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Doris Leuthard va-t-elle partir après «No Billag»?
L'entourage de la conseillère fédérale a laissé entendre que l'Argovienne pourrait démissionner ce printemps.
Yvan Perrin abandonne la présidence de l’UDC neuchâteloise
Le président de l'UDC neuchâteloise a fait part jeudi de sa démission. Yvan Perrin tire ainsi les conséquences de l'effondrement de sa formation aux élections cantonales de dimanche dernier.
France : De plus en plus de profs démissionnent: “L’Éducation nationale m’a dégoûtée du métier”
Le nombre d'enseignants titulaires qui démissionnent de l'Éducation nationale a doublé en quatre ans, selon un rapport publié en novembre. RMC a rencontré Nora, une professeure des écoles de 27 ans, qui raconte ce qui l'a poussé à quitter l'enseignement.
"Un enfant vous lui demandez d'aller se ranger, dans votre dos il va vous insulter. Des insultes qui peuvent être gravissimes. Les parents, vous savez que quand vous les allez les prévenir, ils vont vous traiter de menteur. J'ai eu des moments de bonheur dans mon métier quand même, mais j'ai eu plus de moments de souffrance malheureusement".
Billet d’Humour
Michel Garroté - Désormais officialisé (drelin-drelin), le départ d'Emmanuel Macron, ministre français de "l'Économie", ou de ce qu'il en reste -- Macron vous dis-je, trente-huit ans, toutes ses dents , qui va se consacrer à son "projet présidentiel" (rires dans la salle) -- vient solder "l'escalade des tensions" (c'est du Théâtre Boulevard très boulevard), tensions qui l'opposaient à Manuel Valls-le-nerveux et à François Hollande-le-faux-mou.
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Attention : la Cinquième République sur le déclin, se croit toujours au pinacle, alors qu'elle descend, depuis fort longtemps, aux abysses, mais ça, voyez-vous, le microcosme parisien -- et ses bouseux endimanchés, députés-maires et autres -- ils s'en tapent et ils s'en tamponnent.
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Ils s'en tapent et ils s'en tamponnent, car les parachutes dorés ont déjà été distribués. Et si le peuple, ce pauvre con, devait crever, les nouveaux aristos dériveront au gré du vent, vers des cieux plus cléments, vers des îles-paradisiaques-fiscales et leurs charmantes indigènes fleuries (les épouses de ces politicards devront supporter cette exotique polygamie).
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Pendant que certaines et certains (de plus en plus nombreux) faisaient leur "entrée", d'autres préparaient leur "sortie" (entrez ou sortez mais cessez ce va-et-vient ridicule). Décidément, la campagne (en 2016) de la présidentielle (de 2017) mobilise, jour après jour, les politiciens (arrivistes impatients) et les journalistes (incapables de traiter - de façon chronologique - les vrais sujets).
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Résultat : nos amis français vont devoir supporter -- quotidiennement et jusqu'en avril-mai 2017 -- les ridicules gesticulations et testiculations de la libidineuse caste politico-médiatique parisienne.
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Tandis que les socialistes pro-Hollande se réunissaient pour "défendre le bilan du quinquennat" (rires dans la salle), Emmanuel Macron peaufinait, quant à lui, les contours de sa démission (« Va-t-il démissionner demain ? ». « Oui, comme tous les jours », dixit Cécile Cornudet dans 'Les Echos').
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Démission annoncée, à répétition, oui, mille fois, depuis plusieurs mois, démission "réclamée" (au bureau des réclamations ouvert le mercredi de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 16h00) par ses soutiens politiques, la démission d'Emmanuel Macron donc, se concrétise, mardi 30 août 2016 (cette "datte" entrera dans l'histoire des chamelles et des chameaux).
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Macron a rencontré François Hollande, aujourd'hui, à 15h00, pour lui remettre son coup de pied aux fesses et sa lettre de démission... prête de longue, datte, non, date ! Les soutiens et les souteneurs de Macron-le-Magnifique, députés et sénateurs, doivent se retrouver mercredi 31 août 2016 au matin (disons 11h58) pour établir un "plan de bataille" (taratata)...
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http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2016/08/30/25001-20160830ARTFIG00123-emmanuel-macron-va-demissionner-du-gouvernement.php
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http://www.lesechos.fr/elections/presidentielle-2017/0211237473540-emmanuel-macron-depart-imminent-2023490.php
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«Merkel Démission» : manifestation de grande ampleur contre la politique migratoire en Allemagne
Des activistes allemands organisent une «énorme» manifestation le 30 juillet à Berlin pour protester contre la politique de la «porte ouverte» d'Angela Merkel, sur fond d'attaques terroristes menées par des réfugiés.
Des milliers de personnes se sont réunis sur la Washingtonplatz dans le centre-ville où ils assisteront à des discours de politiciens de droite.
Les nouvelles du rassemblement se propagent sur Internet sous le hashtag #Merkelmussweg (Merkel doit partir), utilisé plus de 1500 fois en 24 heures et qui a atteint des centaines de milliers de personnes.
@V_of_Europe
Btw, Germans are having a protest against Merkel this afternoon #MerkelMussWegpic.twitter.com/gCO4MvAmtU— Jo Ker #Nexit (@JoKer33817736) 30 juillet 2016
“Hollande démission” sur la promenade des Anglais à quelques mètres des lieux de l’attentat. (Vidéo)
"Hollande démission" sur la promenade des anglais à quelques mètres des lieux de l'attentat. #NiceAttentat #Nice pic.twitter.com/yy3izxFIMf
— Remy Buisine (@RemyBuisine) 15 juillet 2016
Calais : des routiers arrêtent leur métier à cause des migrants
Les routiers qui relient la France à l’Angleterre sont harcelés quotidiennement par des migrants, à hauteur de Calais. Certains ont décidé d’arrêter le métier face à cette nouvelle contrainte.
« Ils sont prêts à tout… », soupire Jimmy Barbieux, chauffeur de poids lourd spécialisé dans le trafic transmanche. « Quasi quotidiennement », des migrants tentent de monter dans son 44 tonnes pour rejoindre l’ultime étape de leur périple : l’Angleterre. «
Depuis que j’ai commencé, les migrants sont présents, mais les moyens pour monter dans les camions sont de plus en plus violents », assure ce jeune homme de 33 ans, embauché en 2011 chez Deroo Transports, à Wizernes, près de Saint-Omer (Pas-de-Calais). « On roule sur la rocade et d’un coup, un tronc d’arbre, des barricades au milieu de la route et des jets de pierres nous obligent à nous arrêter », raconte-t-il, lassé, en référence aux actions des migrants de la « Jungle » de Calais dénoncées par les autorités en avril. Et aux abords de la chaussée, « ils sont 20, 30, 50 prêts à monter ! » renchérit son collègue, Maxime Allouchery, 30 ans.
[...] « Si les camions ne vont pas dans la bonne direction, ils font aussi tout pour que le conducteur s’arrête. Une fois, voyant que je n’allais pas en Angleterre, des migrants sur mon toit ont craqué la bâche, pris les pommes de terre de la remorque et les ont jetées partout sur la route sur sept kilomètres… », se souvient Jimmy Barbieux.
[...] « On est de plus en plus inquiets », témoigne le jeune homme déjà contrôlé cinq fois « positif », c’est-à-dire avec des migrants dans sa remorque, au port et au tunnel. Sans parler du risque financier : en cas de contrôle positif en Angleterre, « c’est 2.000 euros pour le chauffeur et 2.000 euros pour le patron de l’entreprise. Des collègues ont déjà dû payer », assure son collègue Maxime. Celui-ci veut, du coup, « arrêter l’Angleterre ». Comme trois autres de ses collègues qui ont déjà démissionné pour cette raison.
Le Télégramme via fdesouche
New York Times : l’Allemagne doit fermer ses frontières et expulser les immigrants en masse, Merkel doit démissionner !
Ce n’est pas le discours d’un parti d’extrême droite, c’est bien ce que propose un éditorialiste du journal américain, plutôt de gauche, New York Times.
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L’UDC est prête à prendre des responsabilités supplémentaires
L'UDC prend acte de l'annonce de la démission de la conseillère fédérale Eveline Widmer-Schlumpf. Le Parlement a ainsi la possibilité d'intégrer les partis dans le gouvernement national en fonction de leur force et d'assurer ainsi la stabilité politique pour le bien de la Suisse. L'UDC est prête à assumer des responsabilités supplémentaires et elle présentera comme annoncé au moins un candidat pour un deuxième siège au Conseil fédéral.
L'UDC s'est toujours engagée pour un système donnant deux sièges au Conseil fédéral à chacun des trois premiers partis par le nombre de leurs suffrages et le siège restant au quatrième parti dans l'ordre de la force électorale. Il appartient maintenant aux autres partis d'annoncer s'ils soutiennent toujours ce système qui a fait ses preuves.
La conseillère fédérale Eveline Widmer-Schlumpf ayant annoncé aujourd'hui sa démission, le Parlement a désormais la possibilité de tenir compte de la volonté du peuple, donc de la force des partis, lors des élections générales au Conseil fédéral du 9 décembre 2015. Les partis peuvent ainsi, en fonction de leur force, assumer leurs responsabilités dans l'exécutif et représenter les positions de leurs électrices et électeurs au gouvernement national.
L'UDC maintient son agenda qu'elle a publié récemment: les partis cantonaux ont jusqu'au vendredi, 13 novembre, pour annoncer leurs nominations définitives à la commission de recherche interne présidée par l'ancien conseiller aux Etats Ernst Hasler. Le comité du groupe parlementaire fédéral se réunira en séance extraordinaire lundi, 16 novembre, pour examiner les candidatures ainsi que les recommandations de la commission de recherche. Le groupe parlementaire nommera vendredi, 20 novembre, le ou les candidats qu'il proposera à l'Assemblée fédérale en plus du conseiller fédéral sortant Ueli Maurer.
Source
“Migrants” : Rumeurs de démission de Merkel sur fond de débâcle historique de l’immigrationnisme
BREIZATAO – ETREBROADEL (21/10/2015) La rumeur enfle : Merkel serait activement poussée vers la sortie par un nombre grandissant de cadres gouvernementaux allemands. Sa politique d’ouverture totale des frontières est en train de mener rapidement le pays au bord d’une crise sanitaire et sécuritaire inédite, tandis que le nombre de clandestins en provenance du tiers-monde ne cesse de grandir et que l’hiver approche.
Merkel poussée vers la sortie
Si aucun cadre de la CDU (centre-droit) ne demande encore publiquement la démission de la chancelière, il n’en va pas de même en privé. Derrière les portes des ministères, on a déjà un candidat de substitution : Wolgang Schauble, le ministre de l’économie.
Angela Merkel paie là le prix de sa position délirante, arrêtée à la fin de l’été, en faveur d’un accueil sans restriction de tous les migrants musulmans qui atteindraient les frontières du pays. Deux mois plus tard, ce sont plus de 300 000 nouveaux migrants par mois qui se précipitent dans le pays (source). Et le flot, loin de se tarir, se gonfle toujours plus. Conséquence prévisible de l’énorme appel d’air engendré par les déclarations de la chancelière allemande.
Et les parlementaires de la majorité s’agitent. Les sondages indiquent que, parmi les électeurs de la CDU, seuls 49% soutiennent la politique migratoire de la chancelière (source). Ils ne sont que 25% chez ceux de la CSU, le parti frère de Bavière, région particulièrement frappée par l’afflux de migrants musulmans. Dans les faits, Angela Merkel est soutenue par la gauche sociale-démocrate. La gauche radicale, elle aussi, demeure très prudente, consciente de ce que les classes populaires souffrent de la situation.
Merkel fait désormais face à deux possibilités inconciliables. Premièrement, ne pas édifier de mur de sécurité et devoir gérer un flux de 300 000 de migrants par mois, sans plan d’accueil ni infrastructures alors que l’hiver se rapproche. Ceci alors que les cas de viols et d’affrontements interethniques se multiplient.
Ou, deuxièmement, admettre la nécessité de bâtir un mur de protection et ainsi reconnaître, en moins de trois mois, que la politique de Viktor Orban, jugée par Merkel comme “honteuse”, “irréalisable” et “vouée à l’échec” était en fait la seule possible. Un renversement politiquement intenable compte tenu des positions affichées depuis deux mois par la chancelière.
Terrorisés par les graves conséquences que fait peser sur le pays l’inconséquence d’Angela Merkel, ce sont donc 188 parlementaires de la CDU – sur 310 qu’en compte le Bundestag – qui travaillent à un projet de loi en faveur d’un “mur de protection” (source). Un projet encore défendu par un syndicat de policiers dans ce qui semble être une campagne médiatique parfaitement réglée (lire ici).
En toute logique, soutenir un tel projet, c’est oeuvrer au départ d’Angela Merkel. Ce qui renforce encore les rumeurs qui courent à Berlin.
Merkel met le gouvernement allemand dans l’impasse
Très concrètement, Angela Merkel a placé son gouvernement dans une logique du tout ou rien. Comme nous l’expliquions hier, elle a adopté une ligne telle qu’elle ne peut plus reculer. Critiquant encore violemment la position du gouvernement hongrois le 6 octobre dernier (source), Merkel assurait que jamais un mur de protection ne parviendrait à endiguer le flot de migrants :
“Les “réfugiés” (sic) ne seront pas stoppés si nous construisons simplement des barrières. De cela, je suis profondément convaincue, et j’ai vécu derrière un mur assez longtemps”.
Las, la Hongrie annonçait triomphalement lundi que le nombre d’immigrés clandestins traversant ses frontières était ramené virtuellement à zéro (source).
Malgré les énormes pressions et menaces de Berlin et Paris, Budapest n’a pas cédé. Et Viktor Orban est en train de remporter une victoire politique majeure, tant chez lui que sur la scène européenne. Le chef du gouvernement hongrois est tout simplement en train d’humilier la chancelière allemande en démontrant, réalité à l’appui, que le bon sens et le courage politique se trouvent en Hongrie et non dans la communication compassionnelle dans laquelle s’est enfermée Merkel.
Mais si l’offensive médiatique en faveur de l’immigration maximale a échoué, c’est maintenant à un mouvement de balancier inverse que doit faire face le gouvernement allemand. N’ayant pu dissuader la Hongrie de changer de position, Merkel doit à présent expliquer pourquoi ses prévisions sur “l’échec hongrois” se sont avérés si erronées.
Conséquences politiques
En Allemagne, le premier a avoir décidé de ne pas attendre le naufrage pour ses distances est le président de la CSU, parti bavarois associée à la CDU allemande, Horst Seehofer. Ce dernier, Premier ministre de Bavière, a annoncé entrer en sécession et vouloir discuter directement avec Moscou des problèmes géopolitiques à l’origine de l’immigration. Il a aussi rétabli d’autorité les contrôles à sa frontière, sans attendre l’accord de Merkel (lire notre article ici).
Ce dernier a notamment motivé sa rhétorique de défiance sur la question par le risque d’une montée de partis qui répondraient au problème de l’immigration si la CDU/CSU ne le faisait pas elle-même.
Une analyse assez juste comme le démontrent les sondages les plus récents accordant au parti anti-immigration “Alternative pour l’Allemagne” près de 7% des voix en cas d’élections législatives. Ce dernier réalise de bons scores en Bavière où il est passé de 4,5% aux dernières élections de 2013 à 9% dans les études d’opinion. Le parti, toujours selon les sondages, est en mesure de faire entrer ses députés au parlement bavarois : une première.
L’ApA capte ainsi l’essentiel de ses nouveaux soutiens chez les anciens électeurs de la CSU de Horst Seehofer (source). Un avertissement qui a été parfaitement entendu par l’intéressé.
En outre, “Alternative pour l’Allemagne” relaie les revendications de PEGIDA, une organisation qui manifeste chaque semaine à Dresde contre l’islamisation et l’immigration de masse. Encore 20 000 manifestants se sont rassemblés cette semaine.
Merkel met l’Allemagne à dos avec toute l’Europe
Autres conséquences graves pour Berlin, européennes celles-là, Angela Merkel est devenue la cause principale d’une crise politique majeure en Europe, aux ramifications continentales.
Ses positions aussi irréalistes que radicales ont, en quelques semaines, désarticulé l’Union Européenne. La Hongrie, sous l’égide de son Premier ministre Viktor Orban, a sonné la révolte contre ce qui est vécue comme une politique suicidaire imposée à l’Europe par la chancelière.
Déjà divisée entre le Nord et le Sud avec la crise de l’eurozone, Angela Merkel y a ajouté une fracture entre l’Est et l’Ouest, ou du moins entre Paris et Berlin d’une part et les nations orientales de l’autre.
Très suivie par nombre de pays, comme la Slovaquie, la Tchéquie, la Pologne ou les états baltes, la Hongrie a fait échec au projet de répartition obligatoire des immigrés musulmans dans les pays de l’Est. La Slovaquie ayant même menacé de “quitter l’UE” si Berlin et Bruxelles cherchaient à lui imposer une immigration afro-islamique (lire ici). Si Merkel a séduit quelques milliers de journalistes acquis au droits-de-l’hommisme à Paris ou Berlin, les opinions publiques du continent ont tiré d’autres conclusions.
Merkel a gravement mis en danger les relations entre l’Allemagne et l’Europe centrale et orientale. En France, sa position n’est pas plus populaire et a engendré de violentes critiques de la part du Front National lors du déplacement de la chancelière à Bruxelles en compagnie de François Hollande. Un exercice de communication particulièrement destructeur pour le chef du gouvernement allemand et le président français.
Une chute politique qui aurait un impact historique
Inutile de dire que si un chef de gouvernement aussi puissant qu’Angela Merkel devait chuter sur la question de l’immigration de masse musulmane, cela déclencherait un vent de panique dans toute la classe politique européenne.
Comme nous le disions dans notre article d’hier (lire ici) :
Cette débâcle politique, si d’aventure Merkel devait capituler, aurait des répercussions politiques sur tout le continent.
Avec des partis anti-immigrationnistes partout en progression, au point d’être déjà au gouvernement en Finlande ou atteignant 25% en Suède (voir ici), l’écroulement d’Angela Merkel signifierait la fin de la religion de l’immigration et du multiculturalisme. Aucun homme politique européen n’oserait plus s’aventurer à la légère sur cette question par crainte de connaître un sort identique.
Si effectivement Angela Merkel était poussée vers la sortie – ce qui n’est pas le cas à cette heure – l’apogée de la religion du remplacement de population serait atteinte. Nous assisterions, progressivement, à une inversion massive du discours de la part des gouvernants, contraints d’intégrer la nouvelle donne politique, géopolitique et idéologique sur le sujet.
Cette victoire serait parfaitement incarnée par le patriote hongrois Viktor Orban, tombeur d’une chancelière allemande jadis porte-flambeau de l’immigrationnisme de la bourgeoisie antiraciste occidentale.
Cette inflexion générale est déjà, pour ainsi, en mouvement et seuls les doctrinaires socialistes, par jusqu’au boutisme, s’acharnent à le combattre.
Pour faire écho à ce processus, les sondages pour les élections présidentielles françaises de 2017 donnent Marine Le Pen à 31% des intentions de vote. Le référendum britannique sur la sortie de l’UE porté par l’eurosceptique Nigel Farrage – qui a entrepris dans l’intervalle d’y ajouter la question migratoire – est plutôt bien parti pour aboutir à la rupture.
Bref, le processus de désintégration de l’UE, mais aussi de ses états-membres en interne, est bien enclenché. Et l’immigration en sera un des carburants essentiels.
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras annonce sa démission
"Le mandat que j'ai reçu le 25 janvier a atteint ses limites", a-t-il déclaré lors de son intervention.
Alexis Tsipras est confronté à une fronde de l'aile gauche de son parti, Syriza, depuis qu'il a conclu un accord avec les créanciers d'Athènes sur l'octroi d'un troisième plan d'aide financière à la Grèce en échange de nouvelles mesures d'austérité.
En concluant son intervention, Alexis Tsipras a demandé à nouveau la confiance des électeurs pour mettre en oeuvre son programme.
Calendrier "précipité"
Un peu plus tôt dans la journée, un responsable gouvernemental avait affirmé que le prochain scrutin pourrait avoir lieu le 20 septembre.
La perspective d'élections anticipées à l'automne occupait les esprits depuis plusieurs semaines mais Alexis Tsipras a dû précipiter son calendrier après le refus d'un tiers des élus de son parti de soutenir le nouveau programme gouvernemental, le privant virtuellement de sa majorité au Parlement.
reuters/ebz/pym
Sepp Blatter démissionne
Sepp Blatter, tout juste réélu à la tête de la FIFA, vient d'annoncer lors d'une conférence de presse qu'il démissionnait de son poste. Un congrès exceptionnel doit avoir lieu prochainement pour désigner son successeur.
Source et RTSinfo
Un prof de philo démissionne du lycée musulman Averroès
Antisémitisme, sectarisme... : un prof de philo démissionne du lycée musulman Averroès, qui porte plainte pour diffamation
Un professeur de philosophie du lycée Averroès a décidé d'expliquer pourquoi il a décidé de démissionner. L'établissement a annoncé qu'il portait plainte pour diffamation.
Soufiane Zitouni, n'est plus professeur de philosophie au lycée Averroès de Lille. Il a démissionné, cinq mois seulement après avoir commencé à enseigner dans cet établissement musulman, reconnu par l'Etat. Ce vendredi matin, il explique pourquoi dans une longue tribune écrite pour le quotidien Libération.