Lausanne: Le popiste David Payot est prêt à violer la loi et à héberger un clandestin

Le popiste a réaffirmé son soutien au Collectif R. Il serait d'accord d'héberger à nouveau un migrant menacé de renvoi.

le popiste David Payot a réaffirmé son soutien au Collectif R qui lutte depuis une année et demie contre les renvois de réfugiés vers le premier pays européen qu’ils ont traversé. «Il faut respecter la légalité certes, mais il faut aussi qu’elle corresponde à une légitimité», a argumenté David Payot. Parrain du Collectif R, comme une vingtaine d’autres personnalités, il se dit prêt à protéger un réfugié en l’accueillant chez lui. «Si on me le demande, je le ferai. Cela vaut la peine de s’insurger.»

David Payot a déjà abrité chez lui un migrant menacé de renvoi en raison des accords de Dublin. « Ce que nous demandons au Conseil d’Etat, c’est d’infléchir sa politique d’asile.»

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Lausanne: Rassemblement contre les accords de Dublin

Entre 400 et 800 personnes ont manifesté samedi en faveur des migrants, avec dans le cortège le futur municipal popiste (ndlr:euphémisme pour communiste) David Payot.

L'action de ce collectif, qui a attiré une centaine de jeunes depuis un an, se concentre sur les cas Dublin. En vertu de ces accords, la Suisse renvoie les requérants dans le premier pays européen où les migrants ont été enregistrés, sans examiner leur dossier.

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Lausanne. Manifestation de solidarité du Collectif R pour les migrants: “Welcome Refugees”

Répondant à l'appel du Collectif R, quelque 80 manifestants se sont élancés samedi vers 15h30 pour une course de près de 4 km à travers Lausanne. Brandissant des panneaux comme "Welcome Refugees" ou "Stop Dublin", ils ont demandé la suspension des Accords de Dublin.

"Dublin, cours toujours", "Ca fait Dublin de courir" ou encore "Dublin, c'est fini": le message était clair. Les accords qui permettent de renvoyer les migrants dans le premier pays européen qui les a accueillis doivent être suspendus.

La course urbaine de samedi s'inscrit dans une série d'actions pour occuper l'espace public et attirer l'attention sur le sort des migrants, a expliqué le Collectif R, à côté de l'église de Saint-Laurent où des requérants occupent depuis début mars 2015 la salle paroissiale.

La course, c'est aussi un souffle de liberté que les migrants ont découvert, a relevé un membre du collectif. A cause des Accords de Dublin, il est possible de renvoyer à tour de bras des requérants dans des pays comme l'Italie ou la Hongrie où les conditions d'accueil ne sont pas du tout réunies. Il faut absolument mettre fin à ces accords, a lancé le responsable.

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Rappel, la liste des agressions sexuelles en Europe par les réfugiés lors du Réveillon:

Clandestins à l’Unil: 50 professeurs et chargés de cours soutiennent les illégaux

Planifiée depuis plus d’un mois, la décision du Collectif R d’investir l’université est stratégique. Cet espace d’échanges et de débats est idéal pour accueillir des discussions sur les accords de Dublin, a-t-il affirmé lundi lors d’une conférence de presse organisée dans l’auditoire en question. Le collectif revendique l’abrogation de ces accords «absurdes» qui prévoient le renvoi de migrants vers le premier pays où ils ont été enregistrés.

Pétition de soutien

Cinquante professeurs, assistants et chargés de cours, principalement issus de la faculté des SSP et de Lettres, avaient signé hier une pétition en soutien à l’occupation, qui récoltait en tout quelque 500 paraphes. «Je ne suis pas certaine que tous mesurent la violence du procédé», commente Danielle Chaperon. D’après le collectif, trois professeurs auraient aussi accepté de donner leur cours dans la salle occupée pour signifier leur appui.

Autres occupations à venir

Conscient de déranger la bonne marche de l’université, le Collectif R juge toutefois son action essentielle afin de partager avec la communauté académique «la réalité des migrants et notre révolte, a déclaré Graziella de Coulon, membre de l’association. Il est important que le débat sorte du Refuge Saint-Laurent. Ce n’est qu’une étape du voyage que nous commençons aujourd’hui.» D’autres occupations suivront donc, a-t-elle promis.

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Lausanne: Un collectif d’extrême gauche pro clandestins occupe l’Université

Pour faire entendre ses revendications, le collectif R a réquisitionné une salle de cours. Ce qui engendre des problèmes pratiques et des réactions de mécontentement.

Cours déplacés. C'est ce qu'on peut lire sur une pancarte collée devant l'auditoire 1612 de Geopolis, le nouveau bâtiment des sciences sociales de l'université de Lausanne. Depuis lundi matin, une cinquantaine de personnes du Collectif R ont pris possession des lieux et comptent y rester jusqu'à jeudi.

Leur but: appeler les milieux académiques à prendre position contre le renvoi des étrangers.

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Lausanne: le Collectif R se fiche de l’ultimatum de la Paroisse et refuse de quitter les lieux

Le Collectif R et les six migrants, qui occupent depuis huit mois la salle paroissiale de l'Eglise de Saint-Laurent à Lausanne, refusent de quitter les lieux.

«Nous retournons l'ultimatum à son expéditeur», a déclaré vendredi Michaël Rodriguez, membre du Collectif R. «Nous restons cependant ouverts à toute proposition constructive, nous sommes prêts à l'étudier.»

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Le collectif R continuera de se battre pour les réfugiés de Lausanne

En réaction aux déclarations de Philippe Leuba, le collectif R réaffirme sa volonté de continuer ses pourparlers avec le Conseil d’Etat vaudois.

A droite : Valentina Matasci et Michaël Rodriguez, membres du collectif R

A droite : Valentina Matasci et Michaël Rodriguez, membres du collectif R

– Que voulez-vous exactement?
– Nous demandons au Canton de renoncer à renvoyer les réfugiés de Saint-Laurent et de stopper tous les refoulements vers l’Italie. Le Conseil d’Etat doit ensuite s’engager pour que la Suisse active la clause discrétionnaire prévue dans les accords de Dublin, qui lui permet pour des motifs humanitaires, notamment, d’offrir une procédure d’asile dans le pays. Cela doit aussi être le cas pour les personnes souffrant de problèmes médicaux, notamment de stress post-traumatique.

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