Vol d’enfants, esclavage et humiliations: les chrétiens sous l’Empire ottoman

A l’intérieur de la prison immonde où l’Etat islamique détenait les femmes comme esclaves sexuelles

La prison composée de 10 cellules, dans la ville du nord de Manbij, en Syrie, est considérée comme le site où les extrémistes torturaient aussi les femmes.

Elle a été découverte par les combattants syriens rebelles qui ont été envoyés pour sécuriser la ville après l'avoir reprise à Daech le mois dernier.

 

 

La vidéo prise à l'intérieur de la prison montre l'état déplorable dans lequel les femmes ont dû vivre, avec des chambres individuelles et des chambres communes pour prisonniers

Certaines images glaciales montrent du liquide répandu sur le plancher et des bols pour chiens en plastique utilisés pour la nourriture.

Les militants ont découvert des contraceptifs et de la drogue cachés dans la prison.

"Nous avons trouvé les pires et les plus violents outils de torture. Que Dieu les maudisse."

Source1 Source2 Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

 

Sur WhatsApp, le marché aux esclaves de l’Etat islamique

Les jihadistes se livrent à un sinistre commerce avec les jeunes Yézidies, enlevées en masse en 2014, qu’ils abusent sexuellement.

 

Lamiya, 18 ans, a essayé de s'échapper quatre fois avant d'y parvenir, en mars. Dans sa fuite, elle a été blessée par une mine antipersonnel.

Lamiya, 18 ans, a essayé de s'échapper quatre fois avant d'y parvenir, en mars. Dans sa fuite, elle a été blessée par une mine antipersonnel.

«Jolie vierge, 12 ans. Son prix a atteint 12 500 dollars.» Ce message en arabe est apparu sur la messagerie cryptée Telegram. Il a été intercepté par des membres de la communauté yézidie, dont environ 3000 femmes et enfants sont détenues comme esclaves sexuelles par le groupe Etat islamique (EI) depuis son offensive d’août 2014 dans le nord de l’Irak.

Mêlant pratiques barbares et outils ­numériques, les jihadistes négocient ces prises de guerre sur le Net. On trouve aussi les photos de jeunes Yézidies, apprêtées et maquillées, sur WhatsApp. Une mère et ses deux enfants en bas âge y sont proposés à 3700 dollars.

Source et suite de l'article

Discours de Viktor Orban : « le temps est venu d’empêcher la destruction de l’Europe». NDLR. Une belle leçon pour tous les “soumis”

Discours de Viktor Orban, Premier Ministre de Hongrie, pour la célébration de la fête nationale du 15 mars, au Jardin des Musées à Budapest avec l’accompagnement bruyant des manifestants gauchistes en marge de cette célébration.

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« Serons-nous un peuple d’esclaves ou un peuple libre ? *

Nous ne permettrons pas aux autres de nous dire qui nous laissons entrer dans notre maison et dans notre pays, avec qui nous voulons vivre, et avec qui nous allons partager notre pays.

C’est pour cela que nous refusons les installations forcées de populations … et nous ne permettrons, ni les chantages ni les menaces. »

Le premier ministre a déclaré que le temps était venu de sonner le tocsin, de se retourner contre les forces hostiles, de résister et de rassembler nos alliés.

« Le temps est venu de brandir les drapeaux des nations fières, le temps est venu d’empêcher la destruction de l’Europe et de préserver l’avenir de l’Europe.

Le temps est venu de demander à tous les citoyens et toutes les nations européennes, quelle que soit leur affiliation politique, d’être unies, … de s’unir ; l’unité de l’Europe doit être rétablie.

Les dirigeants européens et leurs citoyens ne peuvent plus vivre dans deux mondes séparés. »

[…]

Viktor Orbàn a expliqué que le peuple hongrois est fait de gens qui se lèvent pour la vérité, et se battent pour elle s’il le faut, mais il ne cherche pas inutilement des ennuis, car il sait qu’il arrive à un meilleur résultat en vivant en paix que par des temps troublés.

« Pendant 170 ans, nous n’avons choisi que deux fois le chemin de la révolution, ainsi l’histoire moderne de l’Europe a conservé ces deux révolutions hongroises, les événements de 1848 et de 1956. »

[…]

Il a souligné que la vie contemporaine hongroise est l’héritière intellectuelle des révolutions de 1848 et de 1956, cette tradition d’esprit révolutionnaire est le rythme cardiaque qui dirige la vie politique, économique et intellectuelle de la nation. Aujourd’hui encore, l’impulsion de 48 et 56 et ses idéaux coulent dans nos veines et dans l’esprit de la nation. […]

Il a indiqué que l’héritage de 1919 vit toujours avec nous, … bien heureusement en agonisant.

Et si cet héritage ne recevait pas une grande perfusion politique et idéologique, des arrosages de secours de l’étranger, alors, après que les feuilles et les branches se soient desséchées, les racines se dessécheraient également, la terre hongroise deviendrait aséchée pour faire pousser leur internationalisme.

« Nos révolutions ont été conduites par des citoyens respectables, médecins, ingénieurs, artisans honnêtes, agriculteurs et travailleurs qui étaient animés par des sentiments nationaux. Les chevaliers des révolutions hongroises ne sont pas des utopistes aliénés, ni des esprits perturbés par l’idée du bonheur universel.

Un homme sensé, qui élève ses enfants et construit sa vie en travaillant, sait que le désordre, le bouleversement des habitudes de vie amène rarement de bonnes choses.

[…]

Les révolutionnaires de 1848 et de 1956 ne voulaient pas démolir nos églises pour rebâtir sur ses ruines les édifices d’une nouvelle tyrannie. Nos chansons ne peuvent pas être chantées par des foules enchaînées, la révolution de Pest n’est pas le poème du chaos, mais une histoire majestueuse qui révèle les blessures glorieuses de la nation hongroise.

Nous devons nous demander si nous voulons garder l’héritage que nos aïeux nous ont laissé et nos réflexions à ce sujet devront utiliser des unités de mesures appropriées à nos aspirations.

Aujourd’hui les étoiles de l’Europe sont si vacillantes que nous devons envisager d’avoir à faire face à des épreuves qui déboucheront sur la question : « Voulons-nous être un peuple libre ou esclave ?». (citation des lignes bien connues du poète de la révolution de 1848, Petôfi Sandor).

L’UE est si faible, si fanée, sans force, comme une fleur qui est rongée par un ver invisible.

Voulons-nous construire un beau pays libre, digne, respecté de tous ? Le sort des Hongrois est si imbriqué avec le destin de l’UE, que nous ne pouvons pas être libre si l’Europe ne l’est pas.

L’Europe n’est pas libre parce que la liberté commence par pouvoir dire la vérité, ce qui est actuellement interdit.

Il est interdit de dire que ce ne sont pas des réfugiés qui arrivent sur nos sols mais une menace d’invasion.

Des dizaines de millions de personnes sont prêtes à envahir nos pays, ces masses amènent des crimes et la terreur.

Ces masses humaines, venant d’autres civilisations, sont un danger pour notre mode de vie, notre culture, nos coutumes, nos traditions chrétiennes.

Ceux qui sont déjà chez nous, au lieu de s’intégrer et de s’adapter, ont érigé un monde à part, avec leurs lois, leurs idéaux et ils sont en train de faire exploser l’Europe séculaire, millénaire.

Ces masses humaines sont dirigées vers nous, il ne s’agit pas d’une chaîne d’évènements inattendus, mais d’un plan délibéré.

Aujourd’hui, il est interdit de dire à Bruxelles que des dirigeants œuvrent pour acheminer le plus rapidement possible ces masses d’étrangers pour nous coloniser. Cette colonisation vise à remodeler la totalité de l’Europe au niveau religieux et culturel, à transformer ses bases ethniques, à éliminer ainsi le dernier obstacle – les Etats-nations – pour établir « l’ordre international ».

Bruxelles a volé et englouti par tranches les souverainetés nationales des peuples, et beaucoup de ses fonctionnaires travaillent au plan « États-Unis d’Europe », plan auquel personne n’a jamais donné son accord.

Désormais, les citoyens européens ont peut-être compris que notre avenir est en jeu. Non seulement, notre prospérité est en danger mais également notre sécurité, notre existence pacifique.

La migration est comme une cours d’eau qui, par la force du courant, emporte ses rives.

Cette invasion nous a été présentée comme une affaire humanitaire alors qu’il s’agit de la conquête de nos territoires

Ce danger ne s’abat pas sur nous comme une guerre ou une catastrophe naturelle mais d’une manière inhabituelle. Cette invasion nous a été présentée comme une affaire humanitaire alors qu’il s’agit de la conquête de nos territoires, de l’occupation de nos espaces.

Les nations européennes somnolaient dans la prospérité, elles ont enfin compris le danger mortel qui menace les principes sur lesquels l’Europe chrétienne s’était construite :

– la coexistence de nations libres et indépendantes,

– l’égalité en droit des hommes et des femmes,

– la concurrence loyale,

– la loyauté, l’honnêteté, l’humilité, la justice et la miséricorde.

Le troupeau des incorrigibles guerriers des droits de l’Homme ressent une irrésistible envie de nous faire la leçon et de nous accuser. Les Hongrois seraient un peuple isolationniste, un peuple hostile à l’ouverture alors que l’histoire de la Hongrie est également le résultant d’une fusion de cultures et d’influences externes. Celui qui est arrivé comme un nouveau membre de famille, comme un associé, ou pour sauver sa vie, nous l’avons laissé entrer et il a pu trouver une nouvelle maison chez nous.

Cependant, l’arrivant a toujours rencontré des oppositions, s’il est venu dans notre pays dans le but de le transformer à son image, en nous forçant d’accepter sa présence, ou qu’il soit venu contrairement à notre volonté.

« Si vous voulez arrêter l’invasion, alors, tout d’abord, c’est Bruxelles qui doit être freinée. »

Au début, seulement quelques centaines veulent franchir nos portes puis des milliers, mais aujourd’hui, aucun dirigeant européen n’ose jurer sous serment que les uns ou deux milles à répartir ne seront pas plutôt des dizaines et des centaines de milliers. »

Pour Viktor Orbàn, l’avenir de l’Europe n’est pas en danger, en premier lieu, par les envahisseurs qui veulent s’installer chez nous ; ce qui compromet en premier lieu l’avenir de l’Europe aujourd’hui, c’est l’obsession de l’internationalisme de Bruxelles.

Nous ne pouvons pas laisser Bruxelles se mettre au-dessus de la loi

« nous ne voulons pas qu’ils aillent à la chasse de nos femmes et nos filles »

« Nous ne nous laisserons pas forcés à avaler le fruit amer de la politique d’immigration cosmopolite. Nous ne voulons pas importer en Hongrie le crime, le terrorisme, l’homophobie, l’antisémitisme des incendiaires de synagogues, des zones de non-droit, des émeutes de voyous, des émeutes d’immigrés, des gangs, nous ne voulons pas qu’ils aillent à la chasse de nos femmes et nos filles…

Nous ne permettrons pas aux autres de nous dire qui nous devons laisser entrer dans notre maison et dans notre pays, avec qui nous allons vivre ensemble, avec qui nous allons partager notre pays.

Nous savons comment cela se passe avec eux : tout d’abord ils se permettent de nous dire qui nous devons accepter, puis de nous dire que nous serons obligés de servir ces étrangers dans notre propre pays, puis nous arrivons, finalement, à être expulsés de notre propre pays.

C’est pourquoi nous n’accepterons aucune installation forcée et nous n’allons pas céder, ni devant les chantages, ni devant les menaces. »

Viktor Orbàn a encore affirmé :

« les dirigeants européens et les citoyens ne peuvent plus vivre dans deux mondes séparés comme c’est le cas aujourd’hui. »

Il a ajouté que l’unité de l’Europe doit être rétablie, les peuples d’Europe ne peuvent pas être libres individuellement si nous ne le sommes pas ensemble. Le Premier ministre a souligné que si nous travaillons ensemble, nous allons réussir, … si nous tirons chacun de notre côté, nous allons chuter ensemble ; ou nous allons nous en sortir ensemble ou pas du tout. Aujourd’hui, telle est la loi.

« La tâche qui nous attend, nous les Hongrois, et les pays d’Europe centrale qui ont encore leur bon sens – mais aussi les autres peuples européens -, c’est de vaincre, de réécrire et changer le destin qu’ils nous ont réservé. »

Viktor Orban a également parlé du livre du destin dans lequel le sort des Hongrois avait été écrit à l’avance :

« on ne peut rien faire contre l’Empire des Habsbourg, et si les Hongrois s’étaient contenté de cela en 1848, cela aurait signifié que notre avenir aurait été remis à son destin : les Hongrois auraient été dilués dans la mer allemande. »

Il a ajouté que le livre du destin était également écrit en 1956, … il était écrit que les pays occupés et soviétisés restent jusqu’à ce que le patriotisme s’éteigne dans le dernier magyar, et si nous avions acquiescé, nous aurions rempli notre destin : la mer soviétique aurait dilué les Hongrois.

« Les forces mondiales cachées et sans visage vont supprimer les particularités, les spécificités des anciennes nations pour mélanger des cultures »

Il a attiré l’attention sur le livre du destin actuel, … il y est écrit que les forces mondiales cachées et sans visage vont supprimer les particularités, les spécificités des anciennes nations pour mélanger des cultures, des religions, des masses humaines, jusqu’à ce que la fière diversité et de notre Europe devienne un magma anémique et obéissant. Si nous acquiesçons à cela, notre destin sera accompli et nous serons absorbés, digérés dans la panse énorme des Etats-Unis d’Europe.

Viktor Orban a relevé :

« Nous, les Hongrois et les Polonais, savons comment faire pour réécrire notre histoire. On nous a appris que l’homme ne peut faire face au danger que s’il est courageux. C’est pourquoi nous devrions chercher dans notre histoire des leçons de courage. »

Le Premier ministre a souligné la nécessité de s’engager d’abord dans son propre cœur.

Viktor Orban a ainsi conclu son discours :

« Naturellement, nous devons répondre à la question ‘Qui va décider de notre destin ?’ avec une voix si forte qu’elle traverse sept frontières.

Serons-nous des esclaves ou des hommes libres ?

C’est la question qui se pose !

Répondez ! »

 

* il s’agit d’un poème que chaque hongrois connaît par cœur :

Debout Hongrois, la patrie nous appelle !

C’est l’heure : à présent ou jamais !

Serons-nous esclaves ou libres ?

Voilà le seul choix, décidez !

De par le dieu des Hongrois nous jurons,

Oui, nous jurons,

Que nous ne serons jamais plus esclaves !

 

 

Cet article a paru d’abord sur Dreuz.info.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : ©, traduction et adaptation, P. Kandel pour Dreuz.info.

Source : fidesz.hu

Syrie : Recrutement d’esclaves sexuelles “Ils m’ont frappée jusqu’à me casser les bras”

Derrière la promesse d’un emploi, des Népalaises et Bangladaises sont prises au piège au Proche-Orient. Battue et ne recevant qu’un repas par jour, Magar raconte avoir passé 13 mois comme domestique dans un foyer syrien.« J’ai été en permanence épuisée, affamée et terrorisée », dit-elle en racontant ses journées de 20 heures non payées et ses rares heures de sommeil passées sur le balcon de son employeur, un officier de la sûreté syrienne.

Magar est l’une de ces nombreuses femmes pauvres du Népal et du Bangladesh parties au Moyen-Orient avec la promesse d’un emploi rémunérateur et qui se sont retrouvées en Syrie, prises au piège des trafiquants dans un pays en guerre.

Le chef de la représentation diplomatique du Népal au Moyen-Orient, basée au Caire, explique que les émigrés des Philippines et d’Indonésie – autres grands pays d’émigration de travail – ont cessé de travailler en Syrie en raison du danger: alors depuis deux ou trois ans, «les trafiquants ciblent les Népalais», dit Kaushal Kishor Ray. [...] Les femmes du Népal et du Bangladesh sont les proies des réseaux de trafiquants car leurs gouvernements ont peu influence dans la région et n’ont aucune ambassade en Syrie.

«Nous estimons qu’il y a environ 500 Népalaises en Syrie, leur nombre a fortement augmenté au cours des dernières années», déclare Ray. «J’ai été vendue à un Syrien qui m’a torturée et violée chaque jour, parfois avec ses amis», raconte cette mère célibataire de deux enfants. «J’implorais leur pitié mais ils n’en avaient aucune. Au contraire, ils m’ont frappée jusqu’à me casser les bras».

«Même dans les rares cas de poursuites, les affaires trainent ou n’aboutissent pas à une condamnation», dit Krishna Gurung, coordinatrice de l’ONG Pourakhi à Katmandou, qui organise l’hébergement d’urgence de femmes migrantes.

20 Minutes

Etat Islamique : une liste de prix publiée pour les esclaves sexuelles

Plus elles sont jeunes, plus elles valent cher. Une représentante des Nations unies a déclaré avoir eu en main une liste de tarifs pour des esclaves sexuelles, éditée par les djihadistes de Daesh, rapporte l’agence Bloomberg. C’est lors d’un voyage en avril dernier en Irak que Zainab Bangura, envoyée spéciale de l’ONU sur les questions de violences sexuelles en zone de conflit, a pu découvrir ce tract islamiste incluant les prix pour les esclaves féminines capturées.

150 euros pour un enfant de moins de neuf ans

« Les filles sont échangées comme des barils de pétrole », a déclaré Zainab Bangura. « Une fille peut être vendue et achetée par cinq ou six hommes différents. Parfois les combattants revendent les filles à leurs familles en échange de rançons de plusieurs milliers de dollars. » En moyenne, des enfants, filles ou garçons, âgés de 1 à 9 ans valent 150 euros. Les adolescentes valent, elles, environ 110 euros. Les femmes dépassant les 20 ans ne valent plus autant.

D’après Zainab Bangura, les leaders des groupes armés ont la priorité pour choisir l’esclave de leur choix. Ensuite, les personnes aisées de la région peuvent faire des enchères. Après ces deux étapes, les esclaves restant sont proposés aux combattants de base aux prix indiqués. La liste de prix a été vérifiée par les Nations unies comme provenant bien du groupe djihadiste.

Source via Fdesouche.com

Islam: Le marché aux esclaves Yezidis

Des siècles de civilisation pour revoir ces horreurs, grâce à l'islam:

 

http://youtu.be/tVISyjFwXAU

 

Dialogues en anglais:

Today is the slave market day
Today is the day where this verse applies: “Except with their wives and the (captives) whom their right hands possess,- for (then) they are not to be blamed” 
Today is distribution day God willing
Each one takes his share
I swear man I am searching for a girl I hope I find one
Today is the day of (female) slaves and we should have our share
Where is my Yezidi girl?
Where is my Yezidi girl? 
Whoever wants to sell his slave, whoever wants to give his slave as a present... Everyone is free to do what he wants with his share. 
Where is my Yezidi girl?
Whoever wants to sell, I can buy my brothers.
Whoever wants to sell his slave, I buy.
Whoever wants to sell his own slave, I buy her.
And if you want to give her as a gift, also I take her.
Who wants to sell?
I want to sell.
Why?
I pay 3 banknotes (1 banknote is most probably 100 dollars)
I buy her for a pistol.
The price differs if she has blue eyes.
I buy her for a glock (pistol brand)
I pay 5 banknotes. (1 banknote is most probably 100 dollars)
If she is 15 years old
I have to check her
check her teeth. 
If she has green eyes
If she doesn’t have teeth, why would I want her?
Put dentures for her.
I don’t want.
On the Yezidis
Can one take 2 slave girls? Does that work?
(Voice behind camera asks) You have a share. What about it?
I got a share of Yezidis but I don’t want one.
Why? Wait why don’t you want yours?
I will give my share away.
AL Farouk and I, we do not want any.
(Voice asks the boy) Do you want a Yezidi slave?
He nods yes
Can you handle her?
Boy giggles
Abu Khalid, do you want a slave?
I don’t want to take one.
Why?
Abu Fahd: “Your Yezidi is dead”
She’s dead
Someone giggles

Esclaves sexuelles des djihadistes

Islam__Peace

Deux à trois mille femmes et jeunes filles Yézidis et chrétiennes seraient détenues par les islamistes en Syrie et en Irak. «Ces prisonnières de l’Etat islamique (EI) sont traitées comme des esclaves», a rapporté mardi le Middle East Media Research Institute (MEMRI). «A Mossoul ou a Raqqa, elles sont enfermées dans des bordels dirigés par des femmes djihadistes étrangères», affirment le Mirror et le Daily Mail . «Afin de leur épargner d’affreuses souffrances et des humiliations, des Yézidis réfugiés au Kurdistan ont demandé aux peshmergas (ndlr: les combattants kurdes) de bombarder les lieux où elles sont détenues, car la mort ne peut être qu’un soulagement pour elles», a rapporté le Time .

 

Source

À Mossoul, 700 femmes Yezidi vendues par les islamistes

Comptez 150 dollars pour acheter une femme Yezidi au nouveau marché aux esclaves réinventé par les militants de l'EI… Voilà ce qui se passe à Mossoul, au vu et au su de tous, selon des sources concordantes, notamment un officiel irakien.

Si la communauté internationale ne peut pas prétendre ne pas être au courant, l'absence de réactions, notamment de la Ligue Arabe, de l'Arabie Saoudite ou du Qatar, laissent songeur. Le président du Chredo, Patrick Karam, a par ailleurs annoncé qu'une plainte pour génocide et crime contre l'humanité sera déposée contre l'État islamique (EI) et ceux qui l'ont financé.

Texte complet