 milliards qu'il lui reste, il pointe désormais à la 23e place du classement. On ne le plaindra pas trop.

Le même jour, Amazon perdit également 21% de sa valeur boursière en une journée. Un avertissement sur bénéfices, un département AWS dont les recrutements ont été bloqués et une mauvaise gestion d'entreprise en sont la cause. Les marges s'érodent, passant de 4% à 2%. Au cours de cette journée, l'autre milliardaire de gauche Jeff Bezos perdit 90 milliards de dollars de son côté.

Personne ne s'attend à ce que ces gens ne mangent plus à leur faim, mais la question n'est pas là. Les membres de la super-caste ont tendance à estimer que les choses se changent en or à la seule force de leur volonté. Leurs récentes mésaventures boursières peuvent leur instiller une dose de rappel d'humilité, modeste mais ô combien nécessaire.

Mais le point d'orgue de la semaine est évidemment la prise de contrôle effective de Twitter par Elon Musk. Il est décrété "de droite" non pas parce qu'il vote ainsi, mais parce qu'il est resté sur le bord du chemin que la gauche américaine emprunter vers un extrémisme de plus en plus outrancier chaque jour.

Notons l'approche fondamentalement différente des trois milliardaires vis-à-vis de la liberté d'expression:

  • Mark Zuckerberg influe directement sur les opinions qui peuvent avoir cours sur les réseaux sociaux qu'il possède, par des biais algorithmiques et de la censure.
  • Jeff Bezos interdit certains ouvrages sur Amazon et promulgue des valeurs woke à tous les étages du diffuseur maison Amazon Prime. Début 2021, il tenta d'abattre le réseau social Parler, coupable d'être populaire auprès des Conservateurs américains, en lui coupant du jour au lendemain l'accès à tous ses serveurs.
  • Elon Musk prend le contrôle de Twitter pour restaurer la liberté d'expression, c'est-à-dire permettre tout ce qui autorisé dans la loi. Il prévoit que les utilisateurs de Twitter puissent mettre en place leurs propres filtres.

Le rachat de Twitter était en gestation depuis avril. Ce vendredi, Elon Musk entra donc dans les locaux de Twitter et commença à purger l'entreprise de tout le personnel non productif à ses yeux, soit 75% des 9000 employés. Mais surtout, il promit de ramener la liberté d'expression sur la plateforme, suscitant les cris et les pleurs stressés de milliers de wokes fragiles, incapables d'imaginer un monde où ceux qu'ils détestent puissent s'exprimer.

La censure de Twitter était sans doute la plus intolérable de toutes parce que Twitter n'est rien d'autre qu'un flux d'information. Vous pouvez vous servir de Facebook pour poster des recettes de cuisine ou d'Amazon pour acheter une lampe, mais Twitter n'existe que pour rapporter des nouvelles ou en commenter.

Beaucoup de gens pensent qu'une certaine forme de censure est "nécessaire". Pauvre gens. Aussi bien intentionnés soient-ils au départ, la censure finit toujours par dériver. Elle est si pratique! Elle permet d'éviter de discuter de tous les sujets gênants pour ceux qui sont aux commandes. Elle évite d'avoir à fournir des arguments. Elle est la seule ligne de défense contre une arme puissante comme l'ironie.

Pour mémoire, voici une liste non-exhaustive de points de vue qui pouvaient entraîner, une semaine plus tôt, une fermeture de votre compte sur Twitter:

  • Le mariage concerne un homme et une femme.
  • Les hommes ne peuvent pas porter d'enfant.
  • Les garçons ont un pénis et les filles un vagin.
  • Les transgenres sont des malades mentaux.
  • Toutes les vies comptent (All lives matter).
  • L'avortement n'est pas une bonne chose.
  • Les élections américaines de 2020 ont fait l'objet de fraudes massives.
  • Les émeutes du 6 janvier au Capitole ont été organisées par le FBI.
  • Dire à des journalistes licenciés qu'ils devraient "apprendre à coder" alors qu'ils ont créé cette expression pour se moquer des employés du charbon perdant leur emploi.
  • Le Grand Remplacement est une réalité.
  • Le racisme anti-blanc existe au même titre que les autres.
  • Le COVID est issu d'un laboratoire chinois.
  • Le "vaccin" anti-COVID est inefficace, a des effets secondaires néfastes, est plus dangereux que la maladie qu'il prétend combattre, ou n'est simplement pas pertinent pour les gens qui ne sont pas à risque.
  • Le port du masque est inutile.
  • Joe Biden est un pédophile, corrompu, incestueux, et a monnayé la position des États-Unis contre des pots-de-vin.
  • Hunter Biden est un pédophile, un drogué, incestueux, et a vendu l'influence de son père en Ukraine et ailleurs.
  • L'Ukraine commet des violences contre sa population.
  • Des parodies de n'importe quel sujet ci-dessus.

En revanche, les vidéos de décapitation d'otages américains par Daesh ou l'appel au meurtre de juifs par les autorités iraniennes n'ont jamais été punies du moindre bannissement.

La question n'est pas d'être d'accord ou non avec les éléments de la liste ci-dessus. La question est de tolérer que d'autres puissent être d'accord et, surtout, que chacun puisse en discuter.

L'outrage est grand dans la gauchosphère. Le Washington Post - acheté par Jeff Bezos - affirma ainsi que maintenant que Musk détenait Twitter, la seule chose à faire était de brûler son compte.

Taylor Lorenz, une journaliste woke de la publication, déclara que "les portes de l'enfer venaient de s'ouvrir" avec le retour de la liberté d'expression sur Twitter. Mme Lorenz n'employa jamais de tels termes en parlant de l'inflation galopante aux États-Unis, du renvoi arbitraire de tous ceux qui perdirent leur emploi simplement pour avoir refusé qu'on leur impose l'inefficace vaccin contre le Covid, pas plus que lorsque l'Armée américaine fuit l'Afghanistan la queue entre les jambes en laissant un trésor d'armes de haute technologie entre les mains des Talibans. Non, les portes de l'enfer ne s'ouvrent que face à des gens pouvant s'exprimer librement...

Nous verrons ce qu'il en est à l'usage, mais je suis assez confiant. D'autant plus que nous assistons à un mouvement de fond. Kayne West vient mi-octobre de proposer d'acheter l'application Parler. Et Truth Social, le réseau lancé par Donald Trump, fait son bonhomme de chemin, devenant même en avril l'application la plus téléchargée sur l'App Store, même si Google freine toujours des quatre fers pour l'autoriser sur Google Play.

Le discours en ligne se libère enfin à nouveau. Cela correspond à un besoin. C'est la meilleure chose qui puisse advenir pour la santé du débat public.

Ceux qui tremblent appartiennent à deux catégorie: les gens trop terrorisés pour supporter une contradiction, et ceux dont les positions reposent sur tant de mensonges qu'ils doivent contrôler l'information pour maintenir leur pouvoir. Les premiers devraient se tenir éloigné des réseaux sociaux. Les seconds n'auront que ce qu'ils méritent.

En censurant le débat sur le laboratoire de Wuhan, Facebook a montré son vrai visage

La censure décidée par Facebook au sujet du laboratoire de Wuhan montre «son vrai et laid visage»: le géant de la technologie est condamné pour «s’être fait bien voir de la Chine» et avoir étouffé la liberté d’expression par une interdiction – qui n’a été levée qu’après que Biden a ouvert une enquête.

  • Facebook dit qu’il laissera (à nouveau) ses utilisateurs discuter de l’idée que le Covid ait fui du laboratoire
  • C’est une inversion de la politique menée depuis février, qui interdisait les publications sur la «désinformation nuisible»
  • Toute discussion sur la fuite du Covid du laboratoire de Wuha nétait qualifiée de «théorie du complot»
  • À l’époque, on pensait que le coronavirus avait probablement passé des chauves-souris à l’homme
  • Mais des rapports récents suggèrent à nouveau que le virus a pu s’échapper accidentellement du laboratoire
  • Joe Biden a ordonné mercredi à des espions américains d’enquêter sur les origines du coronavirus
  • Le Dr Fauci a également fait volte-face sur la question, tout comme les médias de gauche américains
  • La Chine a réagi avec fureur, accusant Biden de «politiser» la question et laissant entendre que les biolaboratoires américains devraient faire l’objet d’une enquête au lieu de celui de Wuhan.

Par Martin Robinson, journaliste en chef et James Tapsfield Rédacteur politique pour Mailonline

Facebook a levé son interdiction de commentaires des utilisateurs sur le fait que Covid-19 soit d’origine humaine, après que Joe Biden ait ordonné aux agences de renseignement d’enquêter pour savoir si le coronavirus avait fui d’un laboratoire de Wuhan – moins de quatre mois après avoir affirmé qu’il s’agissait d’une théorie du complot.

Facebook a été accusé aujourd’hui [27 mai] de «montrer son vrai et laid visage» et d’avoir étouffé la liberté d’expression, quand il a levé son interdiction de publier des articles débattant de la question de savoir si Covid-19 pouvait être artificiel - mais seulement après que Joe Biden ait ordonné à la CIA de vérifier si le virus venait d’un laboratoire de Wuhan.

Le chef de la politique mondiale de Mark Zuckerberg, Nick Clegg, ancien député britannique et dirigeant libéral démocrate, a également été qualifié de «faible» pour avoir autorisé des mois de censure sur le réseau social.

Les critiques ont qualifié le comportement de Facebook de «méprisable» et l’ont supplié de respecter la liberté d’expression plutôt que de vouloir «faire plaisir» à des États tels que la Chine, qui a interdit Facebook mais reste un marché publicitaire de 5 milliards de dollars par an.

La théorie selon laquelle le coronavirus a fui d’un laboratoire de Wuhan a été initialement rejetée par les médias de gauche l’année dernière comme une théorie du complot, après avoir été mentionnée par Donald Trump, mais ils ont maintenant changé de cap avec le lancement de l’enquête américaine.

Le député conservateur britannique Peter Bone a déclaré à MailOnline: «Il me semble vraiment que Facebook n’est pas une plate-forme ouverte sur laquelle les gens peuvent exprimer leur point de vue. C’est une plate-forme ouverte sur laquelle les gens peuvent exprimer leur point de vue tant qu’ils sont d’accord avec Facebook.

«Les décisions de Facebook sont basées sur la politique et non sur des principes ... Si c’est à la mode chez l’élite libérale, cela peut passer. Si c’est l’élite libérale qui le dit, ça doit être OK, si c’est le président Trump qui le dit, ce doit être horrible.

«Trump disait exactement ce que dit maintenant Biden, mais selon Facebook Trump n’était pas autorisé à le dire. Tandis que tout le monde aime Biden sur Facebook, donc il doit avoir raison. Il y a une règle pour l’une des visions politiques et une autre pour l’autre.»

Et les médias américains libéraux, qui se sont gaussés de Donald Trump quand il a déclaré il y a un an qu’il avait «un degré élevé de confiance» dans le fait que le virus s’était échappé d’un laboratoire, ont finalement admis qu’il avait peut-être raison - après avoir ridiculisé l’idée pendant un an.

Facebook avait décidé en février de «supprimer» tous les messages affirmant que le coronavirus était «artificiel» ou que le virus avait été «créé par un individu, un gouvernement ou un pays» - en les qualifiant de «désinformation» et d’«affirmation réfutée» qui nécessitait une «action agressive» de la part des modérateurs.

Mais aujourd’hui, le géant de la technologie a annulé son interdiction de discuter de la théorie, quelques heures à peine après que le président Biden ait ordonné à ses agences de renseignement de lancer une enquête pour savoir si le virus était artificiel après tout – et de rendre rapport sous 90 jours.

La Ligue islamique mondiale lance une campagne pour demander à Facebook et à Twitter la “suppression des contenus haineux envers l’Islam”

La ligue lance une campagne contre les publications de l’islamophobie sur les sites des réseaux sociaux.

 


Rappels :

« La Ligue islamique mondiale distribue des manuels religieux violents, antisémites et misogynes »

La Ligue islamique mondiale veut que l’Europe intègre mieux les musulmans et pénalise le « discours de haine »

Facebook et Instagram supprimeront systématiquement tous les futurs propos de Donald Trump, même postés par des tiers

Désormais, Trump n’apparaîtra plus sur Facebook et Instagram : Les plateformes interdisent l’interview de l’ex-président avec sa belle-fille Lara, où il signale qu’il sera candidat à la présidence en 2024.

-Facebook et Instagram ont retiré le clip parce qu’il “montrait Trump en train de parler” et la “voix de Donald Trump”.

-Les interviews téléphoniques de Trump par d’autres réseaux sont encore sur le réseau social.

-Il s’agit de la première interview de Donald Trump devant une caméra depuis qu’il a quitté la Maison-Blanche en janvier.

-Il a été banni de Twitter, Facebook et Instagram depuis l’émeute du 6 janvier au Capitole.

-Désormais, Facebook dit interdire tout contenu “avec la voix” du président Trump.

-Lara avait prévu de mettre la vidéo en ligne à 21 h 30 ; à 21 h 26, son équipe a reçu un courriel de Facebook.

-Ce courriel l’avertissait que la vidéo serait supprimée si elle la mettait en ligne ; à 21 h 51, la vidéo a été retirée.

-Les critiques disent que c’est un pas de trop et que cela rapproche les États-Unis de la censure ; Lara a dit “nous sommes un peu plus proche de 1984 d’Orwell”.

[…]

Dans leur courriel, les employés de Facebook ont déclaré que “tout contenu publié avec la voix du président Trump n’est actuellement pas autorisé sur nos plateformes (y compris les nouvelles publications avec le président Trump qui parle) et sera supprimé”.

Cette directive s’applique à tous les comptes et pages de sa campagne, y compris l’équipe Trump, les autres moyens de messagerie de la campagne sur nos plateformes et ses anciens représentants.

[…]

Daily Mail

Précision : l’article du Daily Mail a été publié le 31 mars et non ce 1er avril

Via Fdesouche

Facebook a censuré les Kurdes syriens pour protéger son business en Turquie

En 2018, c’est la directrice des opérations de Facebook elle-même qui a scellé le sort de la page officielle des forces kurdes syriennes (YPG), sur fond d’une campagne militaire turque sanglante sur le territoire syrien.

Facebook du mauvais côté de l’histoire, encore. Le magazine d’enquête Propublica dévoile que la direction de Facebook a cédé aux pressions d’Ankara lors de la campagne turque contre les forces kurdes syriennes en 2018.

Alors que le gouvernement de Recep Tayyip Erdoğan menaçait l’entreprise de représailles si Facebook ne censurait pas la page, la direction a rapidement choisi. C’est par le biais d’un mail laconique que la directrice des opérations de Facebook, Sheryl Sandberg, a donné son feu vert pour fermer la page officielle des « Unités de protection du peuple » (YPG).

www.01net.com

Via Fdesouche

La Pologne va infliger des amendes aux réseaux sociaux qui censurent sans raison

Une proposition de loi première mondiale

Les entreprises de médias sociaux qui censurent les utilisateurs ou suppriment des publications pour des raisons idéologiques pourraient bientôt faire face à des amendes en Pologne  dans le cadre d'une première tentative mondiale de limiter le pouvoir des Big Tech par la législation.

L'architecte de la loi, le vice-ministre polonais de la Justice, Sebastian Kaleta, a déclaré à FoxNews que les entreprises de médias sociaux ciblaient depuis trop longtemps les conservateurs, le christianisme et les valeurs traditionnelles en les interdisant et en supprimant des postes et le gouvernement polonais dit « assez! ».

(...)

Des amendes sans précèdent

En vertu de la nouvelle législation, toute plate-forme interdisant un utilisateur s'exposerait à des amendes de 13,5 millions de dollars, à moins que le contenu ne soit également illégal en vertu de la loi polonaise. Un comité d'arbitrage serait mis en place pour superviser les différends.

(...)

Francesoir.fr

Nos remerciements à Patrick Edery


Rappels :

Facebook censure les comptes de Marion Maréchal et Jordan Bardella après qu’ils ont publié un message de soutien à Génération Identitaire

"Nous vous arracherons vos cous impurs". Pour Facebook, cela n’enfreint pas les règles de "la communauté"

Robert Ménard suspendu de Facebook… pour avoir dit que les Soudanais ne font pas partie de la civilisation européenne

Facebook interdit les conversations disant que le coronavirus provient d’un laboratoire après consultation de l’OMS

En privé, Facebook reconnaît avoir “trop de pouvoir” et Zuckerberg veut “travailler” avec Biden sur ses “priorités”

Après avoir censuré Donald Trump, Facebook déclare « ne plus vouloir faire de politique »

Facebook censure les comptes de Marion Maréchal et Jordan Bardella après qu’ils ont publié un message de soutien à Génération Identitaire

Marion Maréchal : Suite à mon message de soutien à #GénérationIdentitaire, Facebook a bloqué ma page, je ne peux plus publier. Les GAFAM sont dans une démarche de censure idéologique et politique en dehors de tout cadre judiciaire. Rejoignez et partagez ma chaîne Telegram http://t.me/MarionMarechal

 

 

Via Fdesouche


Rappels :

"Nous vous arracherons vos cous impurs". Pour Facebook, cela n’enfreint pas les règles de "la communauté"

Robert Ménard suspendu de Facebook… pour avoir dit que les Soudanais ne font pas partie de la civilisation européenne

Facebook interdit les conversations disant que le coronavirus provient d’un laboratoire après consultation de l’OMS

En privé, Facebook reconnaît avoir “trop de pouvoir” et Zuckerberg veut “travailler” avec Biden sur ses “priorités”

Whatsapp va exclure les utilisateurs qui ne veulent pas livrer leurs données à Facebook

Donald Trump bloqué par Twitter, Facebook et YouTube

Jeux Vidéos : Facebook Gaming va offrir de nombreux services et un salaire minimum garanti aux streamers noirs

Facebook modifie ses algorithmes pour réprimer plus sévèrement les propos contre les minorités que ceux contre les Blancs

Le Premier ministre pakistanais veut bannir l’islamophobie sur Facebook. Facebook répond qu’il fera le nécessaire.

 

 

 

En privé, Facebook reconnaît avoir “trop de pouvoir” et Zuckerberg veut “travailler” avec Biden sur ses “priorités”

L’organisation Project Veritas a annoncé détenir des heures d’enregistrements de vidéos du patron de Facebook et de hauts cadres du réseau social indiquant vouloir travailler avec Joe Biden, notamment sur les questions de racisme.

C’est une sorte d’allégeance à l’administration Biden que viennent de faire le patron de Facebook, Mark Zuckerberg et d’autres cadres de la société selon Project Veritas, un media hors-système dirigé par James O’Keefe, ancien chroniqueur sur le site de droite Breitbart.

(...)

Valeursactuelles.com

Après avoir censuré Donald Trump, Facebook déclare “ne plus vouloir faire de politique”

Mark Zuckerberg, le patron de Facebook, a annoncé mercredi que la plateforme ne recommanderait plus à ses utilisateurs les groupes militants ou politiques, une mesure déjà prise aux États-Unis cet automne pour tenter d’apaiser les échanges à l’approche d’élections américaines sous tension.

Son objectif est de « calmer le jeu » et de « décourager les conversations clivantes », a-t-il expliqué lors de la présentation des résultats trimestriels de son groupe.

(...)

Journaldemontreal.com


Rappels :

Face au tollé sur le partage de données, WhatsApp (Facebook) repousse les changements

Donald Trump bloqué par Twitter, Facebook et YouTube

Après avoir banni Trump, Facebook et Twitter chutent en Bourse.

Whatsapp va exclure les utilisateurs qui ne veulent pas livrer leurs données à Facebook

Face au tollé sur le partage de données, WhatsApp (Facebook) repousse les changements

"Nous retardons désormais la date à laquelle les utilisateurs devront relire et accepter les conditions", a indiqué l'entreprise dans un article de blog. Les modifications, qui devaient entrer en vigueur le 8 février, ne seront plus effectives qu'à partir du 15 mai. WhatsApp a assuré que la mise à jour ne "renforcerait pas notre capacité à partager des données avec Facebook", mais était avant tout destinée à aider des entreprises à mieux communiquer avec leurs clients via la plateforme.

"Nous savons qu'il y a eu de la confusion et de la désinformation à propos de cette mise à jour, et nous voulons aider tout le monde à comprendre nos principes et les faits", a défendu l'entreprise.

[...]

Lorientlejour.com

Après avoir banni Trump, Facebook et Twitter chutent en Bourse.

A l’ouverture des marchés, les deux réseaux sociaux s’affichaient respectivement en repli de 2% et 8%.

[...]

Après cette nouvelle opération de censure de la part de Facebook et Twitter, de nombreux responsables européens se sont élevés contre les deux géants du numérique. La chancelière Angela Merkel, par la voie de sa porte-parole, a évoqué une situation « problématique ». En France, le ministre de l’Economie s’est même dit « choqué » par cette mesure. Farouches opposants de Donald Trump, les Insoumis Jean-Luc Mélenchon et François Ruffin se sont inquiétés du « contrôle » que les GAFA exerçaient sur « le débat public ».

[...]

Valeurs Actuelles

Donald Trump bloqué par Twitter, Facebook et YouTube

Pour la première fois, Twitter, Facebook et YouTube ont pris la décision de censurer le président des Etats-Unis. Le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, est même allé plus loin ce mercredi en annonçant la suspension du compte de Donald Trump « indéfiniment et au moins pour les deux prochaines semaines ».

Les dirigeants de ces réseaux sociaux ont pris la décision de suspendre le président au motif que ce dernier a enfreint leurs règles, affirment-ils. Mais ce choix n'est-il pas également l'effet d'une pression populaire, alors que de nombreux internautes leur ont reproché d'avoir permis l'organisation en amont, puis la diffusion en direct, de l'invasion du Capitole? Décryptage.

 

Entre Donald Trump et Twitter, c'est je t'aime moi non plus depuis de longs mois. Le président américain, qui a fait du réseau social son canal de prédilection et en est l'une des personnalités les plus suivies avec quelque 88 millions d'abonnés, a pourtant fustigé à de nombreuses reprises la politique de Twitter, qu'il considère trop injuste à l'égard des conservateurs.

[...]

Leparisien.fr


Rappels :

Whatsapp va exclure les utilisateurs qui ne veulent pas livrer leurs données à Facebook

Facebook Gaming va offrir de nombreux services et un salaire minimum garanti aux streamers noirs

L’administration Trump accuse Facebook de discrimination contre les Américains

Facebook modifie ses algorithmes pour réprimer plus sévèrement les propos contre les minorités que ceux contre les Blancs

Le Premier ministre pakistanais veut bannir l’islamophobie sur Facebook. Facebook répond qu’il fera le nécessaire.

États-Unis : Facebook et Twitter censurent des révélations du New York Post sur Hunter et Joe Biden

Whatsapp va exclure les utilisateurs qui ne veulent pas livrer leurs données à Facebook

La messagerie chiffrée, filiale de Facebook, déploie une mise à jour de ses conditions d’utilisation, qui concerne les utilisateurs du monde entier.

Malgré les plaintes visant Facebook pour ses supposées pratiques anticoncurrentielles, le réseau social se rapproche un peu plus de sa filiale WhatsApp. La messagerie chiffrée, qui s'était jusque-là distinguée par sa relative protection des données personnelles des utilisateurs, va livrer davantage d'informations à sa maison-mère. Les utilisateurs récalcitrants ne pourront plus utiliser leur compte à partir du 8 février 2021.

Échéance le 8 février

[...]

BFMTV


Jeux Vidéos : Facebook Gaming va offrir de nombreux services et un salaire minimum garanti aux streamers noirs

[…] Après Uber Eats qui a donné un coup de pouce aux restaurants tenus par des Afro-Américains, c’est désormais au tour de Facebook de débloquer des fonds pour soutenir ses streamers noirs. Le géant du réseau social a présenté hier en fin de journée Black Gaming Creator, un programme exclusivement réservé aux streamers à la peau noire. Dès que l’inscription est validée, les créateurs de contenus concernés pourront accéder à un lot d’avantages pour développer leur stream et agrandir plus facilement et rapidement leur communauté de viewers. […]

Si cela parait déjà suffisant, le Black Gaming Creator va aussi permettre un accès anticipé aux nouveaux services associés à Facebook Gaming. Les créateurs noirs auront aussi accès aux outils de diffusion en continu. L’ensemble des membres du programme auront aussi une rémunération mensuelle garantie, une première dans l’histoire du streaming !

Et ce n’est pas fini… Les streamers noirs qui seront acceptés dans le programme se verront aussi invités à tous les événements numériques et en personne. […]

iphonesoft

Facebook

Via Fdesouche

L’administration Trump accuse Facebook de discrimination contre les Américains

Facebook est accusé de privilégier le recrutement de travailleurs étrangers sous visa temporaire par rapport aux Américains, selon l’administration Trump.

Les autorités américaines ont lancé jeudi des poursuites judiciaires pour «discrimination» à l’embauche contre Facebook, accusé d’avoir réservé des postes à des salariés étrangers au détriment des Américains, deux jours après avoir subi un revers sur le gel de visas très utilisés dans la tech.

[...]

Lematin.ch / France24.com

Facebook modifie ses algorithmes pour réprimer plus sévèrement les propos contre les minorités que ceux contre les Blancs

Régulièrement critiqué pour laisser passer trop de propos haineux et racistes, Facebook modifie actuellement ses algorithmes pour réprimer plus sévèrement les contenus attaquant les minorités que ceux contre les Blancs, les hommes ou les Américains.

 

 

 

 

Via Fdesouche

 

 

 

 

Anna Makanju, « responsable de la régulation des contenus » pour Facebook, a été conseillère de Joe Biden pour l’Ukraine

Anna Makanju, responsable de la politique mondiale de Facebook en matière de régulation des contenus, a été conseillère de Joe Biden sur la politique relative à l’Ukraine lorsqu’il était vice-président de Barack Obama. Elle a également défendu Joe Biden contre les allégations d’agissements répréhensibles en Ukraine dans un commentaire au Washington Post l’année dernière.

En tant que responsable de la “régulation des contenus” pour Facebook, elle a peut-être pu influencer la décision du réseau social de censurer un article du New York Post révélant que le fils de Joe Biden, Hunter, alors sous contrat lucratif avec le géant ukrainien de l’énergie Burisma, avait présenté son père, alors vice-président, à un cadre de l’entreprise.

C’était moins d’un an avant que Joe Biden, toujours vice-président, n’ait fait pression sur le gouvernement ukrainien pour qu’il limoge un procureur qui enquêtait sur la société.

Makanju est aussi membre du Conseil atlantique, qui s’est associé à Facebook en 2018 pour promouvoir “l’intégrité électorale” dans le monde entier.

Son profil sur le site du Conseil de l’Atlantique mentionne les liens de Makanju avec Biden :

Anna Makanju est une chargée de recherche senior non résidente de l’Initiative de sécurité transatlantique. Elle est experte en politique publique et en droit et travaille sur Facebook, où elle dirige les efforts visant à garantir l’intégrité électorale sur la plateforme. Auparavant, elle a été conseillère politique spéciale pour l’Europe et l’Eurasie auprès de l’ancien vice-président américain Joe Biden, conseillère politique principale auprès de l’ambassadeur Samantha Power à la Mission des États-Unis aux Nations unies, directrice pour la Russie au Conseil national de sécurité et chef de cabinet pour la politique relative à l’Europe et à l’OTAN au bureau du Secrétaire à la défense.

Un article de 2019 dans le Washington Post note que Makanju a aussi défendu Biden, son ancien employeur, contre des allégations de méfaits concernant l’Ukraine, et qu’elle écoutait les appels de l’ancien vice-président avec les responsables ukrainiens.

Anna Makanju […] a écrit que la publication des transcriptions ne ferait que confirmer la thèse de Biden selon laquelle il a agi correctement.
Elle a aidé Biden à préparer les entretiens, qui se déroulaient à un niveau élevé. Biden y utilisait un langage choisi, qualifiant par exemple les membres du gouvernement Porochenko de “bâtisseurs de la nation pour une transformation de l’Ukraine”.
Une mention d’une société privée comme Burisma serait “un niveau de granularité trop fin” pour un appel entre Biden et le président d’un autre pays, a déclaré Makanju à The Fact Checker.
Au lieu de cela, a-t-elle dit, la conversation s’est concentrée sur les réformes exigées par le FMI, les méthodes de lutte contre la corruption et l’assistance militaire.
Une enquête sur “Burisma n’était tout simplement pas assez importante” pour être mentionnée, a-t-elle répété.

Breitbart News a contacté Makanju pour obtenir ses commentaires [sans réponse pour le moment].

Source et liens : https://www.breitbart.com/tech/2020/10/18/facebook-content-regulation-manager-anna-makanju-advised-joe-biden-on-ukraine/

Traduction libre Cenator

***

En 2003, Anna Makanju a obtenu une bourse de la fondation Paul et Daisy Soros pour ses études de droit.

Source : https://www.pdsoros.org/meet-the-fellows/anna-makanju

Le Premier ministre pakistanais veut bannir l’islamophobie sur Facebook. Facebook répond qu’il fera le nécessaire.

Lorsque ces réseaux sociaux étaient utilisés par des islamistes, vidéos extrêmement violentes à l'appui, cela ne dérangeait aucunement ce Pakistanais.

 


New Delhi : Le Premier ministre pakistanais Imran Khan a écrit au PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, pour demander l'interdiction des messages promouvant "l'islamophobie et la haine contre l'islam" sur la plateforme des médias sociaux. Dans sa lettre, Khan a déclaré que l'Inde et la France étaient les principaux responsables de ces contenus sur Facebook.

"Je vous écris pour attirer votre attention sur l'islamophobie croissante qui encourage la haine, l'extrémisme et la violence dans le monde entier et en particulier par l'utilisation des plateformes de médias sociaux, dont Facebook", lit-il dans sa lettre.

[...]

Imran Khan a demandé à Facebook de surveiller les messages islamophobes comme il le fait concernant l'Holocauste.

"Compte tenu des abus et des diffamations visant les musulmans sur les plateformes de médias sociaux, je vous demanderais d'interdire l'islamophobie et la haine contre l'islam sur Facebook comme vous l'avez fait pour l'Holocauste", lit-il dans sa lettre.

La lettre de Imran Khan fait suite à la décapitation d'un professeur de français qui aurait montré des caricatures du Prophète à ses élèves.

 

[...]

Imran Khan a également critiqué la France dans sa lettre à Facebook.

"En France, l'Islam a été associé au terrorisme et la publication de caricatures blasphématoires visant l'Islam et notre Saint Prophète a été autorisée", a-t-il déclaré.

Selon un rapport de Reuters, un porte-parole de Facebook en réponse à la lettre de M. Khan a déclaré que la société était contre toute forme de haine et qu'elle n'autorisait pas les attaques basées sur la race, l'ethnicité, l'origine nationale ou la religion.

"Nous supprimerons ce discours de haine dès que nous en aurons connaissance", a déclaré la porte-parole dans un courriel, ajoutant que la société avait "plus de travail à faire".

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Theprint.in

 

États-Unis : Facebook et Twitter censurent des révélations du New York Post sur Hunter et Joe Biden

Twitter et Facebook ont tous deux pris des mesures de censure extraordinaires contre The New York Post mercredi, suite à ses révélations sur des e-mails de Hunter Biden – et ont lancé des accusations infondées selon lesquelles l’article utilisait du “matériel piraté”.

Cette mesure a été prise bien que la campagne du candidat à la présidence Joe Biden eut nié avoir quoi que ce soit dans son “agenda officiel” concernant la rencontre avec un responsable ukrainien de l’énergie en 2015 – et sans la moindre déclaration que l’ordinateur de son fils avait été piraté.

Le compte Twitter principal du New York Post a été verrouillé à partir de 14h20 mercredi parce que ses articles sur les messages obtenus à partir de l’ordinateur portable de Joe Biden enfreignaient les règles du réseau social contre la “distribution de matériel piraté”, selon un courriel que le Post a reçu de Twitter.

Twitter a également empêché les utilisateurs de partager le lien vers l’article du New York Post indiquant que Hunter Biden avait présenté Joe Biden à l’homme d’affaires ukrainien, qualifiant le lien de “potentiellement nuisible”.

“Conformément à notre politique en matière de matériel piraté, ainsi qu’à notre méthode de blocage des URL, nous prenons des mesures pour bloquer tout lien ou image du matériel en question sur Twitter”, a déclaré un porte-parole de Twitter du New York Post dans une déclaration.

L’entreprise a déclaré qu’elle avait pris cette mesure en raison de l’absence d’article faisant autorité sur l’origine du matériel inclus dans l’article du Post.

Les utilisateurs qui cliquaient sur le lien sur Twitter recevaient une alerte les avertissant que la page web pouvait être “dangereuse” et qu’elle pouvait contenir du contenu qui enfreindrait les règles de Twitter s’il était partagé directement sur la plateforme.

Cette mesure extraordinaire a été prise après que Facebook déclara qu’elle limitera la diffusion de l’histoire du New York Post sur sa propre plateforme. Le réseau social a ajouté que l’histoire pourra être examinée par des vérificateurs de faits indépendants.

Le sénateur américain Josh Hawley (R-Mo.) a envoyé une lettre au PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, mercredi, demandant des réponses sur les raisons pour lesquelles la plateforme a “censuré” les reportages du Post.

“La nature apparemment sélective de cette intervention publique suggère une partialité de la part de Facebook”, a écrit M. Hawley. “Et vos efforts pour supprimer la distribution de contenu révélant une activité potentiellement contraire à l’éthique par un candidat à la présidence soulève un certain nombre de questions supplémentaires, auxquelles j’attends des réponses immédiates”.

Hawley a ensuite envoyé une lettre similaire au PDG de Twitter, Jack Dorsey, fustigeant la société pour ce qu’il a qualifié d'”intervention inhabituelle qui n’est pas universellement appliquée à tous les contenus“.

Le sénateur a demandé à savoir comment Twitter avait déterminé que l’histoire du Post violait sa politique sur les contenus piratés et pourquoi la société avait pris “l’action sans précédent” de verrouiller le compte de l’organisation de presse.

“Je vous demande de répondre immédiatement à ces questions et de fournir les justifications nécessaires afin que vos utilisateurs puissent avoir la certitude que vous ne cherchez pas à influencer le résultat de l’élection présidentielle avec vos décisions de retrait de contenu”, a écrit M. Hawley.

New York Post

 

Via Fdesouche


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