Donald Trump réduit la dette nationale de 12 milliards de dollars et se plaint du silence des médias

Les médias ont fermé les yeux sur le fait que Donald Trump a diminué la dette lors de son premier mois au pouvoir, a-t-il déploré dans un tweet, alors que son prédécesseur avait augmenté la dette de 200 milliards sur la même période.

«Les médias n’ont pas rapporté que lors de mon premier mois [de mandat] la dette nationale avait réduit de 12 milliards de dollars par rapport à l’augmentation de 200 milliards de dollars lors du premier mois d’Obama», a écrit Donald Trump sur son compte Twitter.

Le président américain a ajouté qu’il se montrait optimiste quant au futur du climat des affaires aux Etats-Unis et de l'emploi et a promis «d’importantes réductions d’impôts»

Les chiffres présentés par Donald Trump sont ceux du Trésor américain, selon lesquels le 20 janvier, jour de l’investiture de Trump, la dette américaine s’élevait à 19 947 milliards de dollars. Le 21 février, un mois plus tard, la dette était de 19 935 milliards de dollars. En outre, entre le 22 et le 23 février, la dette américaine s'était encore contractée de 22 milliards supplémentaires.

En comparaison, lors du premier mois du mandat de Barack Obama, la dette américaine était passé de 10 626 à 10 838 milliards de dollars, soit une augmentation de plus de 200 milliards de dollars, selon les données du Trésor américain.

D’après le site USdebtclock.org qui traque la dette américaine en temps réel, la dette a cru de 9 000 milliards de dollars lors des deux mandats de Barack Obama, ce qui correspond à un record historique.

Les tweets de Donald Trump interviennent au lendemain d'une prédiction du Conseil pour les relations étrangères qui avance la chose suivante : «La politique de Trump augmentera le déficit budgétaire de manière considérable.»

Lors de sa campagne présidentielle, Donald Trump avait promis de réduire la dette américaine et le déficit budgétaire. Le 22 février, il a évoqué cette question et a promis que Washington arrêterait de dépenser l’argent du contribuable à mauvais escient. «Les finances de notre pays sont en très mauvais état, mais nous allons y mettre de l'ordre», a-t-il déclaré.

Source

Nos remerciements à Monsieur Scheller

Sarkozy: “Je ne regrette pas d’avoir supprimé 12 469 postes de policiers. On croulait sous les dettes il fallait faire des économies”

Rappels:

"Air Sarko One", un avion devenu symbole du "bling-bling" présidentiel

L'appareil, qui accomplit son premier vol présidentiel, a toujours été dénoncé comme trop luxueux.

La Départementalisation de Mayotte voulue par Sarkozy : une bombe à retardement, selon la Cour des comptes

Sans parler évidemment de son augmentation salariale à 172%, merci à Nicolas Didier pour le rappel:

http://www.liberation.fr/actualite/2007/11/06/172-la-veritable-augmentation-de-sarkozy_8317

 

**********

sarkozy

Suisse: Un Albanais de Macédoine braque sa propre femme pour régler des dettes

Ça devait être une soirée comme les autres pour une Saint-galloise d'origine macédonienne, âgée aujourd'hui de 30 ans. Mais ce soir de novembre 2014, tout est allé de travers. Vers 23h, cette employée d'un restaurant du district de Werdenberg (SG) quittait son travail, quand, à peine installée dans sa voiture, un «inconnu» a recouvert sa bouche d'un morceau de tissu.

La victime a réussi à se libérer et à appeler à l'aide. L'agresseur, lui, a pris la fuite. Ce dernier a pu être repris peu après. Il s'agissait en réalité de... son mari.

Dans la voiture, la police a retrouvé un leggings, appartenant à la victime, que l'accusé aurait utilisé pour dissimuler son visage. L'ADN de ce dernier a été retrouvé sur le vêtement. Par ailleurs, un couteau long de 22cm se trouvait sur les sièges arrières. Enfin, la victime avait déclaré que, quand son mari a vu les forces de l'ordre inspecter le véhicule, il aurait crié, en albanais: «Ne dis rien, sinon nous sommes foutus!»

Source et article complet ici

LSK, la société de DSK, a laissé un passif de 100 millions d’euros

L'ex-patron du FMI serait poursuivi par la justice luxembourgeoise...

La société d'investissement luxembourgeoise LSK, présidée jusqu'en octobre par Dominique Strauss-Kahn, a laissé un passif de près de 100 millions d'euros et un total de 150 créanciers, dont le fisc luxembourgeois, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier.

Suite

 

France: « Le ministère de la Justice n’a plus les moyens de payer ses factures »

Christian Hofer: La France qui a subi une immigration de masse durant des décennies, se retrouve totalement endettée, incapable de faire face au moindre redressement économique, pliant sous le poids de taxes innombrables. L'immigration arabo-africaine n'a jamais été un enrichissement contrairement à ce que prétendent les économistes mais bien une destruction pour ce pays. Et la Suisse est en train de prendre le même chemin, sans tenir compte aucunement des expériences de son propre voisin. Ce qui démontre toute la supercherie de la "gauche intelligente".

******

Terrorisme, déchéance, prison, finances, CSM… Le garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas se confie au JDD et alerte : « Le risque existe que [la machine judiciaire] se grippe. »

L’État a une dette de 170 millions d’euros » de frais d’interprètes, de laboratoires d’analyses ADN, d’experts, d’écoutes téléphoniques… « Tous ces prestataires privés sont payés au minimum avec quatre mois de retard », déplore le ministre.

Vous êtes garde des Sceaux depuis deux mois et la démission de Christiane Taubira. Quel est votre constat?

Dans un souci de vérité et de transparence, il faut reconnaître que la justice est à bout de souffle. Le ministère n’a plus les moyens de payer ses factures. D’ailleurs, la direction de l’administration pénitentiaire a 36 millions d’euros de factures impayées pour des hospitalisations de détenus. Voilà la réalité. Celle d’une vraie situation de sinistre. […]

Comment l’expliquez-vous ? La faute de vos prédécesseurs ?

Nous avons fait énormément d’efforts depuis 2012 sur les créations de postes. En 2015, pour la première fois, il y a eu davantage de magistrats nommés que de départs à la retraite. Mais un nouveau magistrat a besoin d’un bureau, d’un téléphone et d’un greffier. Or les budgets de fonctionnement n’ont pas suivi ! Les juridictions ont déjà fait baisser toutes leurs dépenses, de nettoyage et d’entretien, par exemple… Elles n’ont même plus de ressources disponibles. Je connais même un tribunal où on n’imprime plus les jugements, parce qu’il n’y a plus d’argent pour les ramettes de papier! Or on ne peut notifier un jugement que lorsqu’il est imprimé ! [...]

Le JDD ; Le Figaro

via Fdesouche.com

La dette des grandes villes suisses a grimpé de 4,5 milliards en 10 ans

L'Union des villes suisses est moyennement satisfaite de la politique menée au plan fédéral. Les 50 plus grandes villes du pays ont surtout l'impression d'être les dindons de la farce en matière de gros sous.

L'Union des villes suisses (UVS) a dressé vendredi à Berne un bilan mitigé de la législature qui se termine en décembre. Si l'organisation affirme être désormais mieux entendue par les autorités fédérales, les problèmes subsistent, notamment en matière de finances publiques.

Reports de charges en série

Un chiffre présenté illustre cette réalité. Alors que la Confédération et les cantons ont réduit leur endettement total de 20 milliards de francs entre 2003 et 2013, les 50 plus grandes villes ont au contraire creusé leurs dettes de 4,5 milliards de francs durant la même période.

Cette situation est dénoncée par Sami Kanaan, conseiller administratif de la Ville de Genève: "La Confédération fait des reports de charges sur les cantons, qui à leur tour font des reports de charges, directs ou indirects, sur les communes. (...) On est au bout de la chaîne et on subit les effets concrets."

Parallèlement, les perspectives en matière financière ne sont pas très bonnes. La réforme fiscale des entreprises III pourrait déboucher sur une perte de rentrées d'un milliard et demi de francs pour les communes suisses, selon l'UVS.

Compensations exigées

Renate Amstutz, directrice de l'UVS, tire la sonnette d'alarme. "Il s'agit de sommes exorbitantes très importantes pour la marge de manoeuvre du niveau communal. Sans compensation, l'attractivité des villes pourrait être inférieure à ce qu'elle est aujourd'hui", estime-t-elle.

Au-delà de ce problème, la question de la sous-représentation des communes urbaines au Parlement reste entier. L'association de défense des intérêts des communes urbaines du pays dit réfléchir à une réforme institutionnelle, mais elle peine à trouver une solution susceptible de trouver une majorité.

Stéphane Deleury/dk

RTS

« L’Europe endettée reproduit nos erreurs »

 

 

Nos lecteurs nous informent :

Lors d’une conférence à la Sorbonne le 6 novembre 2013, le président équatorien Rafael Correa avait interpellé ses homologues européens sur leur gestion de la crise de la dette. Celle-ci serait caractérisée par une seule obsession : garantir les intérêts de la finance. Il livre ici une synthèse de sa réflexion.

.

Nous, Latino-Américains, sommes experts en crises. Non parce que nous serions plus intelligents que les autres, mais parce que nous les avons toutes subies. Et nous les avons terriblement mal gérées, car nous n’avions qu’une seule priorité : défendre les intérêts du capital, quitte à plonger la région dans une longue crise de la dette. Aujourd’hui, nous observons avec préoccupation l’Europe prendre à son tour le même chemin.

Suite

« L’Italie dégradée. Phase 1 du plan de l’attaque finale de Noël sur l’euro !! »

Par Charles Sannat : diplômé de l'Ecole Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information-(secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires. Il est actuellement le directeur des études économiques d'AuCOFFRE.com et rédacteur du Contrarien Matin, 'Décryptage quotidien, sans concession, humoristique et sarcastique de l'actualité économique'.

 

Le 25 novembre j’écrivais un édito sur le plan des marchés pour une attaque contre la dette italienne entre Noël et le jour de l’an 2014. Vous pourrez le lire ou le relire ici . C’est important de l’avoir en tête car cela est bien sûr à relier avec cette information qui est tombée vendredi soir dernier, à la veille du week-end et après la fermeture des marchés européens évidemment.

D’ailleurs, selon le principe de l’information auquel nous sommes tous soumis, à savoir qu’une information chasse l’autre dans un flot totalement ininterrompu, plus personne ne sait que l’Italie a été dégradée vendredi dernier il y a tout juste 3 jours. D’ailleurs, vendredi soir vous étiez occupé à autre chose, samedi il fallait commencer à jouer le Père Noël dans les centres commerciaux bondés et dimanche, ces même centres étant « exceptionnellement » ouverts aussi, eh bien on poursuivait les achats… Résultat : la dégradation de l’Italie, tout le monde s’en fiche, même la Bourse de Paris qui bondissait de plus de 2 % en clôture mais c’est normal, l’annonce a été faite après, mais lundi les marchés pourront aussi aller de l’avant puisque… finalement, la dégradation de l’Italie aura « bien été digérée » et que cela « forcera » l’Italie à faire des réformes et la Banque centrale européenne à « intensifier » encore un peu plus ses préparatifs en cas d’intervention… le tout sous le regard allemand courroucé…

Suite sur le Contrarien matin

Le FMI propose de taxer l’épargne privée pour solder les dettes nationales

Et si l'État choisissait du jour au lendemain de vous prélever 10% sur votre épargne? Un dixième de ce qui est inscrit sur votre relevé bancaire annuel. L'idée fait sens pour le FMI, qui y voit une bonne alternative à la résolution de la crise de la dette. Avec une ponction de cet ordre, les pays "avancés" (Europe, Etats-Unis, Japon) pourraient retrouver le niveau de dette qu'ils présentaient avant 2007. En France, ça représenterait la somme de 700 milliards d'euros à prélever.

Suite

Europe à vendre

« L’Europe est en crise et les dettes de nombreux Etats se creusent. Comment faire pour résorber les déficits ? Selon certains, la solution est simple : la Grèce n’a qu’à vendre ses îles, l’Irlande ses forêts, la France ses bâtiments historiques, l’Italie son Colisée et autres vestiges antiques, l’Autriche ses montagnes. Caricatural ? Pas tant que cela si l’on en juge par cet instructif documentaire signé Andreas Pichler.

Suite et documentaire en vidéo