France: Église profanée par 4 jeunes “Ils ont même uriné dans le bénitier et déféqué sur l’autel.”

Christian Hofer: Nul besoin de dire que dans le cas inverse, si "l'extrême droite" avait été responsable d'un tel acte dans un lieu de culte musulman, tous les journaux romands en parleraient en boucle...

Le parti écœurant de nos journalistes révèle à quel point nos sociétés européennes malades discriminent les autochtones.

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Deux lecteurs (merci B. B. et V. R. !) m’ont signalé un article de Ouest-France traitant d’une infâme profanation de l’église Saint-Pierre des Herbiers (Vendée). Les quatre jeunes profanateurs ont été arrêtés.

Ils ont agi en haine de la religion et seraient originaires de Haute-Normandie : les prénoms et les patronymes ne sont pas signalés. Des Normands ? Haine de la religion chrétienne avérée, mais au nom de quelle idéologie ou de quelle autre religion ? En voici des questions qu’elles sont bonnes…

Dans la nuit de dimanche à lundi, quatre individus se sont introduits dans l’église Saint-Pierre, aux Herbiers. Ils ont renversé des bancs, des vases et ont également vidé un extincteur. L’un d’eux a déféqué sur l’autel. « C’est une profanation d’un lieu de culte,affirme un des membres de la paroisse. »

Interpellés le lendemain par les gendarmes, les suspects ont reconnu les faits. Ces jeunes majeurs sont pour la plupart originaires de Haute-Normandie. Ils seront convoqués en novembre devant le tribunal correctionnel de La Roche-sur-Yon et comparaîtront pour « dégradation et vol ».Le procureur de la République, Hervé Lollic, précise que « la motivation antireligieuse est également reconnue ».

Source : Ouest-France, 19 juillet via Christianophobie.fr

Zineb El Rhazoui : « On peut allègrement cracher sur le christianisme, personne ne va dire qu’on est ‘christianophobe’ »

Zineb El Rhazoui, journaliste franco-marocaine de 34 ans a survécu aux attentats de « Charlie Hebdo » le 7 janvier 2015. Elle publie  « Zineb raconte l’enfer du 13 novembre, avec 13 témoins au cœur des attaques ». Elle revient sur les « excuses » que certains tentent de trouver aux terroristes.

On peut allègrement cracher sur le christianisme, dire que c’est de la merde, des sornettes, des balivernes, personne ne va dire qu’on est « christianophobe », raciste, anti-occidental. Par contre, si vous critiquez l’islam, vous êtes islamophobe.

Qu’on ne vienne pas parler d’égalité des chances, qu’on ne vienne pas parler d’Occident éternellement coupable, la famille Abaaoud est une famille d’immigrés qui s’est intégrée et qui a assuré le retour économique vers le pays. Ce ne sont pas des gens qui ont eu des problèmes pour manger. D’ailleurs je pense très sincèrement que la famille Abaaoud était plus aisée que la mienne. On est loin du profil victimaire qu’une certaine bien-pensance veut dresser du terroriste, éternellement victime de la colonisation et du racisme.

Le parcours d’Abdelhamid Abaaoud se heurte par ailleurs aux critiques émises, en France, à l’encontre de la laïcité. Qu’en pensez-vous ?

Tout ce discours consiste à trouver des excuses aux terroristes, ceux qui disent « c’est de la faute de la laïcité », « c’est la faute de la politique étrangère », « c’est la faute de la pauvreté… »

Mais ces gens-là, que je sache, commettent aussi des attentats en Libye, au Mali, en Irak, etc. C’est aussi à cause de la laïcité, là-bas ? C’est à cause de quoi, au juste ? Eux aussi ont grandi en banlieue ?

Le point commun entre toutes ces personnes – Aqmi, Al Qaïda, Daech, Boko Haram… -, celles qui sévissent partout dans le monde, qui ont aussi bien grandi dans un bidonville à Casablanca qu’avec des domestiques en Arabie saoudite, c’est l’idéologie. L’idéologie, c’est quoi ?

Alors là aussi, les gens vont dire « ça n’a rien à voir avec l’islam », mais ça a à voir avec quoi ? Qu’on m’explique !

marianne

“Pièce de théâtre” : Pendant que les islamistes tuent à Paris, les gauchistes insultent les Chrétiens à Lausanne

C'est à 19h30, alors que la représentation de la pièce («Sul concetto di volto nel figlio di Dio», de Roméo Castellucci.) venait de commencer que les manifestants ont commencé à prier, bougies allumées, à côté de la salle de théâtre. A l'origine de leur courroux, une scène scatologique avec un vieux grabataire incontinent et la figure du Christ en toile de fond.

Directeur du Théâtre de Vidy, Vincent Baudriller a une autre lecture de la pièce qui suscite la polémique depuis sa création en 2011 et a engendré des manifestations dans plusieurs villes où elle a été jouée. «Cette pièce est un symbole de la liberté d'expression», argumente-t-il.

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Le christianisme menace de disparaitre de régions entières du globe

Selon le rapport de la fondation internationale Aide à l’Eglise en détresse, les chrétiens sont les croyants les plus persécutés dans le monde.

L’AED aide les chrétiens, menacés, persécutés, réfugiés ou dans le besoin. Elle constate qu’ils sont en train de disparaître de régions entières.

Quelles en sont les raisons ?

Dans le détail, le rapport constate que les difficultés auxquelles sont confrontés les chrétiens ont empiré dans quinze des dix neuf pays étudiés.

Les chrétiens sont « fortement » persécutés dans dix pays dans le monde contre six sur les deux années précédentes.

Le christianisme est avant tout menacé par l’islamisme, mais aussi par des régimes communistes athées comme celui de la Corée du Nord ou de la Chine.

Quelles sont les régions les plus touchées ?

Les chrétiens sont « chassés de l’ancien cœur biblique de l’Eglise au Moyen Orient » et sont menacés de disparition en Irak d’ici à cinq ans. 120 000 chrétiens ont fui Mossoul et Ninive en Irak depuis l’été 2014.

En Afrique, la montée de groupes militants islamiques dans certains pays comme le Nigeria, le Kenya ou le Soudan déstabilise la présence chrétienne. 100 000 catholiques ont quitté en mai 2015 le nord du Nigéria, à la suite des attaques de Boko Haram.

Depuis un an, les chrétiens font l’objet d’une intense campagne de persécutions en Chine

Dans la province côtière du Zhejiang, très christianisée, la Chine a mené une campagne d’abattage des croix et de lieux de culte chrétiens. Bilan : plus de 1 200 croix démontées et une quarantaine de lieux de culte rasés en moins d’un an.

Le Parti communiste suspecte le christianisme d'être un « agent de l'étranger » visant à saper sa mainmise idéologique… Ce danger apparaît d’autant plus grand que le nombre de chrétiens est en forte croissance. Il dépasserait aujourd’hui les 80 millions.

L’Etat chinois est passé à la vitesse supérieure le 1er octobre : une nouvelle loi défavorable aux chrétiens est entrée en vigueur

Elle vise de nombreuses activités religieuses, comme l’enseignement, les rassemblements ou encore les donations étrangères à des organismes religieux.

Celles ci seront dorénavant jugées illégales et accompagnées de nouvelles sanctions, allant de la simple amende à la fermeture des églises, ou encore la confiscation des biens lui appartenant.

Le Parti communiste chinois pourra prendre ses décisions sans passer par un tribunal.

Ainsi, cette loi autorise les autorités à sanctionner comme « illégales » les messes jugées « trop fréquentées ». N’importe quelle église pourrait être déclarée illégale sous n’importe quel prétexte, et l’autonomie des séminaires contrôlés par le gouvernement sera encore réduite.

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Les chrétiens exclus du « plan anti-racisme »

Face au terrorisme islamique, aux crashs d’avion, aux profanations de cimetières et d’églises, Manuel Valls n’a rien trouvé de mieux que de lancer son « grand plan antiracisme ». On y trouve le panel complet des mesures idéologiques visant à déformer les consciences et à les orienter dans le sens du « vivre-ensemble » abscons des socialistes.

Un de plus, me direz-vous. Oui, mais on assiste là à de l’antichristianisme qui ne se déguise même plus. « Tous les racismes sont condamnables, mais le racisme anti-Arabe et anti-Noir n’a pas les mêmes ressorts que l’antisémitisme dans sa violence. Il faut être capable de dire la particularité de l’antisémitisme.», affirme Gilles Clavreul, le « délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme ».

Le deux poids, deux mesures, entre la défense de certaines minorités et la défense de la majorité qui est la plus persécutée, devient tellement clair et évident qu’il n’est même plus grotesque : il est dangereux, car il discrimine une partie de la population (les chrétiens) de toutes les mesures de protection.

Je rappelle que pour se défendre face à un acte antichrétien, on ne peut s’appuyer que sur la loi antiraciste, qui condamne « toute discrimination, injure ou violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personne en raison de son appartenance à une ethnie, une nation ou une religion ». On parle donc, en termes juridiques, de « racisme antichrétien ».

Vu que le nombre profanations contre les lieux de cultes et cimetières chrétiens a explosé en 2014 (plus de 673 actes antichrétiens recensés par le ministère de l’Intérieur, contre 405 en 2013), ou encore des migrants chrétiens jetés par dessus-bord par des musulmans, c’est plutôt le patrimpine culturel et cultuel chrétiens qui devrait faire l’objet de mesures de protection. À moins que les violences à leur encontre ne soient savemment entretenues par le silence, le mépris, ou, pis encore, par haine du Christ.

En France, ou en Suisse, comme partout en Europe, « déconstruire » le christianisme, c’est détruire les dernières résistances au monde meilleur, socialiste et nihiliste.


Vivien Hoch, avril 2015

 

La RATP complice du génocide des chrétiens d’Orient

Nouvelle polémique - tout à fait justifiée - à propos de l'affichage dans le métro parisien. La RATP ne veut pas entendre parler des chrétiens d'Orient, pourtant au cœur d'une actualité tragique. Depuis quelques jours, les affiches annonçant le concert du groupe Les prêtres à l'Olympia, le 14 juin prochain, tapissent le métro parisien. Elles devaient porter la mention « Pour les chrétiens d'Orient », mais la compagnie de transport en a demandé le retrait.

les-prêtres

Pour Mgr Jean-Michel Di Falco Léandri, évêque de Gap et d'Embrun et créateur du groupe en question, cette décision « incompréhensible » et constitue une nouvelle preuve d'une très mauvaise compréhension de la laïcité par certaines personnes en France.

L'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité Française et chrétienne (AGRIF) se dit « choqué par le comportement de la régie publicitaire de la RATP », et « demande instamment à cette dernière de s’expliquer sur les raisons "déontologiques" de son refus, et lui réitère son appel à une juste mesure dans ses acceptations ou refus d’affiches dans les encarts publicitaires qu’elle gère avec de plus en plus d’opacité », en soulignant les différences de traitement avec l'ignoble Gleeden (incitation à l'adultère) et surtout avec les affiches qui exposent dans l'espace publique des aspects de la communauté musulmane. 

Car le problème est bien là. Non pas seulement que le groupe RATP se rende complice, pour certains, du Génocide des chrétiens d'Orient, ou qu'il fasse un excès de zèle laïciste, mais surtout qu'il pratique une laïcité à deux vitesses : tout est bon pour les musulmans, rien pour les chrétiens. Ne parlons même pas des chrétiens massacrés par les islamistes en Orient. 

Quelques exemples ci-desssous de ce qu'on trouve régulièrement dans les lieux publics de transport en France (gare, métro, bus, etc.) :

Un bon ramadan dans le métro parisien, sous le nez des laïcistes de Mediatransport.  Source : Observatoire de la Christianophobie

Un bon ramadan dans le métro parisien, sous le nez des laïcistes de Mediatransport.
Source : Observatoire de la Christianophobie

Avec le foulard islamique mais "laïc"

Avec le foulard islamique mais "laïc"

Venu un jour après la polémique, la réponse de Métrobus, qui gère les espaces publicitaires de la RATP, est sidérante. Leur motif n'est motivé par rien de moins que le fait « que la RATP et sa régie publicitaire ne peuvent prendre partie dans un conflit de quelque nature qu'il soit ».

En plus de pratiquer une laïcité à deux vitesses, la RATP est-elle la complice objective du génocide des chrétiens d'Orient ? 

Vivien Hoch, 1er avril 2015

Les chrétiens et la «concurrence victimaire»

Certains chrétiens se sont montrés réticents envers le fait de « jouer au jeu victimaire » comme les autres communautés en publiant des statistiques et des analyses sur la haine antichrétienne en France. On nous rétorque également que l’Église est une « communauté de foi », par opposition à une communauté ethnique, sociale ou politique, et que, par conséquent, les chrétiens ne peuvent pas être discriminés. En gros, que les chrétiens n’ont pas à se défendre comme les autres. Entretenons-nous réellement les « mythes phobiques » lorsque nous parlons de christianophobie ? Jouons-nous au petit jeu pervers de la « concurrence victimaire » lorsque nous comptons et analysons les actes antichrétiens ? Ceux qui nous reprochent de recenser ces actes antichrétiens sont, comme les kantiens : ils ont les mains pures, mais c’est parce qu’ils n’ont pas de mains. Le grand acquis de la Révélation, c’est bien que Dieu s’est incarné pour s’entremêler au coeur des affaires humaines, qu’elles soient personnelles ou collectives.

Si, comme l’a affirmé Jean-Paul II, « le Christ est la pierre angulaire de la construction et de la reconstruction des sociétés de L’Occident chrétien » (Mémoire et identité), on ne peut pas dire qu’il soit aujourd’hui bien accepté dans ces sociétés-là. Bien au contraire. Depuis 40 ans, nous avons perdu toutes les batailles séculières, sur les thèmes les plus capitaux qui touchent à l’humanité : présence de la transcendance, caractère sacré de la vie humaine, solidarité volontaire, conditions de production du beau et du bien, préservation du patrimoine religieux et cultuel…

Comme l’écrit Michel De Jaeghere dans son Enquête sur la christianophobie de 2005, les chrétiens font l’objet d’un triple procédé : la marginalisation (« vous êtes une minorité »), le discrédit organisé (suivant une intense campagne de désinformation) et la disqualification de la hiérarchie de l’Église. Cela passe aussi par le silence devant les actes antichrétiens : combien de profanations, d’injures publiques ou d’attentats symboliques sont objets d’une indignation médiatique ou politique ?

Si la « phobie » signifie une « hostilité sociale envers un groupe de personne », et si la discrimination est le « fait de distinguer et de traiter différemment quelqu’un ou un groupe par rapport au reste de la collectivité », le christianisme dans son ensemble – et plus particulièrement le catholicisme, ses symboles, son patrimoine et sa hiérarchie – est bien l’objet d’une discrimination et d’une « phobie », parce qu’il est l’objet d’un traitement différencié. C’est le fameux deux poids, deux mesures que nous subissons régulièrement. Ne pas s’en rendre compte, c’est faire le jeu des agresseurs, des idéologues antichrétiens et d’une société pervertie jusqu’à la racine. C'est également participer de ce qu'il fait le malheur et la faiblesse de notre Europe : la haine de soi et la dés-identification.

Vivien Hoch, 29 mars 2015

Journal Libération: Et si on changeait le calendrier des jours fériés ?

Un amendement de la loi Macron permet de modifier les dates des jours fériés religieux dans les départements d'outre-mer afin de célébrer d'autres fêtes, non chrétiennes.

Mais voilà, l’amendement 2992 de la loi Macron envisage de remettre en cause ses sacro-saintes fêtes, comme le souligne le Parisien. Il indique que, dans les départements d’outre-mer, «afin de tenir compte des spécificités culturelles, religieuses et historiques, un arrêté préfectoral peut remplacer des jours fériés – le lundi de Pâques, l’Ascension, le lundi de Pentecôte, l’Assomption, la Toussaint – par un même nombre de jours fériés locaux.» Le rapporteur de la loi a souligné que les fêtes religieuses en France donnaient «un statut légal» uniquement à des fêtes chrétiennes. Eric Ciotti qualifie ce dispositif de «scandale institutionnel» qui remet en cause «l’identité et la culture de notre pays».

En attendant, Libération a pris les devants pour savoir à quoi ressemblerait notre calendrier si on changeait les dates des jours fériés.

C’est la députée PS de la Réunion, Ericka Bareigts qui est à l’origine de cet amendement. Une façon de reprendre une des propositions d’Eva Joly. Pendant la campagne de l’élection présidentielle, la candidate écologiste avait proposé de rendre fériées les fêtes de l’Aïd et de Yom Kippour, provoquant une polémique jusque dans son camp.

Yom Kippour, aussi appelé le «jour du Grand Pardon» ou «jour des Expiations», est la fête la plus importante du calendrier hébraïque. Les fidèles juifs sont invités à réparer les fautes commises envers Dieu et envers leurs prochains. C’est un jour marqué par le jeûne. Cette journée rappelle la faute du veau d’or. Après avoir quitté l’Egypte, Moïse se rend sur le mont Sinaï pour recevoir les Tables de la Loi. Pendant ce temps, le peuple hébreu se détourne de Dieu pour adorer une statue en or en forme de veau. Yom Kippour sera célébrée le 22 et 23 septembre 2015.

L’Aïd al-Fitr est la fête musulmane marquant la rupture du jeûne du mois de Ramadan. Les musulmans se rassemblent alors pour faire des prières rituelles festives. Des mets et des boissons sont servis dans les mosquées et dans les maisons. Les enfants reçoivent des sucreries, ce qui explique l’autre nom de l’Aïd : la «fête du sucre». Cette année, elle sera célébrée le 18 juillet.

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Nantes : il urine sur un crucifix dans la basilique Saint-Nicolas, « pas une profanation » selon le parquet

Hier, en fin d’après-midi, vers 17 h 30, un homme est entré dans la basilique Saint-Nicolas, en plein cœur de Nantes. Il a jeté un crucifix à terre et a uriné dessus avant de prendre la fuite. Les recherches entreprises par la police n’avaient pas permis de le retrouver ce matin. D’après le parquet de Nantes, il ne s’agit pas d’une profanation, car il n’y a pas eu ni d’inscription, ni de déclaration particulière faite par le suspect. Le délit serait plutôt celui de dégradation d’un monument historique.

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Pour la socialiste Michèle Delaunay, les cimetières catholiques n’existent pas

ND Ch. H. Et par extension, il n’y a donc pas de profanations anti-chrétiennes... Je vous laisse apprécier la machine à mentir socialiste.

L’ancien ministre socialiste est au cœur d’une polémique sur les réseaux sociaux. En effet, alors qu’un internaute relavait qu’il y a « en France 434 profanations dans les cimetières catholiques par an », la fille de l’ancien préfet et député de la deuxième circonscription de Gironde lui a répondu qu’il « n’y a pas de cimetières catholiques » en France, rajoutant « ce sont des cimetières républicains et non dédiés à une confession »!

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Selon une étude du journal le Monde du 29 novembre 2011 : « Le nombre de profanation de lieux de culte et de cimetières est passé de 304 en 2008 à 621 en 2010. Les faits concernent majoritairement des lieux chrétiens (308 églises et 214 cimetières en 2010, des chiffres en augmentation de 33 % par rapport à 2009) puis les lieux musulmans (50 mosquées et 7 cimetières, +216%) et les lieux juifs (30 synagogues et 12 cimetières, -36% après une hausse spectaculaire entre 2008 et 2009) ».

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L’image du jour: Pour le PS, les millions de Chrétiens persécutés n’existent pas

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Petit rappel:

Les chrétiens sont aujourd’hui la communauté religieuse la plus persécutée de par le monde. A cause de leur foi chrétienne et dans plus de 60 pays, on estime que 100 millions de personnes souffrent de discrimination, de persécution ou d’actes de violences, que ce soit de la part de personnes d’autres religions ou de régimes totalitaires. Les chrétiens sont souvent traités en citoyens de seconde zone, auxquels on refuse même les droits humains les plus fondamentaux.

Source

L’AGRIF exige la démission de Manuel Valls

Suite à des propos rapportés dans Libération du 22/01/2015 : « Le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens », l'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne demande la démission de Manuel Valls :

 

Avec justesse et justice, l’avocat Arno Klarsfeld vient de rappeler que « les juifs de France se souviendront toujours que si les 3/4 d’entre eux ont survécu c’est grâce à la population française et à l’Église ».

Manuel Valls, lui, qui s’était déjà signalé par son appétit pour la répression des manifestants pacifiques majoritairement chrétiens contre la dénaturation du mariage, vient de déclarer :

« Le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens » (Libération 22/01/2015).

Cela est aussi offensant pour les chrétiens que stupide à l’égard de nos compatriotes juifs qui se passeraient bien de tels propos immédiatement exploités par les adeptes antisémites de la thèse du conspirationnisme juif.

En fait, Manuel Valls, après son irresponsable assertion lourde de justification de violences et de guerre civile, sur l’apartheid que subiraient certaines populations, a ainsi laissé plus que filtrer son aversion haineuse pour le christianisme. Ce qu’il voudrait, en fanatique jacobin, c’est l’éradication totale de ce qui demeure de chrétien dans notre société.

Cet orgueilleux inculte qui se réfère à un Voltaire qu’il n’a pas lu oublie que ce dernier à été certes très hostile à l’Église catholique mais encore plus aux juifs. M. Valls n’a évidemment pas lu l’ouvrage qui fait désormais autorité du professeur Arthur Hertzberg intitulé : « Les origines de l’antisémitisme moderne ».

 

Arthur Hertzberg, professeur à l’université de New York est président du Congrès juif américain et vice-président du Congrès juif mondial. Il est considéré comme l’un des plus grands penseurs modernes du judaïsme.

 

Rompant avec les idées reçues et le bourrage de crâne laïciste, il démontre irréfutablement que l’antisémitisme moderne raciste et exterminationniste est l’enfant des « Lumières », des Voltaire, d’Holbach, Diderot et d’un Marat et non du christianisme.

S’il n’y avait pas eu en zone occupée d’héroïques chrétiens de conviction, telle notre amie Rolande Birgy, « juste parmi les nations » et militante infatigable plus tard du respect de la vie, la réalité n’eut pas été celle qu’a évoqué avec raison Arno Klarsfeld.

Manuel Valls dit et fait n’importe quoi sur trop de sujets. C’est son émigration à lui vers d’autres endroits que Matignon que l’on peut souhaiter.

Allemagne : des jeunes musulmans perturbent la veillée de Noël dans une église catholique

Dans l’après-midi du 24 décembre, alors que se déroulait une veillée de Noël en la Marienkirche de la ville de Rheydt (arrondissement de la ville de Mönchengladbach), un groupe de cinq jeunes mineurs musulmans, selon les fidèles présents, ont fait irruption dans l’église en hurlant « Chrétiens de merde* » (Scheiß-Christen).

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La Suisse accueille le prophète Peillon !

Puisque Vincent Peillon est nommé professeur de philosophie à l'Université de Neuchâtel, j'en profite pour vous décrire un peu qui est ce personnage, afin que vous soyez prêts. On critique souvent les politiques sur le fait qu’ils n’ont pas de vraies convictions. Avec Peillon, c’est tout l’inverse. Il faut rester très vigilant et très sérieux devant ce genre d’idéologue. 

Vincent Peillon, prophète d'une religion laïque. Par Vivien Hoch, CERU, 2012

Vincent Peillon, prophète d'une religion laïque. Par Vivien Hoch, CERU, 2012

Nul ne doit être dupe, ni se tromper sur le personnage. Lorsqu'il a été nommé Ministre de l'éducation Nationale, j'avais rédigé une étude sur le personnage pour le CERU (Centre d’Études et de Recherches Universitaires), et proposé une sorte d'exégèse de la philosophie de Vincent Peillon. Autant dire tout de suite qu’après à la lecture de son oeuvre complète, le résultat se situe bien au-delà de toutes mes inquiétudes.

 

Derrière le personnage apparemment lisse, voir ennuyeux, se cache en fait un terrible idéologue, quelqu’un de très dangereux, un Robespierre en herbe, un disciple en droite lignée des grands "bienfaiteurs" de l’Eglise que furent Jean Jaurès ou Ferdinand Buisson, qui sont ses "deux papas".

Vincent Peillon, c’est un docteur en philosophie – et il n’y a rien de plus dangereux qu’un philosophe qui fait de la politique, un visionnaire pour qui « la révolution française n’est pas terminée », parce que cette Révolution est « un événement religieux», une « nouvelle genèse »  un « nouveau commencement du monde », une « nouvelle espérance » qu’il faut porter à son terme, à savoir : « la transformation socialiste et progressiste de la société toute entière ».

En fait, Peillon n’est ni un homme politique, ni un simple philosophe.  C’est un prophète, un Pape laïque, un grand-prêtre du socialisme, plus religieux que le Souverain Pontife lui-même.

Responsable  de l’éducation nationale. Ce n’est évidemment pas par hasard. L’éducation a un rôle capital dans son système idéologique, car l’école est «  un instrument de l’action politique, républicaine et socialiste. ».  Plus encore, l’école est un instrument de la religion laïque dont il se fait le prophète, car « c’est au socialisme qu’il va revenir d’incarner la révolution religieuse dont l’humanité a besoin » (La révolution française n’est pas terminée, p. 195) Et évidemment, l’école sera le temple de cette nouvelle religion :

« c’est bien une nouvelle naissance, une transusbtantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Église, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi » (La révolution française n’est pas terminée, p. 18)

 

 On comprend alors dans le détail les grands thèmes qu’il a imposé à l’éducation nationale en France. 

- La scolarisation précoce des enfants, de moins de trois ans s’il vous plaît ! (annoncée le 10 septembre 2012 par Jean-Marc Ayrault) dans le but, selon lui, de « lutter contre la délinquance » (sic), mais qui correspond en fait en tout point à l’idée peillonienne de coupure totale de l’enfant d’avec autre chose que la République socialiste : (je cite son interview au Jdd) « Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, famillial, ethnique, social, intellectuel… » (Entretien au JDD, 2 septembre 2012)

Pour ce faire, Peillon se fonde sur une pédagogie bien à lui : il y a un « infini flottant dans l’âme de l’enfant », et l’éducation « se fixe pour tâche de lui donner une forme » (La révolution française n’est pas terminée, op. cit., p. 194). Je vous laisse imaginer quelle forme il faut lui donner, à ce enfant nu et dépouillé face au dogme étatique.

- La morale laïque. Alors une fois encore ne soyons pas dupes : évidemment que ce qui manque le plus à nos enfants, c’est de la morale. Mais ceux qui applaudissent  cette idée doivent vigilants. Car le but de la morale laïque, c’est de former des futurs électeurs socialistes avec la théorie du Genre, l’enseignement des « grands homosexuels de l’histoire », la lutte contre les discriminations et l’imposition d’une morale non pas seulement laïque, a-religieuse, voir anti-religieuse. La morale laïque correspond en tous points à la ligne Buisson de la laïcité que Peillon s’est tracé – en référence à Ferdinand Buisson, l’acteur de premier plan de l’expulsion des congrégations religieuses, auquel Peillon a consacré un ouvrage en 2005. Cette ligne buisson de la laïcité, c’est « de forger une religion qui soit non seulement, plus religieuse que le catholicisme dominant, mais qui ait davantage de force, de séduction, de persuasion et d’adhésion, que lui. ». Aussi, si « la République socialiste perdure dans la mort Dieu », elle perdure également dans la mort de son incarnation terrestre, l’Eglise…

- La fronde contre l’enseignement catholique trouve elle aussi son sens. Pendant les débats sur le mariage homosexuel, Peillon  a produit une circulaire  qui demandait aux Recteurs d'Académie de « rester vigilant envers l’enseignement catholique » parce que ce dernier s’était prononcé contre le mariage homosexuel. « Rester vigilant envers l’enseignement catholique » veut dire, dans son système, qu’aucune idée ne peut se transmettre en dehors des cadres dogmatiques de la République socialiste. 

Nous sommes clairement dans une dialectique marxiste, que la contradiction n’effraie aucunement. Le moment passé (à savoir les traditions, l’histoire de nos nations européennes, les valeurs chrétiennes) doit être annulé par le moment à venir : le monde poli, libre, joyeusement socialiste, délivré enfin du joug de la méchante Eglise catholique et de ses principes désuets.

C'est grâce à ce genre d’idéologues au pouvoir, que nos enfants en savent davantage sur la contraception, le mariage homosexuel, l’homophobie, l'islam, le trans-genre et le cannabis, que sur l’histoire de France ou les règles de conjugaison. Le catéchisme socialiste doit se réciter dans toutes les écoles, par la bouche de tous les fonctionnaires-prêcheurs, et les enfants doivent apprendre cette vérité tombée du ciel sans broncher…

Finalement, la plus grande honnêteté pour Monseigneur Peillon et son clergé serait de se l’appliquer à eux-mêmes, la laïcité... 

Vivien Hoch, 17 décembre 2014

 Autres articles avec Peillon, ici, ici

 

 

 

Les Femen victimisent la République Française

Les Femen font ce qu'elles veulent en France. Pour preuve, cette semaine "de folie" pour elles, où elles ont multiplié les actions et les coups de communication contre la venue du Pape à Strasbourg. 

Dans la semaine, on a assisté à l'enlèvement filmé d'un faux prêtre. Idée de très mauvais goût, quand on sait le nombre de prêtres enlevés réellement dans le monde, dans les pays islamiques et les pays communistes.

Dernière action en date : une Femen rentre dans la cathédrale de Strasbourg, monte sur l'Autel, se déshabille, et prend des poses tranquillement devant un parterre de journalistes prévenus à l'avance, donc en pleine complicité. Complicité des médias, complicité des Renseignements généraux, qui étaient forcément au courant ; complicité du diocèse ? Non, répond ce même diocèse à l'Observatoire de la christianophobie, « nous n'étions pas au courant »...

Dans le même temps, des militants français, les Sentinelles, étaient expulsés et contrôlés parce qu'ils restaient debout devant le Parlement Européen (ci-dessous). Apparemment, en France, il vaut mieux être à poil dans une église...

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Bref, encore une action des Femen qui ne sera pas punie ni même empêchée pour les Femen. Sauf que... Le code pénal local d'Alsace-Lorraine n'est pas le même que celui de la République Française.

L'article 166 prévoit ainsi un "délit de blasphème" :

« Celui qui aura causé un scandale en blasphémant publiquement contre Dieu par des propos outrageants, ou aura publiquement outragé un des cultes chrétiens ou une communauté religieuse établie sur le territoire de la Confédération (…) ou les institutions ou cérémonies de ces cultes ou qui, dans une église ou un autre lieu consacré à des assemblées religieuses, aura commis des actes injurieux et scandaleux, sera puni d'un emprisonnement de trois ans au plus. »

L'article 167 précise la même peine pour les perturbations d'offices religieux.

L'Alliance Générale contre le Racisme (AGRIF) a annoncé avoir porté plainte contre les Femen pour cette nouvelle injure envers les chrétiens, et a mis son avocat, Maître Jérôme Triomphe, sur le coup. Espérons qu'elles seront enfin punies...

 Vivien Hoch, 26 novembre 2014

L’antichristianisme : un sport d’agence de com’

Dans la grande vague de nihilisme et déconstruction de la civilisation qui s'opère en France, bien placé à côté de l'amoralisme du « Tout-sexuel » et de la désintégration des populations par l'immigration massive, on peut observer un phénomène qui leur est tout à fait concomitant : l'anti-christianisme. Cela peut prendre diverses formes : de la moquerie simple, "gentille" et "fun" au saccage pur et simple d'une église, l'antichristianisme se porte bien.

S'en est même devenu un sport. Un sport pour bobo parisien d'agence de com'. Vous savez, ces gens qui, entre deux bouteilles de champagne, nous pondent des publicités « tendance », et qui font de l'antichristianisme, de la moquerie et du mésusage des symboles chrétiens leur triste fond de commerce.

Pour preuve, cette publicité du club de rugby du Stade Français qui vise à détourner des symboles chrétiens, objets de la foi, à des fins mercantiles. Référence au Calice, à la Sainte Eucharistie, référence aux cathédrales et au sacré « sacré dimanche ». Le visuel, en particulier les formes du calice démontre l’évidence d’un détournement des symboles de la foi catholique et orthodoxe. Pour preuve, la présence du « noeud en son milieu » (http://www.culture.gouv.fr/culture/inventai/presenta/calices/calice-index.htm)

Ce détournement n’a de donc pas été fait par ignorance : il était bel et bien volontaire. 

Ce que le communiqué du Stade Français, pondu dans un Français aléatoire et sous la fronde des chrétien, confirme :

« le Stade Français Paris reconnait donc cependant que cette campagne décalée mais assumée peut – à tort – être prise à un degré qui lui donnerait des allures éthiquement répréhensibles.»

Affirmer ainsi que ce n'est qu'une simple « campagne décalée » et que, de surcroit, elle est « assumée », est tout bonnement hallucinant. Pour au moins deux raisons :

1° cela contrevient gravement à la plus élémentaire déontologie publicitaire. C'est même une violation totale de la recommandation « races, ethnies et religions » des règles déontologiques du Jury de déontologie publicitaire, qui note, en son point numéro 4, qu’il « convient de proscrire toute utilisation du rituel ou des textes qui serait de nature à ridiculiser ou à choquer ses adeptes.»

2° Vu la situation des chrétiens dans le monde, ce genre de moquerie envers ce pour quoi beaucoup meurent purement et simplement, est extrêmement déplacée. Dans une lettre ouverte au Président du Club, Bernard Antony, président de l'AGRIF, affirme bien justement

« que pour ce « sacré dimanche » et les hosties dans leur ciboire, des chrétiens ont été et sont en ce moment même par milliers massacrés, torturés, crucifiés ». 

 

La christianophobie se porte bien en France. Il y a quelques mois, c'était les Espaces culturels Leclerc qui trouvaient ça drôle :

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Pour Noël, on a le droit, entre autres, à ce genre de Une :

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Qu'a-t-on à faire de la crise, des problèmes sociaux, des problèmes sociétaux et des tensions communautaires, dans ces agences de com' ou dans ces journaux malsains.

Bande de nihilistes.

Vivien Hoch, 21 novembre 2014

 

Genève : Un musulman vandalise un monument chrétien

L’article ne précise pas la religion du vandale… Facile de deviner à quelle religion appartient un Bengali (dont le pays est à 90 % musulman) qui agit en haine du Christ !

« Une petite voix lui aurait dit qu’il fallait qu’il aille casser le mur des Réformateurs », résume Sylvain Guillaume-Gentil, porte-parole de la police genevoise. Lundi [25 août] en toute fin d’après-midi, un individu originaire du Bangladesh et âgé de 26 ans a été surpris par des touristes occupé à une drôle de besogne. « J’accompagnais un tour en Segway pour deux Américains, explique Winfried Boeing, guide chez Citywheels, quand j’ai repéré un homme armé d’un burin et d’une pierre, en train d’essayer de détacher des pièces du mur. J’ai appelé la police. Dans l’intervalle, un touriste espagnol a tenté de plaquer le gars au sol, mais il a réussi à s’échapper. Finalement, la police est arrivée et l’a interpellé à la place Neuve. » La police confirme que l’individu a été retenu par des touristes « assez interloqués ». Le jeune homme, qui selon les forces de l’ordre a utilisé une barre de fer, a expliqué son geste par ses convictions religieuses « de type antéchrist », et a été auditionné au poste de police de Rive. « Les dégâts sont minimes, précise Sylvain Guillaume-Gentil. Aucune plainte n’a été déposée pour le moment, l’ayant droit sera averti dans les prochains jours et dispose de trois mois pour agir. L’identité du déprédateur a été relevée, mais il n’a pas été mis à disposition du Ministère public. Il n’y a pas de doute sur sa santé mentale; on peut l’estimer pénalement responsable de ses actes. »

Source : La Tribune de Genève (27 août) via Christianophobie.fr