Joe Biden ridiculisé après avoir trébuché trois fois en montant dans son avion

Le président américain a dû s’y reprendre à trois fois pour atteindre la porte de son Air Force One faisant mine que rien ne s’était passé.

 

 

 

 

 

Comme l’ont rapporté de nombreux médias américains, Joe Biden s’est quelque peu ridiculisé ce vendredi 19 mars au moment de prendre son avion pour Atlanta. En montant l’escalier de l’appareil, le président américain a trébuché non pas une fois, ni deux, mais bien trois fois après la mi-parcours sur l’escalier pour finalement rejoindre le cockpit.

(...)

Valeurs Actuelles

Poutine répond à Biden et lui propose un entretien public en direct. Biden se défile.

Le président russe Vladimir Poutine s'est moqué, jeudi, des propos de Joe Biden qui l'avait qualifié de "tueur" la veille, tout en proposant au président américain de prendre part dans les prochains jours à un entretien par visioconférence diffusé en direct.

Alors que les relations entre Washington et Moscou se sont détériorées à un plus bas inédit depuis la Guerre froide, Vladimir Poutine a répondu, jeudi 18 mars, aux propos du président américain Joe Biden qui l'avait qualifié de "tueur" la veille.

(...)

Vladimir Poutine a indiqué que son dernier entretien avec Joe Biden, le 26 janvier, s'était déroulé par téléphone à la demande du président américain. Il a dit proposer désormais que les deux dirigeants aient, ce vendredi ou lundi prochain, une nouvelle conversation par visioconférence et diffusée en direct.

(...)

À Washington, la porte-parole de la Maison Blanche a dit que Joe Biden ne regrettait pas ses propos. Jen Psaki a esquivé une question sur la demande de Vladimir Poutine d'un nouvel entretien dans l'immédiat. "Le président a déjà eu un entretien avec le président Poutine, alors qu'il y a d'autres dirigeants mondiaux avec lesquels il n'a pas encore échangé", a-t-elle dit.

(...)

France24.com

Joe Biden «ne veut pas améliorer les relations» avec Moscou

Le président américain «ne veut clairement pas améliorer les relations» entre Moscou et Washington, a déclaré jeudi, le Kremlin, au lendemain de propos de Joe Biden qualifiant son homologue russe, Vladimir Poutine, de «tueur».

(...)

La Russie avait annoncé mercredi avoir rappelé son ambassadeur aux Etats-Unis pour consultations, tout en assurant vouloir éviter la «dégradation irréversible» des relations avec Washington, qui se trouvent «dans un état difficile» depuis des années.

(...)

20min.ch

Joe Biden pense que Vladimir Poutine est «un tueur»

Interrogé par un journaliste de la chaîne ABC qui lui demande s’il estime que le président de la Russie Vladimir Poutine «est un tueur», le président américain Joe Biden a acquiescé:

«Oui, je le pense». «Vous verrez bientôt le prix qu’il va payer», a-t-il ajouté, provoquant immédiatement l’indignation de Moscou.

(...)

24Heures.ch

Joe Biden dépassé par l’afflux de migrants qu’il a provoqué

C’était une promesse de campagne de Joe Biden : en finir avec la politique d’immigration de Donald Trump. Aussitôt entré en fonction, le nouveau président américain avait promis effacer « une honte morale et nationale » héritée de son prédécesseur républicain (...)

Las, les intentions se sont rapidement heurtées au mur des réalités. Depuis plusieurs semaines, la frontière sud du pays est confrontée à un afflux inédit de migrants. Parmi eux, beaucoup de jeunes enfants non accompagnés.

(...)

Le Figaro

États-Unis : dans les écoles pour élites, des parents terrorisés s’organisent face à la domination d’une idéologie antiraciste devenu folle

L’auteur de l’article, Bari Weiss, est journaliste et membre du conseil consultatif de la Fondation contre l’intolérance et le racisme. C’est la journaliste qui avait dû quitter le New York Times à cause de sa prise de contrôle par des collègues de gauche de plus en plus sectaires.


Les dissidents utilisent des pseudonymes et éteignent les images de leurs vidéos lorsqu’ils se contactent via le logiciel de discussion en ligne Zoom. Ils coordonnent généralement les entraînements de football et les covoiturages, et désormais ils se réunissent pour élaborer des stratégies. Ils disent qu’ils pourraient subir des conséquences sérieuses si quelqu’un savait qu’ils discutent ensemble.

Mais ces derniers temps, la situation est devenue trop grave pour les courriels ou les plaintes lors des conférences téléphoniques. Ainsi, un week-end récent, dans une rue verdoyante de West Los Angeles, ils se sont réunis en personne et m’ont invitée à les rejoindre.

Dans une cour derrière une maison de quatre chambres, dix personnes étaient assises dans un cercle de chaises Adirondack en plastique et mangeaient des sacs de Skinny Pop. Ce sont les rebelles : des parents aisés de Los Angeles qui envoient leurs enfants à Harvard-Westlake, l’école privée la plus prestigieuse de la ville.

Selon les standards américains, ils sont plutôt riches. Selon les standards de Harvard-Westlake, ils sont dans la moyenne. Ce sont des couples à deux carrières qui attribuent leur propre réussite non pas aux liens familiaux ou à la richesse héritée, mais à leur propre éducation. Il leur semble donc plus qu’ironique qu’une école qui coûte plus de 40 000 dollars par an – une école où Charlie Munger, le bras droit de Warren Buffett, et Sarah Murdoch, l’épouse de Lachlan et la belle-fille de Rupert, siègent au conseil d’administration – enseigne aux élèves que le capitalisme est le mal.

Mais pour la plupart de ces parents, la diabolisation du capitalisme est le moindre de leurs soucis. Leurs enfants racontent avoir peur de parler en classe. Avant toute chose, ils craignent que le nouveau plan de l’école pour devenir une “institution antiraciste” (dévoilé en juillet dernier dans un document de 20 pages) ne pousse leurs enfants à faire une fixette sur la race et à lui accorder de l’importance d’une manière qui leur semble grotesque.

“J’ai grandi à L.A., et l’école de Harvard a certainement eu du mal avec les questions de diversité. Les histoires que certains ont exprimées depuis l’été semblent totalement légitimes”, déclare l’un des pères. Il dit qu’il ne voit pas d’inconvénient à ce que l’école fasse davantage d’efforts pour redresser les torts du passé, notamment en intégrant davantage de voix des minorités dans le programme d’études. Ce qui lui pose problème, c’est ce mouvement qui dit à ses enfants que l’Amérique est un mauvais pays et qu’ils portent une culpabilité raciale collective.

“Ils font en sorte que mon fils se sente raciste à cause de la pigmentation de sa peau”, déclare une mère. Une autre pose une question au groupe : “En quoi le fait de braquer les projecteurs sur la race permet-il d’améliorer la façon dont les enfants se parlent entre eux ? Pourquoi ne peuvent-ils pas tous être les gentils de l’histoire [‘Wolverines’ dans le texte original] ?” (Harvard-Westlake a refusé de commenter).

Ce groupe de parents de Harvard-Westlake est l’un des nombreux collectifs qui s’organisent discrètement dans tout le pays pour lutter contre ce qu’il décrit comme un mouvement idéologique qui a pris le contrôle de leurs écoles. Cette histoire est construite sur des entretiens avec plus de deux douzaines de ces dissidents – enseignants, parents et enfants – dans des écoles préparatoires d’élite dans deux des États les plus démocrates du pays : New York et la Californie.

Ces parents réunis discrètement disent que pour chacun d’entre eux il en existe beaucoup plus qui sont, eux, trop effrayés pour s’exprimer. “J’ai parlé à au moins cinq couples qui disent : Je comprends. Je pense comme vous. C’est juste que je ne veux pas d’histoires en ce moment”, raconte une mère. Ils sont tous impatients que leur histoire soit racontée, mais aucun d’entre eux ne veut me laisser utiliser son nom. Elles craignent de perdre leur travail ou de nuire à leurs enfants si leur opposition à cette idéologie était connue.

“L’école peut vous demander de partir pour n’importe quelle raison”, a déclaré une mère de Brentwood, une autre école préparatoire de Los Angeles. “Vous serez alors mis sur la liste noire de toutes les écoles privées et serez connu comme étant raciste, ce qui est pire que d’être traité de meurtrier.”

Un parent d’élève dans une école privée, né dans une nation communiste, me dit : “Je suis venu dans ce pays en échappant à la même peur des représailles que ressent maintenant mon propre enfant.” Un autre a plaisanté : “Nous devons nourrir nos familles. Oh, et payer 50 000 dollars par an pour que nos enfants soient endoctrinés.” Un enseignant de la ville de New York l’a exprimé de la manière la plus concise : “Parler contre, c’est mettre en danger votre réputation.”

Les parents qui se sont élevés contre cette idéologie, même de manière privée, disent que cela ne s’est pas bien passé. “J’ai discuté avec un ami, et lui ai demandé : ‘Y a-t-il quelque chose à propos de ce mouvement que nous devrions remettre en question ?'”, a déclaré un père dont les enfants sont dans deux écoles préparatoires de Manhattan. “Et il m’a répondu : ‘Mec, tu entres sur un terrain dangereux pour notre amitié’. J’ai eu suffisamment de ces conversations pour savoir ce qui en résulte.”

Cette crainte est partagée, profondément, par les enfants. Pour eux, il ne s’agit pas seulement de la peur d’avoir une mauvaise note ou de se voir refuser une recommandation pour une université, bien que cette peur soit puissante. C’est la peur de la honte sociale. “Si vous publiez mon nom, cela ruinerait ma vie. Les gens m’attaqueraient même pour avoir remis en question cette idéologie. Je ne veux même pas que les gens sachent que je suis capitaliste”, m’a dit un étudiant de l’école Fieldston à New York, commentaire repris par d’autres étudiants avec qui j’ai parlé. (Fieldston a refusé de faire des commentaires pour cet article.) “Les enfants ont peur des autres enfants”, dit une mère de Harvard-Westlake.

Cette atmosphère rend leurs enfants anxieux, paranoïaques, peu sûrs d’eux, et les isole même de leurs amis proches. “Mon fils savait que je vous parlais et il m’a supplié de ne pas le faire”, m’a dit une autre mère de Harvard-Westlake. “Il veut aller dans une grande université, et il m’a dit qu’une seul mauvais propos de ma part causerait notre perte. On est quand même aux États-Unis d’Amérique. C’est quoi ce délire ?”

Elles sont les élites des Etats-Unis – des familles qui peuvent se permettre de payer quelque 50 000 dollars par an pour que leurs enfants soient préparés à entrer dans les eating clubs de Princeton et les sociétés secrètes de Yale, à suivre la trajectoire qui les feront maitres – pardon, maître.sse.s – du monde. Les idées et valeurs qui leur sont inculquées influencent le reste d’entre nous.

Ce n’est pas la seule raison pour laquelle cette histoire est importante. Ces écoles sont appelées écoles préparatoires parce qu’elles préparent les princes de l’Amérique à prendre leur place dans ce que l’on nous dit être notre méritocratie. Rien ne se passe dans une école préparatoire de haut niveau qui ne soit le miroir de ce qui se passe dans une université d’élite.

Qu’est-ce que cela dit de l’état actuel de cette méritocratie, quand celle-ci veut des enfants qu’ils maîtrisent la théorie critique de la race et la “fragilité blanche”, même si cette connaissance se fait au détriment de Shakespeare ? “Les universités veulent des enfants – des clients – qui vont être pré-alignés sur certaines idéologies issues de ces universités”, explique un professeur de STEM [science, technology, engineering, and mathematics] dans l’une des prestigieuses écoles préparatoires de New York. “J’appelle cela le sevrage-woke. Et c’est le produit que des écoles comme la mienne proposent.”

Les parents avec lesquels j’ai parlé pour cette histoire sont avisés et intelligents : ils se rendent compte qu’il est étrange – au mieux – qu’une école comme Harvard-Westlake parle constamment de justice sociale alors qu’elle dépense plus de 40 millions de dollars dans un nouveau complexe sportif hors campus. C’est une école qui envoie un rapport annuel à chaque famille de Harvard-Westlake, listant les dons des parents. L’année dernière, le groupe “Heritage Circle” (dons de 100 000 dollars ou plus) comprenait Viveca Paulin-Ferrell et Will Ferrell. Une patte rouge à côté des noms de Jeanne et Tony Pritzker indiquait plus d’une décennie de dons cumulés.

Les parents disent que c’est une école où donner plus vous donne plus. Les gros donateurs sont invités à des dîners spéciaux et, surtout, reçoivent du temps et de l’attention de la part des responsables. Pendant ce temps, leurs enfants apprennent la politique radicale-chic qui, bien sûr, n’implique rien de vraiment radical, comme le serait la redistribution de la dotation.

“Ces écoles sont le privilège du privilège du privilège. Elles disent sans cesse qu’elles sont axées sur l’inclusion. Mais elles sont par définition excluantes. Ces écoles sont pour le sommet de la société”, me dit une jeune mère de Manhattan.

En Amérique, le pouvoir consiste désormais à parler le woke, une langue très complexe et en constante évolution. La Grace Church School de Manhattan, par exemple, propose un guide de 12 pages sur la “langue inclusive”, qui décourage les gens d’utiliser le mot “parents” – on préfère “gens” – ou de poser des questions comme “quelle est votre religion ?”. (Lorsqu’on lui a demandé de commenter, le révérend Robert M. Pennoyer II, directeur adjoint de l’école, a répondu : “Grace est une école épiscopale. Dans le cadre de notre identité épiscopale, nous reconnaissons la dignité et la valeur à toute l’humanité.” Il a ajouté que le guide vient “de notre désir de promouvoir un sentiment d’appartenance pour tous nos élèves”). Un professeur d’anglais de Harvard-Westlake accueille ses élèves après l’été en disant : “Je suis une femme blanche queer d’origine européenne. J’utilise les pronoms [ elle | elle ] mais je suis également à l’aise avec les pronoms [ elles | elles ].” Elle a joint une “lettre de soins personnels” citant Audre Lorde : “Prendre soin de moi n’est pas de la complaisance, c’est de l’auto-préservation, et c’est un acte de guerre politique.”

Malheur à l’enfant de la classe ouvrière qui arrive au collège et prononce Latino au lieu de “Latinx”, ou qui trébuche dans la conjugaison des verbes parce qu’un camarade de classe préfère utiliser les pronoms elle/elles. La maîtrise du woke est un marqueur de classe efficace et la clé pour que ces princes conservent leur statut à l’université et au-delà. Les parents le savent, et c’est pourquoi le woke est devenu la lingua franca des meilleures écoles préparatoires du pays. Comme le dit une mère de Los Angeles : “C’est ce que font toutes les universités, donc nous devons le faire. Le raisonnement est le suivant : si Harvard le fait, c’est que ça doit être une bonne chose.”

“Je suis dans une secte. Enfin, ce n’est pas tout à fait ça. C’est plutôt que la secte est tout autour de moi et j’essaie d’empêcher mes enfants d’en devenir membres.” Il parle comme un dissident de l’Église de la Scientologie, mais il est professeur de mathématiques dans l’un des lycées les plus huppés de New York. Il n’est pas politiquement conservateur. “J’ai étudié la théorie critique ; j’ai vu Derrida parler quand j’étais à l’université”, dit-il, “donc quand cette idéologie est arrivée dans notre école ces dernières années, j’ai reconnu le vocabulaire et je savais ce que c’était. Mais c’était sous une forme mutée.”

Cet enseignant me parle parce qu’il est alarmé par les conséquences de cette idéologie sur ses élèves. “J’ai commencé à voir ce qui arrivait aux enfants. Et c’est ce que je n’ai pas pu supporter. Ils sont éduqués dans le ressentiment et dans la peur. C’est extrêmement dangereux.”

À trois mille kilomètres de là, à Los Angeles, un autre enseignant d’école préparatoire dit quelque chose de similaire. “Cela apprend aux gens qui possèdent tant à se voir comme des victimes. Ils pensent subir l’oppression alors qu’ils sont dans l’une des écoles les plus huppées du pays.”

Il semble que cela fonctionne. Une mère de Los Angeles me raconte que son fils s’est récemment entendu dire par son ami, qui est noir, qu’il était “intrinsèquement opprimé.” Elle était incrédule. “Ce gamin est multimillionnaire”, a-t-elle dit. Mon fils a dit à son ami : “Explique-moi ça. Pourquoi te sens-tu opprimé ? Qu’est-ce que quelqu’un a fait pour que tu te sentes moins bien ?”. Et l’ami a répondu : ‘La couleur de ma peau’. Ça m’a sidéré.”

Le programme scientifique de Fieldston ferait défaillir n’importe quel parent. Les cours facultatifs pour les élèves de première et terminale, selon le site web de l’école, comprennent l’immunologie, l’astronomie, les neurosciences et la pharmacologie.

Mais la physique est différente de nos jours. “On ne les appelle plus les lois de Newton”, m’informe une élève de l’école. “Nous les appelons les trois lois fondamentales de la physique. Ils disent que nous devons ‘décentrer la blancheur’, et que nous devons reconnaître qu’il n’y a pas que Newton en physique.”

Un de ses camarades de classe dit qu’il essaie de suivre “les cours factuels, pas les cours d’identité”. Mais qu’il est de plus en plus difficile de faire la distinction entre les deux. “J’ai pris Histoire des États-Unis en pensant que lorsqu’on apprenait l’histoire des États-Unis, elle était peut-être structurée par périodes avec ce qui s’est passé sous chaque présidence. Mais nous avons étudié différents groupes marginalisés. C’est comme ça que c’était structuré. Je n’ai entendu qu’une poignée de noms de présidents en classe.”

Brentwood, une école qui coûte 45 630 dollars par an, a fait les gros titres il y a quelques semaines lorsqu’elle a organisé des “sessions de dialogue et de renforcement de la communauté” ségréguées sur le plan racial. Mais lorsque je parle avec un parent d’un élève de collège de cette école, c’est du programme d’anglais de leur enfant qu’ils veulent parler. “Ils ont remplacé tous les livres sans rien dire et sans même en informer les parents.” Le programme ne comporte plus de classiques du style “The Scarlet Letter”, “Little Women”, “To Kill a Mockingbird” et “Lord of the Flies”. Parmi les nouveaux livres : “Stamped: Racism, Antiracism, and You”, “Cher Martin”, “Chère Justice”, et “Yaqui Delgado veut vous botter le cul”.

“Le doyen m’a dit, en gros, qu’il était important d’évoluer avec son temps”, a déclaré le parent de Brentwood. Dans une déclaration, le directeur de la communication de Brentwood a dit : “La diversité, l’équité et l’inclusion sont des composantes essentielles de notre éducation et de notre communauté à l’école Brentwood. Les événements de l’été dernier ont créé un appel à l’action pour nous tous, dans notre communauté scolaire et au-delà.” L’école Brentwood a annoncé un début de journée retardé le 10 mars pour l’école primaire “en raison de l’étude du livre de notre faculté sur la fragilité blanche”.

À Fieldston, un cours facultatif est proposé aux lycéens de première et de terminale, intitulé “Historiser la blancheur”. Dans l’école Grace Church, les élèves de terminale peuvent suivre un cours intitulé “S’allier : Pourquoi ? Qui ? et comment ? Le programme comprend un livre auto-édité intitulé “Complices, Pas Alliés” qui déclare que “le rôle d’un complice dans la lutte anticoloniale est d’attaquer les structures et les idées coloniales”, illustré de la photographie d’une voiture de police en feu. Harvard-Westlake, dans son vaste plan antiraciste annoncé cet été, a inclus “la refonte du cours d’histoire des États-Unis de première dans une perspective de théorie critique des races”, parmi de nombreux autres objectifs similaires.

Selon les parents, remettre en question l’un ou l’autre de ces changements de programme, c’est se rendre suspect : “Chaque fois que je participe à une discussion de groupe avec des parents de l’école, à l’exception de mon groupe de parents inquiets, ils ont l’habitude d’humilier/culpabiliser [to shame] toute personne qui partage quoi que ce soit de vaguement politique ou qui s’écarte du discours du groupe”, m’a écrit une mère de Brentwood. “Une fois que quelqu’un humilie/fait culpabiliser [to shame] une personne, beaucoup d’autres sont d’accord. Chaque fois que je prends la parole pour défendre ceux visés, ils essaient de me faire la même chose.”

Dans cette vision du monde, la complexité des choses est elle-même une forme de racisme, la nuance est une phobie, et le scepticisme est seulement une façon de feindre d’être sérieux et responsable. Ibram Kendi, auteur de How to Be an Antiracist, a récemment exposé clairement cette logique sur Twitter : “Le cœur du racisme bat au rythme du déni. Et trop souvent, plus le racisme est puissant, plus le déni l’est aussi.”

Un enseignant m’a raconté qu’on lui avait demandé d’enseigner un programme antiraciste qui comprenait une “pyramide” de la suprématie blanche. Au sommet se trouvait le génocide. En bas, il y avait les “deux côtés pour chaque histoire”.

“‘Deux côtés pour chaque histoire’, a-t-il dit. “C’était sur la pyramide raciste.”

Mais la conséquence la plus importante de l’idéologie woke n’est pas un programme d’enseignement moins anglais. C’est que cette idéologie, qui semble toucher tous les aspects de l’éducation, a changé la perception que les enfants ont d’eux-mêmes.

Considérez cette histoire, de Chapin, l’école huppée pour filles de l’Upper East Side, impliquant une fille blanche dans les petites classes qui est rentrée à la maison un jour et a dit à son père : “Toutes les personnes à la peau claire n’aiment pas les personnes à la peau foncée et sont méchantes avec elles.” Le père fut horrifié lorsqu’elle expliqua que c’était ce que ses professeurs lui avaient appris. “Je lui ai dit : ce n’est pas ce que nous pensons dans cette famille”. Il faut jeter un coup d’œil aux différents groupes d’affinité de Chapin, qui sont devenus de rigueur dans toutes ces écoles. (Chapin n’a pas répondu à une demande de commentaire).

Pour les lycéens, le message est plus explicite. Un élève de Fieldston raconte qu’on dit souvent aux étudiants que “si vous êtes blanc et de sexe masculin, vous passez après pour parler”. Cela est considéré comme une redistribution normale et nécessaire du pouvoir.

À Harvard-Westlake, l’école a récemment fait passer un test de préjugés implicites aux élèves de dixième année. Officiellement c’était facultatif, mais plusieurs parents avec lesquels j’ai parlés m’ont dit que leurs enfants se sentaient obligés de le passer. Une mère m’a confié que son fils lui avait dit : “Maman, je viens de découvrir que j’étais raciste et que je préférais les Européens blancs”. Son enfant est métis. “Entendre mon enfant rentrer à la maison et s’être faire dire par son école qu’il était un raciste… j’étais effarée. J’étais tellement, tellement en colère.”

Un parent de Brentwood dit qu’elle a essayé, à petites touches, de s’opposer à cela. “Ils disent que je ne peux pas comprendre parce que ma peau est blanche”. On apprend à des enfants comme le sien à renoncer à l’ambition et à céder des postes qu’ils pourraient gagner en travaillant dur à d’autres plus marginalisés. “Mon enfant me pose des questions évidentes comme : Si je travaille vraiment dur, ne devrais-je pas être récompensé ?”

Tout cela “m’a fait réfléchir davantage sur la race”, a déclaré un adolescent de Manhattan. Le programme scolaire, a-t-il expliqué, essayait de lui apprendre à être obsédé par sa blancheur, à l’opposé de ce que ses parents lui avaient appris à faire. Faire en sorte que les élèves se séparent par race dans des groupes d’affinité est raciste, a-t-il dit. “Martin Luther King condamnerait mon école.”

Certains élèves se rebellent, ce qui, dans ce cas, est le présage d’un futur républicain. Mais d’autres adhèrent à cette idéologie, ce qui a créé des conflits avec les parents qui n’y adhèrent pas. “L’école a pris le rôle de guide moral, et je suis la personne irritante en arrière-plan qui ne comprend pas vraiment les choses”, déclare une mère de Harvard-Westlake.

Les enfants apprennent donc comment fonctionnent les nouvelles règles de l’apprentissage woke. L’idée de mentir pour faire plaisir à un professeur semble être un phénomène venu d’Union soviétique. Mais les lycéens avec lesquels j’ai parlés m’ont dit qu’ils vivaient des versions de cela, y compris en reprenant des points de vue auxquels ils ne croient pas dans les devoirs afin que leurs notes ne soient pas affectées.

À Brooklyn, un professeur de STEM connu pour être sympathique auprès des élèves sceptiques a ri en me racontant la dernière absurdité : des élèves lui ont dit que leur cours d’histoire avait une unité sur Beyoncé, et ils se sont sentis obligés de dire qu’ils aimaient sa musique, même s’ils ne l’aimaient pas. “J’ai pensé : ils n’ont même pas le droit d’avoir leurs propres préférences musicales”, a-t-il dit. “Qu’est-ce que cela signifie quand vous ne pouvez même pas dire la vérité sur la façon dont la musique vous affecte ?”. Une professeur d’anglais de Los Angeles reconnaît tacitement le problème : elle demande à la classe de couper l’image du logiciel Zoom et demande à chaque élève de rendre son nom anonyme afin qu’ils puissent avoir des discussions désinhibées.

Il n’existe pas de données d’enquête fiables sur la liberté d’expression parmi les lycéens, mais la semaine dernière, l’Heterodox Academy a publié son rapport annuel d’enquête sur l’expression dans les campus, qui a révélé qu’en 2020, 62 % des étudiants universitaires interrogés “sont d’accord pour dire que l’ambiance du campus empêche les étudiants de dire ce en quoi ils croient.”

Avec le bouche-à-oreille, les parents essaient de savoir quelles sont les écoles privées de leur ville à l’écart de cette idéologie, si elles existent. Ils me demandent si j’en connais. “Je ne sais pas où le mettre. Je le change d’école et à chaque fois, c’est la même chose. Mais j’ai un nœud à l’estomac à l’idée de le renvoyer en troisième année”, déclare une mère de la Riverdale Country Day School dans le Bronx, une préoccupation partagée par de nombreux parents. (Riverdale a refusé de commenter).

Lorsque j’ai commencé à travailler sur cette histoire, je n’avais pas beaucoup de sympathie pour ces parents. Quelques 18 millions d’élèves de l’enseignement public n’ont pas mis les pieds à l’école l’année dernière. Une étude publiée début décembre par McKinsey and Co. a révélé que l’apprentissage virtuel nuisait à tous les élèves, mais surtout aux élèves de couleur : l’école à distance les faisait reculer de trois à cinq mois en mathématiques, par exemple. Ces chiffres ne rendent pas compte des effets dévastateurs, dont les idées suicidaires, que l’an dernier a eus sur ce que les experts appellent déjà une génération perdue.

Les parents dont il est question dans cette histoire ne sont pas des parents sans autre choix. La plupart ont le capital – social et matériel – pour retirer leurs enfants de l’école et engager des tuteurs privés. Le fait qu’ils ne s’expriment pas me semble être de la lâcheté, voire pire.

La réponse cynique à leur silence : une inquiétude quant à la viabilité de l’Ivy League [universités prestigieuses du Nord-Est] et d’autres écoles d’élite. “Il y a définitivement des rumeurs selon lesquelles l’école a, disons, trois choix pour Duke et que si vous vous opposez à cela, votre enfant sera évincé”, dit une mère.

Une autre explication est la pensée de groupe et la pression sociale. “Parfois, les personnes les plus intelligentes sont les plus faciles à tromper”, déclare un père qui a récemment transféré son fils d’une école à une autre qu’il juge marginalement meilleure. “Si vous avez pris la décision d’entrer au conseil d’administration de Dalton en ayant épousé toutes ces opinions gauchistes depuis toujours et que vous voulez que votre enfant entre à Harvard, vous n’allez pas vous lever et dire ‘attendez une seconde, les gars’. Vous n’allez juste pas le faire. La plupart des gens veulent être membres du club.”

Je pense qu’il est vrai que beaucoup de gens préfèrent violer leurs principes déclarés plutôt que d’être exclus de leur réseau social. Mais cette situation va au-delà du fait d’être relégué à une mauvaise table au gala de Robin des Bois. Résister à cette idéologie, c’est aller à l’encontre de l’ensemble du monde institutionnel.

Il ne s’agit pas seulement de Dalton, une école qui s’est engagée à être “visiblement, vocalement et structurellement antiraciste”. Bain & Company [cabinet international de conseil en stratégie et management] tweete sur le “Womxn’s History Month”. La chaîne Cartoon Network implore les enfants de “voir la couleur”. Les employés de Coca-Cola ont récemment reçu l’instruction d'”être moins blancs”. Vous ne pouvez pas acheter ou vendre les livres devenus récemment problématiques du Dr. Seuss sur eBay. Cette idéologie ne dit pas ses vérités au pouvoir. Elle est le pouvoir.

Le plus alarmant est que cette idéologie est de plus en plus répandue dans les écoles publiques locales. Le nouveau chancelier des écoles de la ville de New York est un partisan convaincu de la théorie critique de la race. À Burbank, le district scolaire vient de dire aux enseignants des collèges et lycées d’arrêter d’enseigner “To Kill a Mockingbird” et “Of Mice and Men”. Le district scolaire de Sacramento encourage la ségrégation raciale par le biais de “groupes par affinité raciale”, où les élèves peuvent “cultiver la solidarité raciale et la compassion et se soutenir mutuellement pour faire face à l’inconfort, au désarroi et à l’insensibilité qui accompagnent souvent le processus de réveil des Blancs sur la race”. Le district scolaire de San Diego a récemment organisé une formation au cours de laquelle on a dit aux enseignants blancs qu’ils “assassinent l’esprit” des enfants noirs.

“Je ne veux pas être émotive, je me sens juste impuissante”, a déclaré une mère en larmes. “Je regarde l’école publique et je suis tout aussi mortifiée. Je n’arrive pas à croire ce qu’ils font à tout le monde. J’ai trop peur. J’ai trop peur de parler trop fort. Je me sens lâche. Je fais juste des petites vagues.” Un autre me dit : “C’est la peur du châtiment. Notre fille serait-elle mise au ban de la société ? Est-ce que les gens nous ostraciseraient ? C’est déjà arrivé.”

J’ai une amie à New York qui est la mère d’un enfant de quatre ans. Elle semble être exactement le genre de parents que ces écoles voudraient attirer : une entrepreneuse prospère, une féministe et une Manhattanienne convaincue. Elle avait rêvé d’envoyer sa fille dans une école comme Dalton. Un jour, à la maison, en plein milieu du processus d’inscription, elle dessinait avec sa fille, qui lui a dit avec désinvolture : “J’ai besoin de dessiner dans ma propre couleur de peau.” La couleur de la peau, a-t-elle dit à sa mère, est “vraiment importante”. Elle a dit que c’était ce qu’elle avait appris à l’école.

City-Journal

Via Fdesouche

Californie : Le frère d’un célèbre rappeur tue deux femmes blanches et se filme sur les réseaux sociaux avec leurs cadavres

Les faits se sont déroulés samedi matin [NDLR : article du 2 février 2021] à Vacaville, en Californie (Etats-Unis). Raymond Weber, 29 ans, frère aîné du rappeur Marcus Weber, plus connu sous le nom d’Uzzy Marcus, a tué deux femmes dans son appartement.

Puis il s’est filmé en direct sur les réseaux sociaux avec les cadavres des victimes. C’est une internaute qui a appelé la police après avoir visionné la vidéo. Sur les images, Weber brandit une arme à feu en s’accroupissant à côté d’un des deux corps et en accusant les deux femmes de l’avoir piégé.

Le sergent de police de Vacaville Kate Cardona a déclaré que l'une des victimes avait 27 ans et l'autre 15 ans.

 

 

L’une des victimes a été identifiée : il s’agit de sa fiancée, Savannah Rae Theberge, 27 ans [NDLR : 26 ans selon certains sites], originaire de Géorgie, maman d’un fils de 4 ans. Les policiers, arrivés sur les lieux, ont négocié durant huit heures avec Raymond Weber, avant de le maîtriser à coups de taser. Il a été inculpé de double assassinat et écroué.

(...)

Senego.com / Dailymail.co.uk / Ibtimes.sg

Colorado : Danielle Hopton, battue à mort par son ex-petit ami (MàJ).

Une bénévole du refuge pour animaux aurait été battue à mort dans un parking, ce qui a conduit à l'arrestation de son ex petit ami ainsi que d'un autre homme.

Danielle Hopton, 18 ans, aurait été battue à mort, selon la police.

La police de Fort Collins a reçu un appel au 911 concernant une femme inconsciente et blessée dans un parking du Colorado.

Lorsque les policiers sont arrivés, ils auraient trouvé Hopton "avec des blessures mortelles compatibles avec une agression", selon un communiqué.

Elle a été transportée d'urgence à l'hôpital où elle a succombé à ses blessures.

Les inspecteurs ont ensuite arrêté Stephen McNeil et Ian Rayas, tous deux âgés de 20 ans.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Thesun.co.uk

 

Brooklyn (USA). Agression gratuite : Un cycliste frappé à coups de batte de Baseball

Brooklyn - Un homme est en état d'arrestation en relation avec une vidéo choquante qui montre un cycliste se faisant battre à coups de batte sur un trottoir de Brooklyn, dans ce que les autorités considèrent comme une nouvelle agression aléatoire et non provoquée à New York.

Selon la police, la victime, âgée de 54 ans, était à vélo à proximité des avenues Flatbush et Parkside lorsqu'elle a été attaquée.

 

 

 

La vidéo - qui est peut-être trop graphique pour que de nombreuses personnes la regardent - montre le suspect frappant l'homme à la tête avec la batte à plusieurs reprises, avant qu'un passant n'intervienne finalement.

 

 

 

On peut voir plusieurs autres personnes passer à côté de l'agression en cours et continuer leur chemin.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Abc7ny.com

Procès en destitution : Acquitté, Donald Trump donne rendez-vous “dans les mois à venir”

Acquitté, Donald Trump salue dans un communiqué la fin d'une "chasse aux sorcières". "Notre mouvement magnifique, historique et patriotique, Make America Great Again, ne fait que commencer. Dans les mois à venir, j'aurai beaucoup de choses à partager avec vous et suis impatient de continuer notre incroyable aventure pour la grandeur de l'Amérique", écrit le milliardaire.

 

 

"Aucun président n'a jamais été traité de la sorte", ajoute-t-il, reprenant une formule régulièrement utilisée tout au long de son mandat.

(...)

LCI

San Francisco : en couple gay et père d’une petite métisse, il n’est “pas assez divers” pour rentrer dans le comité des parents d’élèves (composé de 10 femmes)

Un homosexuel blanc, père d’une fille métisse, s’est vu refuser une place au sein du comité des parents bénévoles du Conseil de l’éducation de San Francisco parce que sa race n’apporte pas assez de diversité au groupe.

La question de savoir s’il faut autoriser Seth Brenzel à se porter volontaire pour le conseil consultatif parental de 15 personnes a été débattue pendant près de deux heures mardi soir lors d’une réunion du conseil d’administration.

Le conseil consultatif parental, qui avait soutenu à l’unanimité la candidature de Brenzel à leur comité entièrement féminin, avait soumis son nom à l’approbation du conseil d’administration de l’école.

Sa candidature s’est toutefois heurtée à l’opposition de certains membres du conseil d’administration et de membres du public qui ont fait valoir qu’il n’y avait pas assez de diversité au sein du conseil – ce même si cinq sièges sont actuellement vacants.

Ceux qui se sont opposés à sa candidature étaient préoccupés par le fait qu’il soit blanc.

Le conseil de 15 personnes ne compte actuellement que 10 membres : deux mères noires, une asiatique-américaine, trois “latinx”, une insulaire du Pacifique et trois blanches.

Brenzel, qui est le directeur exécutif d’un programme de musique pour enfants, est ouvertement gay. Il vit à San Francisco avec son mari et leur jeune fille.

S’il avait été approuvé, Brenzel aurait été le seul père au conseil.

Après un long débat, le conseil de l’école a finalement décidé de ne pas voter pour sa nomination et a demandé au conseil de trouver d’autres candidats à prendre en considération. […]

DailyMail

Via Fdesouche


Rappels :

San Francisco : les écoles Washington, Jefferson, et Lincoln débaptisées à cause du passé raciste du pays

Etats-Unis : San Francisco interdit l’usage de la reconnaissance faciale par la police, estimant que cela « va exacerber l’injustice raciale »

San Francisco (USA) : les vidéos d’agressions ne seront plus diffusées pour éviter une « généralisation raciale contre les Noirs»

À San Francisco, une fresque antiraciste censurée au nom de l’antiracisme

Le gouvernement Biden fait appel pour extrader et juger Julian Assange

Joe Biden a bien l'intention de juger Julian Assange. Son gouvernement, au pouvoir depuis le 20 janvier aux Etats-Unis, a décidé de faire appel de la décision de la justice britannique qui avait refusé l'extradition de l'Australien, fondateur de WikiLeaks.

Cet appel a été annoncé vendredi par le ministère américain de la Justice qui entend donc bien juger le lanceur d'alerte pour la diffusion massive de documents confidentiels dès l'année 2009. La décision britannique du 4 janvier dernier indiquait un refus d'extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis en raison du risque de suicide du cybermilitant dans le système carcéral américain.

(...)

Le Point

Administration Biden : tous les clandestins, dont une majorité de criminels, en attente d’expulsion vont être relâchés

09/02/2021

« Selon Brandon Judd, chef de la National Border Patrol Council, nous ne testons pas les clandestins que nous arrêtons. Donc, oui, nous relâchons des gens dont nous ne savons pas s’ils sont malades ce qui met les Américains en danger. »

Fox News.

« Les clandestins condamnés pour agressions, conduite en état d’ébriété et trafic de stupéfiants ne seront pas expulsés sous la mandature Biden.

(…)

Seuls les criminels posant une menace pour la sécurité nationale ou les criminels sexuels seront expulsés. »

Free Beacon

24/01/2021

« Les centres de rétention ont été priés de relâcher tous les clandestins et d’arrêter toutes les expulsions, que ce soit par avion ou par bateau. »

(…)

« “Relâchez-les tous, immédiatement.” est-il écrit dans la note interne à l’administration. »

« On ne sait pas encore si cet ordre concerne les clandestins condamnés ou en attente de procédure, qui représentent 71,4% des 15 000 personnes environ retenues pour entrée illégale sur le territoire américain.

(…)

L’administration arrête toute expulsion, sans tenir compte du passé criminel de la personne, pour une durée d’au moins 100 jours. »

Breitbart.

Merci à PE. Via Fdesouche

Pour Barack Obama, les réseaux sociaux “sont un grand danger”

L'ancien président des États-Unis prône plus de responsabilité chez les entreprises de réseaux sociaux face à ce qu'il considère comme le "plus grand danger actuel pour la démocratie".

Les réseaux sociaux sont une "foire d'empoigne", a regretté l'ancien président américain Barack Obama sur France Inter lundi 8 février, estimant par ailleurs que "le pouvoir des mots a été compromis par le changement du paysage médiatique". Invité de l'émission Boomerang d'Augustin Trapenard à l’occasion de la sortie du premier tome de ses mémoires Une terre promise aux éditions Fayard, il attaque également son successeur Donald Trump et l'accuse de mensonges.

(...)

Il s'agit pour Barack Obama du "plus grand danger actuel pour la démocratie".

(...)

Francetvinfo.fr


Rappels :

Après s’être offert des vacances en jet privé, Obama déclare à Greta: «Toi et moi, on forme une équipe»

Michelle Obama exhorte les géants des réseaux sociaux à bannir définitivement Trump et son “comportement monstrueux”

Donald Trump est l’homme le plus admiré aux États-Unis: il passe devant Barack Obama

Révélation du Sénat : l’administration d’Obama a financé une filiale d’Al-Qaïda

Obama critique les électeurs hispaniques qui ont choisi Trump, qu’il accuse d’avoir encouragé les hommes blancs à se considérer comme des victimes

Barack Obama signe un contrat avec Netflix pour promouvoir des personnalités de son bord politique: « Netflix ne cache pas son hostilité à Trump. »

USA: l’artiste choisi par Barack Obama pour réaliser son portrait officiel peignait des femmes noires décapitant des femmes blanches

Une photo d’Obama avec le raciste anti-blanc Farrakhan, datant de 2005, a été dissimulée par un journaliste car sa divulgation aurait nui à la carrière de celui qui allait devenir président

Donald Trump ne devrait pas avoir accès aux rapports des renseignements, estime Joe Biden

Donald Trump ne devrait pas avoir accès aux rapports des services de renseignement américain à cause de son « comportement imprévisible », a déclaré le nouveau président américain. Traditionnellement les anciens locataires de la Maison Blanche reçoivent des briefings même après qu’ils ont quitté leurs fonctions.

(...)

Ouest-france.fr

De 15 000 à 125 000 migrants par an : Joe Biden annonce une hausse colossale de l’accueil aux Etats-Unis

Un chiffre multiplié par huit… Joe Biden l’avait promis dans son programme présidentiel et il le fait. Le nouveau président américain a annoncé une large augmentation de l’accueil des migrants aux Etats-Unis.

De 15 000 l’année précédente, ils passeront à 125 000 et dorénavant, ce sera le quota annuel, relaye Ouest-France ce jeudi 4 février. Le nombre de migrants, pouvant être admis sur le territoire américain, va donc être multiplié par huit.

(...)

Valeurs Actuelles


Rappels :

En privé, Facebook reconnaît avoir “trop de pouvoir” et Zuckerberg veut “travailler” avec Biden sur ses “priorités”

Biden annoncera un projet de loi pour offrir la citoyenneté à environ 11 millions de migrants illégaux

Inclusivité : Joe Biden signe un décret permettant aux étudiants nés hommes de concourir chez les femmes s’ils se sentent femmes

Etats-Unis : Joe Biden choisit Tom Vilsack, « M. Monsanto », comme secrétaire à l’agriculture

Joe Biden promet de “vaincre le suprémacisme blanc”

Biden sur la sortie de la crise sanitaire : “Notre priorité (pour accorder des aides financières) ira vers les entreprises détenues par des Noirs, Latinos, Asiatiques, Indiens ou par des femmes”

États-Unis : Twitter suspend le compte du Daily Citizen pour avoir écrit que la secrétaire adjointe à la santé (transgenre) était un homme

Twitter a suspendu le compte d’un magazine chrétien pour avoir rapporté que l’un des ministres du président Joe Biden est un homme qui croit être une femme.

Le Daily Citizen, une publication de Focus on the Family basée à Colorado Springs, a tweeté le 19 janvier que la candidate de Joe Biden au poste de secrétaire adjoint à la santé, Rachel Levine, “est une femme transgenre, c’est-à-dire un homme qui croit être une femme”, avec un lien vers un article sur la nomination.

En conséquence, le géant des médias sociaux a bloqué le compte du magazine, informant le média que le tweet violait les règles d’utilisation de Twitter interdisant les “comportements haineux”.

Le Daily Citizen a fait appel de la suspension mais a été informé que son compte resterait verrouillé jusqu’à ce qu’il supprime le tweet.

[…]

Christian Post

Via Fdeousche

Un vote du Sénat américain montre que Trump a très peu de chances d’être destitué

45 sénateurs républicains américains sur 50 se sont opposés à un nouveau procès en destitution de Donald Trump, laissant peu de doute sur l'issue de la procédure. Au moins 17 d'entre eux sont nécessaires pour destituer l'ancien président. Presque tous les sénateurs républicains ont soutenu le 26 janvier une tentative de bloquer le second procès historique en destitution de Donald Trump, accusé «d'incitation à l'insurrection», donnant un signal clair qu'une condamnation de l'ex-président républicain reste très improbable.

Ce vote a eu lieu juste après la prestation de serment des 100 sénateurs, qui ont juré de rendre «une justice impartiale» dans le procès qui débutera à la chambre haute le 9 février. Cette procédure est doublement historique : Donald Trump est le premier président des Etats-Unis à tomber deux fois sous le coup d'un «impeachment», une mise en accusation à la Chambre des représentants. Et il sera le premier à être jugé après avoir quitté la Maison Blanche.

(...)

RT