Journal quotidien d’un Français au contact de l’immigration: “Ils essaient à présent de mettre le feu au restaurant de mon fils.”

Un lecteur nous écrit, essayant simplement de vivre et de travailler honnêtement en France avec son jeune fils. Voilà la réalité qui ne sera jamais publiée par les journaux traitant de l'immigration et du multiculturalisme, éléments qui font la fierté de la France socialiste dans l'hypocrisie la plus totale.

Est-ce cela que nous voulons en Suisse?

(Bien entendu, pour la sécurité des personnes impliquées, nous avons enlevé les noms et la dénomination des lieux.)

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Grenoble quartier .... : nouvel incendie criminel et tentative d’homicide

Depuis que W. 23 ans a repris ce restaurant situé au cœur du centre-ville place ..., une affaire qui avait été fermée pendant près de deux ans, les exactions commises par un véritable gang de voyous ne cessent de s’accumuler.

Au départ parce que l’arrivée de nouveaux occupants dans cette affaire qui avait été squattée par ces mêmes Maghrébins dérangeait car dans l’esprit de ces derniers c’était une intrusion sur leur territoire.

La place ..., un espace dédié à la consommation et au deal de drogue, que l’ouverture prochaine du restaurant risquait de déranger, alors W. a été menacé de toutes les manières : depuis les coups contre la porte en pleine nuit jusqu’à des menaces de mort explicites.

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Mais aussi de casser les vitrines et mettre le feu au restaurant.

Ce qui vient de se passer ce weekend, quand, suite à une énième altercation dans cette lutte incessante entre la nécessité de garder la paix publique pour permettre l’activité du restaurant, et la prise de contrôle de l’espace public par le gang du quartier ..., un incendie criminel visant à faire bruler le restaurant avec ses occupants a eu lieu dans la matinée de samedi à 4h30.

Deux containers poubelles remplis d’essence avaient été mis intentionnellement contre la vitrine du restaurant, sous le préau au contact direct des appartements de l’immeuble, et les flammes atteignaient déjà une hauteur de 3 m.

Sans la présence et le sang-froid du jeune restaurateur qui a poussé le container dans la rue, le restaurant aurait pu rapidement prendre feu avec ses occupants ainsi que l’immeuble tout entier car les flammes léchaient déjà le plancher du premier étage.

Ce dimanche, les voyous constatant sans doute l’échec de leur première tentative, renouvelaient leurs attaques en fracassant les vitrines et les portes vitrées sur plus de 10 mètres linéaires en pleine après-midi.

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W. s’apprête donc non seulement à déposer plainte contre les mêmes voyous pour la douzième fois en 9 mois, mais aussi à fermer son affaire le temps que les travaux de sécurisation et de remplacement puissent avoir lieu, ce qui nécessitera de nombreux jours entre les procédures d’expertise et les devis et la réponse des assurances.

Fragilisant ainsi les chances de succès de son affaire encore naissante, dans une période difficile où le commerce souffre déjà à Grenoble.

Pour information, depuis un mois pas moins de 5 incendies criminels ont été provoqués par la même bande dans les immeubles du quartier ....

France. Boussy-saint-Antoine: selon le maire PS, « le jour où la guerre arrivera ce sera à cause des propos de haine »

Altercation verbale entre un habitant tenant des propos xénophobes et Romain Colas (Parti socialiste), maire de Boussy-saint-Antoine, lieu de l’arrestation de trois femmes suspectées d’avoir préparé un attentat à la voiture piégée à Paris, jeudi 8 septembre au soir.

« Vous avez voulu le mélange des peuples, et bien vous l’avez, interpelle l’habitant. Vous avez les Arabes dans la police, dans l’armée. » Romain Colas le coupe : « Et d’ailleurs ils sont en train de vous protéger, les Arabes dans la police, et vous devriez les respectez« .

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Et la maire d’ajouter : « Le jour où la guerre arrive ce sera à cause de gens comme vous, à cause de vos propos de haine« , arguant que son interlocuteur était « l’allié objectif de celles et ceux qui veulent créer des tensions dans notre société« . Et de conclure : « Il est la réponse que veulent de nous les terroristes. Et nous la refusons.«

via Fdesouche.com

 

La culture du multiculturalisme et de la diversité sont vouées à l’échec.

Par Frosty Wooldridge

À partir de Teddy Kennedy en 1965, le sénateur américain souvent ivre a commencé le chemin des États-Unis vers le multiculturalisme et la diversité. Kennedy a changé la sociologie, la religion, le racisme, la linguistique et la philosophie de ce pays.

Il a forcé l’Amérique à devenir un Frankenstein multiculturel.  Aujourd’hui, avec 100 millions d’immigrants plus tard, l’Amérique se fracture et se fragmente avec tout le monde tirant dans des directions différentes.

Les Mexicains veulent leurs manières.  Les Musulmans le demandent aussi.  Les Africains veulent un état séparé.  Les Américains d’origine caucasienne s’accrochent à leur mode de vie en fuyant les grandes villes.

Dans cette série d’entretiens avec George Phelps, vous recevez une vue plongeante de notre société condamnée.

Suite

Bruxelles planche sur une « année de la diversité » en 2017

L’année consacrée à la diversité – 2017, selon le cabinet de Rudi Vervoort – portera sur la culture, mais aussi sur la diversité des origines, des orientations religieuses ou sexuelles et célèbrera aussi Bruxelles comme capitale de 500 millions d’Européens, a précisé le ministre-président.

7sur7.be via Fdesouche.com

Témoignage : Ces Français qui essaient de protéger leurs enfants contre la diversité

Témoignage: Anne est obligée de faire des ménages pour que ses enfants échappent à la « diversité »

Elle y décrit le nivellement par le bas de l'Éducation nationale où les nouveaux arrivants bénéficiant déjà du passeport français ne savent pas parler la langue du pays: dès lors les écoles françaises focalisent leurs efforts sur ces nouveaux arrivants et les enfants autochtones ne sont plus la priorité.

A ne pas manquer, la réaction de l'institutrice qui vient dispenser sa morale guignolesque "Pour moi tous ces enfants sont français." ainsi que la fameuse "pauvreté" ambiante alors que cette mère doit justement faire des heures de ménage pour protéger son enfant...

https://youtu.be/LSXmqqlcfWc

De la diversité culturelle (1) : Les gènes ne sont pas les seuls à être héritables, la culture l’est aussi

NDLR : cette série d'articles vous sera proposée régulièrement. Ils ont parus en premier sur Riposte Laïque

Par Jean-Marie Blanc

Au cours d’une carrière professionnelle de chercheur biologiste, j’ai eu maintes fois l’occasion de réfléchir à l’évolution génétique des espèces vivantes, et de constater que l’évolution des civilisations humaines y ressemblait beaucoup. Même naissance, à partir d’un rameau issu d’un groupe plus ancien, même développement conduisant à une période de prospérité plus ou moins longue, et, lorsque le monde évolue, même déclin faute d’adaptation, à part quelques rameaux préludant à de nouvelles naissances… Je suis arrivé à la conclusion qu’entre les caractères anatomiques et physiologiques (dont le déterminisme est génétique) et les caractères idéologiques et comportementaux humains (dont le déterminisme est culturel) existaient des analogies tenant aux grands facteurs biologiques communs que sont l’hérédité, la sélection naturelle et l’évolution.

Lorsqu’est venu pour moi l’âge de la retraite, je me suis intéressé à la société et à la politique de mon pays, et il m’est apparu que le multiculturalisme invivable que nos dirigeants tentent de nous imposer depuis quelques décennies est un véritable contresens biologique : Au même titre que les hybridations génétiques défectueuses ou les introductions d’espèces invasives, les mélanges de cultures incompatibles ne peuvent avoir que des conséquences désastreuses. Pour mieux comprendre ce qui se passait, il me restait à analyser la diversité culturelle et les problèmes qu’elle pose, en adoptant le point de vue matérialiste et amoral qui est celui du naturaliste, et en utilisant la grille de lecture constituée par la théorie de l’hérédité et de l’évolution.

Cet article et ceux qui suivront présentent le résultat de ma démarche. À certains lecteurs, ce travail paraîtra sans doute trop distancié et insuffisamment mobilisateur, d’autres peut-être le trouveront même franchement cynique. Mais cette distanciation me semble utile pour prendre conscience des contraintes naturelles qui ont fait notre humanité telle qu’elle est, et apporter ainsi une vision plus réaliste du problème identitaire. Ce premier article introduit la notion d’hérédité culturelle en parallèle à l’hérédité génétique.

La culture n’est pas innée mais elle est héréditairement transmissible

Il y a quelques millions d’années, nos ancêtres primates ont subi une évolution caractérisée (entre autres) par un développement crânien et laryngien permettant l’acquisition et la transmission – l’une ne va pas sans l’autre – de la connaissance. En est résulté l’apparition, à côté de l’hérédité génétique, d’une hérédité culturelle beaucoup plus complexe (tant dans ses mécanismes de transmission que dans sa capacité évolutive et sa diversité), mais obéissant à la même loi : point de morale, mais un seul juge de paix, la sélection naturelle, qui a favorisé non seulement les individus, mais aussi les tribus et les peuples, les mieux adaptés. (1)

L’hérédité culturelle n’est pas spécifique à l’être humain. Chez certaines espèces d’oiseaux, par exemple, on a pu montrer que les modulations du chant, apprises par les jeunes à l’écoute des adultes du voisinage, présentent des caractéristiques stables qui différent d’une population à l’autre, donc une transmission héréditaire. Mais cela est sans commune mesure avec l’hérédité culturelle humaine qui, au travers des langues, de l’art et des coutumes, et même de la pensée (notamment philosophique et religieuse), a complètement pris le pas sur l’hérédité génétique : Ce qui différencie les populations humaines au point d’avoir créé entre elles de véritables barrières, ce ne sont pas tant les caractères génétiques que les caractères culturels. Or, contrairement à une croyance largement répandue, ceux-ci ne s’opposent pas radicalement à ceux-là, car les principes de l’hérédité, de la sélection naturelle et de l’évolution s’appliquent aux uns comme aux autres.

C’est en effet une vision simpliste que d’opposer « l’inné » (génétique et héréditaire) à « l’acquis » (dû au milieu et modifiable). Tout d’abord, génétique et hérédité ne sont pas synonymes : notre sexe, par exemple, est parfaitement génétique, mais évidemment pas héréditaire ; en revanche, une fortune, qui n’a pas grand chose de génétique (surtout si elle a été gagnée au loto !), est quand même un patrimoine héréditairement transmissible – la culture l’est aussi, quoique différemment. Ensuite, la plupart des aptitudes des êtres vivants tiennent à la fois de l’inné et de l’acquis, des facteurs génétiques et des effets de milieu, qui peuvent même, dans certaines fonctions telles que la maternité, être intimement mêlés. Enfin, notre patrimoine culturel personnel, bien qu’étant « acquis », n’est pas totalement indépendant de nos gènes car nos compétences, voire nos modes de pensée, dépendent un peu de nos aptitudes individuelles, dont le déterminisme est partiellement génétique.

Il est même un caractère génétique particulier que la culture ne fait que renforcer d’une manière inextricable, c’est le sexe. Hommes et femmes ont des mentalités différentes du fait, à la fois, de leurs hormones (2) et de l’éducation. Il est certain que la société impose des rôles respectifs aux hommes et aux femmes, selon la façon dont les sexes sont perçus dans le patrimoine culturel du peuple concerné – on peut en penser ce que l’on veut sur le plan éthique. Il n’en reste pas moins que, de toute évidence biologique, imaginer que le « genre » (l’orientation sexuelle) pourrait se déterminer pour tout un chacun indépendamment de la réalité génétique est une aberration totale : Déférence gardée envers Simone de Beauvoir, on naît femme avant de le devenir.

Les « mèmes », comme les gènes, sont « égoïstes »

Revenons à notre hérédité culturelle. Son analogie par rapport à l’hérédité génétique est telle que le biologiste Richard Dawkins, dans un ouvrage resté fameux, « Le gène égoïste » (3), a imaginé le patrimoine culturel comme un ensemble d’éléments susceptibles de se transmettre par réplication (à la manière des gènes), auxquels il a donné le nom de « mèmes ». Bien sûr, à la différence des gènes qui sont très concrètement des segments d’une macromolécule chimique appelée ADN (acide désoxyribonucléique) que l’on sait analyser, les mèmes sont des éléments virtuels – encore qu’ils se traduisent sans doute dans notre cerveau par des connexions neuronales. Les mèmes n’ont donc pas de structure rigide et peuvent évoluer par déformations progressives contrairement aux gènes dont les mutations sont brutales et souvent délétères. Il reste que, comme les gènes, les mèmes se répandent dans les populations humaines selon un mécanisme « égoïste ».

La théorie de Dawkins sur l’évolution, dite du « gène égoïste », ne consiste évidemment pas à attribuer aux gènes quelque sentiment ou stratégie que ce soit, mais à montrer que tout se passe comme si le gène, unité fondamentale de la vie, n’avait d’autre finalité, en tout « égoïsme », que d’approcher l’immortalité en disséminant un maximum de copies de lui-même – quitte pour cela à s’associer avec d’autres gènes pour construire des organismes (y compris vous et moi) qui ne seraient pour lui que des « machines à survie ». En effet, plus la valeur sélective de la « machine » (survie, reproduction) est élevée et plus les gènes qu’elle contient pourront produire de copies : Aucune morale là-dedans, mais, dans un univers impitoyable, la sélection naturelle comme seul arbitre.

Un raisonnement identique peut être fait pour les mèmes humains qui se propagent de cerveau en cerveau en s’associant avec d’autres mèmes pour composer le patrimoine culturel. Plus ce patrimoine contribue à renforcer les individus et surtout la communauté qu’ils constituent, plus cette communauté pourra s’élargir et dominer les autres ethnies, donc plus ses mèmes pourront se copier dans d’autres cerveaux. Ici non plus, point de morale : une mode, un air de musique ou une croyance ne se propagent pas parce qu’ils sont bons d’un point de vue éthique, mais parce qu’ils sont porteurs d’un avantage sélectif direct ou indirect, ne serait-ce que le bien-être de l’individu qui les adopte.

Dawkins conclut son chapitre sur la transmission culturelle par ces mots : « Nous sommes construits pour être des machines à gènes et élevés pour être des machines à mèmes, mais nous avons le pouvoir de nous retourner contre nos créateurs. Nous sommes les seuls sur terre à pouvoir nous rebeller contre la tyrannie des réplicateurs égoïstes ». Cela est exact en théorie, mais d’une part, ainsi que nous le verrons (dans le prochain article), la liberté de pensée est très inégale selon les cultures ; d’autre part, même dans la nôtre, nous ne pouvons nous « rebeller » qu’en nous appuyant sur une connaissance objective de nous-mêmes : Il n’est pire tyrannie que celle dont on n’est pas conscient.

Jean-Marie Blanc

 

France : Les policiers menacés d’enlèvement à la suite de l’attentat

Endeuillées à plusieurs reprises lors des actions terroristes de mercredi et jeudi, les forces de l’ordre font toujours l’objet de menaces très précises. Une note officielle de la DGSI, le service de renseignement intérieur, a ainsi appelé hier matin ses agents à « la plus extrême vigilance ».

Les autorités craignent notamment des tentatives d’enlèvement sur des policiers et leurs familles. Plus globalement, ordre a été donné aux policiers et aux gendarmes en uniforme d’éviter de se déplacer seuls. « On nous a rappelé qu’il était interdit de rentrer chez nous en panaché », explique une policière. Pour ses collègues, il est en effet tentant, afin de gagner du temps en fin de service, d’enlever dans les vestiaires la veste siglée police mais de laisser le reste de la tenue. Trop voyant.

A la suite des assauts de vendredi, des appels à la vengeance circulent sur les réseaux sociaux. « Ce n’est pas de la lâcheté, mais j’ai préféré enlever la mention de ma profession sur Facebook, relève un brigadier. Moi, ça va, mais je ne voudrais pas qu’il arrive quelque chose à mes proches. »

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L’Eglise du Lignon en feu, des jeunes… jubilent

Le Lignon étant la cité multiethnique par excellence, je vous laisse apprécier la vidéo qui accompagne notre article, ponctuée de termes comme "Eglise de merde, bande de fils de putes" avec cet accent caractéristique qui sent bon l'enrichissement. Bien entendu, il y a très peu de chance pour que Martine Brunschwig Graf s'en soucie

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=6iKt0uvX1RI

L’église, pour sa part, a entièrement brûlé. Les restes de la charpente en bois ont été coupés à la tronçonneuse afin d’éviter qu’ils ne s’écroulent. «Un élément important du patrimoine du Lignon et des années 1960 vient de partir en fumée, il y a là quelque chose de traumatisant, déplore Yvan Rochat, le maire de Vernier. Nous allons faire au mieux pour panser les plaies.» Et de rassurer: «L’église m’a assuré qu’elle avait une assurance, c’est une bonne chose!»

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2005728_pic_970x641A l’heure actuelle et d’après un communiqué du service de presse de la police cantonale, l’enquête menée suite à l’incendie semble impliquer deux jeunes enfants. Ils ont d’ores et déjà été entendus dans les locaux de la police judiciaire en présence de leurs parents et ont pu regagner leur domicile. «Il sied de préciser que vu leur jeune âge, ils ne sont pénalement pas responsables», ajoute le communiqué. L’enquête poursuit son cours à la brigade des mineurs de la police judiciaire.

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Antiracisme à sens unique: C’est le Français qui doit s’intégrer dans “son nouveau milieu”

Court- Métrage: L’histoire est celle d’un ado montpelliérain qui vient passer ses vacances à Lunel avec son frère. Il va participer à un atelier de musique à la MJC et s’intégrer à un milieu différent du sien…

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« Il se rend compte que tous les arabes à casquette ne sont pas des mauvais mecs« , souligne Shino. « Et il va faire comprendre à sa mère que les clichés ne sont pas forcément la réalité. » L’idée « c’est de faire tomber les stéréotypes. »

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France: Des spots « promouvant la diversité » sur toutes les chaînes

Pour la deuxième année consécutive et à l’initiative du CSA, les groupes TF1, France Télévisions, M6, Canal+, NRJ, ainsi que les chaînes BFM TV, L’Équipe 21, Gulli et Numéro 23 diffusent, le 14 juillet, des messages promouvant la diversité de la société française.

 

http://youtu.be/L0tx1ix-1UY

 

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