Condamnée à 4 mois de prison avec sursis : c’est trop, ou trop peu !

Publié le 4 février 2020 - par

Le procureur avait demandé 4 mois ferme et 2 avec sursis dans son réquisitoire…

Voir ici, et les comptes-rendus du procès en première instance qui avait eu lieu en décembre dernier.

Les juges viennent donc de rendre leur verdict : 4 mois de prison avec sursis, et le CCIF a été débouté sur demande de notre avocat maître Pichon car leur association n’a pas la capacité de se porter partie civile sur l’apologie du terrorisme.

Les juges ont, paraît-il, été déçus de mon absence, ils avaient préparé un communiqué solennel m’invitant, sans doute, à prendre leurs avertissements au sérieux. Ils auraient laissé entendre qu’ils avaient été d’une mansuétude incroyable, sous prétexte que l’article incriminé n’était resté en ligne que 24 h (évidemment puisque c’était un brouillon inachevé mis en ligne par mégarde…). Bref, la dangereuse Christine Tasin est prévenue, la prochaine fois, ce sera de la prison ferme ! Et avec les hyènes et vautours qui épluchent chaque jour articles et commentaires sur Résistance républicaine, il se peut qu’il y ait une prochaine fois, puisque il est impossible d’imaginer à l’avance les raisons plus que dérisoires pour lesquelles on nous traîne parfois au tribunal…

Je commenterai en détail dans un autre article les attendus du jugement quand maître Pichon aura pu se les procurer, mais, en attendant, il faut faire un point sur ce qui se passe en France.

À l’heure où Zekri dit clairement et publiquement que Mila a cherché les menaces de mort qu’elle a reçues, une femme qui imagine simplement les raisons pour lesquels un Anglais aurait pu lancer sa voiture sur des musulmans devant une mosquée après le 3e attentat en quelques mois sur le sol anglais est condamnée à de la prison avec sursis…

Ce verdict est absurde.

Soit je suis une terroriste en herbe, soit je ne le suis pas.

Si je ne le suis pas (il me semblait avoir donné toutes les preuves et toutes les explications nécessaires) je dois être relaxée.

Si je le suis, il appartient aux policiers et juges d’en apporter la preuve (je leur souhaite bien du courage et du temps à perdre) et, dans ce cas, de me condamner pour m’empêcher de passer à l’acte, non ?

Que signifie une condamnation à la prison, fût-elle avec sursis, pour des paroles bien en dessous de celles prononcées par Macron après le Bataclan ou de celles prononcées par Zekri qui n’ont même pas été reprises, condamnées… par Belloubet, Castaner et compagnie. Que le parquet ne poursuit pas.

Je suis curieuse de savoir si les policiers vont identifier ceux qui ont menacé Mila de mort, ceux qui ont menacé Zineb de mort… et à quoi ils seront condamnés, s’ils sont condamnés. Jugeront-ils comme Belloubet, comme Royal, comme Aubry, comme Zekri, comme Morandini… que les 2 Résistantes l’ont bien cherché, et qu’il ne faut pas « injurier une religion » ? Ces gens sont, en plus d’une inculture crasse qui ne savent pas que l’on ne peut injurier qu’un être humain… pas une doctrine . Mais tout est bon pour faire brûler à nouveau Jeanne D’Arc. Parce qu’il s’agit bien de cela. Faire taire, par la menace, par la condamnation… tous ceux qui osent s’attaquer à l’islam.

Ma condamnation de ce jour signifie simplement que je dois payer mon islamophobie. Les juges essaient de me faire peur pour me contraindre à me taire, à ne plus écrire, à ne plus dénoncer l’islam… Ils savent bien que je ne suis pas une terroriste et que je n’ai jamais appelé qui que ce soit à agresser ou tuer gratuitement, au contraire… Ça se saurait, sinon…

L’article inachevé que j’avais écrit est tombé à pic pour essayer de me faire tomber, pour me faire taire. Pas une condamnation définitive jusqu’à présent pour « incitation à la haine », j’attends un verdict de la Cour de Cassation et un autre de la CEDH… Ça les embête… à tel point que, selon les amis présents au tribunal cet après-midi, les juges auraient affirmé que j’avais déjà été condamnée et donc que c’était une circonstance aggravante. Sauf que ma seule condamnation définitive – je n’avais pas fait appel, histoire de ne pas avoir les frais d’avocat pour un autre procès – est une simple condamnation en diffamation, pour une vidéo que j »avais relayée sur RR. Pas de quoi fouetter un chat…

Je vais donc bien évidemment faire appel, car je ne peux accepter d’être considérée comme une terroriste ou comme quelqu’un qui pousserait au terrorisme. Je ne peux accepter d’être salie par la justice de mon pays. Et, pire que tout, sur dénonciation des Frères musulmans…

Merci à ceux qui le peuvent de nous donner un petit coup de main pour les frais d’avocat du procès en appel.

Soit via carte bleue ou paypal sur notre site https://resistancerepublicaine.com/don/

Soit par chèque à l’ordre de Résistance républicaine, à envoyer à Résistance républicaine, 101 avenue du Général Leclerc, 75685 Paris cedex 14

Christine Tasin

https://resistancerepublicaine.com/2020/02/04/apologie-du-terrorisme-4-mois-de-prison-avec-sursis-pour-christine-tasin-mais-zekri-toujours/

image en avant: Victor Kravchenko

Christine Tasin condamnée à 4 mois de prison avec sursis pour apologie du terrorisme !

COMMUNIQUÉ DE RIPOSTE LAÏQUE- Pierre Cassen

La 10e chambre correctionnelle de Paris vient de rendre son verdict. Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine, qui lutte depuis de longues années contre l’islamisation de notre pays, vient donc d’être condamnée à quatre mois de prison avec sursis, pour apologie du terrorisme.

La plainte émanait du CCIF, association proche des Frères musulmans, qui se livre à un véritable djihad judiciaire, en France, pour interdire toute critique de l’islam, comme si notre pays, qui a longtemps symbolisé l’insolence, l’irrévérence et la parole libre, devait se soumettre aux lois de la charia. Cette officine a ainsi, entre autres, déposé plainte contre Georges Bensoussan, Éric Zemmour, Pascal Bruckner, Céline Pina et même Natacha Polony !

Le parquet a relayé la plainte de l’association, et a appuyé, à deux reprises, la demande des avocats du CCIF (dont l’un, Ouadie El Hamamouchi est un élu socialiste) de différer la date du procès, sous l’incroyable prétexte qu’ils n’auraient pas eu le temps d’étudier le dossier. Et cela fut accordé à deux reprises, alors que l’accusée avait fait le déplacement.

Lors du procès, qui se tint enfin, au mois de décembre, le procureur osa demander 6 mois de prison, dont 4 mois fermes, sans cacher une volonté de faire taire, ainsi, Christine Tasin, et lui interdire toute critique de l’islam, et toute information sur ce dogme qui sortirait du politiquement correct.

Dans un contexte où la jeune Mila, 16 ans, ne peut plus aller à l’école depuis deux semaines, pour avoir dit, en termes crus, le mal qu’elle pensait de l’islam et du Coran, et où elle subit menaces de mort et de viols, ce verdict ne peut qu’encourager les soldats d’Allah qui, sur le territoire français, entendent interdire, par la menace ou la violence, 5 ans après les meurtres de Charlie Hebdo, toute critique de leur dogme.

Cette condamnation, voulue et impulsée par le parquet, aux ordres du gouvernement, se situe quelques semaines après l’incroyable verdict délivré contre l’écrivain Renaud Camus, condamné à deux mois de prison avec sursis, et à une lourde amende, pour avoir affirmé qu’il préférait la guerre à la soumission !

Elle se situe dans le contexte où Éric Zemmour, qui, quatre soirs par semaine, redonne de l’oxygène au débat démocratique sur CNews, sera jugé dans quelques semaines pour incitation à la haine, suite à ses propos tenus lors de la Convention de la Droite.

Marine Le Pen et Gilbert Collard seront d’autre part jugés, eux aussi, pour apologie du terrorisme, pour avoir diffusé des images de la barbarie de Daesch, suite à une comparaison scandaleuse du journaliste Jean-Jacques Bourdin entre l’État islamique et le Front national.

Lors de l’énoncé du verdict, le président a fait savoir que ce verdict était bienveillant pour l’accusée, qui n’a pas été condamnée à de la prison ferme, et a expliqué que cela était sa dernière chance, et qu’elle devait le comprendre.

Naturellement, Christine Tasin fera appel, et, loin de se laisser intimider, continuera un combat mené depuis près de 15 ans, avec Riposte Laïque et Résistance républicaine, puisque, quotidiennement – il suffit de consulter l’actualité, en France et dans le monde – les faits, hélas, lui donnent raison.

Pierre Cassen

Fait à Paris, le 4 février

source:

Lire également :

https://resistancerepublicaine.com/2020/02/04/apologie-du-terrorisme-4-mois-de-prison-avec-sursis-pour-christine-tasin-mais-zekri-toujours/

 

Rompre avec l’UE et l’immigration : énorme enjeu de la votation suisse du 17 mai

17 Jan 2020

Si les Suisses disent oui à la votation populaire qui aura lieu le 17 mai, à la demande de l’UDC, ce sera un séisme bien pire que le vote anti-minarets de 2009 ! Il s’agit de résilier, rien que ça,  l’Accord sur la libre circulation des personnes avec l’Union européenne !

.

Comme partout en Europe, et bien que les Suisses ne fassent pas partie de l’UE (ils avaient dit non en 1992), les dirigeants signent des accords particuliers, bidouillent, traînent des pieds pour appliquer le vote des citoyens qui les dérange. Et tout ça pour qu’il y ait toujours plus d’immigrés et d’islam en Suisse et que les Suisses soient de plus en plus engagés, tenus, ligotés… par des accords internationaux et notamment européens.

.

C’est ainsi que, bien que, en 2014, les Suisses aient dit majoritairement oui à la question : faut-il des quotas annuels de migrants, la Fédération avait mis des années à mettre en application la loi et avait réussi à l’édulcorer pour la rendre quasiment nulle et non avenue. Les dirigeants suisses et l’UE faisant feu des 4 fers pour que les votations disparaissent…

C’est ce que Jean-Luc Addor député de l’UDC et avocat était venu expliquer à nos Assises en 2015

[…]

Nous aussi, nous avons nos lois qui, sous couvert de lutte contre la discrimination, sont utilisées pour empêcher les patriotes de dire la vérité à leurs concitoyens, en particulier sur les réalités et les conséquences de l’immigration, une immigration planétaire de masse dont nous savons qu’elle déstructure nos identités et nos traditions à nous, pays, peuples d’Europe, une immigration de masse dont nous savons aussi qu’elle est le vecteur essentiel, presque unique de l’islamisation de nos pays. Par un retournement hélas prévisible, ces lois sont aujourd’hui utilisées contre nous, patriotes d’Europe, par ceux qui défendent les lapideurs, les égorgeurs. Même en Suisse, en Suisse comme ailleurs, il est devenu dangereux de ne pas dire à quel point l’islam est une religion d’amour et de paix.

[…]

Mais voici que cet outil de la démocratie directe est menacé.

Il l’est d’abord de l’intérieur. Car le système n’aime pas ce qui dérange son fonctionnement, pour ne pas dire son ronronnement ; le système, en réalité, n’aime pas vraiment le peuple, car le peuple dérange ; paradoxalement, dans notre démocratie, le peuple, c’est parfois l’intrus. D’aucuns s’emploient donc à faire taire le peuple en rendant plus difficile l’usage de la démocratie directe, les uns en réclamant l’augmentation du nombre de signatures nécessaires, les autres en demandant un contrôle préalable de la constitutionnalité des initiatives (il y aurait alors celles qu’on aurait le droit de déposer et les autres…).

[…]

L‘autre menace qui pèse sur notre démocratie directe, c’est l’Union européenne. C’est l’UE qui nous dit que nous n’avons pas le droit de nous défendre contre l’immigration de masse, que nous n’avons pas le droit d’expulser les étrangers criminels (comme le peuple l’a aussi voulu). Depuis la votation contre l’immigration de masse, l’UE exerce des pressions terribles sur la Suisse pour que celle-ci édulcore ou même pour qu’elle n’applique pas ce que le peuple a voulu. C’est que les bureaucrates de Bruxelles n’ont pas l’habitude de compter avec le peuple. Leur habitude, c’est d’imposer leur loi dans tout l’Empire, tout seuls, sans nous citoyens. En parallèle, les dirigeants suisses semblent prêts à conclure avec l’UE des accords sur des questions institutionnelles, en clair à accepter d’abandonner des pans entiers de notre démocratie directe, donc de notre souveraineté et de notre liberté d’expression politique.

Puisque les initiatives, même acceptées par le peuple, se heurtent systématiquement à de prétendus obstacles tirés du droit international et notamment européen, le dernier rempart qui pourrait permettre aux Suisses d’espérer échapper à la tutelle de l’UE est en train d’être dressé, une fois de plus, par l’UDC : nous venons en effet de lancer une nouvelle initiative qui, cette fois-ci, demande (sous réserve du droit international impératif) que l’on réaffirme la primauté du droit suisse, de notre droit, sur le droit international. Voilà une belle bataille en perspective, une de plus.

Une leçon qu’il faut tirer de tout cela, une leçon qui concerne tous les peuples d’Europe, c’est que notre combat pour conserver ou restaurer nos identités passe nécessairement par le démantèlement non pas bien sûr de l’Europe, mais de l’Union européenne (pour autant que celle-ci n’implose pas toute seule…) ; pour ceux qui n’y sont pas comme nous Suisses, ce combat passe par le courage de ne jamais accepter de nous noyer dans ces chimères mondialistes. L’Europe des peuples doit remplacer la bureaucratie de Bruxelles.

.

Ce que Jean-Luc Addor annonçait il y a 5 ans arrive donc.

Le 17 mai prochain, les Suisses vont voter pour  exiger de leur gouvernement qu’il négocie la fin de « l’Accord sur la libre circulation des personnes » conclu avec Bruxelles en 1999 et même pour que la Suisse dénonce unilatéralement cet accord en cas d’échec des négociations.

.

Panique à bord au gouvernement suisse (et à Bruxelles ) qui a commencé une campagne encore plus intense qu’en 2009, et comme en 2009 tous les medias suivent… invitant tous les immigrationnistes, tous les europhiles, tous les islamophiles… à venir expliquer au bon peuple de Suisse que, s’ils votaient oui, ce serait la fin de la dictature de l’UE de la Suisse. C’est que, si la Suisse dénonce unilatéralement le fameux traité, ce sera aussi la fin des autres accords bi-latéraux conclus avec l’UE, comme Schengen et Dublin.

.

Je fais confiance à nos amis de l’UDC pour démontrer allègrement – avec les exemples français et allemands notamment- que et Schengen et Dublin sont des horreurs, un piège à con innommable et que la Suisse gagnerait énormément à être débarrassée de ce poids. Mais qui dit information dit militants nombreux, dit moyens financiers énormes pour faire de la pub quand on est diabolisé. Et l’UDC est autant diabolisé que le RN !

Bon courage, amis suisses, on vous encourage et on vous regarde. Chaque peuple qui se libère de ses mauvais dirigeants et/ou des mauvais traités signés par ces derniers c’est un espoir pour les autres de pouvoir, un jour, faire pareil.

source: https://resistancerepublicaine.com/2020/01/17/rompre-avec-lue-et-limmigration-enorme-enjeu-de-la-votation-suisse-du-17-mai/

Ardèche : 120 personnes ovationnent Ouchikh, Cassen, Tasin, Camus…

De gauche à droite, Jacques Clostermann, Pierre Cassen, Karim Ouchikh, Renaud Camus, Christine Tasin : unis pour la défense de notre pays et de sa civilisation.

Samedi soir, Villeneuve-de-Berg, petite commune au cœur de l’Ardèche du Sud : 120 personnes se pressent dans un restaurant routier pour assister aux Assises de la France profonde.

Assises

Après une introduction de Laura Biancheri, responsable du Siel Ardèche et organisatrice infatigable de l’initiative, Karim Ouchikh, 51 ans, avocat, président du Siel, présentera les différents intervenants. A ses côtés, Jacques Clostermann, grand pilote, gaulliste, Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque, l’écrivain Renaud Camus, Christine Tasin, présidente de Résistance Républicaine. Chacun déplora l’absence de Sébastien Jallamion, indisponible au dernier moment. Karim Ouchikh intervint le premier, et se livra à un passionnant exposé politique de la situation. Un torrent d’applaudissements ponctua chaque intervention.

Quel parti politique parvient à réunir 120 personnes dans le département déshérité de l’Ardèche, épuisé par trente ans de gestion socialiste ? Même le Sarkozyste Laurent Wauquiez (devenu Fillonniste), lors de la campagne des dernières élections régionales, n’a pas réussi cet exploit, avec une liste locale plaçant en 3e position la belle-fille du sénateur Ardéchois « Les Républicains » Jacques Genest et en 5e position la fille d’un maire Ardéchois estampillé « Les Républicains » ayant déroulé le tapis rouge à des salafistes dans sa commune ! Avec conviction et détermination, Karim Ouchikh décrit son projet : « Il nous faut reconstruire cette Europe que nous voulons, rester dans l’UE et la zone euro. En 2017, le rapport des forces politiques permet de modifier les équilibres politiques au sein de l’Europe ». Ces propos sur l’UE sera la seule qui ne fera pas l’unanimité parmi les participants, mais elle permettra de passionnantes discussions, par la suite.

Karim Ouchikh dénonce aussi d’autres dangers, dont l’islam, en fustigeant les salafistes : « L’islam, c’est un carcan de règles, de modes de vie, radicalement contraires à nos coutumes. Avec dix millions de fidèles en France ». A la tribune, Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque, et Christine Tasin, fondatrice de Résistance Républicaine boivent du petit lait. Dans une France au bord du gouffre, où Hollande va devant le tribunal de Grande Instance de Pontoise , où la justice s’acharne contre Riposte Laïque et son fondateur Pierre Cassen , où Riposte Laïque a été condamnée à Paris, mais relaxée à Lyon , où 43 procédures judiciaires sont engagées contre Riposte Laïque, Pierre Cassen, et 13 contre Christine Tasin , où quatre agriculteurs se suicident chaque jour, dans l’indifférence générale, le discours de Karim Ouchikh séduit l’auditoire.

Christine Tasin compare l’affaire Mesrine et l’affaire Théo…

Christine Tasin évoqua ensuite l’affaire Mesrine, en 1979, et la compara, au niveau de la réaction de l’opinion publique, avec ce qu’est devenue l’affaire Théo. Elle démontra que tout était prétexte, pour une cinquième colonne hostile à notre pays, pour multiplier les affrontements avec ce qui incarne encore la France. Concernant l’élection présidentielle, elle expliqua que la situation était trop grave pour que chacune ne prenne pas ses responsabilités, et appelle à voter Marine.

Renaud Camus avait choisi de multiplier les digressions, montrant sa grande connaissance culturelle de l’Ardèche, tout en rappelant son amour de la France profonde, et son incompréhension devant l’attitude passive d’un peuple qui se laisse envahir. Il regretta qu’il n’y ait pas un candidat qui lutte réellement contre les remplacistes, à la prochaine présidentielle. Il sut captiver son public, par son érudition exceptionnelle, et son humilité.

Pierre Cassen vante la France profonde, celle du bon sens populaire

Autre intervenant très applaudi par les 120 personnes présentes : Pierre Cassen, l’inconditionnel défenseur de la laïcité en France. S’il n’en restait qu’un à mener ce combat, ce serait lui. En un quart d’heure, prenant appui sur les récents événements, il rendit un hommage vibrant à la France profonde, celle du bon sens et de l’amour du pays. Tançant le mépris dont elle est l’objet de la part des politiciens et des journalistes, il évoque cette France qui a les pieds sur terre, et comprend bien que l’école, cela ne marche plus, la justice, cela ne marche plus, la police, cela ne marche plus, les médias, cela ne marche plus, et que l’islam et l’immigration sont loin d’être des chances pour le pays. Il conclut en espérant que la victoire de Trump soit suivie par celle d’un candidat patriote, en France. Il fut plusieurs fois interrompu par des applaudissements nourris.

Jacques Clostermann sut trouver les mots justes pour conclure cette réunion, et permettre aux 120 participants de continuer à discuter devant des plats préparés uniquement avec des produits locaux, ce que Laura Biancheri tint à rappeler.

Dans l’auditoire ardéchois, on reconnaît pas mal d’anciens cadres et militants des Républicains, dégoûtés par l’affaire Fillon. Mais aussi de nombreux ex-responsables du Front National et ex-militants du FN, ayant claqué la porte du parti de Marine, à l’image de l’ex-trésorière du FN Ardèche, Laura Biancheri, nouvelle secrétaire départementale du SIEL, ou de l’élu de terrain de Viviers Alain Barnier, soucieux de préserver son indépendance politique et idéologique.

Le SIEL et Karim Ouchikh transforment l’Ardèche en terre de mission

Plusieurs personnes du public prennent la parole et dénoncent, à leur tour, l’incurie du gouvernement, des hommes politiques classiques, les scandales financiers. Oui, au vu des réactions, l’Ardèche est bien une terre de mission pour le SIEL, comme le dit si bien un adage Ardéchois « Aide toi, et le ciel t’aidera ».

Francis GRUZELLE

40 procédures judiciaires contre Riposte Laïque, Pierre Cassen, Christine Tasin

Bernard Cazeneuve  (ci-dessus), dont les ratages et incohérences ont été dénoncés par Riposte Laïque, serait à l'origine du harcèlement judiciaire du site RL

Une justice d'exception se met en place contre Christine Tasin et Pierre Cassen, nouveaux "gibiers de potence" de la République

Avec la même ligne éditoriale, dénonçant les méfaits de l'islam intégriste en France, le site #Riposte laïque avait reçu une seule convocation en #Justice jusqu'en 2012. Depuis l'élection de François Hollande, le même site d'information en ligne s'est vu gratifier de 40 procédures judiciaires particulièrement lourdes. Le fondateur Pierre Cassen dénonce un acharnement, qu'il attribue au "au préfet Clavreul, mis en place par Manuel Valls". Ce haut fonctionnaire est en effet à la tête de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme (Dilcra), et sa mission essentielle consiste à « cibler un certain nombre d’adversaires, et ne plus les lâcher ».

Les victimes ? D'abord les lanceurs d'alerte, à l'image des associations Riposte Laïque et Résistance Républicaine, confrontées, selon Pierre Cassen, à une démultiplication des procédures judiciaires. Dans le but d'anéantir les sites d'informations édités par les deux associations. Rien n'est épargné à Pierre Cassen. Convocations à répétition devant les juges, passages au tribunal correctionnel, descentes de police à son domicile, confiscations de ses ordinateurs et téléphones portables, etc...

Pour Pierre Cassen et le site Riposte Laïque, cela dépasse les limites imaginables dans un pays dit démocratique, et il semble évident que la justice s'acharne contre Riposte Laïque et son fondateur Pierre Cassen .Selon Pierre Cassen, "Le pouvoir socialiste n'admet pas que le fondateur du site RL en 2007 ait passé la main en 2012. Le pouvoir socialiste refuse d'admettre un fait évident. Je ne suis plus le président et le directeur de publication de Riposte Laïque".

Malgré ce passage de témoin, le harcèlement est intensifié à l'égard de Pierre Cassen. Le pouvoir s'acharne d'autant plus contre le fondateur du site depuis le désaveu qui lui a été infligé par la Cour d'Appel de Versailles, en mars 2013. Ce jour là, les juges ont "blanchi" Pierre Cassen. Ils ont estimé que le site d'information et l'association Riposte Laïque sont dirigés par une association Suisse et par un président de nationalité Suisse. Depuis ce jour, le harcèlement judiciaire s'est intensifié et Pierre Cassen affirme aujourd'hui qu'un "cabinet noir" a été mis en place avec une seul mission. Détruire Riposte Laïque ! Eliminer l'association du même nom.

Juges et policiers mobilisés contre Riposte Laïque

D'ailleurs, en matière de Justice, Riposte Laïque a été condamnée à Paris, mais relaxée à Lyon . Les moyens engagés pour transformer Pierre Cassen, qui n'a tué personne en "gibier de potence" font défaut pour traquer les milliers de terroristes, qui ont tué des centaines de Français et qui en menacent des milliers d'autres.

Dans la France de 2017, qui sont les plus dangereux ? Les lanceurs d'alerte contre les dangers de l'islam intégriste ? Ou les terroristes salafistes et les "revenants de Daech", estimés à près d'un millier par Georges Fenech, Président de la Commission d'enquête parlementaire sur le terrorisme. 850 combattants de Daech seraient sur le point de rentrer en France, après les déboires militaires du Califat Islamique, selon une hypothèse basse. Le chiffre de 1200 est avancé dans le cadre d'une hypothèse haute.

Si chaque terroriste "revenant" de Daech, infiltré sur le territoire Français, parvient à assassiner 16 personnes, au lieu d'être arrêté par les forces de polie et d'enquête, mobilisées par la traque des sites de lanceurs d'alerte, 20 000 civils Français pourraient perdre la vie dans les prochains mois.

Dès lors, les moyens policiers et judiciaires utilisés pour harceler Riposte Laïque ou Résistance Républicaine devraient être mis en oeuvre pour traquer les terroristes se trouvant sur le sol Français et pour prévenir les attentats futurs. Mais, plusieurs responsables politiques aux manettes de la République semblent privilégier les règlements de comptes avec Pierre Cassen à la nécessaire sécurité des Français. En utilisant les fonctionnaires de la République pour de basses missions.

Francis Gruzelle

Une justice d’exception se met en place contre Christine Tasin et Pierre Cassen

Il suffit d’écouter les propos ahurissants et scandaleux du préfet Clavreul, mis en place par Manuel Valls à la tête de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme (Dilcra) pour comprendre ce qui se passe réellement en France.

https://www.youtube.com/watch?v=3CW2T98hrLs

Tenant des propos dignes des pires commissaires politiques de pays totalitaires, cet homme avoue crument qu’il va « cibler un certain nombre d’adversaires, et ne plus les lâcher ». Et il désigne ceux qui, selon lui, inciteraient à la haine sur la toile. Or, dans l’idéologie de ce régime, à cause de la loi Pleven et de ses extensions, critiquer l’islamisation de la France serait inciter à la haine contre les musulmans.

On comprend mieux les conséquences du discours de Clavreul, quand on découvre le harcèlement judiciaire que décrit la présidente de Résistance républicaine, dans ce texte accablant pour un gouvernement qui instrumentalise sa police et sa justice pour réduire au silence les lanceurs d’alerte contre le péril islamique qui menace notre pays.

http://resistancerepublicaine.eu/2017/01/27/la-saga-judiciaire-contre-moi-et-pierre-cassen-continue-de-plus-belle/

Quant à Pierre Cassen et le site Riposte Laïque, cela dépasse les limites imaginables dans un pays dit démocratique. Ce régime ne digère pas que celui qui a fondé ce site en 2007 n’en soit plus responsable depuis qu’en 2012, l’association Riposte Laïque Suisse en a pris la responsabilité. Il ne peut supporter qu’une décision de justice, en mars 2013, ait officialisé cela. L’objectif de ce gouvernement, qui a mis en place un véritable cabinet noir pour lutter contre les islamo-critiques, est de le faire tomber par tous les moyens, y compris en prenant des libertés avec le droit. Pour cela, ce cabinet noir orchestre plaintes et procédures, n’hésitant pas à violer le secret de l’instruction pour alimenter toujours davantage de procédures contre Riposte Laïque, qui a dépassé ce jour le chiffre inimaginable de 40, alors que jusqu’en 2012, une seule plainte avait été déposée contre RL.

Convoqué systématiquement à chaque plainte déposée contre ce site, qu’elle émane de Cazeneuve, Hidalgo, Bergé, Fourest, de préfets socialistes, d’associations dites anti-racistes ou musulmanes, de journalistes ou de maires de gauche, Pierre Cassen a été, d’autre part, victime d’une perquisition policière, en avril 2016, sur requête du juge Batoz. Son ordinateur et son téléphone portable ont été confisqués, dans un contexte où des milliers de djihadistes, sur le territoire français, sont prêts à passer à l’action, selon l’ancien juge Fenech.

Encore plus grave, s’appuyant sur le seul rapport de police de la Brigade de Répression de la Délinquance aux Personne (BRDP), des juges ont décidé de considérer que Pierre Cassen devait dès ce jour répondre, en tant que directeur de publication, de tous les procès intentés contre Riposte Laïque. Autrement dit, de manière totalement arbitraire, avant que ne se soit tenu le procès quant à son éventuelle responsabilité de directeur de publication, il est déjà considéré par la justice comme tel, et devrait en assumer les conséquences.

Ainsi, le préfet Clavreul a-t-il mis ses paroles (« cibler les adversaires, et ne plus les lâcher ») en actes. Il a déposé plainte contre Pierre Cassen en personne, lui réclamant 20.000 euros de dommages et intérêts, et lui exigeant de payer ses frais de justice, parce que, sur RL, une contributrice, Lucette Jeanpierre, l’a comparé, après ses propos (voir vidéo ci-dessus) à un « kapo de la toile » et a écrit qu’il aurait fait merveille sous Goebbels, Staline ou Pol Pot. Ils veulent donc juger Pierre Cassen à Versailles, suite à cette plainte du préfet socialiste proche de Manuel Valls. Suite à une autre plainte du procureur de la République en personne, après à deux articles de Maxime Lépante, Pierre est également convoqué devant la 17e Chambre, le 22 mars, pour y être jugé à nouveau en tant que directeur de publication.

C’est d’autant plus grotesque que la même 17e Chambre a condamné, en avril 2016, le président suisse de Riposte Laïque, coupable d’avoir diffusé un texte très critique d’un apostat de l’islam sur ce dogme. C’est d’autant plus ridicule qu’un autre jugement, ordonné par une ancienne collaboratrice de Christiane Taubira, le juge Caroline Kuhnmuch, a condamné, pour avoir publié la photo de deux caissières voilées d’H et M, peu de temps après, la directrice des éditions de Riposte Laïque, qui n’a pourtant rien à voir avec la responsabilité du site RL. Mais dans quel pays sommes-nous ? La justice est-elle encore rendue au nom du peuple français, ou en celui d’idéologues fanatiques qui se servent de l’appareil d’Etat pour régler leurs comptes, avant que le peuple de France ne se débarrasse d’eux ?

En accélérant les procédures, en prenant des libertés avec toute notion de droit, ce véritable cabinet noir, mis en place par ce gouvernement, confirme les propos du préfet Clavreul, et entend interdire, en pleine campagne électorale, toute dénonciation de l’islamisation de la France, sur laquelle la plupart des candidats observent un silence assourdissant.

Nos avocats vont bien évidemment contre-attaquer, dans les jours qui viennent. Quant à nous, nous allons communiquer massivement, sur la réalité du harcèlement que nous subissons, comme d’autres sites de la réinfosphère. Nous ferons connaître toute l’ampleur des plaintes qui nous submergent, et nous coûtent beaucoup d’argent et de temps. Nous organiserons, le mardi 14 février, à partir de 19 heures, une conférence de presse, à Paris, avec des avocats et des personnalités, pour défendre la liberté d’expression, donc celle de critiquer l’islamisation de notre pays, permise par l’invasion migratoire voulue par les mondialistes.

A cette occasion, nous interpellerons les candidats aux présidentielles, sur la nécessaire abrogation de la loi Pleven, condition indispensable à un retour d’une parole libre en France.

 

Christine Tasin et Pierre Cassen

Vidéo : une Syrienne dénonce les faux réfugiés et les manipulations occidentales

Par Christine Tasin

Voici un discours percutant à faire circuler. Une Syrienne prend la parole à Belgrade pour dénoncer les faux réfugiés et l’Occident lors de la manifestation organisée par le Mouvement national serbe « Obraz » de dimanche dernier.

Quelques phrases choc :

Les personnes que vous voyez dans les rues de Belgrade en route pour l’Allemagne ou la Hollande, ne sont pas de vrais Syriens.

Laissez-moi vous poser cette question : si l’Occident ne veut pas que ces réfugiés périssent en mer, pourquoi ne lèvent-t-il pas les sanctions qui pèsent sur le peuple Syrien qui ont déjà coûté 143 milliards de dollars à la Syrie ?

Si ce n’est pas dans l’agenda de l’Occident, pourquoi n’aide-t-il pas les Syriens à rester [chez eux] en aidant l’armée syrienne à se débarrasser des terroristes et faire de la Syrie un pays sûr de nouveau ?

Pourquoi le reste des Syriens reste et résiste ?

Il dépouille la Syrie des gens qui peuvent reconstruire le pays. Il veut briser la Syrie et le peuple Syrien. D’un côté, il veut voler les docteurs syriens et leurs meilleurs étudiants et cela entraînera une fuite des cerveaux. Et d’un autre côté, les multinationales veulent une main d’œuvre bon marché de façon à baisser les salaires.

Jusqu’à maintenant, nous avons perdu cent mille soldats qui se battaient contre les extrémistes. Je n’ai pas entendu l’Occident pleurer sur ceux qui ont donné leur vie pour défendre la nation et laissant derrière eux des familles éplorées qui ont besoin d’aide.

Et d’un autre côté il s’efforce d’aider des personnes qui fuient leur pays. Beaucoup d’entre eux sont des djihadistes et, qui plus est, ils sont payés des milliers d’euros pour cela.

Laissez-moi vous dire que l’argent qu’ils dépensent pour venir est suffisant pour acheter une maison dans un endroit sûr en Syrie pour une famille de cinq personnes, et entreprendre un petit boulot et bien vivre.

Ce ne sont pas des réfugiés. Ce sont des migrants économiques.

Nos côtes sont très bien gardées, et pas un seul bateau de migrants ne part d’ici. Un autre motif est de faire sortir les chrétiens de Syrie, historiquement, l’une des premières terres chrétiennes. Ce que nous avons aujourd’hui en Syrie est similaire à ce que vous aviez en Serbie avant. Leur but : notre identité, notre unité et notre souveraineté.

Video

 


.
Traduction de son discours en anglais par Denis

Chers amis, je suis là ainsi que le fier peuple Syrien pour vous parler à propos de la situation de mon pays, ce qui est important aussi pour la Serbie. Nous étions un peuple aimé et respecté. Avant cette guerre, notre plus gros problème était la Palestine. En regard de ce que nous avons aujourd’hui, nos problèmes étaient minces : nous voulions alors trouver une solution à la bureaucratie, la corruption dans certains domaines. Nous ne connaissions pas l’injustice, le terrorisme ou la criminalité. Nous avons beaucoup travaillé ces dix dernières années avant cette guerre et nous avions fait de gros progrès. Il y avait des choses importantes que la Syrie n’avait pas avant cette guerre.

Nous avions une profonde identité nationale. Les personnes que vous voyez dans les rues de Belgrade en route pour l’Allemagne ou la Hollande, ne sont pas de vrais Syriens. Ne vous méprenez pas sur ce que je dis, j’aime mon peuple, ceux qui se battent, pour la Syrie, pour notre patrie.

Oui, les civils souffrent de cette guerre, mais qui n’en souffre pas ?

Pourquoi le reste des Syriens reste et résiste ?

Si ils étaient de vrais réfugiés, ils auraient choisi de rester dans des endroits sûrs les plus proches de façon à ne pas entrer en conflit avec la police hongroise pour aller en Allemagne

Laissez-moi vous poser cette question : si l’Occident ne veut pas que ces réfugiés périssent en mer, pourquoi ne lèvent-t-il pas les sanctions qui pèsent sur le peuple Syrien qui ont déjà coûté 143 milliards de dollars à la Syrie ?

Si ce n’est pas dans l’agenda de l’Occident, pourquoi n’aide-t-il pas les Syriens à rester [chez eux] en aidant l’armée syrienne à se débarrasser des terroristes et faire de la Syrie un pays sûr de nouveau ?

Pourquoi n’aide-t-il pas à la reconstruction des maisons détruites avec l’argent qu’il dépense pour les réfugiés ?

Il dépouille la Syrie des gens qui peuvent reconstruire le pays. Il veut briser la Syrie et le peuple Syrien. D’un côté, il veut voler les docteurs Syriens et leurs meilleurs étudiants et cela entraînera une fuite des cerveaux. Et d’un autre côté, les multinationales veulent une main d’œuvre bon marché de façon à baisser les salaires.

Jusqu’à maintenant, nous avons perdu cent mille soldats qui se battaient contre les extrémistes. Je n’ai pas entendu l’Occident pleurer sur ceux qui ont donné leur vie pour défendre la nation et laissant derrière eux des familles éplorées qui ont besoin d’aide. Et d’un autre côté il s’efforce d’aider des personnes qui fuient leur pays. Beaucoup d’entre eux sont des djihadistes et, qui plus est, ils sont payés des milliers d’euros pour cela.

Laissez-moi vous dire que l’argent qu’ils dépensent pour venir est suffisant pour acheter une maison dans un endroit sûr en Syrie pour une famille de cinq personnes, et entreprendre un petit boulot et bien vivre. Ce ne sont pas des réfugiés. Ce sont des migrants économiques. Après quatre ou cinq ans, notre nation respecte toujours ses engagements internationaux. Nos côtes sont très bien gardées, et pas un seul bateau de migrants ne part d’ici. Un autre motif est de faire sortir les chrétiens de Syrie, historiquement, l’une des premières terres chrétiennes. Ce que nous avons aujourd’hui en Syrie est similaire à ce que vous aviez en Serbie avant. Leur but : notre identité, notre unité et notre souveraineté.

Longue vie à la Serbie !

Je veux souligner que les nations serbe et syrienne ont toujours été amies. Nous avons une communauté orthodoxe grande et respectée. La Syrie n’a pas reconnu l’indépendance du Kosovo et nous avons beaucoup d’ennemis communs. Vous devriez savoir que quand vous combattez les politiciens qui œuvrent pour le nouvel ordre mondial, les intérêts des USA et les migrations massives, vous sauvez en même temps beaucoup de vies humaines. Nous sommes alors plus liés. Ce sont les mêmes terroristes albanais qui se battaient au Kosovo qui sont aujourd’hui en train de tuer des civils en Syrie. Et ceci est rendu possible par l’intermédiaire des mêmes politiciens corrompus aux USA, leurs alliés de l’UE, et leurs affidés ici en Serbie. Et faites attention que la vague de migration ne revienne pas en Serbie un de ces jours.

Chers amis, ce que je vous demande aujourd’hui, c’est d’être à nos côtés en tant que peuple. En nous défendant, vous vous défendez vous-mêmes. Soyez avec nous dans notre armée et dans notre cause juste parce que, si nous perdons cette guerre, le djihadistes ne s’arrêteront pas à la Syrie

Ensemble, nous résisterons jusqu’à la victoire.

Merci.

Sources : https://m.youtube.com/watch?v=XbJ49oLS24A

Christine Tasin

 

Article paru sur Riposte Laïque et lesobservateurs.ch le

Saphirnews demande une «charia de la République plus sévère» contre Christine Tasin

Le site musulman saphirnews espère des sanctions plus sévères contre « l’islamophobie »

images

Vivement que « la charia » de la République soit bien plus sévère contre l’islamophobie décomplexée.

Car loin de vouloir retirer ses propos, elle persiste et signe : l’islam est « une gigantesque saloperie », assumant encore et toujours de voir la haine de l’islam et de ses fidèles s’exprimer au grand jour en France.

Saphirnews